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(06/02/2012 15:31:04)
Dell prépare des acquisitions logicielles dans l'administration de systèmes et les services cloud
La nouvelle division logicielle de Dell sera dirigée par John Swainson, ancien PDG de CA Technologies entre 2005 et 2009. Il est connu pour avoir été l'artisan de la résurgence de l'éditeur pendant son mandat. Sous sa tutelle, l'entreprise a connu une croissance rapide et forte grâce à un rythme soutenu d'acquisitions, dont un certain nombre avait précédé l'arrivée de John Swainson. Avant de se retrouver à la tête de CA Technologies, John Swainson a occupé pendant plus de 20 ans différents postes chez IBM, tous liés au domaine du logiciel.
« John Swainson a aussi la réputation d'avoir de l'expérience dans les fusions-acquisitions, et il apporte à Dell une certaine crédibilité dans le domaine des logiciels d'entreprise, » a déclaré Ray Wang, analyste et CEO de Constellation Research. « Compte tenu du parcours de son nouveau directeur, il semble probable que ses actions vont viser en priorité le middleware et les infrastructures, avec une orientation possible vers les applications d'entreprise par la suite, » a déclaré Paul Hamerman, analyste chez Forrester Research. Dell a déjà un pied dans les applications d'entreprise, mais comme revendeur de produits de Salesforce.com pour les petites et moyennes entreprises. Suite à des acquisitions antérieures, Dell a également une longueur d'avance dans les infrastructures et le middleware, avec notamment sa gamme d'applications Kace pour l'administration de parcs de postes de travail hétérogènes et sa plate-forme d'intégration, achetée à la start-up Boomi, qui facilite le transfert des données entre applications sur site et applications hébergées dans le cloud.
Une offre logiciels et services à monter
« Dell pourrait très bien devenir un guichet unique pour les applications cloud computing des PME, mais il lui reste encore quelques lacunes à combler, dans la BI (business intelligence) notamment, » a déclaré Ray Wang. Il se trouve que les opportunités d'acquisition dans ce domaine sont légion, notamment Birst, Pentaho, QlikView et autres. « Dell pourrait aussi acquérir un éditeur spécialisé dans l'e-commerce, comme Avangate, ainsi qu'une société de gestion de licences logicielles, comme Flexera, » a ajouté le CEO de Constellation Research. Cependant, l'acquisition d'applications de premier plan comme celles de son proche partenaire Salesforce.com semble « hautement improbable », a estimé Ray Wang. Pourtant, un tel achat pourrait également procurer à Dell quelques technologies PaaS (Platform-as-a-service), en s'inspirant de ce qu'avait fait Salesforce.com avec Heroku ou sa plate-forme Force.com. Dell s'était déjà aventuré l'an dernier dans l'IaaS (Infrastructure as a Service), avec un système basé sur OpenStack, mais un PaaS complet nécessiterait d'autres outils de développement et des services supplémentaires. «Je ne sais pas s'ils vont construire une plate-forme ou mettre tout simplement tout le monde ensemble, » a déclaré Ray Wang. « Mais à long terme, s'ils veulent être pris au sérieux en matière de logiciel, ils devront se mettre au PaaS. »
D'autres observateurs s'attendent à ce que Dell procède à des acquisitions stratégiques dans le domaine des applications d'administration de systèmes. « L'acquisition d'un produit comme ManageEngine de Zoho Corp, serait intelligent et aiderait Dell à développer un « service cloud » pour ses offres aux PME, » a estimé Dylan Persaud, directeur général de Eval-Source, un cabinet qui conseille les entreprises sur les achats logiciels. ManageEngine est l'équivalent de l'OpenView de Hewlett-Packard. « C'est vraiment une bonne opportunité, pas chère, pour les entreprises, et il offre une quantité appréciable de fonctionnalités, » a-t-il ajouté. Même si le constructeur a eu peu de succès sur les marchés de la tablette et du smartphone, Dell va sûrement chercher à acquérir des logiciels pertinents dans la mobilité. « On peut tout à fait imaginer que Dell s'associe avec Research In Motion ou rachète une partie du constructeur canadien afin de disposer des technologies de gestion de périphériques mobiles, » a avancé Dylan Persaud.
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Cependant, il ne faut pas s'attendre à ce que Dell prenne la place de HP ou d'IBM, dont les applications d'administration de systèmes sont bien implantées dans les entreprises. « Dell veut se concentrer sur le mid-market, » a déclaré Rob Enderle, analyste de Enderle Group. Un rachat du vendeur de systèmes de gestion BMC, qui a lui-même réalisé quelques acquisitions spécifiques dans le middle market, permettrait à Dell de brûler quelques étapes. « Mais un rachat de cette envergure est peu probable, » a estimé l'analyste de Enderle Group. « Michael Dell, le CEO de Dell, n'aime pas les grosses acquisitions. » Selon lui, « Dell préfère acheter de jeunes entreprises dont l'activité correspond à ses objectifs. »
L'ambition de Dell est de se constituer un portefeuille d'applications d'administration de systèmes « dont la valeur totale dépasse la somme de chaque partie, » a déclaré Rob Enderle. « Mais, devoir aller chercher chez un tiers la fonctionnalité nécessaire ne mettrait pas Dell au même niveau que HP et autres. Or Dell voudrait être leader sur le marché des grosses PME. Même si le constructeur glane ici et là des éléments indépendants de toute plate-forme, le but est quand même de créer des solutions autour de la technologie Dell afin de vraiment rivaliser avec les autres acteurs du secteur. »
Selon Frank Scavo, gérant associé de Strativa, une société spécialisée dans la stratégie IT, la raison pour laquelle Dell a décidé de créer sa division logicielle est évidente. « En ce moment, personne n'a envie d'être confiné dans la vente de hardware, et Dell ne fait pas exception, » a-t-il déclaré par e-mail. « IBM a vendu sa division PC à Lenovo, HP a semble-t-il envisagé de brader son activité PC l'année dernière, et Oracle est en train de recentrer ses activités Sun en s'éloignant du serveur bas de gamme. » Dell, Hewlett-Packard et Oracle suivent « tous des stratégies similaires, combinant un matériel avec des logiciels et des services, bien qu'ils partent chacun d'un point différent», a ajouté Frank Scavo. « À ce titre, l'annonce de Dell devrait également avoir valeur d'avertissement pour les éditeurs de logiciels, » selon Rob Enderle. « Les éditeurs de logiciels qui se sont appuyés sur des entreprises comme Dell doivent comprendre que tous les vendeurs de hardware vont développer eux-mêmes leurs propres logiciels, » a-t-il déclaré.
(...)(06/02/2012 17:11:08)Lync Online de Microsoft s'ouvre aux autres messageries instantanées
David Gritter, en charge des solutions voix professionnelles chez Microsoft a déclaré lors du salon ITexpo à Miami, que Lync Online va s'ouvrir aux autres messageries instantanées comme Yahoo Messenger. Le responsable n'a pas fourni de détail sur le calendrier de cette interopérabilité en soulignant juste que c'était inscrit dans la feuille de route. David Gritter rappelle aux revendeurs et intégrateurs des solutions Office 365 qu'ils ont besoin de savoir précisément ce que peut faire ou pas Lync Online, notamment vis-à-vis des autres messageries instantanées.
Lync Online propose déjà une messagerie instantanée via Windows Live Messenger, mais accuse un retard sur Lync Server 2010, qui fédère d'autres services basés sur le protocole XMPP, comme Jabber, Google Talk, Yahoo, AOL ou la version entreprise de la messagerie instantanée Sametime de Lotus d'IBM.
AMD n'exclut pas d'utiliser l'architecture ARM
La stratégie annoncée par Advanced Micro Devices (AMD) en matière de design laisse penser que le fondeur a décidé de réduire son engagement en faveur de l'architecture x86. En effet, le fondeur californien a déclaré en fin de semaine dernière qu'il était ouvert à l'intégration d'autres éléments de tierce-partie dans ses futurs processeurs afin de concevoir des puces qui répondraient aux besoins de ses clients. Cette stratégie pourrait notamment ouvrir la voie à l'utilisation de la technologie ARM dans les futures puces du fondeur. « Si un client a besoin d'une architecture différente d'x86, AMD combinera son architecture propriétaire avec celle du fabricant de tierce-partie, » a déclaré dans une interview Mark Papermaster, CTO de AMD. « AMD veut satisfaire aux exigences des clients, » a-t-il indiqué. « Nous travaillerons donc avec toutes les architectures d'instructions disponibles. » Le CTO d'AMD n'a pas dit spécifiquement que le fondeur utiliserait la technologie ARM, mais le fabricant s'est dit ouvert à d'autres jeux d'instructions pour ses processeurs, donc ARM, MIPS et PowerPC.
AMD a fait part de sa nouvelle stratégie alors que le paysage informatique subit des changements radicaux. Si l'usage des tablettes et des smartphones a connu une expansion spectaculaire, les puces x86 d'AMD et Intel n'ont pas encore fait leur entrée dans ces terminaux. Le futur système d'exploitation Windows 8 de Microsoft pour PC et tablettes, attendu plus tard cette année, tournera à la fois sur processeurs x86 et ARM. « La possibilité d'utiliser ses brevets sur des éléments extérieurs permettra à AMD de s'adapter rapidement à ce marché qui ne cesse d'évoluer, » a déclaré Mark Papermaster. Les fabricants de terminaux veulent des puces spécialisées pour effectuer des tâches particulières, et AMD dispose d'un capital de brevets très riche dans les domaines graphiques et de l'affichage, qui va lui permettre de concevoir ces types de produits. Par exemple, le processeur graphique d'AMD peut être combiné à un brevet de tierce partie pour développer une puce destinée à des appareils multimédias. « C'est toute la dynamique de conception et de production des puces qui est en train de changer, » a déclaré le CTO d'AMD.
Proposer une architecture complémentaire à x86
Jusque-là, les tentatives d'AMD pour entrer dans le marché de la tablette ont été infructueuses, alimentant même certaines spéculations selon lesquelles le fondeur serait prêt à utiliser des puces ARM sous licence. AMD et ARM ont une relation commune autour de l'OpenCL, un ensemble d'outils de programmation standardisés pour l'exécution de tâches en parallèle. L'OpenCL pourrait potentiellement permettre aux programmes d'interopérer dans des architectures combinant les processeurs AMD d'une part, les circuits graphiques et les puces ARM d'autre part. « Néanmoins, même si AMD s'ouvre à des architectures alternatives, son activité principale reste centrée autour du x86, et nous restons engagés envers cette architecture, » a précisé le CTO. « L'x86 est au coeur de notre activité aujourd'hui, et le restera demain, en 2014 et au-delà, » a t-il déclaré.
« AMD livre environ 20 millions de processeurs x86 chaque trimestre. Le fondeur possède déjà une longue histoire avec l'architecture d'Intel, et il aurait du mal à changer son fusil d'épaule rapidement pour s'orienter vers un nouveau design, » a déclaré Dean McCarron, analyste principal chez Mercury Research. « Le véritable atout d'AMD repose sur sa technologie graphique, une architecture difficile à reproduire pour ses rivaux, » a estimé l'analyste. AMD voudrait étendre cette technologie à un éventail plus large de terminaux, téléviseurs compris. « Tout type d'accord aurait une incidence sur la décision d'AMD quant à employer ou non la technologie ARM, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste principal chez Insight 64. Si un client aussi important qu'Apple demandait à AMD d'inclure l'architecture ARM dans ses puces, certainement que le fondeur en envisagerait la possibilité. « Ce que fera AMD avec ARM, va se jouer au coup par coup, » a déclaré l'analyste d'Insight 64. « Pour les petits clients, ponctuels, je ne vois pas le fondeur s'embarquer dans cette direction. »
Un marché AMD déjà très concurrentiel
Selon les analystes, le fait qu'AMD ait décidé de s'ouvrir à d'autres architectures est le signe que le fondeur veut modifier le rapport concurrentiel qu'il entretient avec Intel. Grâce au x86, les deux entreprises ont caracolé en tête pendant de nombreuses années et Intel domine encore les marchés du PC et du serveur. « Mais en même temps, AMD ne veut pas dépendre uniquement de cette dualité dans laquelle il se trouve avec le x86, » a déclaré Nathan Brookwood. « AMD veut faire quelque chose qui lui est propre. » Le marché ARM est toutefois devenu très concurrentiel avec des acteurs comme Nvidia qui travaille également sur des architectures multicoeurs et circuit graphique (la puce Tegra3 par exemple). AMD peut toutefois compter sur son expertise dans les puces pour serveurs pour faire la différence. Reste à savoir si AMD pourra dégager les ressources nécessaires pour développer de concert trois architectures : x86, Radeon et ARM.
(...)(06/02/2012 13:09:06)EMC lance les cartes VFCache pour concurrencer Fusion-io
EMC a lancé aujourd'hui son très attendu projet Lightning, dont les produits sont nommés VFCache. Il s'agit de cartes PCIe dotées de mémoire flash NAND pour serveurs pour optimiser les liens avec les solutions de stockage, notamment dans le traitement des entrées/sorties. La société a également annoncé le projet Thunder, qui verra le jour au deuxième trimestre, avec des appliance équipées de 15 To ou plus de stockage via des cartes PCIe de mémoire flash NAND. Ces équipements pourront être reliés à des fermes de serveurs via le protocole réseau InfiniBand. Ils comprendront 5, 10 ou 15 cartes PCIe, selon EMC. « Vous pouvez considérer qu'il s'agit d'une grande carte VFCache évolutive et partageable. Nous parlons ici de centaines de millions d'E/S par secondes » précise Mark Sorenson, vice-président senior de la division flash d'EMC.
Les cartes VFCache sont basées sur de la mémoire flash Nand SLC (single-level cell), par opposition à la plus connue multi-level cell (MLC), qui adopte de plus grandes capacités, mais avec des niveaux de performance et une durée de vie plus faibles. Actuellement, EMC vend des disques SSD en 2,5'' avec une interface SATA pour ses baies de stockage. Mark Sorenson explique que cette année ces SSD basculeront vers de la mémoire flash MLC, qui seront moins chers et disposeront d'un firmware spécial pour atteindre des niveaux d'endurance de classe entreprise.
Les cartes PCie VFCache, qui seront fabriquées par Micron Technology pour EMC, disposeront dans un premier temps d'une capacité de 300 Go. Mark Sorenson prévoit de livrer des cartes de 700 Go cet été, mais il souligne « les cartes de 300 Go seront les plus demandées ». Les ventes de ces cartes se feront en direct par EMC ou via le réseau de partenaires. Les cibles pour ces produits sont les applications gourmandes en lecture/écriture intensive, comme les bases de données Oracle ou MS SQL, Sharepoint ou même des environnements Exchange. Pour le dirigeant, ces cartes ne doivent pas être considérées comme du stockage primaire, « il s'agit de mémoire cache ».
Une aide, mais pas du stockage primaire
EMC revend le P320h de Micron mais en le réduisant de moitié en hauteur et en longueur. Il dispose d'un maximum de performances en lecture séquentielle de 3,2 Gb/s utilisant des blocs de 128 Ko. Il peut générer jusqu'à 715 000 IOPS (entrée/sortie par seconde) en utilisant des blocs aléatoires de 4 Ko.
Les cartes VFCache s'installent dans un slot PCIe d'un serveur standard. A chaque demande générant des entrées/sortie, les VFCache les interceptent et vérifient dans les tables de la mémoire si elles ont les données en cache. Si c'est le cas, la carte délivre la demande d'entrée/sortie en lecture depuis le serveur. Si les données ne sont pas dans la mémoire cache, le filtre envoie une demande d'écriture ou de lecture à travers le réseau de stockage aux baies de stockage d'EMC. Mark Sorenson a expliqué que pour l'instant les cartes n'ont pas été qualifiées pour d'autres baies de stockage, mais qu'il n'y a aucune raison que cela ne le soit pas. « Il n'y a pas de verrouillage avec ce produit » insiste le responsable. Il en a profité pour indiquer que « les cartes ne sont pas bien adaptées pour la virtualisation du poste de travail (VDI) ou la virtualisation des serveurs. Ces opérations sont mieux gérées par le réseau des baies de stockage ».
Matthew Brisse, un analyste au Gartner, explique que le SSD va vraiment changer la dynamique du stockage au sein des datacenters. « Il transforme la façon dont les clients vont architecturer leur stockage SAN et modifier les topologies » souligne l'analyste et d'ajouter « nous assistons à une pression sur les modèles SAN traditionnels. » Le consultant estime que le logiciel FAST (Fully Automated Storage Tiering) d'EMC, qui hiérarchise les données en fonction du type de stockage au sein des baies, engendre un goulot d'étranglement pour les entrées/sorties des environnements virtuels. Il vise notamment la question du VDI où des centaines ou des milliers de postes de travail génèrent une quantité énorme de I/O par seconde. « Si vous placez le SSD dans le serveur, cela amène de l'efficacité à grande échelle » précise l'analyste.
Les cartes VFCache sont semblables à celles de Fusion-io, mais avec des capacités moindres. EMC n'a pas voulu révéler les prix des cartes, estimant seulement qu'ils seront agressifs par rapport au concurrent. Les produits de Fusion-io ont des capacités allant jusqu'à 10 To et 1,3 million d'E / S par seconde (IOPS) et le débit 6,7 Gb/s. Le directeur de Fusion-io a déclaré que l'annonce d'EMC confirme ce que sa société fait depuis des années. Il critique les choix de son concurrent, « ils utilisent de la mémoire SLC, qui est trois fois plus cher au gigaoctet » et d'ajouter « EMC est lié à Micron et d'autres fournisseurs de composant qui n'ont pas l'expertise nécessaire dans la mémoire MLC et aussi fiable que Fusion-io ».
(...)
Temenos et Misys discutent d'une éventuelle fusion
Le suisse Temenos et le britannique Misys ont confirmé être en discussions préliminaires au sujet de diverses options stratégiques, dont une possible fusion de leurs sociétés. Selon Milan Radia de Jefferies International Ltd. cité par Businessweek, une telle fusion donnerait naissance au plus grand éditeur de logiciels bancaires mondial avec une valeur boursière de 3,1 milliards de dollars : «Si vous êtres un fournisseur de plateformes bancaires standard, vous allez assister ici à la création d'un fournisseur massif avec une énorme base installée, quelque chose de difficile à avaler au niveau concurrentiel pour les éditeurs indiens et certains éditeurs américains».
D'autre part, le fait que les offres des deux éditeurs sont en grande partie redondantes, conduit certains analystes à se demander quelle solution s'imposerait dans le cas d'une fusion, avec un avantage toutefois pour Temenos.
Fondée en 1993, Temenos a son siège à Genève et compte un millier de clients dans le secteur financier. Suite à ces annonces, son titre a progressé de 12,5% aujourd'hui à la Bourse de Zurich (vendredi 3.02.2012 à 15h).ICTjournal.ch (...)(06/02/2012 10:11:23)
CIO.PDF 47 : l'innovation sujet majeur pour les DSI en 2012
Si les DSI ont survécu à 2011, survivront-ils à la crise voire à la fin du monde prévue en 2012 ? L'innovation pourrait être leur planche de salut à l'heure où le monde bouge, se numérise et adopte les réseaux sociaux. Même l'automobile change en devenant partagée ou même sociale avec Autolib.
Pour cette raison, le dossier de CIO.PDF 47 est consacré à l'innovation en tête pour les managers de systèmes d'information en 2012. Les managers de systèmes d'information mènent en effet des projets clés pour la réussite de leurs entreprises en ce début d'année 2012. La numérisation, la mobilité et les réseaux sociaux transforment les métiers. Face à ces défis, ils doivent innover en permanence.
En ce moment, les bouleversements technologiques transforment bon nombre de métiers. C'est notamment le cas des anciens centres d'appels devenus centres de contacts multi-canaux et, aujourd'hui, centre de relations via les réseaux sociaux. L'ancien DSI de groupe SVP, Eric Dadian, revient pour nous sur sa carrière qui l'a mené à la tête d'Intra Call Center.
Autre révolution, cette fois par les usages : l'auto-partage Autolib'. Cette innovation marketing reposent sur de nombreuses innovations technologiques que décrit pour nous le directeur général d'Autolib', Morald Chibout.
Télécharger CIO.PDF 47 (...)
GFI publie des résultats préliminaires en hausse
La SSII GFI publie ses résultats annuels 2011 préliminaires. Elle devrait réaliser un chiffre d'affaires (CA) de 618,1 millions d'euros (ME) en croissance organique de 2,4% et en croissance totale de 5,4%, ce chiffre sera atteint si la société finalise la cession de ses activités canadiennes (qui seraient comptabilisées comme des activités destinées à être cédées). Sinon, le chiffre d'affaires est de 683,8 ME, en croissance totale de 3,9%.
(...)(06/02/2012 10:01:06)Régine Diyani arrive à la tête de l'AIFE pour piloter Chorus
Depuis le départ fin 2011 pour d'autres fonctions de Jacques Marzin, ancien directeur de l'Agence pour l'Informatique Financière de l'Etat, l'intérim était assuré par son adjointe. Régine Diyani prend aujourd'hui officiellement la succession comme directrice titulaire de l'AIFE, avec rang de Trésorier Payeur Général. Le décret de nomination a été signé par le Président de la République le 1er février 2012.
C'est donc une solution de continuité qui a été choisie pour l'AIFE, la structure en charge du nouveau progiciel commun de gestion budgétaire de l'ensemble des administrations d'Etat, Chorus. Cet outil basé sur SAP est en effet passé en production et n'est plus en mode projet.
Améliorer la qualité de service de Chorus
La priorité de Régine Diyani est, logiquement, la qualité de service au quotidien au bénéfice des utilisateurs du système d'information Chorus, maintenant que la phase de construction initiale est achevée. Certains modules vont continuer d'être développés pour atteindre tous les objectifs de la LOLF (Loi Organique sur les Lois de Finance, votée à l'unanimité du Parlement et promulguée le 1er août 2001, comme la comptabilité analytique ou la gestion immobilière. 50 000 agents de l'Etat utilisent quotidiennement Chorus dont 10 000 quotidiennement.
La carrière de Régine Diyani, toujours au sein des services de Bercy, a alterné des postes de management informatique (chef de département informatique dans les Hauts de Seine, direction adjointe de l'AIFE), des responsabilités métier (Paierie générale du Trésor, Direction de la Réforme Budgétaire) et maîtrise d'ouvrage (Direction Générale de la Modernisation de l'Etat). Elle a associé des expériences de conception de systèmes d'information, de gestion d'unités opérationnelles et de ré-ingénierie de processus métier. (...)
Le fonds national d'amorçage augmenté de 200 millions d'euros
Ce FNA est opérationnel depuis quelques semaines et vient d'être doté de 200 millions supplémentaires. Il complète un autre fonds créé par l'Etat, le FSN PME, créé au 1er juin 2011 et doté de 400 millions d'euros. Ce fonds est destiné aux PME innovantes de taille supérieure à celles accompagnées par le FNA. Ce FSN PME a déjà instruit 50 dossiers a indiqué Eric Besson mercredi dernier. Le FSN doit « prendre des participations directes, jusqu'à 30 % du capital, plafonné à 10 M€, dans le capital de PME innovantes du secteur numérique (cloud, numérisation de contenus, nanoélectronique, logiciel embarqué, e-santé, sécurité des réseaux, systèmes de transports intelligents, ville numérique et e-éducation).»
Ces deux fonds d'Etat, sont les fers de lance du financement des entreprises l'économie numérique. Ils sont gérés par la Caisse des dépôts.
Deloitte a publié son étude annuelle sur les technologies : pas de grandes suprises
Le cabinet d'études et de conseil Deloitte prévoit un succès de vente phénoménal pour les tablettes multimédias, un marché qui n'a encore pas donné de signes de fléchissement depuis son émergence, en 2010. Le cabinet table sur environ cinq millions de tablettes vendues dans le monde, à des personnes qui en possèdent déjà une, en 2012.
"L'augmentation du nombre de ménages possédant plusieurs tablettes a été phénoménale, explique Duncan Stewart, le Directeur de Deloitte Research, le centre de recherches mondial du cabinet. Il a fallu plusieurs décennies avant que plus de 5% des ménages possèdent plus d'un téléphone, d'une voiture, d'une radio ou d'un téléviseur. Dans le cas des ordinateurs personnels et des téléphones cellulaires, il a fallu attendre plus de 10 ans. Pour les tablettes, on attendra moins de trois ans."
Hausse des ventes de SSD
Parmi les autres tendances fortes de cette année, Deloitte attend l'explosion du stockage sur SSD (mémoire flash) au détriment des disques durs traditionnels, le développement du rattrapage de programmes TV sur terminaux mobiles et la montée en puissance de la technologie NFC, qui facilite le paiement sans contact et sécurisé.
Autre point abordé par cette étude : le smartphone à 100$ (l'équivalent de 76€). Il pourrait se vendre à plus d'un demi-milliard d'exemplaires en 2012, essentiellement dans les pays émergents. En Europe ou aux Etats-Unis, ce type de produit pourrait séduire les adolescents.
Bientôt la fin de l'Internet illimité
Plus étonnant : Deloitte annonce ni plus ni moins que la fin de l'internet illimité sur mobiles. La croissance du trafic de données est telle que de nombreux opérateurs pourraient revoir leur condition et limiter l'accès à Internet, y compris en ce qui concerne le haut débit fixe. Pas vraiment une nouveauté, la menace plane depuis deux ans.
Les Prédictions TMT 2012 sont basées sur des entrevues et des recherches approfondies, des témoignages de clients et d'anciens membres de Deloitte, d'analystes sectoriels, de chefs d'entreprise et de plus de 6 000 professionnels dans le secteur des technologies, médias et télécommunications.
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