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(17/05/2010 17:13:48)

Indice Monster : en avril, les offres d'emploi informatique ont baissé de 1%

Au cours du mois d'avril, l'indice de l'emploi, publié par le spécialiste de la gestion de carrière Monster, a progressé de deux points (+2%) par rapport au mois précédent, atteignant ainsi son plus haut niveau depuis 11 mois. Sur les douze derniers mois, l'activité du recrutement en ligne a néanmoins reculé de 1%. « Si l'indice ressort à la hausse en avril, cette progression s'explique, pour l'essentiel, par des effets de saisonnalité », explique Bruno Brémond, directeur général de Monster France et Europe du sud dans un communiqué  « On ne pourra donc vraiment parler de retour à la croissance que lorsqu'une hausse régulière de l'activité du recrutement en ligne sera observée dans une majorité des secteurs d'activité. », ajoute t-il
En effet, durant le mois dernier, l'évolution du volume des offres d'emploi sur Internet est restée contrastée d'une catégorie professionnelle à l'autre, avec seulement une sur deux orientée à la hausse. Parmi les secteurs en berne, figure l'informatique, domaine où l'indice s'est contracté d'un point par rapport à mars 2010 pour s'élever à 97, et de trois points comparé à avril 2009.

Selon Monster, s'il faut probablement attendre encore un peu avant de retrouver le niveau de juin 2008, le repli très marginal de l'activité du recrutement sur les douze derniers mois et la dynamique positive qu'affichent plusieurs secteurs d'activité - dont celui du management - attestent toutefois d'une réelle amélioration de la situation.

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(17/05/2010 17:03:17)

L'ADEN trace la voie des clouds communautaires locaux

La commission Infrastructures de l'ADEN a rendu ses propositions pour une stratégie alternative en matière de cloud computing dans le cadre du grand emprunt national. Pour rappel, ce plan prévoit 4,5 milliards d'euros pour le développement de la société numérique, dont quelques centaines de millions d'euros seront consacrés au cloud computing.  L'association recense les différentes orientations de l'informatique dans les nuages ; privé, public, hybride et communautaire. C'est ce dernier point qui a les faveurs de l'ADEN et plus particulièrement des clouds communautaires locaux.

Sur le plan de la définition, le modèle communautaire est constitué d'une infrastructure partagée entre plusieurs organisations supportant une communauté précise et ayant des préoccupations communes (justice, éducation, santé, industrie, culture, etc.). L'adjectif local implique la participation des collectivités territoriales à travers des partenariats Publics-Privés pour construire ce type de cloud. Ils s'appuieront sur des datacenters en France, ainsi que sur des plates-formes de services et d'infrastructures numériques mutualisés à destination des entreprises, des administrations, des établissements publics régionaux et des citoyens. L'étude souligne quelques initiatives déjà existantes, comme ITerritoires regroupant 6 territoires Dunkerque, Lyon, Osartis, la Seine et Marne, l'Yonne et Caen, qui se sont engagés à soutenir et à accompagner des projets de datacenters.

L'objectif, à terme, sera de mailler l'ensemble des clouds communautaires locaux au niveau national, pour bénéficier des avantages de la puissance de calcul combinée et de la mutualisation des applications.

Des raisons politiques et industrielles

La mise en avant de ce modèle répond également à des considérations moins technologiques. Devant la domination du continent nord-américain, le cloud communautaire local conforte la souveraineté nationale tant sur le plan des compétences, que sur la localisation des données transitant sur le réseau. La création de datacenters sur les collectivités territoriales implique également des créations d'emplois directs ou indirects, en facilitant le télétravail par exemple.

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Sur le plan industriel, ces propositions tentent de remédier à l'obsolescence du parc de datacenters français. L'étude souligne que 40% des centres existants ont des problèmes d'alimentation électrique et de climatisation. L'idée est donc de répondre à la fois à des considérations environnementales, en construisant des datacenters plus éco-responsables, mais également de productivité en proposant plus de capacité aux entreprises pour les infrastructures et les services en mode hébergé.

Une stratégie en 3 axes

L'ADEN préconise donc un plan en trois axes, le socle de base est constitué par des centrales numériques locales, qui organisent le stockage de données, l'hébergement d'applications, la gestion des flux. L'association précise que ces centrales peuvent aussi bien être des salles de 100 m² que des bâtiments de plusieurs milliers de mètres carrés. On notera que compte tenu de la rigueur budgétaire, un effort particulier sera réalisé sur la mise à niveau des infrastructures existantes et des « investissements incrémentaux » seront mis en place lorsque cela sera nécessaire.

Le deuxième axe porte sur la création de plates-formes mutualisées de services et d'infrastructures numériques  pour des activités différentes comme l' e-commerce, l'e-éducation, l'e-administration, etc. Cette agrégation nécessitera la réalisation de Schémas Directeurs de Services Numériques qui définiront les techniques, les cibles visées, les modèles économiques, l'accompagnement, ...

Enfin, le dernier axe s'adresse aux pouvoirs publics, sur les aspects réglementaires, mais également sur le type d'ingénierie juridique sur lequel les collectivités territoriales vont s'appuyer pour investir et exploiter les datatcenters : partenariat public-privé, délégation de service public, société d'économie mixte, ... C'est dans ce cadre aussi que doit être défini la politique de soutien apporté par l'Etat dans le cadre du grand emprunt.

L'ADEN milite pour que des expérimentations régionales soient menées sous forme de partenariats publics-privés dans le cadre de la consultation  publique qui sera lancée en mai ou juin 2010.

Crédit Photo: Iterritories.org

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(17/05/2010 14:00:15)

Groupe Open recrute une centaine d'ingénieurs en Rhône-Alpes

La société de services informatiques Groupe Open s'est fixée pour ambition d'atteindre un effectif de 700 collaborateurs en région. Pour cela elle s'est lancée dans une importante campagne de recrutement en Rhône-Alpes. Cette vague concerne  plus précisément les sites de Lyon, Grenoble, Saint-Etienne et d'Aix en Provence, qui rassemblent actuellement près de 600 personnes. « L'ambition d'Open est de mieux développer sa valeur ajoutée client, grâce à une taille critique plus importante au niveau régional,» expose Benoît Pain, directeur régional  Rhône-Alpes et Sud-Est. « Sur Lyon, notamment, la croissance de ces dernières années s'est poursuivie avec des clients majeurs oeuvrant dans le transport, la banque ou l'industrie. ». Dans la région lyonnaise, les profils recherchés sont principalement des ingénieurs d'études et conception, et des chefs de projet expérimentés sur les technologies Java/J2EE, sur les portails Open Source (Liferay) et Microsoft Silverlight. La SSII cherche, par ailleurs, à embaucher des chefs de projets expérimentés en pilotage de programmes « pour répondre aux besoins de notre activité dont les  engagements de résultats sont en forte croissance », souligne le directeur régional.  

Miser sur la cooptation pour attirer les profils

A Grenoble, l'entreprise compte activement sur des spécialistes télécoms, des professionnels de l'informatique industrielle et du génie logiciel, et des experts du M2M  (Machine To Machine). Reste qu'en dépit de la crise, certains profils demeurent toujours difficiles à trouver, ce qui nécessite de s'appuyer sur différents canaux de recrutement pour trouver les perles rares. «Nous avons planifié une soirée de cooptation nationale qui aura lieu le 3 juin », ajoute Benoît Pain. Des opérations de jobdating se tiendront également à Lyon et Grenoble. « Courant juin, des petits-déjeuners sur le thème du M2M devraient renforcer notre notoriété et nous permettre d'attirer un maximum de candidats. », poursuit Benoît Pain

Regroupant près de 3 700 collaborateurs en France et à l'international, la société de services informatiques née de la fusion, en janvier 2010 , entre Teamlog et Sylis, intégrera, en parallèle, 400 personnes au niveau groupe dans le courant de l'année.

Illustration : implantations du Groupe Open (crédit photo : site web open-group)


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(17/05/2010 12:21:51)

IBM inaugure un laboratoire dédié à Power7

Ce centre d'étude focalisera ses travaux sur les Power System d'IBM, notamment leur optimisation, la sécurisation, ainsi que la virtualisation des logiciels à destination des datacenters. Il devrait également s'occuper de projets pour les clients internationaux et locaux. Pour Big Blue, cet investissement constitue une étape supplémentaire autour de ce même sujet. Il a en effet déployé des centres d'industrialisation et de développement dédiés aux logiciels et au stockage à Mexico et à New York.

Les ingénieurs du laboratoire de Manchester ont déjà développé IBM Power VM Lx86 pour les systèmes Power, un outil qui accompagne les clients dans la consolidation de leurs applications basées sur Linux. En parrallèle, ils ont travaillé aussi sur un projet améliorant l'optimisation des systèmes. D'autres chercheurs ont créé ce qu'IBM appelle « intelligent system tuning » qui donne la possibilité d'allouer automatiquement des ressources, comme de la mémoire ou de la puissance de calcul aux différentes charges de travail.

Le centre de recherche est relié à un datacenter qui dispose de plusieurs serveurs System, équipés de puces Power, qui serviront pendant les phases de tests et de développement. A noter qu'une majorité des ingénieurs de cette entité est issue d'une société Transitive, acquise en 2009 par IBM.

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(17/05/2010 11:28:51)

Acer en tête des ventes d'ordinateurs en Europe et en France

18,05 millions d'ordinateurs ont été vendus en Europe de l'Ouest au cours du premier trimestre 2010, soit une hausse de 19% par rapport à la même période un an plus tôt. Selon l'analyste Gartner, Acer prend la place de numéro des ventes devant HP et Dell.

Avec 4,21 millions d'unités vendues au premier trimestre 2010, Acer occupe désormais la première place des constructeurs, devant HP (4,08 millions) et Dell (1,81 millions). Par rapport au premier trimestre 2009, Acer a vu ses ventes croître de 43,8%. Mais la meilleure performance est à mettre au crédit de Asus dont les ventes ont progressé de 96,4%, pour atteindre 1,43 millions d'ordinateurs acquis, révèle les chiffres de l'étude.

En France, la hausse des ventes est de 31%, avec 3,1 millions d'unités vendues durant le premier trimestre. Acer occupe également la tête des ventes, devant HP et Asus. Selon Gartner, 69% des ventes d'ordinateurs dans l'hexagone sont des PC portables, dont 19% sont des netbooks.

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(17/05/2010 10:44:02)

Le port MicroSD au secours du paiement sans contact

Le développement de nouveaux téléphones mobiles équipés de la puce NFC (Near Field Communication), nécessaire au paiement sans contact, étant trop coûteux, les fabricants de portables pourraient avoir recours au port MicroSD, équipant la plupart des terminaux. Selon ABIresearch, cette alternative ouvrirait de nouveaux horizons pour l'application de paiement mobile.

Le développement d'appareils équipés nativement d'une puce NFC serait plus cher que de concevoir par exemple des puces au format MicroSD qui s'inséreraient dans le port du terminal mobile. Les composants sans contact pourraient tout simplement "se coller" sur une carte mémoire, précise la société d'études.Cette perspective simplifierait l'adoption du paiement sans contact auprès des consommateurs, multiplierait les possibilités pour les acteurs du marché susceptibles d'utiliser cette technologie (banques, commerces, etc.), et permettrait aux fabricants de téléphones mobiles ainsi qu'aux opérateurs de se lancer plus rapidement sur ce marché porteur. (...)

(17/05/2010 09:54:30)

Bouygues Telecom, une exception à la crise

(Source EuroTMT) Alors que les quatre principaux opérateurs français ont maintenant publié leurs chiffres pour le premier trimestre 2010, un constat s'impose, Bouygues Telecom garde la forme. Depuis un an et le lancement de son offre quadruple-play, l'opérateur a retrouvé une nouvelle jeunesse, se traduisant par un gain constant de parts de marché, tant dans le DSL que dans le mobile.

En revanche, la lecture, un peu trop rapide, du communiqué de Vivendi sur les performances de ses filiales au premier trimestre 2010 a pu faire croire que tout allait bien pour SFR. Mais c'était oublier que le groupe de communications ne communique plus sur les chiffres d'abonnés globaux de sa filiale télécoms, mais seulement sur l'évolution du parc d'abonnés au forfait. Corrigé de l'évolution du parc d'abonnés prépayés, le nombre d'abonnés mobile du principal opérateur alternatif s'est inscrit en baisse au premier trimestre. Revue de détails par marché.

Haut débit : essoufflement de la croissance

L'année 2009 a été marquée par une forte progression du marché du haut débit. Les accès DSL ont augmenté de 1,696 million d'abonnés, dont 505 000 durant le premier trimestre de 2009. Comparativement, le début de l'année 2010 enregistre un essoufflement de la croissance. Compte tenu des annonces faites par les quatre principaux opérateurs, on peut évaluer la croissance nette du marché au premier trimestre de 2010 autour de 320 000 abonnés.

La principale surprise est venue de France Télécom. L'opérateur historique affiche un petit gain de 57 000 nouveaux clients, retombés à 4 000 après le nettoyage de sa base d'abonnés. C'est une très faible performance que l'opérateur a expliquée comme la conséquence de l'arrêt de ses offres promotionnelles. Mais France Télécom promet une amélioration de sa situation dès que ces nouvelles offres, notamment quadruple-play, seront lancées. Autre perdant du trimestre, Iliad. Malgré un niveau de prises d'abonnements correct chez Free, la poursuite de désabonnement chez Alice a réduit la performance globale du FAI à 48 000 nouveaux clients.

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La conséquence directe est que SFR, qui a consolidé sa première place dans la croissance trimestrielle, lui a soufflé la deuxième place des FAI. Enfin, Bouygues Telecom, pas encore touché par le churn (taux de désabonnement), enregistre aussi une très bonne performance avec 117 000 nouveaux clients.

Téléphonie mobile : la purge

La publication par l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes) de son observatoire du premier trimestre avait déjà donné le ton. Pour la première fois depuis bien longtemps, le marché avait perdu 5 000 abonnés à fin mars 2010. Un recul qui s'expliquait par la forte contraction du marché des clients prépayés (617 000), malgré la forte progression du parc d'abonnés au forfait (612 000).

Déjà durant toute l'année 2009, les opérateurs mobiles avaient pris l'habitude de purger tous les six mois leur parc d'abonnés prépayés. Un phénomène qui a touché les deux principaux opérateurs mobiles qui voient leur parc global respectif diminuer de 173 000 pour Orange et de 31 000 pour SFR. En revanche, Bouygues Telecom, qui a aussi nettoyé sa base d'abonnés prépayés, affiche un gain net, rendu possible par une forte progression de sa clientèle au forfait. Sa part de marché trimestrielle dans ce segment s'inscrit à 24 %, un niveau supérieur de près de 8 points à sa part de marché globale.

Autre enseignement du trimestre, la confirmation de l'accélération de la croissance des MVNO (Mobile Virtual Network Operator). Globalement, les opérateurs virtuels ont enregistré un gain de 114 700 abonnés, contre 72 100 au premier trimestre 2009, à 3,6 millions de clients et leur part de marché atteint maintenant 6,15 %.

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(17/05/2010 10:04:46)

CA World'10: l'éditeur se rebaptise CA Technologies (MAJ)

Après Computer Associates et CA, l'éditeur répond désormais au nom de CA Technologies, une petite mise à jour sémantique qui entend bien capitaliser sur l'évolution de la société comme fournisseurs de solutions d'administration et de sécurité pour les systèmes d'information classiques et dans le cloud.

L'activité antivirus a par exemple été filialisée et l'avenir semble aujourd'hui passer par le cloud. Avec les solutions pour mainframes, c'est en effet un des principaux focus de l'éditeur durant cette semaine. David Hodgson, vice-président en charge du cloud chez CA Technologies, a par exemple mis en avant un site web maison autour de ces solutions (www.cloudcommons.com) qui a pour ambition de fédérer les contributions des spécialistes maison, des analystes et des partenaires.Laura Mc Cluer, responsable chez CA Technologies, du programme Cloud Community  précise que les membres peuvent même échanger des informations et mêmes des notes sur les 3000 fournisseurs de services cloud sur le marché. « Des appréciations qui pourront être objectives avec des étoiles ou subjectives sous la forme de commentaires. »
En complément l'éditeur met également en avant SMI (Service Management Index) une plate-forme permettant de benchmarker les solutions du marché (3 000 à ce jour selon David Hodgson). Pour déterminer par exemple quel service de messagerie hébergé est le mieux adapté  aux besoins de son entreprise.

Terminons tout de même par le principal événement de ce dimanche 16 mai, la conférence d'ouverture de CA World 10 avec Bob McCracken, le CEO de la société. Sans surprise, l'ancien cadre d'IBM a mis l'accent sur les changements attendus dans les systèmes d'information des entreprises. Le cloud computing est bien évidemment « le nouveau point d'inflexion de l'industrie IT. (...) Quand les choses changent, nous devons changer. Il faut bouger vers la virtualisation, aller vers le cloud, changer les modèles de coûts». Depuis  plusieurs mois, la société occupe le marché et sensibilise ses clients et ses partenaires à cette évolution radicale, avec les sessions de sa Cloud Academy, ses études sur la sécurité des infrastructures dans les nuages ou la perte d'informations. Le dirigeant décrit également sa vision du marché : "Beaucoup de gens continuent de se demander si le cloud va vraiment se répandre. Je leur dis que non; je ne pense pas que le cloud est train de s'imposer. Je sais déjà qu'il va s'imposer puisqu'il est déjà très présent. La virtualisation et le cloud computing vont obliger les entreprises à s'adapter rapidement pour répondre aux demandes du marché et des clients. Nous sommes là pour aider nos clients à acquérir la compétitivité supplémentaire qui leur donnera un avantage supplémentaire pour passer les caps difficiles". Plusieurs rachats significatifs comme Nimsoft, NetQoS et 3tera ont également permis à l'éditeur de générer une partie de ses revenus sur des activités qui ne sont pas liées aux mainframes. Jusqu'à un tiers des 4,3 milliards du chiffre d'affaires réalisé sur le précédent exercice selon un responsable de CA. Le CEO de la compagnie précise encore que des acquisitions se feront encore en 2010 : "nous n'achetons pas de la croissance, mais j'essaie d'acquérir les technologies qui nous permettront  de poursuivre notre croissance."

Au sujet du changement de nom de la société, Bill McCracken a eu le dernier mot en racontant une petite anecdote. C'est en effet après avoir constaté qu'en tapant CA dans le moteur de recherche de Google, il obtenait Californie (CA aux Etats-Unis) qu'il a décidé de modifier le nom de la compagnie. Il aurait également pu trouver Canada, Cocaine Anonymous, Crédit Agricole ou encore chiffre d'affaires. Si le nom CA Software a été un moment envisagé selon un cadre de l'éditeur, c'est finalement CA Technologies qui a remporté les suffrages. Un choix curieux car l'acronyme donne CAT, un célèbre fabricant d'engins de travaux ou la cellule de lutte antiterroriste dans la série "24 heures". Un changement de nom qui couterait à l'éditeur de 50 à 70 millions de dollars. CA Technologies devrait également augmenter de 50% son budget marketing (jusqu'à 200 millions de dollars en 2010 donc) pour mieux faire connaître ses ambitions dans le cloud.

 

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