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(22/04/2010 14:26:56)

IBM dévoile ses dernières solutions de stockage

Du fait de l'essor considérable des capteurs et des appareils en tout genre pour transmettre de l'information numérique, la quantité de données au niveau mondial dépasse déjà largement l'espace de stockage disponible. A tel point que la demande des entreprises en capacité de stockage devrait augmenter de plus de 43% par an entre 2008 et 2013.

Le système de stockage sur disque IBM DS8700 inclut désormais la fonctionnalité System Storage Easy Tier, s'appuiyant sur un logiciel de contrôle du rendement ou sur la technologie de hiérarchisation des données, laquelle permet de déplacer uniquement les data les plus actifs vers les disques SSD plus rapides. Cette solution écarte l'intervention manuelle pour gérer les règles en matière de stockage, comme la diminution du nombre de disques Fiber Channel ou SAS haut de gamme, pour réduire les coûts et dont on limite souvent la charge en vue d'accroître la performance. Cette méthode appelée « short stroking » met en oeuvre de multiples disques durs en confinant l'accès de la tête de lecture / écriture aux seuls secteurs extérieurs des plateaux de manière à accélérer le débit des données. Mais elle laisse une grande partie de la capacité du disque inutilisée. Comparativement, un seul SSD peut produire jusqu'à 16 000 opérations d'entrées/sorties par seconde (I/OPS) contre 200 I/OPS au maximum pour un disque Fiber Channel haut de gamme tournant à 15 000 tours/min.

IBM propose également un périphérique à bande pour stocker des données non structurées selon le processus Long Term File System (rétention à long-terme), lequel utilise le récent lecteur à bande LTO Ultrium Generation 5 offrant jusqu'à 1,5 To de capacité de stockage, ou 3 To avec compression, soit le double de la capacité des disques à bande LTO-4. Les lecteurs à bande LTO-5 permettent aussi le cryptage au niveau matériel et offrent une vitesse d'écriture de 280 Mbits/s, le double des lecteurs LTO-4.

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L'équipementier indique que le procédé, Long Term File System, est adapté au stockage des contenus générés par certaines entreprises, comme l'industrie du divertissement, de la surveillance médicale et numérique.

Des économies sur plusieurs angles

Thought Equity Motion, un producteur de contenu vidéo qui a servi de beta-testeur pour la solution proposée par Big Blue, a pu constater que cette technologie était moins coûteuse pour l'archivage de ses contenus. L'entreprise dit même avoir réalisé des économies à ses clients médias « en assurant la mise à disposition auprès des producteurs et des diffuseurs de leurs informations, des résultats sportifs, des divertissements ou toutes autres créations » déclare Mark Lemmons, CTO de Thought Equity Motion. « Ce type de médias nécessite un important besoin de stockage et nous sommes à la recherche de moyens de conservation des contenus de nos clients en toute sécurité et à un prix abordable. Le service Long Term File System d'BM s'est avéré plus simple et moins coûteux ».

Le géant de l'informatique a également fait savoir qu'elle allait également ajouter une fonction de réplication « many-to-one » à son équipement de déduplication ProtecTIER, qui donnera aux multiples centres de données ou aux bureaux distants, la possibilité de dupliquer les données à sauvegarder dans un espace physique unique. « Grâce à la déduplication des données, ProtecTIER optimise la réduction de la bande passante nécessaire pour transmettre les données d'au moins 95% » souligne IBM qui indique aussi que la dernière version de son logiciel Tivoli Storage Manager peut être utilisée pour collecter, gérer et récupérer les données stockées sur ProtecTIER.

En outre, le constructeur informatique a annoncé la dernière version de son système de stockage XIV, une baie basée sur une architecture de type grid. Enfin, il double la capacité de stockage du réseau physique en proposant des disques SATA 2 To équipés de processeurs de plus faible tension, une manière de réduire aussi, selon le constructeur, la consommation électrique en usage de pointe de près de 59%.

(...)

(22/04/2010 12:33:53)

SAP rachète TechniData, spécialiste de la gestion des risques

Avec le rachat de TechniData, c'est un partenaire de quinze ans que SAP accueille au sein de son groupe. C'est en effet avec ce spécialiste des solutions de gestion des risques accidentels et sanitaires que SAP a développé son offre SAP EHS (Environment, Health and Safety) qui s'intègre de façon native avec sa suite de gestion, la Business Suite. Ces logiciels servent notamment à se mettre en conformité avec la réglementation Reach (registration, evaluation and autorisation of chemicals) qui s'applique à l'enregistrement des substances chimiques utilisées dans les processus de fabrication industrielle des produits.

Une démarche de développement durable

L'an dernier, SAP avait déjà manifesté sur plusieurs axes sa volonté de s'engager sur le terrain du développement durable, à la fois en complétant son offre de solutions spécifiques et en agissant lui-même en interne pour réduire son empreinte carbone. En quelques mois, le groupe avait notamment racheté Clear Standards (éditeur d'outils en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre et de gestion de la consommation d'eau), renforcé son offre SAP EHS, publié ses propres données sociales et environnementales, et nommé Peter Graf au poste de vice-président exécutif responsable du développement durable. Léo Apotheker, alors PDG du groupe, avait été l'un des moteurs de cette démarche globale.

Crédit photo illustration : site de TechniData [[page]]Collecter les données sur l'air, l'eau et les déchets

Outre ses logiciels de gestion de la sécurité sanitaire (Health & Safety) et de la sécurité appliquée aux produits (Product Safety & Stewardship), TechniData a développé avec son offre Environmental Performance (EP) une solution de suivi des émissions polluantes et de collecte de données sur l'air, l'eau et les déchets.

Ses produits couvrent les exigences de nombreux secteurs industriels : l'aéronautique et la défense, l'automobile, la chimie/pharmacie, les biens de consommation, la high-tech, les industries minières, la pétrochimie et l'agro-alimentaire, mais également le secteur public, les transports, la fourniture d'énergie et la distribution.

Le montant déboursé par SAP pour l'acquisition de la société n'a pas été communiqué. Fondée en 1985 et située à Markdorf, près du lac de Constance, TechniData est dirigée par Juergen Schwab et compte environ 500 collaborateurs. Elle a constitué une base installée de plus de 1 600 clients qui rassemble quelque 6 000 utilisateurs de ses logiciels.

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(22/04/2010 11:10:27)

Trimestriels EMC : des résultats historiques

EMC suit la tendance de ses concurrents pour qui le marché du stockage a retrouvé des couleurs l'année dernière. IBM a par exemple annoncé que cette activité avait progressé de 11% avec des fortes commandes à venir.

Le groupe affiche des revenus en hausse de 23% pour atteindre 3,9 milliards de dollars au premier trimestre 2010. Les bénéfices ressortent à 373 millions de dollars soit une progression de 92% sur un an. La société dispose d'une trésorerie estimée à 1,3 milliards de dollars. Les résultats trimestriels ont été portés par ceux de la filiale VMware annoncés hier.

Joe Tucci, PDG d'EMC a indiqué « nous avons réalisé un très beau début d'année, qui devient le meilleur résultat du 1er trimestre dans l'histoire de la société » et d'ajouter « nous sommes confiants dans notre volonté de devenir leader de la prochaine vague de l'I, en maintenant sur le long terme une croissance de notre revenu à deux chiffres en continuant de prendre des parts de marché ».

Les perspectives semblent bonnes, car les dirigeants envisagent un chiffre d'affaires pour 2010 de 16,5 milliards de dollars.

Illustration : Joe Tucci, PDG d'EMC (Crédit photo : DR)

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(22/04/2010 09:42:02)

STS Group acquiert Deal IT, spécialiste de la location informatique

A peine a-t-il redressé Risc Group, que l'éditeur STS Group prend le contrôle d'un loueur informatique : Deal IT. La situation est aux antipodes, Deal It est une société saine qui a réalisé 12 millions d'euros de chiffre d'affaires lors de son dernier exercice clos  le 30 septembre dernier, avec 150 000 euros de bénéfice net. Deal IT devient une filiale de STS Group, ses offres de financement seront complémentaires des offres de Risc, c'est la raison du rachat.

Les dirigeants de STS ne débarquent pas en terre inconnue.  Le Pdg lui-même, Bertrand Calvignac,  est un ancien de ECS et d'Econocom . Le nouveau président de Deal It, Alain Blaise a évolué chez Arius (groupe BNP Paribas) et dirige les activités de STS au Bénélux ainsi que la partie Business partners de Risc Group, celle des ventes en indirect.Outre cette connaissance du métier de la location informatique, STS Group estime que le financement devient une partie essentielle de l'activité du logiciel. Financer permet d'étaler les paiements, c'est également un moyen de passer au Saas et de conforter la vente et le partenaire en indirect.  Intégrer cette activité évite également, tout simplement, de la confier à des tiers.

Ce rachat est donc complémentaire de celui de Risc Group et va prendre tout son sens avec la réorganisation de cette société opérée en quelques semaines par STS.  Risc est désormais déployé en trois activités qui pourront toutes faire appel à Deal IT : Inbox (la sauvegarde pour TPE-PME de moins de 100 postes) qui pourra en totalité recourir aux activités de financement, IT Solutions (dédiée aux moyens et grands comptes et introduite en bourse) dont les ventes pourront être re-finançables, business partners (ex MonDsi) qui fait appel à plus de 300 partenaires, potentiellement intéressés par le financement. (...)

(22/04/2010 09:36:17)

Les logiciels d'infrastructures et middleware subissent la crise

Le cabinet Gartner souligne dans son étude la faible progression du marché AIM en 2009, mais remarque également sa bonne tenue par rapport aux autres segments du logiciel.  "Tout bien considéré, en 2009, le marché AIM obtient de meilleurs résultats que la plupart des segments des logiciels", estime Fabrizio Biscotti, directeur de recherche chez Gartner.

Le cabinet souligne également, à l'intérieur du vaste marché de l'AIM, la bonne tenue de deux secteurs : la SOA (architecture orientée services) et le BPM (gestion des processus métier). Ces deux secteurs ont joué le rôle de conducteurs. Au total, le Gartner a divisé l'AIM en 12 segments, 4 ont connu une croissance à deux chiffres : les technologies de gouvernance SOA, le middleware orientés messages, les boîtiers AIM et les suites BPM.

Côté fournisseurs, le groupe d'analyses relève également une grande différence par rapport à 2008. Cette année là, le secteur avait connu une forte recomposition, donc avant la crise. Le secteur étant stabilisé, la crise évacuée, la demande sera au rendez-vous et permettra au marché de repartir fortement. C'est maintenant un secteur très concentré.

IBM et Oracle écrasent le marché


Le « top 5 » des fournisseurs représente en effet 58% du marché (en 2009). IBM reste n°1 avec 31% de parts de marché et une croissance de 8,1% entre 2008 et 2009. Oracle le suit de très loin, 16,7% des parts, mais avec une spectaculaire progression de 29,2%. Derrière, on retrouve Microsoft (3,9% du marché, 9,6% de progression), Software AG (3% des parts et 9,1% de progression), Tibco (2,6% du marché et un recul de 1,2%).

En dehors de ce « top 5 » toutefois, le Gartner prédit de fortes recompositions. La SOA est encore un segment de marché composé de petits acteurs « ce qui implique qu'il a des chances d'être en voie de consolidation dans un proche avenir, avec des produits plus larges englobées dans les suites de gouvernance", estime Teresa Jones, analyste principal chez Gartner. D'autres sous-segments devraient subir le même sort, le cabinet d'étude cite : la messagerie de latence (LLM), la gestion de transfert de fichiers (MFT), le traitement des transactions extrêmes (XTP), le traitement d'événements complexes (CEP), et l'analyse des processus métier (BPA). (...)

(22/04/2010 09:27:27)

Quid des protections des données dans le cloud ?

Le CIL (Correspondant Informatique et Libertés) devient une fonction clé de l'entreprise lorsque celle-ci décide de passer au cloud. C'est un des enseignements majeurs d'une conférence organisée par EuroCloud, le mardi 20 avril à la CCI de Paris. Elle aura vu l'intervention de Bruno Rasle, directeur général de l'AFCDP (Association Française des Correspondants aux Données Personnelles), et de Sylvain Lebarbier, CIL à la mutuelle AG2R. L'évènement aura également été l'occasion de rappeler les missions du ce métier particulier dans l'entreprise, un poste qui n'est manifestement pas de tout repos.

Le développement du cloud externe implique effectivement que les entreprises ne stockent plus l'ensemble de leurs données sur leurs propres serveurs mais s'en remettent à un prestataire. Les données peuvent être délocalisées dans un autre pays hors UE. Les utilisateurs sont réticents lorsqu'il s'agit de transférer leurs données à un prestataire, mais la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés) dispose de sérieux garde-fous juridiques sur ce sujet.

Afin que le cloud ne soit pas synonyme de mauvaise utilisation des données, le CIL a pour mission de vérifier la conformité réglementaire des usages et d'en limiter le risque juridique. Ce responsable doit s'assurer du respect de la réglementation établie par la loi informatique et libertés réformée en 2004, dont la CNIL vérifie l'application. Car en cas de violation, l'entreprise est passible de sanctions financières ou peut voir son système de traitement de données suspendu. Comme le précise Bruno Rasle « la CNIL a gagné en pouvoir de contrôle et l'on ne peut s'y opposer ».

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Selon l'autorité administrative indépendante, il revient au CIL de déployer des mesures de protection appropriées, même si le risque pénal est porté par le responsable de traitement (PDG ou, par délégation, DSI, DAF...). Elle ajoute qu' « il doit se concentrer sur deux dimensions différentes de la protection des données, à savoir la sécurité des données personnelles et les flux de données transfrontaliers ». Ainsi, lors de la nomination d'un CIL, tous les projets informatiques, qu'ils soient anciens ou en cours de déploiement sont soumis au contrôle de conformité. Sylvain Lebarbier, CIL d'AG2R insiste pour sa part : « aucun projet n'est mis en oeuvre sans notre accord ».

Des compétences bien précises

Au quotidien, le responsable analyse quatre problématiques majeures : les formalités et les déclarations à remplir auprès de la CNIL, le consentement des différents métiers pour l'utilisation des données, la sécurité notamment concernant les données transmises à un tiers avant la signature d'un contrat, ainsi que la finalité d'un projet. Il relève malgré tout quelques problèmes relatifs à l'exercice des fonctions de CIL. Il déplore que l'on dise que le CIL « fait perdre du temps ». Cette profession est encore trop méconnue, est souvent mal comprise. « Généralement les entreprises pensent qu'elles ont un CIL or souvent elles n'ont qu'un juriste » complète-t-il. Il ajoute que pour veiller au mieux au respect des règles de conformité, il doit s'en remettre régulièrement aux différents métiers et plus particulièrement aux services informatiques pour leur poser des questions précises.

Malheureusement, dans la plupart des cas, la réponse est « je ne sais pas ». A ces problèmes, se mêle en plus une dimension managériale. En effet, lorsque le projet ne semble pas satisfaire à la réglementation, le CIL peut en bloquer la mise en place. Sylvain Lebarbier insiste, « le CIL est l'allié de l'entreprise mais il n'hésitera pas à remettre un projet en question s'il y a un problème de conformité ». Il justifie cette démarche par le fait que « pour être un facteur de confiance, le CIL doit faire figure d'autorité ». Aujourd'hui, la France compte 1 800 correspondants informatique et libertés. Et même si ce nombre tend à s'accroître, la profession peine à recruter car elle nécessite d'avoir des connaissances à la fois juridiques, techniques et sectorielles, et de comprendre le fonctionnement ainsi que les enjeux des différents métiers qui composent l'entreprise. Pour y remédier, des formations spécialisées commencent à se déployer en France et à l'étranger. (...)

(21/04/2010 16:16:56)

Le site d'emploi ITProfil.com change de main

ITProfil.com, portail de recrutement spécialisé dans les profils informatiques, annonce son changement de propriétaire. Auparavant dirigé par Damien Particelli, PDG de l'éditeur de logiciels de CRM en mode SaaS Ogmyos, le site devient à compter de ce jour une marque de la société de portage salarial Posicom, et sera désormais dirigé par Laurent Molinari.

Outre une offre de services orientés vers les candidats autour du portage salarial, de la formation professionnelle, et un espace dédié au recruteur pour effectuer ses commandes en ligne, ITProfil.com envisage de mettre à disposition de ses clients un système de dépôt d'annonces qui devrait permettre d'optimiser les coûts de recrutement et d'abonnement au service. Bientôt mis à disposition, ce service de facturation  est, pour l'heure, en phase de test auprès de quelques clients.

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