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(07/04/2010 14:57:19)
Un partisan de l'Open Source entre dans la bataille antitrust contre IBM
Florian Mueller a demandé, dans une note publiée sur son blog, à l'exécutif bruxellois de prendre des mesures contre IBM. La Commission examine actuellement plusieurs plaintes sur le comportement de Big Blue sur le marché des mainframes. Le point litigieux concerne l'utilisation de brevets pour protéger ses propres technologies qui sont dupliquées par d'autres. La dernière plainte date du mois dernier et concerne l'éditeur français TurboHercules.
Florian Mueller a publié une lettre, datée du 11 mars, du CTO d'IBM, Mark Anzani, au président de TurboHercules, Roger Bowler, avertissant qu'IBM défendra ses droits si le jeune éditeur les utilisent sans sa permission. « Votre produit émule une partie significative des instructions propriétaires d'IBM dans la création des architectures logicielles et IBM détient plusieurs brevets en la matière, que vous avez violés » explique Mark Anzani. Et ce dernier de lister 106 brevets qui auraient été utilisés frauduleusement par TurboHercules. Le développeur constate qu'au sein de cette liste, 2 brevets, ont été déposés il y a 5 ans, date à laquelle IBM avait promis à la communauté Open Source qu'il ne ferait pas valoir ses droits de propriétés intellectuelles sur un large panel de ses brevets. « Cette trahison est incroyable, mais je ne croyais pas en la sincérité d'IBM sur cet engagement » déclare le bloggeur.
Un coup téléguidé ?
Le géant de l'informatique n'était pas disponible pour commenter les propos du lobbyiste. Un porte-parole du groupe a simplement indiqué se pencher sur ces accusations. Certaines personnes considèrent toutefois que cette action de Florian Mueller vise à le relancer sur la scène européenne, après l'échec de son recours contre la fusion Oracle-Sun. De la même façon, certains émettent des doutes sur sa légitimité à parler au nom des développeurs de logiciel libre.
Enfin, Thomas Vinje, fondateur de ECIS, (European Committee For Interoperable Systems), qui comprend IBM comme membre, souligne que « Microsoft est derrière la plupart des plaintes anticoncurrentielles contre IBM et Mueller pourrait être lié à Microsoft, car ils ont joint leurs forces pour s'opposer à l'opération Oracle-Sun, qui au final a été approuvée par la Commission européenne ».
Entretien Jean-Marie Simon, DRH groupe d'Atos Origin : retour sur le mouvement social
La rédaction : la question des salaires semble provoquer une vague de colère chez Atos Origin. Près de 3 000 salariés ont notamment participé à la grève du 4 mars pour dénoncer la politique salariale. Comment expliquez-vous l'ampleur de ce mouvement ?
Il ne faut pas faire d'amalgame. Tout d'abord, je qualifierai la mobilisation du 4 mars de modeste. En effet, il s'agissait de 2 200 grévistes, soit seulement 15% de l'effectif du groupe, et non pas de 3 000 manifestants, chiffre mentionné par les syndicats. De plus, afin d'instaurer un climat de confiance, nous avons communiqué sur la question salariale le soir même. Enfin, le mouvement du 1er avril, qui s'est traduit en grande majorité par des assemblées générales organisées à l'heure du déjeuner, ne peut être assimilé à une grève en aucune façon.
La suite de l'entretien est à suivre ici
(...)
La solution Sybase Afaria bientôt compatible avec l'iPad et les GooglePhones
Prévu pour le mois de mai, le pack destiné à la version actuelle d'Afaria mettra à jour ces fonctionnalités et « étendra le contrôle à l'iPad », a déclaré Mark Jordan, chef de produit senior de Afaria. Ce dernier leur permettra notamment de traiter la réinitialisation des mots de passe, la gestion des applications, la configuration de périphériques à distance et éventuellement la mise hors d'état de fonctionner d'un appareil perdu par un employé. Mark Jordan fait également remarquer que cette mise à jour destinée à ajouter le support pour l'iPad n'avait pas demandé beaucoup d'efforts à Sybase, dans la mesure où Afaria était déjà compatible avec l'iPhone. « Jusqu'à présent, la politique d'Apple en matière de gestion de ces dispositifs est assez cohérente, » a t-il ajouté.
Bien que principalement conçu pour l'usage personnel, l'iPad est perçu par les fournisseurs de logiciels professionnels comme un dispositif potentiellement utilisable dans le monde de l'entreprise. Mark Jordan a ainsi déclaré que l'appareil pourrait très bien s'intégrer dans l'organisation du travail des centres médicaux, où médecins et infirmières ne cessent d'aller et venir vers leurs postes fixes. Léger, facile à utiliser, et relativement bon marché, l'iPad pourrait servir de poste mobile pour accéder aux dossiers et traiter l'information. « Comme pour l'iPhone, Apple ouvrira l'iPad aux applications professionnelles. Après s'être fait enregistrer auprès d'Apple, l'entreprise disposera d'une signature numérique pour installer son application - via une connexion filaire - qui pourra ensuite être exécutée sur l'appareil en question, » a déclaré Mark Jordan. Sybase n'est pas le seul à adapter ses produits pour l'iPad. Citrix propose désormais des versions de son client Receiver et de son logiciel GoToMeeting compatibles avec l'iPad.
En plus du support pour l'iPad, le nouveau pack de Afaria comprendra quelques fonctions de gestion pour les appareils tournant sous Android, notamment la gestion centralisée des mots de passe et la possibilité de « tuer » un périphérique à distance. Mark Jordan a admis que le contrôle de Google Android est plus aléatoire que celui de l'iPad d'Apple. En effet, pour accéder aux fonctionnalités de gestion professionnelles, Afaria ne peut fonctionner qu'avec des appareils entièrement compatibles avec les spécifications de Google. « Les fabricants d'unités portables ont le choix d'implémenter ou non certaines fonctionnalités. En ce qui nous concerne, nous utilisons une approche basée sur des standards. Si les fabricants se conforment à ces standards, Afaria sera compatible avec leurs produits, » a dit Mark Jordan.
Interview Pat Gelsinger, Président d'EMC : Une vision fédérative du partage de stockage
La rédaction : Lors d'une conférence, vous avez attiré l'attention de plusieurs personnes en esquissant votre vision de la fédération des données. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Pat Gelsinger : Par analogie, il faut regarder ce qui se déroule avec la virtualisation des serveurs. Premièrement, vous consolidez l'ensemble des serveurs sur une seule structure matérielle. Dans un deuxième temps, vous regroupez les serveurs à travers une solution de type VMotion et l'allocation dynamique des ressources (DRS) pour former des pools de compétences. Mais pour pousser les machines virtuelles sur des longues distances, vous êtes bloqués par des éléments physiques, car il est très difficile de faire transiter 1 To de données à travers un réseau.
La suite de l'entretien est à suivre ici
(...)(07/04/2010 11:39:59)Cisco adopte les Xeon 7500 d'Intel
1. Une lame serveur sur base Intel x7500 Nehalem-EX
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La lame UCS B440 M1 (en illustrtation) et les serveurs en rack UCS C460 M1 utilisent la gamme processeur Xeon 7500 d'Intel et seront disponibles cet été. Ces machines utilisent l'architecture FEXlink de Cisco qui permet d'étendre la commutation au plus près du rack de serveurs. Cela assure une multiplication par quatre de la bande passante, soit 160 Gbit/s, par rapport à la première génération de serveurs UCS. Cette série accroit également de 50% la bande passante en Fibre Channel et multiplie par 4 la capacité de calcul grâce aux puces Intel.
2. Deux commutateurs pour centre informatique unifié
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Cisco propose deux extensions pour le réseau - les commutateurs modèles 2232 et 2248 - afin de répondre à des besoins, soit supérieurs soit inférieurs en bande passante par rapport à la première génération du Nexus 2148 qui exploitait le Gigabit Ethernet.
Le modèle 2232 fournit 32 ports à 10 Gbit/s pour du Fibre Channel sur Ehernet afin de connecter des serveurs à des commutateurs Nexus 5000. Quant au modèle 2248, il fournit 48 ports à 10/100 Mbit/s.
3. Un commutateur SAN à 8 Gbit/s
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Le modèle MDS 9148 étend le commutateur SAN Fibre Channel de Cisco à 8 Gbit/s dans une configuration fixe de 1U. Il complète les modules Fibre Channel 8 Gbit/s pour le châssis MDS 9500. Il dope ainsi la commutation Fibre Channel au-delà des débits du MDS, c'est à dire le 1 Gbit/s, le 2 Gbit/s et le 4 Gbit/s.
4. Une appliance de services virtuels
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Le Nexus 1010 est une appliance de services virtuels. Elle est destinée à améliorer la montée en charge du commutateur virtuel Nexus 1000V. Elle réalise également l'analyse du réseau et le monitoring des services virtuels provisionnés sur des équipements d'origine Cisco dans un centre informatique.
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Nokia revient sur le marché des tablettes Internet (MAJ)
Selon de nombreux médias américains, Nokia se prépare à renouveler sa tablette Internet tactile. Par le passé, le finlandais avait en effet déjà essayé de lancer des ardoises électroniques dépourvues de fonctions téléphonie, les N770, N800 et N810 animés par une distribution Linux. Lourds, encombrants et pas vraiment multimédia, ces produits n'avaient jamais trouvé leur public. Comme pour les smartphones hier, Apple a réussi à faire beaucoup mieux avec son iPad. Le constructeur finlandais ne proposera pas sa tablette avant l'automne, soit bien après l'iPad d'Apple ou la Slate de HP.
Récemment, la compagnie annonçait le rachat de Novarra, une société basée à Chicago qui développe un navigateur web capable d'adapter les sites web à la résolution des écrans. Une acquisition qui pourrait améliorer le confort de lecture de cette future tablette A4.
Illustration Nokia N770
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