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(26/03/2010 16:32:40)
Trimestriels 2010 : Oracle solide et confiant pour l'avenir
Confortée par la croissance de son activité logicielle, Oracle a présenté des résultats pour son troisième trimestre fiscal 2010 (clos le 28 février) montrant une hausse de 17% de son chiffre d'affaires à 6,4 milliards de dollars par rapport à l'exercice fiscal précédent. Le bénéfice est en baisse de 10% à 1,18 milliards de dollars et s'explique par l'impact de l'acquisition de Sun Microsystems. En excluant les charges exceptionnelles liées à ce rachat, le bénéfice par action progresse de 9% à 1,9 milliards de dollars ou 0,38 dollars par action. Ces résultats sont en ligne avec les attentes des analystes.
Sur les revenus issus de la vente de logiciel, qui est considéré comme un indicateur clé de la bonne santé du marché, ils augmentent de 13% à 3,3 milliards de dollars, représentant un peu plus de la moitié du chiffre d'affaires du groupe. La branche matérielle affiche un revenu de 458 millions de dollars, mais ce chiffre n'est pas représentatif et devrait progresser avec l'intégration de Sun. Charles Phillips co-président d'Oracle a expliqué qu'un produit comme l'Exadata connaît une forte demande « avec près de 400 millions de dollars de commandes prévues ».
Les perspectives sont donc au beau fixe. Pour le trimestre en cours, Oracle table sur un bond de 31 à 36% de ses ventes. « Nos prévisions sont très fortes tant dans les logiciels que dans le matériel », explique Safra Catz, co-président d'Oracle.
Une dent toujours dure envers SAP
Il est de tradition, pour les dirigeants d'Oracle, lors de la présentation des résultats, de tacler le rival de toujours SAP et celle du troisième trimestre n'a pas échappé à cette règle. Le PDG, Larry Ellison a attaqué durement la technologie de l'éditeur allemand et en particulier le langage de programmation ABAP, qui est en concurrence avec Oracle Fusion Application. En retard, cette plate-forme devrait être dévoilée au second semestre 2010. « Nous ne souhaitons pas faire l'erreur de délivrer une solution trop tôt. Sommes-nous en retard sur Fusion ? Oui nous le sommes, mais je préfère attendre que de proposer un produit pauvre » explique Larry Ellison et d'ajouter « nous allons rivaliser avec une technologie SAP vieille de 25 ans. En délivrant Fusion, nous serons très compétitifs pour devenir le numéro un des applications à la demande ».
Le grand patron est également revenu aussi sur les synergies liées à l'intégration de Sun à travers les différents produits et notamment Exadata, un serveur de stockage dédié aux bases de données Oracle. Les premières versions de cet équipement étaient réalisées en partenariat avec HP, avant de basculer sur Sun dans la deuxième version. « Il y aura d'autres produits comme l'Exadata, qui disposeront maintenant des solutions logicielles que nous vendons » annonce Ellison et de souhaiter « devenir le meilleur dans les processus à fortes demandes transactionnelles ».
(...)(26/03/2010 11:43:59)10 techno mobiles clefs selon le Gartner
C'est la reprise pour les applications mobiles tant côté entreprises qu'à destination du grand public. Parmi ces technologies, on note cependant l'absence de la réalité augmentée, qui consiste à ajouter des informations numériques sur un contenu filmé en temps réel via son smartphone. Faudra-t-il attendre encore jusqu'en 2013 ?
Pour consulter notre dossier, nous vous invitons à cliquer sur ce lien : 10 techno mobiles clefs selon le Gartner.
Photo : un concept de terminal mobile créé par Nokia (D.R.) (...)
Avec ses datacenters plus "verts", UPS compte économiser 400 000 $ par an
United Parcel Service (UPS) est un leader mondial du transport express de colis. Il annonce qu'il investira environ 1 milliard de dollars dans les technologies cette année pour améliorer l'efficacité de ses opérations, avec l'objectif de réduire ses coûts sur le long terme de plusieurs milliards. L'annonce a été faite par ses cadres exécutifs du groupe en charge des systèmes d'information mardi 23 mars. Un de ses principaux objectifs est d'améliorer la rapidité et l'efficacité de ses livraisons. Pour y parvenir, UPS équipera ses véhicules avec des capteurs qui lui permettent de recueillir des données sur la consommation de carburant, le choix des itinéraires et le temps où le moteur est au ralenti, a expliqué Dave Barnes, DSI d'UPS, lors du Forum des technologies vertes de la société à New York cette semaine.
Réduire la consommation de carburant aidera UPS non seulement de réduire les coûts, mais aussi à être plus respectueux de l'environnement. Une grande partie de coûts de l'entreprise vient du transport de colis par voie aérienne. En fait, UPS est la neuvième compagnie aérienne dans le monde et la société essaie d'économiser le carburant de ses appareils par la baisse des vitesses de vol et une meilleure planification pour éviter la duplication des liaisons.
Photo D.R
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Mais ses camions brûlent également beaucoup de carburant, et des capteurs ainsi que de la télématique embarqués pourraient économiser des millions de dollars, a indiqué Dave Barnes. UPS installe environ 200 capteurs dans ses véhicules, dans des endroits comme les freins, le moteur et à l'extérieur, pour recueillir des données et identifier comment les conducteurs pourront adapter leur conduite afin de maximiser l'efficacité énergétique. UPS veut ainsi réduire les temps d'inactivité de ses camions de livraison, chaque heure de marche au ralenti consommant un gallon de carburant, a déclaré Dave Barnes. La société installe également des GPS afin suivre les itinéraires empruntés par ses conducteurs pour livrer leurs colis.
Chaque matin, les conducteurs sont informés sur les données saisies par les capteurs et sur la manière selon laquelle ils pourraient conduire différemment afin d'économiser le carburant, dit-il. UPS veut optimiser le nombre de fois où un véhicule démarre, s'arrête, change de sens, tourne ou recule. Le matériel télématique dans les véhicules capture ...les flux de données et les envoie en temps réel vers les serveurs d'analyse. UPS essaie aussi d'améliorer les algorithmes qui analysent les données afin d'aider à réduire les coûts d'entretien du véhicule. 22 000 véhicules d'UPS seront équipés en télématique aux Etats-Unis et au Canada d'ici la fin de l'année, sur un total d'environ 95 000 véhicules de livraison, a précisé Dave Barnes.
La quantité de carburant économisée par camion de livraison peut être relativement faible, mais les économies se cumulent dans le cas d'une grande flotte. « Quand vous parlez d'environ 55 000 conducteurs sur la route, un changement apparemment léger a un impact énorme," a déclaré Nick Costides, vice-président des systèmes d'information chez UPS.
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Ces modifications permettent à UPS d'économiser environ 400 000 dollars par an, a déclaré Dave Barnes. La société procède à des investissements supplémentaires dans les nouvelles techniques de refroidissement et de dissipation. UPS investit également dans des processeurs pour serveurs plus rapides, lui permettant de consolider les serveurs existants grâce à la virtualisation, explique Nick Costides.
Cela contribue à réduire les coûts de l'énergie et réduit aussi l'encombrement dû aux serveurs. UPS a également consolidé ses petites salles de serveurs qui étaient dispersées à travers le monde. UPS possède une combinaison de serveurs x86 et de mainframes exécutant le système d'exploitation Linux.
Photo D.R
(...)(26/03/2010 11:29:32)Oracle explique les vertus de la fusion à ses clients
A l'époque du rapprochement entre HP et Compaq, nombreux étaient les clients des deux sociétés, notamment le groupe Decus, qui s'interrogeaient sur l'abandon ou la continuité de certains programmes ou produits, Tandem et Himalaya. Pour éviter ce piège, Oracle a, quelques semaines après l'approbation de la fusion par la Commission européenne, organisé un événement partenaires et clients, dans les locaux de l'activité France. Le directeur général, Pascal Dumontet, a présenté le travail commun, réalisé depuis avril 2009, date de l'annonce de la fusion avec Sun Microsystems. Si le quitus européen existe, les deux entités françaises sont encore indépendantes juridiquement. La fusion ne devrait être effective qu'au mois de juillet prochain. Ces efforts ont symboliquement transformé, jusqu'à la communication institutionnelle d'Oracle, qui change sa ligne directrice « Software. Hardware. Complete ». Elle rappelle la volonté de fournir des solutions de bout en bout, allant du stockage aux applications. Pascal Dumontet a également insisté sur les investissements dans la R&D qui sont prévus d'ici 2011 à hauteur de 4,3 milliards de dollars dont une grande partie affectée à l'intégration des technologies.
Une combinaison de valeurs
En dehors du discours commercial bien rôdé, les différentes interventions des représentants de Sun et d'Oracle ont démontré l'intégration du meilleur des deux mondes. Sue Oliva, vice-président de Sun Microsystems France souligne que « cette fusion est une suite naturelle de notre partenariat qui existait depuis plusieurs années, elle apporte aujourd'hui des réponses communes tant sur le plan commercial avec un portefeuille complet, mais également un support unique ». Alors quelle en est la traduction ? Sur la partie des équipements, Eric Bézille, ingénieur en chef chez Sun montre que les solutions matérielles vont intégrer des fonctionnalités d'optimisation des applications. Pour ce faire, les supports de stockage Flash, de type SSD devraient de plus en plus intégrer les serveurs (des annonces sont prévues le mois prochain) y compris ceux de volumes comme les x86. Cela doit répondre à la demande de plus en plus croissante de rapidité dans les transactions, mais également dans le traitement des requêtes des bases de données. Sur la partie software, pas d'inquiétude à avoir sur l'avenir de Solaris, le système d'exploitation reste « une clé de voûte » des recherches d'Oracle en gardant la spécificité Open Source et en aidant la communauté Open Solaris dans ses travaux. Solaris 10 et les évolutions d'OpenSolaris doivent arriver prochainement. Sur la partie développement, les récentes déclarations lors de l'EclipseCon démontrent l'implication d'Oracle à poursuivre les travaux sur Java et toutes ses composantes à travers le serveur d'applications Glassfish.
A l'issue des différentes présentations, les partenaires et les clients étaient plutôt rassurés, seules quelques inquiétudes sur les retards dans la fourniture de certains produits persistées, ce qui finalement était plutôt bon signe.
(...)(26/03/2010 10:31:22)ActivNetwork lève 2,5 millions d'euros
Créé en 2004, la société ActivNetworks a développé BoostEdge, une application de type Application Delivery Controller, qui permet d'accélérer et d'optimiser les flux internet. Elle concurrence ainsi des acteurs comme Cisco et F5 mais s'avère encore loin de disposer de leur notoriété. Justement, « cette levée de fonds va nous permettre de lancer des opérations de marketing et de communication autour de notre offre, explique Serge Cuesta, le président et co-fondateur d'ActivNetworks. Nous allons également entreprendre le développement de notre réseau de partenaires ». En 2010, l'entreprise compte en effet faire passer son modèle de vente à 100% en indirect. Jusqu'ici, elle disposait de partenariats avec des gros acteurs comme IBM ou encore Cap Gemini, et répondait principalement en direct à des appels entrants.
25 embauches de plus dont celle d'un responsable des partenaires
« ActivNetworks dispose d'un effectif de 14 personnes. Cette année nous serons 25 de plus, avec, notamment, le recrutement d'un responsable du développement de notre réseau de ventes indirectes », poursuit Serge Cuesta. Ce dernier sera chargé de recruter des intégrateurs, pour la plupart des spécialistes des applications et, dans une moindre mesure, des intégrateurs réseaux. L'atteinte d'une douzaine de partenaire marquerait une première étape dans le développement du réseau de distribution d'ActivNetworks.
Illustration Serge Cuesta, président. D.R.
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Annuels Aubay : Une année 2009 difficile pour la SSII
Le résultat net de la SSII française a beaucoup souffert du climat économique difficile de l'année 2009. Comparé à 2008, ses bénéfices ont ainsi chuté de 47% à près de 3,9 M€. Le résultat opérationnel se situe quant à lui à 8 M€ environ, soit un recul de 35%.
Sur l'ensemble des pays (France, Belux, Italie, péninsule ibérique) où l'entreprise est présente, sont chiffre d'affaires a baissé de 8,8% à 147,2 M€. En France, où elle réalise 41% de son activité, la décroissance des revenus s'établit à -6,5%. En Italie et dans la péninsule ibérique, les reculs des chiffres d'affaires n'ont pas été aussi contenus, atteignant respectivement -21,3% et -16,6%.
Pour l'exercice 2010, Aubay s'est fixé un objectif de croissance organique du chiffre d'affaires compris entre 5 à 7% et prévoit d'améliorer sa rentabilité.
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IDC contredit ses concurrents sur l'évolution du marché des composants en 2010
Au cours d'un séminaire qui s'est tenu à Taipei mercredi, IDC a pris le contrepied de ses concurrents. IDC estime que le chiffre d'affaires de l'industrie des semi-conducteurs devrait progresser de 16% cette année. Ses rivaux se montrent plus optimistes, Gartner prédit 20% avec un marché à 276 milliards de dollars cette année, par rapport aux 231 milliards de l'année passée. Le Crédit Suisse explique de son côté que les entreprises vont commander de nouveaux PC cette année, raison pour laquelle l'industrie des mémoires devrait repartir.
Des estimations divergentes
Autre étude et même vent d'optimisme du côté du cabinet IC Insight qui prévoyait même 27% de croissance des revenus pour les mémoires en 2010, dans une étude publiée le mois dernier. Ce cabinet prédit que le chiffre d'affaires des mémoires DRAM va augmenter de 74% cette année pour prendre la tête du rebond sur le marché de la mémoire. IDC voit aussi les DRAM comme un contributeur majeur au rebond du marché des puces, mais avec 44% de progression.
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En fait, IDC prend le problème autrement, expliquant que la demande ne sera pas totalement au rendez-vous. Certes le rebond pour les mémoires se confirme cette année, mais IDC veut modérer l'optimisme de ses confrères : la demande reviendra plus tard que prévu cette année, le chômage dans les marchés clés et la fin des plans gouvernementaux de stimulation des investissements vont ralentir la demande des particuliers.
La reconstitution des stocks dope la demande de puces
Côté entreprises, le marché des puces est à la hausse en 2010, principalement en raison de la récession mondiale qui a provoqué un ralentissement tellement tôt l'année dernière que les entreprises ont dû rattraper et réapprovisionner leurs stocks. Cette reconstitution des stocks représente environ la moitié de toutes les commandes de puces, souligne IDC. Le reste est du à la reprise, c'est plus lent que prévu et insuffisant pour prendre le relai de la reconstitution des stocks.
Globalement, IDC estime que la récession reste un problème et que la reprise sur le marché des puces ne se fera que progressivement.
Des voitures communicantes à Amsterdam
Cet essai routier, qui se tient tout autour de l'aéroport d'Amsterdam, utilise plusieurs voitures communicantes capables de communiquer entre elles et avec les infrastructures routières (panneaux de signalisation, feux, centres de gestion) afin de prévenir des accidents de la circulation. Exemple, une voiture communicante accidentée est cachée derrière un virage. Elle peut alors avertir les conducteurs d'autres véhicules communicants qu'il y a eu un accident. Des informations sur le trafic ou sur une limitation de vitesse sont également transmises à une voiture, qui peut la transférer à son tour à d'autres véhicules concernés.
"Les systèmes et les services coopératifs comme ceux de nos voitures communicantes vont apporter une réelle valeur ajoutée aux conducteurs européens", déclare Neelie Kroes, commissaire européen chargée de la stratégie numérique. "Ces systèmes contribueront à une mobilité plus sûre et plus intelligente en Europe, débouchant sur une baisse des accidents et de leur gravité ainsi qu'à une réduction de l'empreinte carbone".
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La Commission européenne indique avoir cofinancé à hauteur de 52 millions d'euros depuis 2006 trois projets en rapport avec les technologies de l'information et des communications pour les transports. Ces projets ont notamment permis de mettre au point des systèmes de localisation de véhicules en mouvement, de communication de véhicule à véhicule (V2V), et de véhicule à infrastructure routière (V2I).
Selon Bruxelles, les organismes européens de normalisation vont développer les normes nécessaires pour le V2V et le V2I. Les premières normes sont attendues d'ici la fin 2013, et l'introduction sur le marché de système de mobilité coopérative par les constructeurs et les équipementiers est "envisageable dès 2015". Daimler ou encore Volvo travaillent actuellement sur ce type de technologies communicantes. (...)
Selon Symantec, 90% des emails sont des spams
Le taux de spam dans les emails échangés dans le monde a progressé de 1,5 point entre février et mars 2010 pour s'établir au-delà de la barre des 90%, indique la société californienne. La Hongrie arrive en tête des pays les plus concernés par le spam, avec un taux de 95,7%, devant le Danemark (94,9%) et l'Italie (94,7%). A l'inverse, le taux de spam est relativement faible au Japon (87,5%) ou à Singapour (88,3%).
Par ailleurs, 36,6% des emails classés comme spam proviennent des Etats-Unis, 17,8% de Chine, 16,5% de Roumanie, 10,7% du Royaume-Uni, 10% de Taiwan et seulement 0,7% de France. Côté "tendances", le rapport indique qu'1 mail sur 358,3 échangés en mars 2010 contenait un virus. Le ratio de phishing (technique utilisée par les pirates pour obtenir des données personnelles des internautes) est quant à lui d'1 mail sur 513,7.
Enfin, le secteur le plus touché par le spam à l'échelle globale est l'ingénierie (94,7%), devant l'éducation (91,9%).
Illustration : D.R.
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Jean-Pierre Dardayrol présidera l'AFNIC
L'AFNIC (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération) gère les extensions françaises (.fr et .re, les suffixes des autres collectivités d'outre-mer en disposant n'étant pas activés*). Cet organisme était présidé depuis 2004 par Jean-Claude Gorichon. Son mandat de six ans arrivant à expiration, Jean-Pierre Dardayrol vient d'être élu pour lui succéder.
Le nouveau président a déclaré : « L'AFNIC a une activité au croisement des sujets qui me passionnent et sont la trame de ma vie professionnelle : les STIC, la délivrance de services aux entreprises et aux particuliers ainsi que la sécurité. Forte de ses succès, l'AFNIC doit poursuivre la consolidation de son rôle d'acteur du développement de l'Internet, au travers d'actions de recherche et développement, de renforcement continu des infrastructures DNS et de sensibilisation des entreprises, des collectivités et des particuliers aux enjeux liés aux noms de domaine. »
Actuellement membre du CGIET (Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies) et président suppléant de la section sécurité et risques de cet organisme administratif de conseil et d'inspection, Jean-Pierre Dardayrol a été l'un des initiateurs de la e-administration en France, en dirigeant notamment l'Atica et la MTIC, précurseurs de l'actuelle DGME (Direction générale de la modernisation de l'Etat). Jean-Pierre Dardayrol, ingénieur des Mines, a d'abord travaillé dans le monde de la recherche en logiciels temps réels puis à la planification stratégique. De 1986 à 1997, il a occupé diverses fonctions de direction à La Poste et au ministère de l'Industrie pour le secteur des communications électroniques.
Jean-Pierre Dardayrol a également été membre durant plusieurs années du jury des Trophées Entreprises et Société de l'Information organisés par Le Monde Informatique et CIO.
* Le .nc de la Nouvelle Calédonie est géré par l'Office des Postes et Telecommunications de ce territoire au statut très particulier. (...)
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