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(12/03/2010 17:24:20)
Le Parlement européen lance un avertissement sur l'ACTA
L'ACTA (Anti-Counterfeiting Trade Agreement) n'en finit pas de diviser les institutions européennes. D'un côté la Commission négocie pour le compte des Etats membres, un accord qui comprend plusieurs volets dont un sur Internet. Très secrètes, certaines propositions ont été dévoilées sur le web et notamment celles relatives à la mise en place de « riposte graduée » pour lutter contre le téléchargement illégal. De l'autre, certains organismes et le Parlement européen dénoncent l'opacité de ces négociations et les risques potentiels d'atteintes à la vie privée. Ce dernier vient de lancer un avertissement à l'exécutif européen. Une résolution demandant la transparence dans les discussions en cours a été votée par 613 députés et simplement 13 contre. Un fait rare pour une institution où le compromis prime. Le coup de semonce s'adressait particulièrement au Commissaire européen au Commerce, Karel de Gucht, en charge de ce dossier. Une parlementaire britannique, Kamall Syed, s'est interrogée « L'Union européenne va-t-elle soutenir le contrôle aux frontières des baladeurs MP3 et des ordinateurs portables ? » En complément, l'institution strasbourgeoise menace de saisir la Cour de justice des communautés européennes si un projet d'accord était signé par la Commission sans avoir été préalablement consulté. (...)
(12/03/2010 16:55:24)Décisionnel : accéder aux rapports BIRT depuis son iPhone
Les utilisateurs des outils de reporting BIRT vont pouvoir consulter leurs rapports depuis leur iPhone. L'éditeur de solutions décisionnelles Actuate, qui est à l'origine du projet Open Source BIRT -business intelligence and reporting tools- basé sur Eclipse, propose gratuitement sur l'App Store, l'outil BIRT Mobile Viewer. Ce dernier va permettre d'accéder aux rapports qui auront été stockés sur la plateforme de partage en ligne BIRT OnDemand, environnement pouvant être lui-même gratuitement testé pendant trois mois. Les contenus BIRT pourront être marqués pour s'assurer du mode d'affichage le plus adapté (portrait ou paysage) sur le terminal. On secoue l'iPhone pour revenir à l'écran d'accueil et sélectionner un nouveau rapport à explorer. (...)
(12/03/2010 16:44:27)La gestion des datacenters laisse encore à désirer selon IDC
Si la virtualisation et l'automatisation ont été à l'origine de gains en efficacité considérables dans les centres de calcul, ils ont aussi engendrés de nouveaux problèmes. Dans le rapport de recherche publié par IDC et intitulé «Améliorer la gestion des datacenters : une étude européenne 2010», on trouve un certain nombre de situations à l'origine de ces augmentations des dépenses. Il apparaît notamment qu'environ 25 % des organismes gèrent encore leurs serveurs et leurs fonctions de stockage manuellement, ce qui fait grimper les coûts, comparativement à ceux qui utilisent certains outils. On trouve aussi que seuls 14 % de ces organismes ont établi un système de gestion totalement intégré. Et pour seulement 30 % des entreprises, les coûts d'exploitation des centres de données sont une priorité, 25 % étant spécifiquement concernées par le coût des licences logicielles. Dans son rapport, IDC fait aussi remarquer que les utilisateurs finaux ont des approches différentes de la gestion des datacenters. Quelque 58 % cherchent des solutions modulaires et 42 % préfèrent une approche intégrée. Les fournisseurs doivent donc vendre des packages pour varier leur approche et répondre aux différents besoins, indique l'étude. La virtualisation a également changé la manière dont sont gérés ces centres. L'étude montre ainsi que l'intégration serveurs, le stockage et la gestion des réseaux, cités par 31 % des organismes interrogés, sont au coeur des préoccupations, même si le tableau est plus complexe. Par exemple, les datacenters de grande taille sont surtout concernés par l'unification de leur gestion physique et virtuelle alors que les sites plus petits découvrent que l'intégration de différentes technologies de virtualisation rapportée à une stratégie de gestion unique peut être essentielle. Pour Giorgio Nebuloni, chercheur en Systèmes et Infrastructure pour IDC, «les DSI sont aux prises avec les conséquences de la virtualisation. Si les avantages sont évidents, l'impact sur la gestion se révèle comme un défi, et de nouveaux modèles de gestion seront nécessaires pour veiller à ce que cette virtualisation continue à avoir un effet positif sur la manière dont les centres sont administrés. » Crédits photo : datacenter de Sun à Broomfield [[page]] Selon IDC, le marché des produits de gestion par virtualisation est «grand ouvert.» 52 % des entreprises s'en remettent à leur fournisseur pour la virtualisation, 32 % utilisent les systèmes de leur fournisseur pour gérer leur environnement virtuel, et 16 % piochent dans l'offre de Suites de gestion. L'automatisation des centres de données augmente de manière importante. 69% de ceux qui y ont recours déclarent qu'il est nécessaire d'améliorer son adéquation avec les objectifs de l'entreprise. L'automatisation est principalement conditionnée par les coûts liés à l'amélioration de la sécurité pour réduire les erreurs, second facteur le plus souvent impliqué dans l'automatisation. Commentant ces résultats, Nathaniel Martinez, directeur programme Systèmes et Infrastructures chez IDC a déclaré : «Les gestionnaires de datacenters sont beaucoup plus soucieux de trouver des fournisseurs qui peuvent répondre à leurs problèmes de sécurité et de capacité plutôt que de s'assurer que leurs centres sont adaptés aux besoins de leur entreprise. » «IDC estime que les responsables technologiques doivent à la fois réduire leurs coûts d'exploitation et dresser un plan sévère sur la manière dont les investissements réalisés dans leur centre de données peuvent contribuer à la réussite commerciale de l'entreprise. » Jon Gasparini, consultant chez Morse souligne enfin qu'«entreprendre un vaste programme d'automatisation dans l'entreprise peut être intimidant et peut prendre beaucoup de temps. Les entreprises doivent également prendre conscience que ce n'est pas du tout ou rien. Il est possible et souvent préférable de procéder par étape. Parmi les tâches de gestion à automatiser en premier, les entreprises devraient choisir celles qui consomment le plus de temps. Si elles font cela, en quelques mois elles pourront bénéficier d'un retour sur investissement. » (...)
(12/03/2010 16:08:20)Des vidéoconférences plus souples avec Vidyo
Crée fin 2005 par un ancien cadre de Radvison, Vidyo propose un système de visioconférence fonctionnant sur les postes de travail Windows, Linux et MacOS X (VidyoDesktop). Exploitant le protocole H.264/SVC (Scalable Video Coding) pour réduire le temps de latence, Vidyo repose sur une architecture client/serveur avec d'un côté des PC ou des Mac et de l'autre un serveur dédié sous Linux (VidyoOne à 7000 €). L'encodage et le décodage logiciel se fait sur l'ordinateur ce qui nécessite donc une machine équipée d'un processeur récent (double coeur minimum) pour afficher une qualité proche de la SD (480 x 360 pixels). « La résolution de la vidéo peut toutefois varier en fonction de l'état du réseau et de la charge du processeur », nous précise Bruno Delamarre, directeur de la filiale France & Benelux. Parmi les points forts de la solution proposée par Vidyo, citons la possibilité de créer une salle de réunion virtuelle sans réservation préalable. Un plug-in est même disponible pour Outlook pour inviter des participants, en mode SaaS, à une réunion virtuelle sur Vidyo. Plusieurs systèmes peuvent accéder à une conférence vidéo : PC de bureau, système de visioconférence HD maison (VidyoRoom HD-220 avec double écran) et même très bientôt des terminaux mobiles. Au dernier CES de Las Vegas, Paul Otellini, le PDG d'Intel, avait présenté lors de son keynote un smartphone LG équipé d'une puce Moorestown se connectant à une plate-forme Vidyo pour entamer une vidéoconférence. [[page]] Avec des budgets voyage en baisse dans toutes les entreprises, on aurait pu penser que la vidéoconférence exploserait en 2009. Ce n'est pas vraiment le cas selon Bruno Delamarre qui estime le marché annuel à 30 000 systèmes vendus en 2009 dont 15 à 17 000 en renouvellement. La faute au ROI qui ne serait pas assez rapide et aux mauvais souvenirs que beaucoup gardent à la sortie d'une conf call épuisante où chacun hurlait pour se faire entendre de ses correspondants. Avec les casques micros USB et les web cam HD de différents partenaires (Logitech notamment) utilisés par la solution de Vidyo, ces problèmes de communication sont en partie résolues. Et le ROI est beaucoup plus rapide avec des solutions bien moins chères que celles proposées par les grands noms du secteur : compter 6500 € chez Vidyo environ pour une solution HD avec double écrans contre 20 000 € chez Tandberg par exemple. Le serveur Vidyo One est capable de gérer jusqu'à 25 utilisateurs multipoints et permet d'organiser une réunion avec 5 personnes. Pour la licence point à point, compter 22 euros par poste. (...)
(12/03/2010 15:58:27)Simon Phipps, patron de l'Open Source de Sun, s'en va lui aussi
Après Jonathan Schwartz, ex-PDG de Sun, qui a annoncé début février son départ par voie de tweet, c'est au tour du patron de l'Open Source de Sun de quitter son poste, à la suite de l'absorption de sa société par celle de Larry Ellison. Alors que cette acquisition devrait faire d'Oracle le vendeur le plus puissant de la sphère Open Source, la société de Redwood Shores devra donc se passer de Simon Phipps. Ce dernier part à quelques jours de son dixième anniversaire au sein des équipes de Sun : « je suis arrivé au moment de JavaOne, en 2000 », écrit-il sur son blog. Dans son billet, il ne résiste pas à l'envie d'égrener quelques faits saillants de la conversion Open Source de Sun : le passage vers l'Open Source du système d'exploitation OpenSolaris ou encore des outils de développement Java OpenJDK, la promotion de l'Open Document Format, le soutien à la mise en place de la licence GPL v3, ou encore l'importante contribution des équipes de Sun aux blogs. Mais il se dit aussi déçu que le succès de l'Open Source n'ait pas suffi à sauver Sun. Simon Phipps ne détaille pas les raisons de son départ et ne précise pas si on l'y a contraint. Il ignore encore ce qu'il va faire maintenant. Avant de rejoindre Sun, il était responsable du centre des technologies Java chez IBM. (...)
(12/03/2010 13:37:22)France Télécom épinglé pour "mise en danger d'autrui"
Selon notre confrère le Parisien, l'opérateur France Télécom est mis en cause pour homicide involontaire > à la suite du suicide en août 2009 dans le Doubs de l'un de ses techniciens. Celui-ci - jeune technicien énergie-climatisation - avait été muté dans une unité chargée de dépanner les clients de l'opérateur, sans formation ad hoc. L'inspecteur du travail chargé d'enquêter sur ce suicide a remis fin janvier 2010 au parquet de Besançon un rapport pour « homicide involontaire par imprudence ». Il s'agit d'une proposition de qualification pénale que le parquet peut retenir ou non. Photo France Télécom (D.R.) (...)
(12/03/2010 13:24:35)Dématérialisation, la CNIL facilite le travail des études notariales
La CNIL, Commission nationale de l'informatique et des libertés, est habilitée à simplifier l'obligation de déclaration liée aux traitements automatisés de données à caractère personnel. Elle vient, dans ce domaine, d'adopter une norme destinée aux notaires. Le Conseil Supérieur du Notariat a mis en place un Minutier Central des actes authentiques dématérialisés. Ces actes sont des documents visés par un notaire, officier ministériel, dans des conditions de sécurité extrêmement fortes. Se connecter au Minutier Central suppose de disposer dans l'étude notariale des documents déjà dématérialisés et enregistrés dans son propre minutier. C'est la mise en place de ce minutier, où les données doivent être conservées 75 ans, qui a été simplifiée par une décision de la CNIL. Désormais, les notaires pourront donc mettre en oeuvre de tels minutiers dématérialisés sans formalités pourvu qu'ils respectent la norme simplifiée qui vient d'être édictée. (...)
(12/03/2010 13:18:39)Selon le cabinet PAC, la crise dope le Logiciel Libre en France
La crise ? Quelle crise ? Le Logiciel Libre n'en connait aucune selon la dernière étude de Pierre Audoin Consultants (PAC) juste avant l'ouverture du salon Solutions Linux Open Source du 18 au 20 mars à Paris. La France est même un pays particulièrement dynamique en la matière. En 2009, le marché français du logiciel libre a connu une croissance de 30% pour atteindre 1,5 milliards d'euros et la même croissance est attendue en 2010.
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Selon PAC, le logiciel libre, alternative globalement peu onéreuse face aux logiciels propriétaires, est particulièrement adapté en période de vaches maigres. Cependant, il est aussi très utilisé pour ses capacités de collaboration dans des projets à très forte valeur ajoutée dans des secteurs sensibles comme le militaire ou l'aérospatial. L'une de ses forces est le respect strict des standards. Il pénètre particulièrement, de ce fait, les marchés en forte croissance autour du Cloud et du SaaS.
Malgré tout, PAC relève que le logiciel libre est de moins en moins communautaire et de plus en plus géré par des entreprises voire intégré à des ensembles mixant logiciel libre et logiciel propriétaire.
Illustration D.R (...)
La sécurité du DNS fâche la gouvernance d'Internet
Lors d'un discours, tenu mardi à Nairobi pendant la session du comité consultatif de l'Icann, Rod Beckstrom, président et CEO de l'organisation, a déclaré qu'il était nécessaire de concentrer les efforts pour protéger le DNS, car le système est soumis à des attaques, le rendant fragile et vulnérable, et pourrait «être mis hors de service à tout moment ». »
Lors de cette séance, le dirigeant a souligné auprès des membres que plusieurs abus avaient été commis contre le DNS par certains pays, dont le nom n'a pas été dévoilé et a promis d'écrire aux membres du Comité consultatif pour s'enquérir de l'état du DNS chez eux. « Le système de nom de domaine, est, comme jamais auparavant, sous le feu d'attaques préoccupantes. J'ai personnellement consulté au niveau international plus de 20 responsables des registries et des registrars de premier niveau. Tous s'accordent à dire que les attaques contre les DNS ne cessent d'augmenter, de même que leur complexité. Ils sont extrêmement préoccupés par cette situation » a expliqué le responsable.
Inquiétude sur les acquis
Chris Disspain, président du conseil du ccNSO, a contesté cette déclaration, la qualifiant d'«incendiaire.» Selon lui, ces propos risquent de faire perdre aux gestionnaires des ccTLD (Country Code Top Level Domain) et aux représentants du comité consultatif les acquis obtenus en matière de sécurité des DNS. «Vos propos exprimés à des représentants gouvernementaux au sujet - selon vous - de l'état précaire de la sécurité du DNS, peuvent potentiellement remettre en cause les relations constructives et productives établies au sein de l'organisation de l'Icann et des participants tiers » souligne le responsable et d'ajouter « cela pourrait fortement inquiéter les gouvernements sur la manière dont des éléments sensibles concernant les ressources Internet sont exploités et gérés dans leur pays. » [[page]] Le conseil du ccNSO est également préoccupé des intentions de Rod Beckstrom de demander aux gouvernements un rapport sur l'état de leur DNS, afin notamment d'estimer s'il est en mesure de résister aux attaques. L'organisme technique estime en effet qu'un tel processus est de nature à compromettre la façon dont les gestionnaires de ccTLD (Country Code Top Level Domain) opèrent dans leur pays.
Même si Chris Disspain a admis la légitimité de Rod Beckstrom de répondre à ces questions, il estime que sa déclaration a discrédité les énormes efforts déployés par la communauté de l'Icann pour assurer la sécurité et la stabilité du système de DNS.
S'adressant au président de l'Icann, Chris Disspain a déclaré : « Nous suggérons à l'Icann de travailler avec toutes les parties internes et externes pour faire une analyse détaillée des mécanismes actuellement en place pour assurer la sécurité permanente des DNS. En premier lieu, nous l'invitons à partager avec nous et d'autres intervenants les faits ou les études qui l'ont conduit à faire ces déclarations. » (...)
12 comptes en ligne par Français
Ce baromètre, qui ambitionne de mesurer l'opinion publique sur la question des identités numériques, révèle le niveau de confiance des Français dans les services numériques. Ainsi, 89% des internautes ont déjà effectué une démarché administrative en ligne, 85% ont déjà acheté en ligne, et 80% consultent leurs comptes numériques. Pour l'administration en ligne, seuls 11% des utilisateurs de ces services craignent que leurs identités soient utilisées abusivement et 10% redoutent des problèmes d'authentification. L'e-administration marque des points de confiance dans l'expérience des usagers (47%), la caution des administrations en général (43%) et les garanties techniques de sécurité (44%). Seuls 24% craignent le piratage de leur compte sur les services de banque en ligne. Leur confiance repose avant tout sur les garanties techniques de sécurité (75%) et la crédibilité des banques en général (61%). En revanche, les craintes de piratage sont plus élevées sur les sites de commerce en ligne (43%). Dans ce cas, la confiance des internautes repose principalement sur la notoriété des sites (71%). [[page]] Les informations jugées les plus sensibles par les internautes ont un rapport avec la santé (71%), la vie personnelle (51%) et la carte d'identité (49%). En moyenne, les Français interrogés disposent de 12 comptes en ligne ; 2 à 3 adresses e-mail, 1 à 2 adresses de messagerie instantanée, 2 profils pour les utilisateurs de forums, 1 à 2 comptes pour les utilisateurs de messagerie et 1 compte sur 4 sites d'e-commerce. Globalement, cette enquête indique que 68% de la population française est connectée à Internet, et 76% des internautes se connectent tous les jours, le plus souvent en haut débit (94%). Ce baromètre a été réalisé par l'Idate (Institut de l'audiovisuel et des télécoms en Europe) en octobre 2009 auprès de 700 internautes interrogés en ligne et 300 personnes non-internautes sondées par téléphone. (...)
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