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(15/03/2010 10:35:30)
SCC renforce sa présence dans le stockage
« Lors du dernier trimestre 2009, sur l'ensemble dossiers qui ont été soumis à SCC, 54% d'entre eux avaient trait au stockage et à la sauvegarde », illustre Robert Cunillera, le directeur du département Entrerprise Solutions du revendeurs grands comptes. Lors de sa création, la BU stockage disposait d'un effectif de deux consultants issus des rangs de SCC. Très vite submergés, ces derniers ont été rejoints quelques temps plus tard par quatre consultants intégrés aux équipes de la SSDI suite au rachat des actifs du pôle infrastructures d'Arès en Île-de-France en juillet 2008. Cela ne s'est pas avéré suffisant pour faire face à la demande puisque deux autres consultants ont été recrutés, et que la recherche de quatre autres profils similaires est encore en cours. A la lumière des résultats réalisés et attendus par SCC dans le domaine du stockage, on comprend mieux l'inflation des équipes de la Business Unit. En 2009, année de crise, les revenus de l'activité stockage de SCC ont en effet progressé de 30%. La même hausse est attendue en 2010. Pour Robert Cunillera, le succès de la business unit s'explique par le fait que« La virtualisation a fait reculer les problématiques liées à l'hétérogénéité des systèmes de stockage et de sauvegarde dans les entreprises. Ce qui a eu pour effet de rassurer les clients finaux quant à la mise en oeuvre de systèmes de déduplication, de réplication ou de plans de reprise d'activité ». Pour aider les entreprise à mener à bien ce type de projets, la BU stockage de SCC propose des services d'infogérance, de délégation de personnel, notamment pour l'administration des systèmes de stockage, d'audit intellectuel et technique et, bien sûr, des prestations de mise en oeuvre. (...)
(15/03/2010 10:34:46)Infotel marque le pas en 2009
Spécialiste de la gestion de bases de données, Infotel a publié, fin janvier, un chiffre d'affaires (CA) à peine positif, en croissance de 0,8% à 89,2 millions d'euros en 2009. Il publie maintenant d'autres chiffres concernant sa rentabilité. Le résultat opérationnel baisse de 22,5% avec 7 millions d'euros, représentant 7,8% du CA 2009. Le résultat net se monte à 5,2% en baisse de 22,9%. La société souligne que ses marges se sont redressées au second semestre, la marge opérationnelle passant de 4,4% du CA à 10,9% entre le 1er et le second semestre. Le taux de marge nette est passé, lui, de 3,4% à 8,2%. La société a maintenu en 2009 son plan d'investissement : nouveaux centres de services, nouvelles qualifications, recrutements (l'effectif est passé de 677 à 727 collaborateurs). (...)
(15/03/2010 10:55:44)DataFlux réunit intégration, qualité des données et MDM
Alors que deux éditeurs de la gestion des données de référence (MDM) viennent d'être rachetés par Informatica et IBM, attestant de l'intérêt du marché pour le sujet, Dataflux vient de regrouper ses produits dans une solution unifiée. Celle-ci donne accès, au sein de la même interface utilisateur, à ses outils d'intégration, de mise en qualité des données et de MDM. Face à des offres concurrentes qui se construisent par rachats, l'éditeur américain fait valoir que sa plateforme DataFlux Data Management est entièrement issue de sa R&D. Il insiste surtout sur la capacité de sa solution à faire coopérer les utilisateurs métiers et les équipes informatiques. « C'est un outil de collaboration avant tout », pointe Marc Daverat, directeur France et Europe du Sud de DataFlux (photo ci-dessus), en rappelant que cette dimension existait déjà en partie sur l'offre Data Quality Integration. Différents degrés de maturité sur la gouvernance des données Gérer les données de référence consiste à rassembler de façon cohérente dans un référentiel les informations sur les produits, les clients, les fournisseurs (ou autres) utilisées dans les différents départements de l'entreprise. Pour en constituer une vue consolidée, il faut pouvoir créer et piloter transversalement les règles métiers qui les régissent. « L'IT n'a pas forcément la connaissance de ces règles ; ce sont les acteurs métiers qui l'apportent, rappelle Marc Daverat. De leur côté, les acteurs technologiques vérifient la cohérence des données. Les projets de gouvernance nécessitent une double direction avec une vraie maîtrise d'ouvrage et une maîtrise d'oeuvre, d'où la mise à disposition d'outils intégrés. Avec cette plateforme, nous répondons aux problématiques de nos clients qui doivent maîtriser leurs coûts, optimiser leurs processus et se conformer aux régulations de plus en plus fortes. » Le dirigeant rappelle néanmoins que les entreprises ont différents degrés de maturité sur la gouvernance de données. Il distingue quatre catégories : les indisciplinées (chez lesquels aucun processus de qualité n'est défini), les réactives (des règles existent, mais les problèmes sont résolus quand ils se présentent), les proactives et les gouvernées. En Europe, elles sont plutôt indisciplinées et réactives, estime Marc Daverat en précisant que « certains clients sont très en avance sur certains points et en retard sur d'autres ». [[page]] La plateforme unifiée DataFlux Data Management rassemble quatre produits. Les deux premiers permettent de concevoir les règles métiers à appliquer aux données (Data Management Studio), de les industrialiser et de les déployer transversalement dans l'entreprise (Data Management Server). Le troisième (Federation Server) fournit une vue intégrée sur des données stockées dans différents référentiels sans obliger à les agréger physiquement. Il propose des fonctions de recherche et facilite ainsi la compilation et les rapprochements entre les sources, ainsi que les corrections. Le quatrième produit (Connect) réunit des composants pour intégrer les régles de gestion de la qualité des données avec les applications de SAS, SAP et Oracle/Siebel. Des projets peuvent être concentrés sur une règle métier Une entreprise pourra choisir de mener un projet de MDM concentré sur l'une de ses règles métier susceptible de générer un retour sur investissement rapide. Il peut s'agir, donne en exemple Marc Daverat, de « s'assurer que l'ensemble des produits bruts, semi-finis ou finis rentrant dans la fabrication d'un produit ont un coût associé, et à jour. En cas de respect de cette règle, le risque de factures bloquées et d'achats bloqués est maîtrisé, explique-t-il. Ce qui améliore les liquidités de l'entreprise et la mise en production rapide dans le cas d'un nouveau produit ». Il estime qu'une entreprise peut gérer de bout en bout deux à trois règles métier en un an, en rappelant que ces projets peuvent générer des dizaines de millions de retour sur investissement. L'an dernier, l'éditeur a livré deux solutions complémentaires à son offre. L'une, DataFlux for Spend Analysis, pour identifier les problèmes d'approvisionnement à partir des données sur les fournisseurs (et disposer d'éléments pour renégocier les contrats, par exemple), l'autre DataFlux for Materials Data Improvement, pour organiser des informations descriptives et non standardisées sur les achats (pièces détachées, fournitures...). Dataflux compte 1 200 clients au niveau mondial et dit avoir réalisé une progression de 30% sur son chiffre d'affaires l'an dernier, mais sans en communiquer le montant (non cotée, sa maison mère, SAS, ne livre pas le détail de ses résultats financiers). (...)
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