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(15/03/2010 18:10:04)

Mix10 : Microsoft implante des outils d'analyses web dans Silverlight.

Dévoilée par Microsoft lors du Mix10 , la conférence des designers et développeurs web de Las Vegas, cette fonction de Silverlight s'alignera sur les services payant proposées par Google Analytics, Yahoo ainsi que d'autres sociétés de softwares. « L'idée est de mener les mêmes analyses déjà possibles sur un sites web mais via notre application Silverlight » explique Michael Scherotter, porte-parole des développeurs de Microsoft. « L'important, c'est de comprendre comment les utilisateurs se servent de leurs applications ». En utilisant ce système, de multiples informations peuvent être fournis aux administrateurs comme, par exemple, des statistiques de lectures, de mises en pauses ou des problèmes de chargement d'une vidéo. Les webmasters pourront configurer leurs options d'analyses très simplement grâce à une interface visuelle leur permettant de sélectionner les parties des applications qu'ils souhaitent surveiller. « L'idée est de traquer des fonctionnalités sans avoir à écrire de code » explique Gabriel Torok, président de Preemptive une société spécialisée dans la mesure et la sécurité sur Internet impliquée dans le projet. Les applications Silverlight utilisées hors ligne ou hors d'un navigateur seront également prises en compte, via une post-synchronisations dès la prochaine connexion. Le Mix10 pourrait également faire l'objet d'autres annonces de la part de Microsoft, dont la version finale 4 de Silverlight qui apportera des options d'impression et de connexions webcam et micro. L'arrivée de Silverlight sur Windows phone 7 est également attendue. (...)

(15/03/2010 16:11:54)

Internet mobile, la hausse du trafic de données préoccupe les opérateurs

(Source EuroTMT ) Aux Etats-Unis, le président d'AT&T indiquait que 40 % de la bande passante dédiée aux données était utilisée par les possesseurs d'iPhone, alors que ces derniers ne représentent que 3 % du parc d'abonnés. Cette demande en bande passante augmenterait actuellement, toujours selon AT&T, de 5000 % par an ! Ce chiffre est difficilement vérifiable, mais il donne l'ampleur du phénomène. Un phénomène qui s'est traduit par de sérieux dysfonctionnements du réseau britannique d'O2, notamment à Londres, en décembre dernier. Des investissements indispensables pour accompagner l'évolution des usages Ce contexte préoccupe également Michel Combes, le directeur général de Vodafone pour l'Europe. Chez cet opérateur mobile, 70 % du trafic est issu des données alors que les possesseurs de smartphones ne représentent que 20 % de sa base d'abonnés. En conséquence de quoi, Vodafone assure avoir investi plus de 10 milliards d'euros en Europe pour soutenir l'explosion du trafic de données sur ses réseaux. Ceci dit, Frank Esser, PDG de SFR, pense que c'est surtout la vidéo qui poserait réellement problème. « Le trafic vidéo va être multiplié par dix dans les cinq ans qui viennent » estimait Frank Esser, lors de la conférence DigiWorld de l'Idate fin 2009, à rapprocher d'un trafic de données ayant quadruplé, l'an dernier, chez SFR. Mais le plus structurant dans ce phénomène réside dans la déconnexion entre la consommation de bande passante et le chiffre d'affaires généré par une base d'abonnés encore très minoritaire. Ceci se déroulant dans un contexte où les revenus générés par la voix sont en déclin. Photo : Michel Combes, le directeur général de Vodafone pour l'Europe. [[page]] « La croissance dans l'univers des données mobiles est de 2 % en valeur au troisième trimestre 2009. Elle ne compense pas la chute de la voix qui de - 8 %, toujours en valeur » constate un opérateur européen de tout premier plan. Et ce dernier de pronostiquer que cette tendance n'est pas prête de s'inverser. De fait, tous les opérateurs s'interrogent sur la manière de contourner un problème d'autant plus aigu que les forfaits « données » illimités ont largement contribué à faire décoller les usages et qu'une faible proportion de leur base d'abonnés est, pour l'instant, réellement concernée. Alors quelles sont les solutions possibles ? Les équipementiers poussent vers la 4ème génération mobile avec le LTE (Long Term Evolution) qui doit permettre, outre des débits quasiment décuplés, de réduire significativement le coût du Mo transporté. Quant au canadien Research in Motion (RIM), fort du succès de son offre Blackberry, il assure, études à l'appui, que son terminal est nettement moins gourmand en bande passante que n'importe quel autre smartphone. Autant d'affirmations, certes de bonne guerre, mais qui ne règlent rien au problème. En réalité, les opérateurs réfléchissent tous, de manière plus ou moins explicite, à différencier leurs offres selon les usages et le débit offert. Renégociations difficiles entre opérateurs et constructeurs de mobiles C'est notamment le cas de Michel Combes de Vodafone qui milite pour la création d'un nouvel écosystème quant à la ventilation des recettes entre la voix et les données cellulaires. Ces dernières ne procurent que quelques euros de revenu supplémentaire par abonné et par mois. L'une des pistes avancées par les opérateurs réside dans une forme de gestion du trafic, en fonction du type d'application ou du niveau d'encombrement du réseau - sachant qu'ils sont tout à fait aptes distinguer la nature des différents flux échangés - et du niveau d'abonnement souscrit ! Il est vrai qu'il y a urgence à réviser le modèle économique actuel. Si l'on en croit Mary Meeker, l'analyste vedette de Morgan Stanley, pour qui la progression des échanges de données cellulaires s'annonce exponentielle. Et cette dernière de rappeler que sur le même laps de temps, Apple a vendu 50 millions d'iPhone alors que AOL avait conquis seulement 7 millions d'abonnés et Netscape avait été téléchargé par 11 millions de personnes. (...)

(15/03/2010 14:23:08)

Conférence CIO/Le Monde Informatique : Déduplication de données

Le jeudi 18 mars à l'hôtel de Crillon (Place de la Concorde, Paris), sera l'occasion de faire le point sur un sujet que l'on pouvait penser banalisé : la déduplication de données, afin de réduire les coûts et les volumes de stockage. L'événement - un petit déjeuner - est organisé par le groupe Conférences du Monde Informatique en partenariat avec Sun et Symantec. A l'heure de la généralisation des contenus multimédia (vidéos, présentations PowerPoint, catalogues de photos, ...) et de la montée en puissance de la dématérialisation des documents d'entreprise (dossiers clients au format pdf, factures/commandes, ...), éviter de stocker inutilement et de manière intégrale les multiples versions d'un même document devient indispensable. La déduplication est la réponse technologique à cette question. Selon les scénarios, elle peut être mise en oeuvre à la source, sur le réseau ou lors du stockage. Pour en savoir plus sur ce petit déjeuner : Conférence déduplication Illustration D.R. (...)

(15/03/2010 12:44:29)

Interview Charles McCathieNevile, responsable des standards chez Opera Software

Quelle est la situation actuelle d'Opera ? Nous comptons aujourd'hui 100 millions d'utilisateurs. On est assez content car c'est plus que le nombre total des employés d'Opéra et de leur famille. La concurrence est rude c'est sûr, mais c'est notre travail. Notre objectif est toujours de dominer le monde... Que va changer l'arrivée d'Opera mini ? Opéra Mini, c'est l'occasion pour nous de proposer une alternative aux utilisateurs de smartphones. Il y a évidemment un enjeu fort en Europe et peut être aux États-Unis mais il faut savoir que cela ira bien plus loin que l'iPhone. Nous misons surtout sur Android, qui est le meilleur des OS pour portable. L'arrivée prochaine d'Opera Mobile, avec des pages plus grandes, devrait également accentuer cet effet. Qu'est ce qui fait la force d'Opera ? En plus de sa vitesse, j'insisterai sur sa sécurité. Non pas parce que nous ne rencontrons aucuns problèmes, personne ne sait les éviter à 100%, mais parce que nous les réglons très rapidement. Opéra a été créé pour constituer un alternative. Les autres navigateurs nous apportaient trop de frustrations et pas assez de fonctions. Le navigateur a donc été criblé d'options comme les clients mail et BitTorrent intégrés, c'est extrêmement pratique. [[page]] Qui utilise le plus Opera ? Tout dépend des continents, nous sommes très bien placés en Indonésie et en Russie où Opera est pratiquement l'égal d'Internet Explorer. Nous sommes même passés numéro 1 en Afrique et en Australie car les installations des réseaux filaires y sont très couteuses et assez peu rependues, ce qui force les utilisateurs à utiliser leur téléphone portable pour se connecter à internet. Une chance qu'Opera soit très performant dans ce genre de connexions à faibles débits. Êtes-vous satisfait par l'offre de choix du navigateur sous Windows ? C'est bien, mais ce n'est pas encore parfait. Microsoft mène encore beaucoup de pratiques anti-compétitives. Nous avons été les premiers à porter plainte contre le monopole abusif de Microsoft avec Internet Explorer. C'est quand Mozilla et Google nous ont rejoint que la Commission européenne a décidé d'entreprendre une action. Même si on sait que les utilisateurs ne choisiront pas tous Opéra, nous comptons sur ce cercle vertueux qui, parce qu'une multitude de navigateurs sont utilisés, aboutira peut être à la création d'un standard de la programmation HTML. Comment voyez-vous l'avenir d'Opéra ? Il y a 10 ans, nous avions commencé à nous adapter aux mobiles en ajustant toutes nos pages et en incorporant les paragraphes intelligents. Aujourd'hui, nous nous sommes aperçus que la 3D ne relevait plus vraiment de la science-fiction. On ne sait pas comment cela va se standardiser mais nous sommes sur le coup et travaillons déjà sur diverses interfaces. (...)

(15/03/2010 16:11:44)

Coopération des Douanes et Priceminister sur la contrefaçon

Concrètement, cette signature devrait permettre d'optimiser les actions entreprises en France pour lutter contre la contrefaçon sur Internet. "Cet accord va nous permettre d'améliorer nos procédures permettant de détecter le plus en amont possible les tentatives de mis en vente de contrefaçon de nos sites", explique Pierre Kosciusko-Morizet. Ce protocole d'accord intervient un peu plus d'un an après le lancement de Cyberdouane par le ministre du Budget Eric Woerth. L'objectif de ce service est de "détecter les transactions illicites sur Internet et de déclencher des contrôles douaniers ciblés", selon le ministère. Dans ce cadre, la collaboration a pour "but de formaliser la coopération, l'échange d'informations et de savoir-faire entre les deux parties" souligne le site de vente et de rachat sur le web. Depuis février 2007, la plateforme électronique détecte en effet les vendeurs suspects, susceptibles d'émettre des produits contrefaits, au travers de sa cellule Anti-contrefaçon. Faux Blackberry : + 772% Au total, PriceMinister a procédé au blocage de 2661 comptes "pour des faits de contrefaçon ou d'atteinte à des réseaux de distribution sélective" en 2009, soit une hausse de 1% par rapport à 2008. En dehors de la mode, c'est le rayon "high-tech" qui est le plus concerné par la contrefaçon (29%). La téléphonie enregistre 45% des produits bloqués. Les articles qui imitent les smartphones de la marque Blackberry ont d'ailleurs explosé de 772%. Pour acquérir des objets et des articles contrefaits, plus de huit acquéreurs sur dix (84%) se sont fournis via un site Internet (81% en 2008). (...)

(15/03/2010 10:58:44)

Le marché du stockage en réseau résiste à la crise

Selon le cabinet Context, les ventes de produits de stockage ont progressé de 32% en France sur une période couvrant les deux derniers trimestre de 2009 et le début 2010. Sur le marché Allemand, la hausse a atteint 25% et seulement 1% au Royaume-Uni. Le marché britannique a subit une chute des ventes de produits de sauvegarde sur bande. A l'inverse, ce type de solutions rencontre toujours un franc succès en France et Outre-Rhin où elles ont représenté 30% des ventes. Au chapitre des produits en plus forte croissance, les commutateurs fibre channel arrivent en tête. Les ventes de baies de disques et d'adaptateurs de bus hôte (HBA) ont également enregistré de forts taux de progression. Ce qui tend à montrer une hausse global des ventes pour l'industrie du SAN. Brocade, IBM et HP en sont les trois principaux fournisseurs. Ils ont vu leurs ventes progresser de 30% en France, en Allemagne et au Royaume-Uni lors du dernier semestre 2009. Crédits photo Storagetek (...)

(15/03/2010 14:40:28)

Embellie boursière en 2009 pour les valeurs technologiques

(Source EuroTMT)Selon l'étude annuelle de la société de conseil en stratégie, Oliver Wyman, basée à New York, la valorisation boursière des 450 principales sociétés du secteur des TMT est ressortie à 5 600 milliards de dollars à fin 2009. C'est donc nettement mieux que les 4 000 milliards en 2008 mais encore très en dessous des 7 100 milliards en 2007. Cette croissance est supérieure à la plupart des indices boursiers, à l'exception du Nasdaq (sociétés de technologies). Dans le classement plus particulier concernant l'indice de création de valeur pour l'actionnaire, le top 20 a été bouleversé. Tencent (site communautaire chinois) demeure le leader, mais 14 sociétés font leur apparition, comme Automony (leader mondial du logiciel d'infrastructure d'entreprise) classé numéro 2, ou Bezeq, l'opérateur télécoms israélien, devenu numéro trois. (...)

(15/03/2010 10:29:40)

Le mobile devient un moyen de paiement

(Source EuroTMT ) Selon ABI Research, le nombre d'abonnés mobile ayant recours aux services bancaires sur mobile va ainsi doubler tous les ans d'ici à 2015 pour atteindre 407 millions de clients à cette date. Si le marché se situe principalement en Asie, l'Europe et l'Amérique du Nord devraient aussi voir le décollage de ce marché. ABI Research estime ainsi qu'il devrait y avoir 66 millions d'utilisateurs de ce type de services aux Etats-Unis en 2015. D'autant que le commerce sur mobile est promis aussi à un brillant avenir : selon le même cabinet d'études, ce marché devrait s'élever à 119 milliards de dollars en 2015, représentant 8 % du montant global du e-commerce. Et plus généralement, le mobile pourrait se transformer en un terminal de paiement sans contact, grâce à la technologie NFC. Si la technologie existe, les opérateurs en restent pour le moment à quelques tests, comme en France dans quelques réseaux de transports. Aux opérateurs mobiles de généraliser maintenant les services qui permettent aux abonnés de les utiliser dans un environnement sécurisé. (...)

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