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(16/03/2010 16:43:59)

22 M$ de bonus pour Tim Cook qui fit l'intérim de Steve Jobs

Steve Jobs n'a pas oublié la forte implication de son directeur général Tim Cook (ci-dessus), l'an dernier, de janvier à juin, lorsqu'il tenait les rênes d'Apple pendant que lui-même était contraint de s'arrêter six mois pour maladie. Le bras droit du co-fondateur d'Apple se voit ainsi gratifié d'un bonus qui pourrait atteindre les 22 millions de dollars. Outre une prime en numéraire de 5 millions de dollars, il doit recevoir, sous une forme équivalant à des stock options, 75 000 actions dont la moitié seront acquises en mars 2011 et l'autre moitié un an plus tard. A la fermeture de la bourse, vendredi dernier, ces titres étaient valorisés à quelque 17 millions de dollars. Dans le document transmis à l'autorité de régulation de la bourse américaine, la SEC (Securities and Exchange Commission), Apple précise que le comité chargé de ces décisions (compensation committee) a approuvé à l'unanimité ce bonus, proposé par Steve Jobs lui-même. En janvier 2009, le PDG d'Apple avait annoncé devoir faire une pause pour raison de santé. A l'époque, les investisseurs et analystes du secteur avaient manifesté leur inquiétude à la perspective d'une absence prolongée du charismatique patron de la société. Jusqu'au milliardaire Warren Buffet qui avait critiqué le manque d'information sur l'état de santé de Steve Jobs. On ne sut en effet que plus tard que ce dernier avait dû subir une greffe de foie. Les craintes s'étaient toutefois rapidement dissipées. On salua alors la façon dont Tim Cook assurait l'intérim en douceur. Sous sa direction, l'action d'Apple a grimpé d'environ 85 dollars à 140 dollars. (...)

(16/03/2010 16:11:29)

Le.com souffle ses 25 bougies

Internet célèbre le 25 ème anniversaire du premier nom de domaine avec l'extension .com ("com" pour "commercial"). C'est en effet le 15 mars 1985 que le web a accueilli Symbolics.com, un site commercial spécialisé dans l'intelligence artificielle et lié au MIT de Boston. Devenu un véritable symbole de l'Internet au même titre que "@" ou "www.", le .com a toutefois connu un démarrage en lenteur : seulement six noms de domaine en .com furent déposés en 1985, et il fallut attendre 1986 pour voir apparaître les HP.com, IBM.com ou encore Intel.com. Aujourd'hui, Internet compte près de 200 millions de noms de domaine. (...)

(16/03/2010 15:41:56)

Annuels Steria : La société réussit à contenir la baisse de son chiffre d'affaires

Dans un contexte économique difficile, la SSII Steria est parvenue à maintenir un niveau d'activité et de marge convenable en 2009. Sur 12 mois, son chiffre d'affaires s'est établit à 1,6 Md€, soit une baisse de 3,1% sur un an à périmètre et taux de change constants. A 118 M€, la marge opérationnelle représente 7,3% du chiffre d'affaires du groupe, un niveau à peu près comparable à celui de l'exercice 2008. Toutefois, filiale par filiale, les résultats opérationnels montre parfois des disparités importantes. Ainsi, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France enregistrent respectivement des marges opérationnelles de 11,3% (-0.1% comparé à 2008), 7,1% (-2.2%) et 6,4% (stable). (...)

(16/03/2010 11:43:27)

Mix10 : Les quatre priorités de Microsoft pour Windows Phone 7

Reste que le dernier rapport de Comscore montre que les parts de marché de l'actuel Windows Mobile continuent de chuter de manière spectaculaire. Ainsi, sur les 42,7 millions d'utilisateurs de smartphone aux États-Unis, le nombre de ceux qui tournent sous Windows Mobile a chuté de 4 points, passant de 19,7% en octobre 2009 à 15,7% en janvier 2010, Research in Motion demeure, pour sa part, le principal fournisseur de systèmes d'exploitation pour smartphone aux États-Unis : avec 43% de personnes utilisant son logiciel pour BlackBerry, le système de RIM a gagné encore 1,7% au cours de cette même période. Quant à Apple, il détient la 2e place, à 25,1% pour l'iPhone, mais avec un taux de croissance beaucoup plus lent de seulement 0,3%. Compte tenu de ces chiffres, Microsoft doit donc impérativement prouver sa capacité à refondre l'environnement de développement qu'elle va mettre autour de son système mobile, comme elle l'a fait dans le cas de l'interface utilisateur de Windows Phone 7. Voici donc, sur la base des sessions prévues au Mix10 pour Windows Phone et des explications des responsables de Microsoft France, les priorités et les défis à relever. 1. La plate-forme Windows Phone 7 dans les starting-blocks Quatre séances du Mix10 sont consacrées à décortiquer les éléments techniques de Windows Phone 7, et plus précisément le noyau sous-jacent Windows Embedded CE 6.0 R3 sur lequel repose l'interface utilisateur de Windows Phone. Malgré la nouvelle interface utilisateur entièrement remodelée, les développeurs continueront à s'appuyer sur les outils et les technologies habituels de Microsoft pour écrire les applications qui exploitent l'interface, y compris. NET, Silverlight, Microsoft Expression Blend 3, et XNA Game Studio pour le développement de jeux. Windows Phone 7 intègre un nouveau modèle d'application, de nouveaux modèles d'entrée (y compris le multi-touch), des API pour accéder aux fonctionnalités du téléphone et des applications, et de nouveaux services web. Lors d'un point presse téléphonique, Thomas Serval, directeur de la division plate-forme et écosystème de Microsoft France, a précisé que l'éditeur poursuivait sa stratégie 3 écrans / un nuage avec la mise à disposition gratuite de Visual Studio Express 2010 pour aider les développeurs à concevoir des applications pour la plate-forme Windows mobile 7. Extraction Blend aidera également les programmeurs à créer des interfaces utilisateurs. Enfin, un plug-in permettra également d'intégrer du code .Net dans Visual Studio Express. Une machine virtuelle Windows Phone 7 est également à disposition des développeurs pour concevoir et tester plus rapidement leurs logiciels. Reste que ces annonces sur les outils et les technologies Microsoft posent aussi la question de savoir à quel point la plate-forme Windows Phone 7 sera ouverte à des outils et des technologies extérieures. Sébastien Berten, président de Backelite, qui a envoyé son directeur technique suivre les sessions du Mix10 à Las Vegas, rapporte que les développeurs ont fait un bon accueil aux annonces de Microsoft (voir encadré). « Le monde de l'entreprise et même les particuliers cherchent à maximiser leur temps. Et les annonces de Windows Phone 7 vont dans ce sens. » Seul bémol, et de taille pour une nouvelle plate-forme, « Windows Mobile 7 ne sait pas faire fonctionner des applications de manière concurrente » précise Thomas Serval. Pour être plus clair, le multitâche n'est pas à l'ordre du jour alors qu'il est déjà supporté par Android OS et qu'Apple le proposera en juin avec l'arrivée d'iPhone OS 4.0. « Des exceptions seront toutefois possibles » explique Thomas Serval « mais elles ne concerneront que des applications premium qui seront intégrées à nos hubs ». [[page]] 2. Silverlight illumine le chemin de la mobilité Silverlight fait référence à la technologie et aux outils de Microsoft pour construire des applications très performantes, riches et interactives pour le Web. Il est conçu comme un environnement de développement principal pour Windows Phone, et au moins six sessions de la conférence y sont consacrées (d'autres sessions sont consacrées à Silverlight 4 RC, dévoilé en novembre en bêta et qui sera livré en version finale en juin 2010). Les développeurs d'applications mobiles en apprendront davantage sur les nouveaux modèles d'entrée, y compris le multi-touch et le clavier soft, et sur les API qui permettent l'utilisation d'applications comme le numéroteur téléphonique et la gestion des emails. Également au programme : les exigences de Silverlight en matière d'application vidéo, y compris le support pour la diffusion à grande échelle. Thomas Serval, nous a également expliqué que Silverlight allait devenir un premier choix pour développer des applications « rich média » pour Windows Phone. Lors de cette conférence, Microsoft a ainsi divulgué le nouveau modèle d'application et les services web de Windows Phone, qui permettront aux applications Silverlight de fonctionner sur mobile. Les développeurs doivent s'attendre à une plus grande intégration et interopérabilité avec les contenus Silverlight sur les ordinateurs Windows et via de nouveaux services Web qui seront proposés Microsoft et ses partenaires. Des applications en mode Saas pourront par exemple être déployées avec les mobiles Windows précise Nicolas Petit, directeur de la division mobilité de Microsoft France. Un mix sera opéré entre client léger et client riche pour répondre aux besoins applicatifs des marchés verticaux. Une plate-forme à relancer dans les entreprises Hier bien introduite dans les entreprises, la plate-forme Windows Mobile souffre aujourd'hui de la concurrence du smartphone d'Apple qui entre en phase de qualification dans de nombreux appels d'offres pour le renouvellement des parcs de Blackberry. Les mêmes personnes qui ont imposé les smartphones de Rim, il y a 5 ans, poussent aujourd'hui l'iPhone. On assiste ainsi à une profonde évolution avec le passage d'un terminal typé messagerie à un terminal web, beaucoup plus souple et tout autant sécurisé à l'usage. Comment Windows Phone résistera à cette vague alors que l'éditeur repart de zéro puisque les applications Windows Mobile 7 ne seront pas compatibles avec les terminaux 6.5 et que ces derniers ne pourront pas passer à la nouvelle version du système d'exploitation mobile ? [[page]] 3. Les jeux sur mobile et leur implication pour l'entreprise Comme dans le cas de sa nouvelle interface utilisateur, l'environnement de jeu de Windows Phone fait partie de la stratégie de « consumérisation » du système d'exploitation mobile de Microsoft. Cela implique de proposer à l'utilisateur une expérience mobile souple, balayant un large éventail de centres d'intérêts, de passions et de besoins. Plusieurs sessions et ateliers traitent de l'utilisation de XNA Game Studio 4 pour créer des jeux pour Windows Phone 7, et leur intégration à Xbox Live, l'environnement de jeu en ligne de Microsoft. Parmi les changements, le XNA est devenu ce que Microsoft appelle maintenant une plate-forme à « code géré », par référence au code qui s'exécute sous machine virtuelle Common Language Runtime. Selon Microsoft, le « code géré » permet aux développeurs de créer des applications plus rapidement, d'être plus productifs, et de se concentrer davantage sur des objectifs de design plus sophistiqués. Microsoft indique au passage que les jeux existants ne devront pas être entièrement réécrits pour fonctionner sur Windows Phone 7. De la même manière, un jeu d'abord écrit pour Windows Phone pourra être ensuite adapté pour la Xbox 360. Il est possible que ces deux capacités de développement de la plate-forme de jeux - code géré et adaptation des applications existantes - soient intégrées à l'approche globale pour la création d'applications Windows Phone. Les entreprises ne développeront pas des jeux mobiles au même titre que des applications d'entreprise. Mais le matériel et les logiciels nécessaires pour supporter à la fois des applications en local et en réseau (comme les jeux) très interactives, capables de faire du calcul intensif, de la haute définition et riches sur le plan des medias, servira à montrer les possibilités que peut apporter le nouvel OS aux smartphones. [[page]] 4. Un marché applicatif en "révolution " ? En dehors des écrous et des boulons nécessaires à la construction des applications, Microsoft va aussi rééquiper le catalogue en ligne de Windows Phone. L'entreprise affirme que la nouvelle approche de « Marketplace » va «révolutionner » la manière dont les applications Windows Phone 7, jeux compris, sont distribuées et «vendues ». Marketplace, en service depuis cet automne seulement à seulement 4000 applications, a enchainé les mises à jour et les améliorations. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder directement au site web pour y acheter et y télécharger des applications de téléphonie mobile. Certains des changements concernent l'amélioration de la navigation des utilisateurs, une meilleure promotion des nouvelles applications et la possibilité de télécharger de grosses applications sur la carte mémoire du téléphone. D'autres concernent la manière dont les développeurs peuvent proposer et mettre en ligne leurs applications, de façon à rationaliser et à réduire certains coûts de développement. Conscient de la faiblesse de son offre applicative, Nicolas Petit botte en touche en expliquant que Microsoft « veut sortir du débat unique sur combien d'applications. Sur Android, 99% des applications sont gratuites et beaucoup viennent simplement compléter une expérience. Pour notre part nous misons sur la qualité des services proposés par nos hubs où plusieurs applications sont disponibles en même temps. Le hub People (réseau social) vient par exemple avec Windows Live et Facebook. » Reste la non-compatibilité des applications déjà existantes (voir encadré) est un frein à l'adoption de Windows Phone 7 même si Microsoft semble décider à mettre les bouchées doubles pour rattraper son retard sur l'App Store (Apple), l'Android Market (Google), l'Ovi Store (Nokia) ou l'App World (Rim). (...)

(16/03/2010 10:09:42)

Gestion des achats : BravoSolution étend sa couverture territoriale

Spécialisé dans les services de gestion des achats (Supply Management), l'éditeur BravoSolution a vu son chiffre d'affaires progresser de 9% en 2009, à 50,7 millions d'euros. A rebours des réductions de postes opérées par d'autres, la société a augmenté ses effectifs de 10% l'an dernier. Elle compte désormais 450 collaborateurs sur huit pays (en Europe, aux Etats-Unis et en Chine). « Cela a été, sur différents plans, notre meilleure année depuis la création de la société en 2000, estime Bruno Pillon, président de la filiale française. Nous avons continué à recruter, ouvert un bureau au Mexique et gagné des clients dans des pays où nous ne sommes pas présents mais porteurs d'offres avec des partenaires, au Brésil, au Canada, à Hong-Kong, en Nouvelle-Zélande, au Qatar et en Thaïlande. »

Adossé au cimentier italien Italcementi, BravoSolution divise son activité à parts égales entre la vente de progiciels (licences et mode SaaS) et une activité de conseil stratégique et opérationnel auprès des directions des achats. Les relations que la société a établies avec des milliers de fournisseurs sur les différents continents lui a permis de constituer une base de données pour aider ses clients à identifier et sélectionner de nouveaux contacts. Son offre de logiciels couvre la chaîne de processus qui débute par la définition collaborative des besoins, se poursuit par la recherche et la mise en concurrence des fournisseurs et inclut les enchères inversées.

BravoSolution

Elle comprend également des solutions de consolidation et d'analyse des dépenses, de suivi des contrats et d'évaluation de la performance des fournisseurs. Cette deuxième catégorie d'outils, que BravoSolution a acquis en 2007 avec le rachat de Mobile Workers, permet aux entreprises qui ont rationalisé leur base de données fournisseurs de passer à la maîtrise des risques liés aux achats. La diversification des sources d'approvisionnement, notamment en Asie, apporte son lot de défis, en termes de suivi de fabrication, de qualité, de risques financiers ou de non respect des consignes de sécurité. Des points que les entreprises veulent pouvoir contrôler, particulièrement lorsqu'elles s'inscrivent dans une démarche de développement durable. Dans ce domaine, BravoSolution fournit des outils qui permettent de cartographier les risques que les fournisseurs font prendre à l'entreprise.

Un CA en hausse de 18% pour la filiale française


En France, BravoSolution a enregistré une croissance de 18% sur son chiffre d'affaires qui s'établit à 8,2 millions d'euros, avec 44 personnes. Pour Bruno Pillon, président de la filiale, ces bons résultats sont une combinaison de plusieurs facteurs : « Nous avons d'abord renouvelé à 100% nos contrats et certains clients ont étendu leurs applications vers d'autres modules. » Sur l'Hexagone, la base installée de BravoSolution compte une quinzaine de grands groupes, parmi lesquels Cegelec, RTE (filiale d'EDF) ou L'Oréal.

Depuis le début de la crise économique, « nous avons tenu à nos clients un discours un peu dédramatisé en recommandant de ne pas mettre la pression sur les fournisseurs, notamment sur la partie Supply Chain et en particulier le transport qui ont souffert », explique par ailleurs Bruno Pillon. Une offre telle que BravoSolution Collaborative Sourcing, par exemple, laisse le fournisseur faire son allotissement [regroupement des colis en fonction de leur destination] en tenant compte des contraintes du client. « Nous jouons davantage sur des notions de remplissage que de marges, nous optimisons en utilisant l'intelligence des transporteurs ».

[[page]] Interrogé sur les perspectives de BravoSolution en 2010, Bruno Pillon entrevoit entre 10 et 15% de croissance. L'éditeur compte décliner ses approches opérationnelles. « A chaque fois que nous mettons en place des actions d'amélioration chez nos clients, il faut les outiller ». A l'inverse, les clients qui s'équipent d'outils de supply management doivent être formés et accompagnés dans leur démarche. Par ailleurs, si certains d'entre eux ont acquis une maturité sur les plateformes de sourcing, en utilisant de 50 à 60% des fonctions, la marge de progression reste importante car certains grands groupes ne passent par la plateforme que pour 10 à 15% de leurs achats. « Sur notre secteur, le marché est très loin d'être saturé », affirme Bruno Pillon. Il reconnaît toutefois subir, comme beaucoup d'éditeurs, une pression sur les prix du logiciel. Ce qui, estime le dirigeant, rend d'autant plus notable la croissance réalisée en 2009 par la filiale française.

Parmi les concurrents de BravoSolution figurent des sociétés comme Ariba ou Emptoris, notamment aux Etats-Unis où l'éditeur européen a renforcé sa présence depuis 2008 et son acquisition de Verticalnet. Signalons par ailleurs qu'en février dernier, Capgemini a racheté le fournisseur de solutions d'achats en ligne IBX avec lequel il travaillait depuis l'été 2009. Ensemble, ils comptent mettre en place une offre mondiale de services de recherche de fournisseurs (sourcing) et d'approvisionnement. (...)

(16/03/2010 10:09:40)

Tim Bray, co-inventeur de XML, arrive chez Google

Cet ex-employé de Sun a eu une proposition pour rester avec Oracle, mais il l'a déclinée. Tim Bray est l'ancien directeur technologique de Sun, mais il est plus connu pour être l'un des créateurs du langage XML (Extensible Markup Langage) qui est en format ouvert, consultable sur plusieurs systèmes. Ce langage a été à la base de plusieurs services Web, dont les flux RSS (Really Simple Syndication).

Sur son blog, Tim Bray donne plusieurs raisons à son départ pour Google où il se consacrera à l'aventure Android. Ce projet en Open Source le passionne, aussi bien sur les applications qu'en termes de compétition face à l'iPhone. Il estime que la vision iPhone sur l'Internet mobile du futur est stérile, car trop protégé par des brevets et des avocats. (...)

(16/03/2010 10:09:50)

Filiales de Bouygues, Axione fusionne avec Exprimm

Dans la galaxie Bouygues, on connaît Bouygues Télécom, l'opérateur mobiles et maintenant fixe. Une autre filiale du groupe, plus précisément de Bouygues Construction, agit également dans les télécoms. Mais cette fois sur les réseaux et au plan local : ETDE. Cette dernière vient de fusionner deux de ses filiales : Axione et Exprimm Télécoms. Axione est un opérateur de réseaux publics, tourné vers les collectivités locales. Il a dernièrement remporté les réseaux du Finistère et des Hautes Pyrénées et opère celui de Drôme-Ardèche. Exprimm agit dans la construction des réseaux : travaux, mise en service, maintenance, toujours au plan local. Les deux sociétés fusionnent sous le nom d'Axione. ETDE et Axione ont créé il ya un an une autre société complémentaire : Axione Infrastructures qui s'occupe de financements des PPP (partenariats publics privés), toujours dans le domaine des réseaux d'initiative publique. (...)

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