Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 8781 à 8790.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(10/03/2010 15:09:18)

Tribune de Jean-Marc Boursat, Devoteam : Cloud computing, attention à la sécurité

Le cloud computing ou l'informatique dans les nuages est un concept porteur en 2010. L'avenir de cette plate-forme est encore incertain pour certains, mais de nombreuses entreprises utilisent ou souhaitent utiliser des services Cloud ou du moins les technologies sous-jacentes. De ce fait, des RSSI, confrontés aux choix de leur entreprise, se posent (ou devraient se poser) la question : quelles sont les avantages et les inconvénients d'un point de vue sécurité du cloud omputing pour une entreprise ? En termes de disponibilité du service, un service cloud est souvent présenté comme une solution rapide à mettre en oeuvre, et ajustable aux besoins de l'entreprise. L'informatique traditionnelle nécessitait une étude de dimensionnement et un suivi précis des ressources pour anticiper les évolutions nécessaires et dans certains cas, la mise en place de solutions de partage de charge. Dans le cas du cloud computing, le fournisseur de services effectue ce travail pour le client. Ce dernier peut donc croire que le risque d'indisponibilité du service est transféré chez son fournisseur, mais ce raisonnement a une faille : la disponibilité du service dépend aussi (surtout) de la disponibilité du réseau d'accès. L'abandon d'une application hébergée en interne au profit d'un service cloud impacte le réseau d'entreprise. L'usage des ressources réseau doit donc être analysé en phase pilote pour anticiper les évolutions de bande passante en fonction des prévisions d'utilisation du service cloud. Cette analyse doit être complétée par une vérification du système de partage de charge du fournisseur de service surtout si l'accès passe par un proxy présentant l'ensemble des utilisateurs de l'entreprise comme un seul. Pour poursuivre la lecture de la tribune de Jean-Marc Boursat de Devoteam BU Sécurité, rendez-vous sur notre Blog Experts LeMondeInformatique.fr (...)

(10/03/2010 14:25:58)

Suivre les résulats des élections Régionales 2010 avec Google Maps

La page "Elections régionales 2010" de Google propose une carte de France, issue de l'application Google Maps, fournissant en collaboration avec l'AFP et des sites de journaux régionaux (Sud Ouest, l'Alsace, la Montagne, le Parisien, etc.) les résultats des élections de 2004, puis, au fur et à mesure de leur parution, ceux des premier (14 mars) et second tour (21 mars) 2010. Les résultats sont disponibles à l'échelle de la région, mais aussi aux niveaux des départements et des communes. Deux autres outils permettent de retrouver les articles en rapport les élections régionales (publiés sur Google Actualités) et les vidéos traitant du même sujet (diffusées sur la chaîne Elections Régionales de YouTube). Site : www.google.fr/regionales2010 (...)

(10/03/2010 12:35:00)

Adecco externalise la maintenance de son parc informatique

Adecco France dispose de 2000 sites et son système d'information dispose de 11 500 utilisateurs dans l'ensemble des sites. Pour accroître la flexibilité et l'adaptation de la maintenance de son parc informatique distribué (essentiellement les postes de travail), le groupe a cherché à externaliser la prestation. Au final, il a choisi la SSII APX et vient donc de conclure avec elle un contrat d'une durée de cinq ans. La SSII a été choisie pour ses capacités à, à la fois, intégrer des évolutions du SI et entretenir un parc très distribué. es principaux services intégrés concernent le support téléphonique, les gestes de proximité, la maintenance matérielle, la supervision des serveurs et réseaux locaux, la télédistribution et les déploiements et la gestion des contrats tiers, ainsi que l'évolution des infrastructures. L'équipe interne d'Adecco comportant 16 salariés a été transférée à APX. Elle sera fusionnée à l'ensemble des salariés d'APX afin que les personnels les plus adéquats en quantité et en qualifications soient rendus disponibles au meilleur coût pour Adecco. Le coût du contrat n'a pas été communiqué. Il est basé sur un modèle au prix par poste avec des engagements de niveaux de service. (...)

(10/03/2010 12:25:03)

La GRC en mode SaaS progresse mais reste modeste selon une étude Markess

Selon une étude menée par Markess International, la gestion de la relation client (GRC) en mode SaaS connait actuellement une vraie croissance, même si sa base installée reste encore faible par rapport à l'ensemble du secteur de la GRC et même si les utilisateurs ne sont pas forcément très au fait des subtilités, intérêts et limites du modèle. De plus, une même entreprise comprend en général plusieurs systèmes de GRC, l'intégration de celle-ci dans le SI étant souvent limitée. La GRC est un vaste domaine permettant d'établir un contact / une communication avec un client ou un prospect, qualifier ce contact ou ses besoins, lui vendre quelque chose, prendre sa commande, le livrer, apporter des services après-vente, l'aider, effectuer du reporting sur ses attentes et actions, le fidéliser... Cela exclut notamment la facturation et la comptabilité. Les solutions peuvent cependant être plus ou moins spécialisées sur tel ou tel aspect de la GRC. Face à des acteurs « traditionnels » de la GRC opérant en mode licence (comme Siebel, racheté par Oracle) sont apparus des acteurs opérant en mode service (ou SaaS, comme Salesforce). Un périmètre fonctionnel réel réduit Dans l'enquête de Markess International, la GRC est avant tout utilisée pour gérer les contacts avec les clients au sens strict (80% des répondants) et la gestion des comptes clients (63%). Prospection (53%), analyse (50%) et autres opérations commerciales sont loin derrière dans les préoccupations des utilisateurs. En général, une même entreprise aura plusieurs systèmes de GRC si elle en est équipée. Chaque division et chaque canal auront, de fait, sa propre solution. La mixité des modèles licence/SaaS est le plus souvent la règle. Le mode SaaS est d'ailleurs souvent le dernier venu et, de fait, souvent utilisé pour les activités récentes comme le canal Internet. Mais les principes du modèle SaaS ne sont pas toujours bien compris : des utilisateurs pensent ainsi avoir acheté une licence tout en utilisant une GRC en mode SaaS. Par contre, l'externalisation, le paiement à l'utilisation et l'accessibilité par un navigateur sont bien vus comme caractéristiques du SaaS. [[page]] Selon Markess International, 58% des entreprises privées disposent à ce jour d'une GRC et 11% d'une GRC en mode SaaS contre 47% en mode licence. Moins de 20% des utilisateurs de GRC adoptent donc le mode SaaS. Mais 36% des organisations pensent augmenter leur recours à la GRC en mode SaaS, 26% le maintenir et 4% le baisser. Les fournisseurs confirment connaître d'ailleurs une forte croissance. Le taux de croissance annuel moyen anticipé est de 13,2% entre 2009 et 2011, passons d'un marché de 320 millions d'euros à un marché de 410 millions d'euros. La facilité d'accès via un navigateur web (54% des répondants), l'accès en tous lieux (51%) et la rentabilité (42%) sont les facteurs essentiels de choix d'une GRC en mode SaaS. L'absence de la problématique de la gestion des versions n'est pas considéré comme fondamental et il n'apparait pas dans les préoccupations majeures des utilisateurs. A l'inverse, l'intégration au SI existant (46% des répondants) et la sécurité des échanges (35%) sont les freins majeures. Mais la confidentialité des données stockées et détenues physiquement par l'opérateur n'est un problème que pour 23% des répondants. SaaS ne rime pas qu'avec loyer Lorsqu'une organisation utilise une GRC en SaaS, seul 38% de son budget est consacré à l'abonnement au service. 14% sont ainsi consacrés au conseil amont, 21% au paramétrage (dont la récupération des données) et 16% à la formation (le solde va à des postes nettement moins importants). (...)

(10/03/2010 12:06:14)

Microsoft repart de zéro avec un Windows Mobile 7 incompatible avec les anciennes applications

C'est officiel, Microsoft vient d'annoncer que les anciennes applications ne pourront pas s'exécuter sur son prochain système d'exploitation pour mobiles. En revanche, l'éditeur n'a toujours pas communiqué sur la possibilité de migrer les téléphones existants (par exemple sous Windows Mobile 6.5) vers le nouveau Windows Mobile 7. « Afin que les développeurs puissent tirer pleinement parti de la nouvelle plate-forme, nous avons dû changer la façon dont les applications sont écrites », se justifie Charlie Kindel, partner group program manager pour Windows Phone chez Microsoft. Stratégie de rupture pour l'éditeur Plus concrètement, cette incompatibilité avec l'existant découle du fait que l'environnement de développement de Windows Mobile 7 repose sur Silverlight et XNA. La communauté des développeurs n'est d'ailleurs pas surprise. Car d'un côté, Microsoft a toujours insisté sur l'intérêt de maîtriser Silverlight dans les années à venir. De l'autre, il n'a jamais vraiment poussé sa plate-forme Windows Mobile 6.5 Marketplace, dédié à la diffusion d'applications. Pour autant, Windows Mobile 6.5 ne sera pas abandonné. Charlie Kindel annonce même que « des constructeurs devraient continuer à lancer des appareils sous ce système et nous en assurerons le support pendant plusieurs années. » (...)

(10/03/2010 10:04:06)

Le 9ème appel d'offres des pôles de compétitivité sélectionne une dizaine de projets TIC

Un 9ème appel à projets vient de paraître pour les pôles de compétitivité. 75 nouveaux projets (sur 226 présentés) sont retenus. Il y en avait déjà 813 concernés par les 8 appels précédents. Cette fois, l'Etat attribue 91 millions d'euros pour les 7 nouveaux projets. Les collectivités territoriales devraient apporter 58 millions d'euros supplémentaires. Les PME devraient bénéficier du tiers des financements. A titre d'exemples, parmi les nouveaux projets en TIC, on trouve : « ADS+ » du pôle « transactions électroniques sécurisées », « Comet » dans le pôle « solutions communications sécurisées » ou bien « callisto » qui veut mettre à disposition les technologies de réalité virtuelle dans le secteur du BTP, un projet du pôle « Cap digital Paris-Région » et « Advancity ». Cette démarche de pôles de compétitivité a débuté en 2005, elle repose sur 51 pôles de compétitivité. Les résultats du dixième appel à projets seront rendus publics au mois de juillet prochain. (...)

(10/03/2010 10:05:05)

EdenWall reçoit une aide pour développer son prochain firewall

L'éditeur français de pare-feu EdenWall bénéficie d'un sérieux coup de pouce. Son dossier a été retenu dans le cadre du dispositif Rapid (Régime d'Appui aux PME pour l'innovation duale) qui lui garantit un financement de plusieurs centaines de milliers d'euros de la DGA (Direction Générale de l'Armement) et de la DGCIS (Direction Générale de la Compétitivité, de l'Industrie et des Services). Objectif : « Développer un pare-feu capable de supporter jusqu'à un million d'utilisateurs simultanés. Cette solution sera développée à partir de notre technologie NuFW qui équipe les solutions que nous commercialisons déjà », explique Jérôme Notin, le directeur des opérations d'EdenWall. D'après le calendrier défini par l'entreprise, ses développements devraient aboutir à un produit opérationnel d'ici 24 mois Un produit performant et peu gourmand en ressources machines A la différence des pare-feu classiques qui filtrent les ports et les adresses IP, les produits d'EdenWall effectuent leur filtrage en identifiant les utilisateurs. Ce qui permet par exemple de sécuriser les connexions des travailleurs nomades indépendamment des machines qu'ils utilisent et du lieu où ils se trouvent. De plus, dans le cadre de RAPID, EdenWall va redévelopper l'algorithme qu'il utilise actuellement pour rendre sa solution beaucoup moins consommatrice en ressources machines. On imagine aisément l'intérêt pour des forces militaires en opération à l'étranger de limiter la quantité de matériel informatique qu'elles ont à transporter. L'éditeur / constructeur est aidé dans son entreprise par Dalibo, un spécialiste des bases de données. Ce partenaire doit solutionner les problèmes de goulets d'étranglement dans la journalisation des logs qu'engendre classiquement la montée en performance d'un pare-feu. Les forces armées parmi les futurs clients Bien que financée par des fonds publics, la solution qui va sortir des laboratoires d'EdenWall sera sa propriété. L'armée, et plus largement l'Etat, pourraient donc devenir ses clients. Une bonne affaire qui vient s'ajouter au fait qu'EdenWall compte bien faire fructifier ses travaux en commercialisant aussi son produit auprès des entreprises du secteur privé. « A l'heure actuelle, nous sommes déjà capables de sécuriser plusieurs centaines de milliers de connexions en répliquant des pare-feu. Demain, nous offrirons le même services, mais avec une seule machine à un coût beaucoup plus abordable », prévoit Jérôme Notin. Passé à l'indirect depuis quelques mois, l'entreprise prévoit logiquement de mettre son produit sur le marché notamment par le biais de partenaires intégrateurs. (...)

(10/03/2010 10:04:21)

De 6 à 10 millions d'utilisateurs Wimax dans le monde

Le nouveau standard intitulé 802.16m, remplacera le 802.16e, et devrait accroître les débits montant et descendant. On parle de 170 Mbit/s dans le sens descendant et de 90 Mbit/s dans le sens montant, selon des informations venant de chez Intel. En mobilité, la technologie fonctionnera pour des utilisateurs se déplaçant jusqu'à 350 km/h. Les débits offerts par les opérateurs Wimax actuels sont de 16 Mbit/s dans le sens descendant et de 4 Mbit/s dans le sens montant. Rama Shukla avait estimé cette année le nombre d'abonnés au WImax entre 6 et 10 millions, avec les Etats Unis en tête, suivis par la Russie, et le Japon. L'usage principal est la connexion de PC portables. (...)

(10/03/2010 10:04:31)

Mille taxis Wimax s'animent à Taïwan

Les écrans installés à disposition des passagers, accrochés à l'appui tête du passager avant, permettent de surfer sur internet, de jouer en réseau et de regarder des programmes de Web TV. Cliquer sur l'image pour l'agrandir [[page]] Le dispositif - construit par Tecom Inc - est équipé d'un écran de 7 pouces, tactile contrôlable via un stylet. Il embarque sa connexion Wimax mobile et un GPS. Il fonctionne sous le système d'exploitation mobile Windows CE 5.0. Cliquer sur l'image pour l'agrandir [[page]] L'opérateur Vmax a lancé ses services Wimax à Taïwan au début de février dernier, selon le site web de l'opérateur. La société dispose de cent magasins où l'on peut s'abonner à son réseau Wimax pour un forfait mensuel. Vmax a été financé pour partie par le fond d'investissement d'Intel, fervent promoteur du Wimax. Cliquer sur l'image pour l'agrandir (...)

(10/03/2010 10:04:43)

Fibre optique, Bougyues Télécom mesure ses investissements

(Source EuroTMT ) En présentant les comptes annuels de son groupe la semaine dernière, Martin Bouygues avait réservé une surprise. Il a annoncé que sa filiale mobile allait investir quelques dizaines de millions d'euros pour déployer sa propre infrastructure FTTH, c'est à dire de la fibre optique jusqu'à l'abonné. Cet investissement modeste ne concerne que Paris, la capitale étant la seule municipalité disposant d'infrastructures de génie civile permettant de déployer un réseau optique à moindre coût. Si cette annonce confirme l'ambition de Bouygues Télécom de compter dans le haut et le très haut débit fixe, elle suscite pourtant quelques interrogations. Pour entrer sur le marché du haut débit, l'opérateur mobile avait acquis les infrastructures du FAI Club-Internet, après le rachat de ce dernier par SFR. L'opération avait été suivie par la signature d'une alliance avec le câblo-opérateur Numéricâble, lui permettant d'utiliser l'infrastructure à très haut débit déjà déployée par ce dernier (ou en cours de rénovation). Un réseau propre indispensable Cette infrastructure pouvait paraître suffisante pour Bouygues Télécom, compte tenu de ses objectifs. D'autant que Numéricâble dispose d'une bonne implantation à Paris et en région parisienne. Cette infrastructure est manifestement insuffisante aujourd'hui pour Bouygues Telecoms, qui compte donc déployer un réseau en propre. Or, dans le même temps, Martin Bouygues a aussi tenu des propos critiques envers l'Arcep. Il a indiqué que le groupe comptait saisir le Conseil d'Etat pour faire modifier le cadre réglementaire mis au point par l'autorité des télécoms pour encadrer le déploiement du FTTH dans les zones très denses. Photo : Martin Bouygues (D.R.) [[page]] (Source EuroTMT ) En effet, Martin Bouygues juge que l'obligation de déployer plusieurs fibres optiques dans les immeubles est un avantage pour l'opérateur qui dispose d'une vaste base d'abonnés fixes, autrement dit France Télécom. Une affirmation qui a du faire sourire chez l'opérateur historique. En effet, les dirigeants de France Télécom se sont battus pendant des mois pour imposer la mono-fibre, estimant son coût bien inférieur à la solution de la multi-fibres voulue par Iliad-Free. L'opérateur historique a finalement obtenu de l'Arcep que le surcoût de la multifibre soit pris en charge par l'opérateur qui la demande lors du câblage d'un immeuble. Ce cadre a été fixé après un long processus de négociations. Les propositions de l'Arcep ont notamment fait l'objet d'une consultation publique, à laquelle Bouygues Télécoms a répondu. Des arguments étonnants A la question concernant le mode de déploiement dans les immeubles (mono ou multifibre) l'opérateur mobile avait ainsi indiqué n'être « pas en mesure de prendre position sur cette question ». Un an plus tard, il conteste donc le dispositif, avec des arguments qui suscitent l'étonnement. Une autre raison pourrait justifier sa prise de position. Il s'agit de la volonté de l'opérateur de minorer les coûts d'investissements dans le FTTH. L'ensemble de la réponse de Bouygues à la consultation publique organisée par l'Arcep pouvait se résumer en une phrase : s'assurer que les réseaux horizontaux déployés par ses concurrents soient « dégroupables », et utilisent donc la technologie du point à point (avec une paire de fibres optiques par abonné). A l'époque, le groupe semblait vouloir éviter d'avoir à investir dans les infrastructures, et cherchait manifestement une solution à moindre frais pour lui permettre d'être commercialement présent. Un an plus tard, sa position pourrait avoir changé, mais sa volonté de réduire au strict minimum ses investissements semble perdurer. Ces deux objectifs seront-ils conciliables ? (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >