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(09/03/2010 15:38:47)
L'Icann tient sa réunion à Nairobi malgré les menaces terroristes
Loin des débats habituels de l'Icann sur la gouvernance d'Internet, ces dernières semaines avaient été dominées par les suites à donner aux menaces proférées par le groupe terroriste Al-Shabab basé en Somalie. Les annulations d'hôtel s'étaient enchaînées, certains membres de l'Icann ayant décidé de boycotter le meeting de Nairobi(du 7 au 12 mars 2010), et de tenir des sessions parallèles à New York et à Washington D.C, refusant de prendre le risque de se rendre en Afrique de l'Est. Lundi matin, les organisateurs locaux avaient enregistré 800 participants contre les 1000 dénombrés habituellement. « La sécurité concerne tous les pays mais le Kenya a ses propres problèmes à régler,» a déclaré le président de l'Icann. insistant aussi sur le fait que l'Icann n'avait pas sanctionné les réunions parallèles aux États-Unis, assumant qu'elles avaient eu lieu dans des forums en ligne destinés aux personnes n'ayant pu pas assister à la réunion africaine.
Des réformes devenues nécessaires
Cette semaine, les observateurs seront attentifs aux engagements pris par l'Icann pour résoudre ses différends concernant ses mécanismes de fonctionnement, depuis qu'un comité indépendant (Independent Review Panel) a jugé que l'Icann était injuste et discriminatoire dans le traitement des propositions pour l'adoption d'un domaine .xxx pour référencer les sites offrant un contenu explicitement sexuel. L'ICM Registry avait en effet proposé un .xxx TLD (Top-Level Domain ou domaine de premier niveau), mais l'idée a finalement été rejetée. « Nos statuts exigent que les membres du bureau de l'Icann examinent les conclusions de l'Independent Review Panel qui a testé la validité de notre dispositif et cette question sera abordée à la réunion du conseil d'administration vendredi, » a déclaré Peter Dengate Thrush, un membre du conseil de l'Icann. [[page]] Le conseil devrait également discuter des questions relatives aux noms de domaine internationalisés (IDN) et apporter des éclaircissements sur les raisons pour lesquelles la procédure accélérée appliquée par la Chine a échoué, alors qu'elle en est l'un des plus grands bénéficiaires à coté de la Russie, des Émirats Arabes Unis, de l'Arabie Saoudite et de l'Egypte. Le débat sur les nouveaux domaines génériques de premier niveau devrait gagner du terrain notamment en matière de protection des marques commerciales. En particulier, la question de savoir si les marques déposées devront acheter tous les nouveaux gTLD afin de protéger leurs identités, sera à l'ordre du jour.
Toujours pas de bureau en Afrique
Dans son discours d'ouverture, Rod Beckstrom a rendu hommage aux progrès réalisés par les gouvernements africains pour assurer l'accès à Internet. Il a également exhorté l'Afrique à davantage participer au comité consultatif du gouvernement, au sein duquel l'Icann met en place ses différentes politiques. Toutefois, le président de l'Icann a clairement indiqué que l'Icann n'ouvrirait pas de bureau en Afrique, arguant que 90 % des recettes de l'institution provenaient d'Amérique du Nord. « Une des raisons pour lesquelles il existe trois bureaux là-bas et aucun en Afrique. » Par ailleurs, l'Afrique n'a pas encore résolu certaines questions élémentaires, comme la redélégation du code de pays pour les domaines de premier niveau, laquelle a déjà été effectuée il y a dix ans dans de nombreux pays membres de l'Icann. Le ccNSO, l'organe qui, au sein du Conseil d'administration de l'Icann, représente les intérêts de la communauté des registres nationaux qui y ont adhéré - dont des domaines de premier niveau africains - et également organisation de support technique, s'occupe de gérer les codes pays. « S'il y a des questions de redélégation, elles seront traitées par l'Internet Assigned Numbers Authority, » a déclaré Rod Beckstrom. En marge des discussions, l'Icann organise également une formation technique sur la sécurité pour les opérateurs et gestionnaires de registry participant au meeting de Nairobi. (...)
Selon une étude récente, Hadopi n'a pour l'instant que peu d'effets sur le téléchargement illégal
Conduite auprès de 2.000 personnes dans la région Bretagne entre novembre et décembre 2009 (soit environ trois mois après la promulgation de la loi), cette étude révèle que le nombre de pirates sur Internet en France a augmenté de 3% sur cette période, alors que la plupart des internautes interrogés avaient connaissance de l'existence de cette loi et de ces principales dispositions. Les réseaux peer-to-peer, cible principale de la loi Hadopi, ont certes vu leur fréquentation baisser : 15% des utilisateurs de ces réseaux ont définitivement cessé de le faire avec l'adoption de la loi. En revanche, seulement un tiers de ces ex-pirates ont renoncé à toute forme de piratage sur Internet. Les deux tiers restants se sont tournés vers des systèmes de téléchargement alternatifs qui échappent au périmètre de cette loi, comme le streaming illégal ou le téléchargement sur des sites d'hébergements de fichiers (Rapidshare, Megaupload, etc.) domiciliés en Allemagne ou à Hong Kong. [[page]] "La réduction du nombre d'internautes qui utilisent les réseaux peer-to-peer s'est donc accompagnée d'une hausse des autres formes de piratage non prises en compte par la loi Hadopi (+27%). Cet accroissement fait plus que compenser la diminution du nombre d'utilisateurs des réseaux Peer-to-Peer" explique le rapport de l'étude. L'enquête révèle par ailleurs que les "pirates numériques" ne sont pas forcément de mauvais acheteurs de contenus légaux en ligne. La moitié d'entre eux (dont 27% sont des utilisateurs des réseaux peer-to-peer) sont en effet des "acheteurs numériques" de musique ou de vidéo sur les plateformes légales. En conclusion, les chercheurs de Rennes 1 estiment que la loi Hadopi, en coupant la connexion Internet des pirates peer-to-peer, pourrait réduire la taille du marché légal des contenus culturels numériques. (...)
(09/03/2010 14:42:05)L'éditeur français Exo Platform lève quatre millions d'euros
Quelques mois après avoir posé ses valises à San Francisco, le Français eXo Platform lève 4 millions d'euros pour développer son bureau américain. « C'est notre premier tour de table après sept ans d'autofinancement », confie Benjamin Mestrallet, son président fondateur, qui a lui-même ouvert le bureau californien en octobre dernier [lire "eXo Platform prend pied aux Etats-Unis"]. La société a démarré son activité en 2003 avec le développement d'un container de portlet Java en Open Source. Par la suite, elle a développé l'interface WebOS, qui reproduit l'environnement de travail d'un utilisateur à partir d'un navigateur web, ainsi que des logiciels collaboratifs et de gestion de contenus. Il y a quelques mois, l'éditeur a fusionné son projet de portail avec celui de Red Hat (le plus important distributeur d'eXo aux Etats-Unis) pour créer une plateforme commune, GateIn. XAnge et Auriga, engagés à parts égales Les fonds que l'éditeur vient de recueillir proviennent de deux sociétés de capital risque françaises, XAnge, créée par La Poste, et Auriga Partners. Elles sont désormais engagées à parts égales dans eXo (en septembre dernier, Auriga avait déjà investi 2 M€ dans BonitaSoft, éditeur d'une solution de BPM en Open Source). Ces deux investisseurs permettent à l'éditeur français d'embaucher trois collaborateurs seniors : un vice-président des ventes et deux directeurs marketing. « C'est la première fois que nous faisons cela », explique le dirigeant français, en précisant que sa société est profitable et qu'elle réalise une très bonne croissance en Europe. [[page]] Pour déployer les activités d'eXo Platform aux Etats-Unis, Benjamin Mestrallet s'est entouré à l'automne dernier d'un bureau de trois conseillers, familiers de l'Open Source et dotés d'une forte expérience dans les métiers du logiciel. Parmi eux figure Bob Bickel, co-fondateur de Bluestone Software (racheté par HP en 2001). Cet ancien directeur de la stratégie chez JBoss préside désormais le conseil d'administration de la société française. « Il m'a mis en contact avec les plus gros venture capitalists [investisseurs en capital risque] américains de la Silicon Valley », apprécie Benjamin Mestrallet qui reconnaît avoir eu de ce côté de l'Atlantique des propositions intéressantes avant de finalement choisir des investisseurs français. « Je recherchais des fonds et la confiance de ces futurs partenaires ». Avec la présence de Bob Bickel au sein d'eXo Platform et sa connaissance du secteur, le recours à des investisseurs américains pour ouvrir les portes devenait moins impératif. D'ailleurs, le nouveau 'chairman of the board' engage lui-même ses propres deniers dans la société. « Tous les recrutements américains viennent de son réseau », précise encore le fondateur d'eXo Platform. Ainsi, le vice-président des ventes, Tom Leonard, est un ancien de BlueStone Software et de JBoss, passé par la suite chez OpenSpan, un éditeur spécialisé dans l'optimisation du poste de travail. La directrice chargée du marketing direct, Katie Poplin, a également travaillé chez JBoss puis Red Hat. Enfin, le directeur marketing chargé du réseau de distribution est un Français, Jérôme Agnola, qui habite dans la 'Valley' depuis dix ans. Il permettra de faire le lien entre les bureaux. Pour Benjamin Mestrallet, ces recrutements représentent une dépense contrôlée. « Nous ne réembaucherons pas avant plusieurs mois, pas avant que nous ne soyons revenus à l'équilibre », conclut-il. (...)
(09/03/2010 11:24:22)Continuité de services accrue pour les dernières baies HP
« Les désastres provoquent beaucoup de dégâts et peuvent être fatals aux entreprises » souligne Chris Powers, le directeur de l'unité d'affaires XP chez HP et d'ajouter que l'actualité a montré « l'importance du rétablissement de l'activité lors de catastrophe comme les typhons ou les tremblements de terre, qui coupent l'accès à l'énergie ». La vieille technique d'établir un site miroir du datacenter ne garantit pas la continuité des opérations en cas de problème. Pour démontrer la résistance et la continuité de service proposée par les dernières baies de stockage HP, le responsable de la compagnie informatique a montré une vidéo où un ingénieur tire une balle à travers la coque et les applications ont continué à fonctionner. Les mêmes ingénieurs ont réalisé avec les solutions de stockage XP une explosion d'un datacenter impliquant l'effacement de toutes les données. Après la déflagration, le temps de rétablissement des applications dépend du système d'exploitation. 14 secondes ont été nécessaires pour basculer sur le service de secours, mais 2 minutes pour celui tournant sur Linux.
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En plus d'être très résistantes, les baies de stockage XP intègrent parfaitement la virtualisation « le stockage traditionnel n'est pas évolutif. Pour une disponibilité constante des données, nos produits peuvent se transformer pour accueillir jusqu'à 2 Petabytes » confirme Chris Powers.
Une gamme Storage P toilettée
En parallèle des offres spécifiques contre les catastrophes, HP propose la baie StorageWorks P4000 G2 SAN (voir illustration principale), qui est aussi une solution contre les pertes de données et les interruptions. Pour éviter ces risques, la solution HP intègre une redondance des équipements avec des fonctionnalités de Network Raid. Les PME-PMI ne sont pas oubliées avec l'offre StorageWorks P2000 G3 MSA (voir ci-dessous). Elle utilise un contrôleur Fiber Channel 8Gb qui apporte un transfert de données deux fois plus rapide que sur les précédents modèles .De plus, elle donne la possibilité d'utiliser un contrôleur FC/iSCSI Combo combinant deux ports FC 8Gb et deux ports iSCSI 1Gb. La protection des données est renforcée avec « Remote Snap », une capacité de réplication qui a été développée dans cette nouvelle solution.
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Lu pilote ses promotions avec un décisionnel adapté
Selon une étude Iri France, en 2009, 17,2% du chiffre d'affaires de la grande distribution concerne les opérations promotionnelles. Si les ventes sous promotion sont d'importance croissante, leur gestion est particulièrement complexe pour les services commerciaux des fournisseurs de la grande distribution, particulièrement dans l'agro-alimentaire. La difficulté réside notamment dans la nécessité de traiter en temps réel un grand nombre d'informations pour que l'industriel optimise ses propres campagnes afin d'accroître son chiffre d'affaires. Dates, mécaniques et produits concernés d'un plan de promotion doivent être appréhendés synthétiquement pour couvrir les besoins de gestion, de communication et d'organisation des industriels. Les vendeurs terrain doivent également pouvoir disposer des informations en temps réel afin d'être pro-actif auprès des grands distributeurs. Pour atteindre ces objectifs, Lu a donc choisi l'offre progicielle de Business Intelligence de l'éditeur français Tilbury. L'éditeur décrit ainsi les fonctionnalités fournies à Lu : « Le planning promotionnel permet une vision synthétique et graphique de l'activité en cours et à venir sur toutes les enseignes. L'utilisateur sélectionne une enseigne et cible son action en filtrant les dates de remontées et les dates de consommations du prospectus ou autres supports. Une fois l'opération choisie, l'ensemble des produits ouverts sur cette opération apparaît et un plan de vente est généré automatiquement. La fonction reporting de l'outil permet une diffusion et une consultation en temps réel des informations portant sur la revente (en CA et en UVC) par la Direction Nationale des Ventes et le service prévisions des ventes. » Le coût global du projet n'a pas été communiqué. (...)
(09/03/2010 10:42:33)Le W3C se dote d'un PDG en recrutant un ancien de Novell
Poste vacant depuis quelques années, Jeffrey Jaffe, ancien directeur technique de Novell (CTO), prend la présidence exécutif du W3C. Le consortium W3C se dote enfin d'un CEO qui travaillera de concert avec l'inventeur du Web, Sir Tim Berners-Lee, qui demeure le directeur de l'organisation. (...)
(09/03/2010 10:34:44)IDC confirme que l'année 2009 a été très difficile pour le marché du stockage
Selon IDC, le classement mondial pour les fabricants de systèmes de stockage sur disques (tous systèmes confondus) fait ressortir une baisse annuelle de 11,9% à 24,465 milliards de dollars. HP garde la tête, avec 18,4% des parts (contre 19,6%), mais une forte baisse de 17% (4,50 milliards de dollars de CA contre 5,43). IBM est là encore second avec 16,9% de parts contre 16,1%, en baisse de 7,2% (4,14 milliards de dollars contre 4,46). EMC, troisième, est très proche avec 16,8% des parts, contre 16,4, en baisse de 9,8% (4,10 contre 4,55). IBM est donc passé devant EMC. Le quatrième, Dell, est à 11,4% des parts contre 11,2%, en baisse de 10,4% (2,79 milliards de dollars contre 3,11). NetApp, cinquième est à 6,4% de parts de marché, contre 5,8%, en baisse de 2,5% (1,56 contre 1,60). EMC toujours en tête pour les disques externes Concernant le marché mondial du stockage sur disque dur externe, IDC constate une baisse de 10,2% en 2009, avec 18,1 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Par acteur, EMC reste en tête avec 22,7% des parts (contre 22,6% en 2008) mais une baisse de 9,8% (4,11 milliards de dollars de chiffre d'affaires, contre 4,55). IBM suit de loin avec 14,2% de parts (contre 13,2%), et une baisse de seulement 3,9% (2,56 milliards de dollars de CA, contre 2,66). [[page]] HP, troisième, obtient 11,7% (contre 12,7), en forte baisse de 17,5% (2,10 milliards de dollars de CA contre 2,56). Dell, quatrième, est à 9,1% des parts contre 9,2% en baisse de 11,4% (1,65 milliards de dollars de CA contre 1,86). Cinquième, NetApp est à 8,6% des parts, contre 8%, avec une petite baisse de 2,5% (1,56 contre 1,60). Les autres compétiteurs, globalement sont à 33,7% des parts, contre 34,3%, en baisse de 11,7%. Le marché des logiciels est plus stable Troisième point, le marché des logiciels de stockage. Il représente 11,725 milliards de dollars, en baisse de 4,7%. EMC est en tête avec 22,7% des parts de marché, contre 24,4%, en baisse de 11,6% (2,66 milliards de dollars de CA, contre 3 milliards). Symantec, obtient 17,9%, contre 18% et une baisse de 4,8% (2,10 milliards contre 2,21). IBM, troisième est à 13,5% des parts, contre 12,8%, en baisse de 0,5% (1,58 milliard de dollars contre 1,57). En quatrième place, on trouve NetApp avec 8% des parts, contre 7,9%, en baisse de 3,4% (940 millions de dollars contre 973). CA, cinquième est à 4%, la même part qu'en 2008, CA baisse de 6% (467 millions de dollars contre 497). (...)
(09/03/2010 10:12:42)Très cher iPhone
Les utilisateurs d'un iPhone en France dépensent en moyenne 54 € par mois d'abonnement téléphonique, contre environ 32 € pour la moyenne nationale, selon une étude réalisée par la société AQOA. Par ailleurs, les possesseurs d'iPhone ont déboursé en moyenne 193 € pour acquérir leur smartphone. Certains d'entre eux (13%) ont même consacré plus de 300 € à cet achat. Selon AQOA, qui a réalisé son enquête auprès de 500 possesseurs d'iPhone ou d'iPod Touch en France, une majorité de ces utilisateurs déclare avoir constaté une "hausse sensible" de leur abonnement téléphonique avec leur passage à l'iPhone. 54 € en moyenne par mois Cette augmentation, généralement liée aux forfaits 3G d'accès à l'internet mobile, a été comprise entre 10 et 20 € dans 25% des cas, et supérieure à 20 € dans 15% des cas. 39% indiquent toutefois n'avoir pas vu de changement sur leur facture depuis l'achat du smartphone d'Apple. En moyenne, l'utilisateur français d'un iPhone paie 54 € par mois d'abonnement téléphonique (8% paie même plus de 80 € par mois), alors que la facture téléphonique moyenne s'élève à 32 € par mois TTC, selon les données trimestrielles de l'Arcep (3ème trimestre). [[page]] Pour s'équiper, 34% s'en remettent aux subventions des opérateurs pour payer leur iPhone moins de 100 €, mais ils sont 26% à avoir déboursé plus de 230 € (et même 13% qui ont dépensé plus de 300 €) pour s'offrir l'appareil de leurs rêves. Quant aux applications et contenus (musique, vidéos, etc.), près de 60% des utilisateurs d'iPhone et d'iPod Touch déclarent acheter des contenus sur iTunes, la boutique en ligne d'Apple. En moyenne, 34% ne dépensent pas plus de 5 € par mois, 15% entre 5 et 10 € par mois, et 10% entre 10 et 20 €. Au rayon des applications les populaires, Facebook arrive en tête des applications gratuites (devant PagesJaunes) et la Ratp domine le classement des applications payantes (devant Scrabble, GPS Kit, Tetris et TomTom). Cette enquête a été réalisée en ligne en décembre 2009 auprès de 500 personnes équipées d'iPhone ou d'iPod Touch, sélectionnées au sein d'un échantillon représentatif de la population française selon la méthode des quotas. (...)
(09/03/2010 09:59:26)Les opérateurs US misent sur le Wimax et le LTE
Fin 2010, l'opérateur Clearwire devrait avoir bâti son réseau Wimax pour les marchés les plus importants des Etats Unis. Quant à Verizon, il prévoit de commercialiser ses services LTE (Long Term Evolution) dans 25 à 30 marchés majeurs toujours aux Etats Unis fin 2010. A la même date, l'Association du GSM espère que ses travaux sur VoLTE (Voix sur LTE) seront pratiquement terminés et que les terminaux LTE seront capables de gérer la voix sur LTE et les SMS. Dans le détail, les réseaux Wimax utilisent le standard 802.16. Clearwire voit ses services Wimax être revendus par les opérateurs Sprint, Comcast et Time-Warner Cable. Le LTE, pour sa part, hérite des principes du GSM et sera déployé par Verizon, AT&T et T-Mobile. Dès aujourd'hui, Clearwire dispose de services Wimax disponibles dans 27 marchés américains couvrant 34 millions de points de présence potentiels (domiciles de particuliers, bureaux professionnels). Fin 2010, Clearwire couvrira 120 millions de points de présence. Pour les entreprises américaines qui sont situées dans n'importe laquelle des métropoles des Etats Unis, il est très probable qu'elles auront accès au réseau Wimax de Clearwire à la fin de 2010. Des stratégies et des investissements différents « La revente de services est en forte croissance. Nous avons capté 46 000 clients par ce biais, à la fin du 4ème trimestre 2009, et notre rythme de progression devrait nous amener à faire nettement mieux durant ce premier trimestre 2010 » affirme Mike Sievert Chief Commercial Officer de Clearwire. Au contraire de Clearwire, Verizon n'aura pas de réseau LTE couvrant les Etats Unis depuis la côte Est jusqu'à la côte Ouest. L'opérateur prévoit cependant de couvrir 30 villes majeures et beaucoup plus en 2011. Verizon a passé son année 2009 à se préparer pour activer son infrastructure LTE dans le courant de 2010 y compris pour ses antennes, le coeur de son réseau et la location des points hauts auprès de leurs propriétaires, affirme Tony Melone, executive vice président et CTO de Verizon Wireless. [[page]] A partir de là, Verizon étendra de manière significative son réseau LTE tout au long de 2011. L'opérateur entend avoir doubler le nombre de villes couvertes pour le début de 2012. A la fin de 2013, Verizon devrait avoir couvert en 4G le même périmètre que son réseau 3G actuel et même aller au-delà. Tony Melone explique que Verizon exploitera d'abord la tranche de 22 Mhz du spectre dans la bande des 700 Mhz obtenue durant les enchères de 2008. "La bande de fréquences des 700 Mhz nous offre d'énormes avantages en termes de propagation comparativement à ceux qui déploient dans des bandes de fréquences supérieures. La bande des 700 Mhz signifie que nous devrons équiper moins de sites d'émission, et que nous aurons une meilleure pénétration des ondes radio dans les immeubles » ajoute Tony Melone. Les premiers utilisateurs du LTE ne disposeront au début que de modems pour des transferts de données, sans téléphonie vocale. Afin de palier à cela, AT&T, Verizon et d'autres sociétés des télécoms, dont des fabricants, ont décidé conjointement de développer des standards pour la voix et les SMS sur LTE. En février, l'association du GSM a décidé d'adopter la solution des opérateurs pour la voix sur LTE, afin d'éviter la dispersion des efforts en matière de standardisation. Bientôt de la voix sur LTE L'association du GSM a déclaré qu'elle soutenait l'initiative VoLTE, fondée sur une approche IMS (un standard qui définit un coeur de réseau IP pour tous les services télécoms), car « IMS permet tous les services autour de la voix tels que la mise en attente d'un appel ou la limitation d'appels.» "Les possibilités techniques pour de la voix sur LTE seront disponibles en 2011. La question pour nous sera de savoir si notre couverture radio en LTE sera suffisante pour fournir à nos clients un service téléphonique convenable en voix sur LTE, ou s'il vaudra mieux que nous offrions de la voix sur la 3G et des services de données sur la 4G » conclut Tony Melone. (...)
(09/03/2010 09:54:22)La Poste bientôt opérateur mobile virtuel
Que faire quand l'activité du courrier est en baisse constante ? Se tourner vers les nouveaux médias, comme le téléphone mobile. C'est que ce La Poste aurait bien envie de faire en devenant opérateur mobile, selon notre confrère Les Echos. La décision devrait être entérinée Jeudi prochain lors du prochain conseil d'administration. L'offre concernerait aussi bien des forfaits que des cartes pré-payées. La Poste serait MVNO (Mobile Virtual Network Operator) au même titre que Virgin Mobile. Les services seraient commercialisés au premier semestre de 2011. Dans ce retour au source de l'ancien monopole des télécommunications, la Poste dispose d'un atout de première grandeur avec son réseau de distribution de proximité unique en France. Les ambitions de La Poste resteraient mesurées avec 1,5 à 2 millions de clients. Voilà qui ne va pas faire plaisir à Free mais devrait déclencher une vraie concurrence entre les opérateurs mobiles qui possèdent leur propre réseau (Orange, Bouygues Télécoms ou SFR) pour héberger La Poste sur leurs infrastructures. Et que penserait l'Autorité de la Concurrence d'un rapprochement entre La Poste et France Télécom sur ce sujet ? (...)
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