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(22/01/2010 15:01:22)

La Twittersphere s'essoufle, mais les utilisateurs s'aguerrissent

La semaine de Twitter Inc avait bien démarré : le président Barack Obama et le fondateur de Microsoft, Bill Gates, ont rejoint le réseau social et commencé à envoyer leurs premiers « tweets ». Mais l'enquête publiée par HubSpot Inc, une société spécialisée dans les statistiques Internet et basée à Cambridge, Massachusetts, remet les choses à leur place. L'étude qui a analysé 5 millions de profils Twitter et 6 millions de tweets, est venue affirmer que le taux d'inscription de nouveaux utilisateurs au service de Twitter diminuait de façon spectaculaire depuis l'automne, de quoi dernier ternir un peu le paysage. Si au cours des deux dernières années, la croissance de Twitter a été très rapide, le rapport publié par HubSpot sur la « Twittersphere » montre que le taux de croissance de Twitter est tombé à 3,5% en Octobre quant il atteignait 13% sept mois auparavant. Pour tempérer, le rapport note cependant qu'une enquête récente réalisée auprès des utilisateurs de Twitter a montré qu'ils étaient de plus en plus aguerris dans les usages du réseau social. En bref, moins d'utilisateurs inscrits mais ceux là étaient devenus de meilleurs Twitterers. Des utilisateurs plus actifs la nuit Selon HubSpot qui a dressé le profil de l'utilisateur moyen, un Twitterer suit en moyenne plus de personnes, il a également plus d'adeptes, et met ses posts à jour beaucoup plus souvent qu'en 2009. Par exemple, l'utilisateur moyen, qui affichait environ 60 adeptes en juillet dernier, en compte désormais 300 en janvier 2010. «Ce changement est peut-être le reflet du ralentissement du taux de croissance", note le rapport. « Mais la population actuelle des utilisateurs de Twitter l'utilise plus qu'il ya quelques mois. De plus, une part plus importante de cette population est constituée par des utilisateurs expérimentés. » Pour calmer les utilisateurs de Twitter qui se sentent frustrés de ne pas avoir autant d'adeptes que les « géants » Twitterers Ashton Kutcher ou Oprah Winfrey, HubSpot indique que 82% des utilisateurs du réseau social totalisent moins de 100 adeptes chacun. Sur les habitudes d'utilisation du service, le rapport constate que les utilisateurs de Twitter sont plus actif la nuit. Notamment, la plage horaire de 22-23 heures est celle pendant laquelle le site est le plus visité. Enfin, HubSpot constate que Twitter est devenu un phénomène de plus en plus international. L'étude fait remarquer qu'en juillet dernier, le Top 20, qui établit un classement par lieux géographiques en fonction du nombre de tweets envoyés, comportait 15% de territoires situés hors d'Amérique du Nord. En janvier, ce chiffre a atteint 40%, marquant la première apparition du Brésil, de l'Allemagne, de Singapour et de l'Indonésie dans le classement. (...)

(22/01/2010 14:37:46)

Tribune libre : analyser la valeur du SI grâce à une approche par les fonctions

Valoriser l'immatériel est une gageure à laquelle sont confrontés tous les décideurs de l'informatique. Comment établir le rapport entre les coûts et les apports d'un système d'information, afin de savoir quelle technologie abandonner, quel projet lancer, etc. ? Dans une tribune libre publiée dans le Blog Experts, Guy Boizard, consultant de Conix Consulting, propose une approche par les fonctions, « certainement l'élément le plus apte à établir le rapport coût/bénéfice ». Toutefois, cela implique un très important effort de réflexion, puisque « la mesure des coûts des fonctionnalités reste embryonnaire, et surtout, l'analyse de la valeur des fonctions est largement méconnue ». Le consultant reconnaît que l'exercice reste délicat, mais, écrit-il, « la fonction matérialise le bon niveau de maille pour affecter une valeur attendue du SI : elle permet au moins de se poser les bonnes questions ». La tribune de Guy Boizard : Analyse de la valeur du SI : l'approche par les fonctions (...)

(22/01/2010 13:06:39)

Plus de 95% du courriel est en fait du pourriel, note l'Agence européenne de la sécurité

Seulement 4,4% des courriels arrivent à leur destination. Les 95,6% restants sont bloqués par les diverses mesures anti-spam prises par les opérateurs et fournisseurs d'accès. Des statistiques effarantes tirées du dernier rapport que l'Enisa (Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information, qui vient de passer sous l'autorité de Neelie Kroes) vient de publier, sur le pollupostage et les mesures de prévention pour réduire le nombre de ces pourriels. L'Enisa 2009 Spam survey agrège des données provenant de 92 fournisseurs d'accès, opérateurs télécoms et autres gestionnaires de courriels dans 30 pays (dont 26 de l'UE), gérant au total quelque 80 millions de boîtes à lettres. Dans la grande majorité des cas, ces entreprises classent la lutte contre le pollupostage dans leurs activités liées à la sécurité, et estiment qu'il s'agit d'un aspect essentiel de la qualité du service qu'elles délivrent à leurs clients. Il s'agit de la principale motivation de la lutte anti-spam, loin devant les coûts en bande passante. Un gros opérateur investit plus d'un million d'euros par an dans la lutte anti-spam Il faut dire que le pourriel qui échappe aux mesures de prévention et atteint le consommateur peut coûter cher en appels au service client. D'après l'enquête, deux tiers des appels au helpdesk concernent le spam ! Les opérateurs investissent donc des montants significatifs : cela va de quelques dizaines de milliers d'euros par an pour les très petits fournisseurs (moins de 1 000 boîtes gérées) à plus d'un million d'euros pour un tiers des très grands fournisseurs (plus d'un million de boîtes gérées). Les mesures de lutte et de prévention n'ont guère évolué depuis 2007, date de la précédente enquête de l'Enisa sur le sujet. Les trois techniques les plus utilisées sont les listes noires, le filtrage du contenu et l'authentification des expéditeurs. Toutefois, si 90% des opérateurs recourent à une liste noire pour écarter les polluposteurs, ils reconnaissent volontiers que l'outil manque de précision. Les deux tiers indiquent en effet que leurs serveurs ont déjà figuré par erreur sur une telle liste, ou ont continué à y figurer après que des problèmes de spam ont été réglés. Le rapport de l'Enisa suggère d'ailleurs une approche plus collaborative entre les éditeurs de ces listes noires, pour accroître leur réactivité. De même, les opérateurs sont invités à mieux collaborer entre eux - lorsqu'ils détectent la provenance d'un pollupostage - et avec les autorités. (...)

(22/01/2010 12:20:23)

Six collectivités locales se regroupent pour attirer des datacenters

Les datacenters sont promis à un fort développement. Les prévisions tablent sur des croissances à deux chiffres des capacités à mettre en oeuvre. « Plusieurs types de projets se rencontrent, nous explique Corentin Cariou du cabinet Regional Partners : les datacenters internes ou mutualisés des grands utilisateurs nationaux comme les banques ou les compagnies d'assurance, et ceux des grands infogéreurs ou des opérateurs télécoms. Les datacenters s'organisent également en sites miroirs, donc se doublent d'un autre site ». Toutefois, ce développement s'est essentiellement porté ces dernières années sur les départements d'Ile-de-France et sur des implantations proches des grands donneurs d'ordre. D'autres territoires pourraient être candidats. Sur cette idée, six collectivités locales, conseillées par le cabinet Regional Partners, se sont regroupées autour du label iterritories : Lyon et son agglomération (agence de développement Aderly), l'agglomération de Caen-la-Mer, celle de Dunkerque, le pays d'Artois (agence de développement Osartis), les départements de l'Yonne et de la Seine-et-Marne. Accueillir des datacenters renforcerait l'attractivité de leurs territoires. Des qualités techniques et administratives Le label iterritories permet de reconnaître des collectivités qui présentent plusieurs caractéristiques. Des qualités techniques : accès réseaux en général, fibre optique, infrastructures de desserte. Des atouts en gestion : aide au montage des dossiers, recherche et financement, solutions foncières et immobilières, bassins d'emplois. Les localisations proposées doivent également se trouver éloignées des zones à risque : inondables, sismiques, avec des conditions climatiques extrêmes. Iterritories parie sur la rencontre entre les besoins exponentiels en traitement de données, qui expliquent les besoins des entreprises et les atouts des collectivités locales en mal d'attractivité. Iterritories, outre son label et son site, participe à des salons comme ItiForums et se rapproche d'organisations spécialisées comme le Crip (Club des responsables d'infrastructures de production), ou le Cesit (Club des exploitants de salles informatiques et télécom). (...)

(22/01/2010 12:13:09)

Faille critique d'Internet Explorer : le correctif enfin disponible

Microsoft propose une mise à jour exceptionnelle d'Internet Explorer ( voir bulletin de sécurité de la firme ) pour corriger la faille responsable du piratage de Google. Parallèlement, l'éditeur conseille à ses clients de passer à la version 8 de son navigateur maison qui active pas défaut la fonction DEP (Data Execution Prevention) censée bloquer certaines intrusions. Cette mise à jour exceptionnelle, hors pack Tuesday, comble par la même occasion six autres failles critiques. Tous les utilisateurs de Windows qui acceptent les mises à jour automatiquement de Microsoft récupèreront automatiquement ce patch. Les autres sont invités à lancer l'utilitaire Windows Update et à accepter la mise à jour critique relative à Internet Explorer. (...)

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