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(21/01/2010 18:07:16)
Lotusphere 2010 : avec Vulcan, Lotus imagine les outils collaboratifs de demain
Si les utilisateurs de Notes, Quickr, Sametime ou Connections viennent à Lotusphere en quête de réponses concrètes sur les logiciels qu'ils exploitent au quotidien, les conférences plénières de l'événement abordent aussi des aspects plus prospectifs. Cette année, Alistair Rennie, le tout nouveau patron de Lotus Software et Websphere Portal, a dessiné les contours (encore imprécis) de l'application de collaboration des prochaines années. Un projet baptisé Vulcan où il n'est pour l'instant pas encore question de produit, a rappelé plusieurs fois le dirigeant au cours des différents points presse, mais « de vision ». Une telle expression pourrait laisser dubitatif si l'on ne disposait pas, malgré tout, de quelques éléments tangibles. IBM précise notamment que Vulcan s'inscrit dans la continuité du portefeuille de produits existant de Lotus, avec l'ambition de faire converger les fonctions déjà disponibles (communication, partage de données, réseau social...). Le tout s'effectuant au sein d'une interface harmonisée, accessible depuis différents points d'entrée : un client Notes, un navigateur Web ou un service mobile. A la découverte de ce que l'on ne connaît pas D'un point de vue fonctionnel, ces futurs outils apporteront une dimension d'exploration et de découverte d'informations, a évoqué Alistair Rennie. Une évolution qui s'appuiera notamment sur des applications de réseaux sociaux tels qu'on peut les déployer aujourd'hui avec un logiciel comme Connections. Ce dernier suscite de plus en plus l'intérêt des entreprises comme moyen de retrouver plus rapidement les expertises au sein de leurs équipes ou de leur écosystème. Dans le projet Vulcan, IBM inclut évidemment le recours à des outils d'analyse de ces réseaux sociaux ('social analytics') pour 'recommander' les contacts, contenus et événements métiers qui semblent les plus pertinents en fonction d'un contexte donné. « Ce que veulent les clients, c'est pouvoir exploiter de façon intégrée les éléments qui sont importants pour eux dans leur contexte métier, souligne Alistair Rennie. Nous essayons vraiment d'imaginer comment les gens vont vouloir collaborer à l'avenir ». Le projet Vulcan s'adresse d'abord aux développeurs Pour le patron de Lotus Software, ce sont les développeurs qui vont donner de l'ampleur à ce projet en créant de nouvelles générations d'applications collaboratives. « Vulcan s'appuie sur un modèle de programmation ouvert », précise-t-il. Et d'énumérer l'utilisation d'API Rest, de HTML5, des mash-up et widgets, ainsi que de XPages for Notes, le toolkit de développement pour applications Web 2.0, annoncé avec Domino 8.5, l'an dernier à Lotusphere. En y ajoutant des fonctions de Single Sign on et de recherche. IBM prévoit de livrer la version bêta d'un environnement de développement au second semestre de cette année. Celui-ci sera disponible via LotusLive Labs, nouveau canal qui offre désormais à l'appréciation des utilisateurs enregistrés le fruit des développements combinés d'IBM Research et de Lotus. Les évolutions découlant du projet Vulcan seront livrées dans les prochaines versions des produits Lotus, promet IBM. Tant Notes, Domino et WebSphere Portal, que Connections ou QuickR, et y compris au sein des logiciels accessibles sur le cloud LotusLive. Il faudra juste faire preuve d'un peu de patience pour les découvrir. Déjà fortement concurrencé par Microsoft, sur les applications de messagerie et de collaboration, avec Exchange et SharePoint, Lotus se voit maintenant 'challengé' par Google, avec Gmail et le projet de plateforme collaborative Wave, actuellement testée par les internautes enregistrés. Face à eux et à bien d'autres, IBM a tout intérêt à voir loin et à le faire savoir, par exemple avec l'évocation de projets tels que Vulcan. En attendant l'outil du futur, Alistair Rennie rappelle que Lotus livre de façon régulière des innovations pour chacun de ses principaux produits. Et souligne tout l'intérêt de disposer maintenant d'applications dans le cloud qui permettent à Lotus de faire évoluer ses logiciels "à la vitesse du Web". Illustration / De gauche à droite sur la photo, lors d'un point presse qui a, notamment, abordé le projet Vulcan : Alistair Rennie, directeur général de Lotus Software et WebSphere Portal, Kevin Cavanaugh, vice président, responsable des logiciels de messagerie et de collaboration, Sean Poulley, vice président pour les services de collaboration en ligne, et Bruce Morse, vice président, responsable des logiciels de communication unifiée. (...)
(21/01/2010 15:26:16)Avec le concours de Stratasys, HP va proposer des imprimantes 3D
Hewlett-Packard se lance sur le créneau des imprimantes 3D. La firme a signé un accord avec la société Stratasys, spécialiste de l'impression en relief, pour la réalisation d'une gamme d'imprimantes 3D vendues sous la marque HP, et destiné principalement aux professionnels (entreprises, designers, architectes, etc.). "Nous croyons qu'il est temps de sortir l'impression 3D de la marginalité", a déclaré le PDG de Stratasys, Scott Crump. "Il y a des millions de designers travaillant en 3D avec des imprimantes 2D qui sont prêts à réaliser leurs travaux en relief", a de son côté déclaré un dirigeant de HP. Ce créneau, encore réservé aux professionnels (les modèles les plus abordables coûtent entre 12.000 et 15.000 euros), pourrait s'ouvrir au grand public d'ici quelques années. Les imprimantes 3D permettent de fabriquer des objets à partir de modèles réalisés sur ordinateur. Elles utilisent une technologie de prototypage qui analyse un fichier conçu sur ordinateur, puis le découpe en tranches, pour enfin déposer et solidifier couche par couche de la matière. Les ingénieurs ou les architectes s'en servent par exemple pour réaliser des petites maquettes ou des prototypes d'objets. En France, la société Sculpteo propose depuis peu un service d'impression 3D à distance. A partir d'un design conçu par ordinateur, les professionnels peuvent obtenir un objet concret. Les particuliers peuvent également commander des impressions en 3D depuis une sélection d'objet (porte-clés, figurines, jeux, etc.). (...)
(21/01/2010 17:50:46)Navigation GPS gratuite sur les smartphones Nokia
Après Google, qui a récemment intégré un système de navigation GPS sur la version 2 d'Android, Nokia propose à son tour la gratuité de ses services de navigation. La firme finlandaise, qui jusque-là faisait payer l'utilisation de ses systèmes de cartographie, change donc de stratégie et ajoute une belle plus valus à ses terminaux mobiles. Selon une étude Canalys, citée par Nokia, le nombre de personnes dans le monde utilisant le GPS de leur mobile atteignait 27 millions fin 2009. En offrant ses services de navigation, Nokia estime pouvoir augmenter potentiellement sa base d'utilisateurs à environ 50 millions. Les possesseurs de smartphones Nokia peuvent dès à présent télécharger en ligne la nouvelle version d'Ovi Cartes. Celle-ci comprend des fonctions de navigation routière et piétonne avec guidage vocal dans 74 pays, 46 langues, l'info trafic dans plus de 10 pays, ainsi que des cartes détaillées couvrant plus de 180 pays. La navigation piétonne inclut des raccourcis à travers les parcs et les zones piétonnes dans plus de 80 villes du monde ainsi que 6.000 repères 3D dans plus de 200 villes pour faciliter la localisation. Les cartes peuvent être préchargées sur Internet de manière à ce qu'Ovi Cartes puisse être utilisé en mode déconnecté et ainsi préserver la batterie du smartphone et limiter les coûts de connexion lors d'un voyage à l'étranger. La gratuité d'Ovi Cartes est disponible pour 10 modèles de smartphones Nokia, dont les N97 mini, 5800 XpressMusic, et E72. D'autres terminaux seront ajoutés dans les semaines à venir. A partir de mars 2010, les nouveaux smartphones Nokia avec GPS intègreront gratuitement cette version d'Ovi Cartes. (...)
(21/01/2010 15:34:17)Oracle détaillera mercredi prochain l'intégration de Sun
Alors que la Commission européenne vient juste de donner son accord au projet de rachat de Sun Microsystems par Oracle, l'entreprise organisera mercredi prochain, en présence de son CEO, Larry Ellison, un évènement retransmis mondialement et en direct via internet (entre 9h00 et 14h00, heure locale) depuis Redwood Shores, siège d'Oracle en Californie pour dévoiler sa stratégie. Comme les régulateurs américains, la Commission européenne semble se satisfaire des garanties d'Oracle au regard des lois antri-trust du vieux continent. Si elle a objecté que l'entrée de MySQL dans Oracle pouvait aller à l'encontre de la concurrence pour les clients de la base de données, la Commission a finalement rendu un avis favorable. Mme Neelie Kroes, membre de la Commission chargée de la concurrence, a indiqué : « Je suis convaincue que la concurrence et l'innovation seront préservées sur l'ensemble des marchés en cause. Le rachat de Sun par Oracle est susceptible de redynamiser des actifs importants et de donner naissance à de nouveaux produits innovants.» La nouvelle du rachat avait suscité de nombreuses questions sur le sort de certains produits de Sun, notamment ses serveurs Sparc et sa base de données Open Source MySQL. D'autant que, lors de l'annonce de l'achat, l'entreprise avait déclaré qu'elle était principalement intéressée par les technologies Java et Solaris de Sun, laissant entendre qu'elle était prête à vendre ou à fermer les divisions hardware de l'entreprise. La réaction des clients de Sun face à cette option ne s'est pas faite attendre, incitant Oracle a assuré finalement qu'elle continuerait à développer les processeurs SPARC et les serveurs Sun. Son CEO, Larry Ellison a même déclaré : « Nous ne sommes pas sur le point de quitter le marché du hardware. » Parmi les produits que les experts s'attendent à voir développés par la nouvelle entité, ils citent en exemple l' Exadata Database Machine 2, un projet de data center haut de gamme pour la conservation des données et l'OLTP (online transaction processing) déjà mis en chantier en commun par Oracle et Sun depuis septembre. Celui-ci combine une base de données et des logiciels spécialisés dans le stockage fournis par Oracle sur des serveurs à base Intel et des technologies à mémoire flash apportées par Sun. L'intégration des technologies des deux sociétés fera certainement parti des thèmes abordés la semaine prochaine. L'invitation Oracle précise que les participants y apprendront comment les clients « bénéficieront de la synergie des deux entreprises en matière de matériel, de système d'exploitation, de base de données, de middleware et d'applications." De nombreuses questions demeurent cependant. Oracle ne dit pas quelle gamme de serveurs Sun elle continuera à développer, ni ce que vont devenir certains produits comme le serveur d'applications et le logiciel de gestion Identity. Ni ce que va devenir le projet de services informatiques de type Cloud, semblable à celui d'Amazon Web Services, que Sun était sur le point de déployer peu avant l'annonce de la transaction. Mercredi prochain, les clients de Sun espèrent aussi avoir des réponses à ces questions. (...)
(21/01/2010 11:36:13)En Scandinavie, la 3G+ flirte avec les 84 Mbits/s !
L'opérateur scandinave "3" a annoncé mercredi un partenariat avec l'équipementier Ericsson pour déployer le réseau mobile 3G+ le plus rapide du monde. Cette offre très haut débit proposera sur l'ensemble du Danemark et dans quatre grandes villes de Suède une vitesse de 42 Mbits/s, puis, à terme, un débit record de 84 Mbits/s, contre 24 Mbits/s actuellement. Ericsson collabore par ailleurs avec l'opérateur nordique TeliaSonera pour le développement d'un réseau mobile de quatrième génération (4G) en Suède. Ce réseau, basé sur la technologie LTE (Long Term Evolution), offre des vitesses de transmission pouvant aller jusqu'à 100 Mbits/s, favorisant ainsi de nombreux usages liés à la téléphonie mobile, comme la TV sur mobile, la visioconférence, le téléchargement de données ou l'envoi de mail à pièces jointes. (...)
(21/01/2010 11:32:05)La pénurie d'adresses IPv4 se profilant, le NRO sonne le tocsin
Le NRO qui chapeaute les cinq entités (Regional Internet Registries) chargées de gérer localement la distribution des adresses IP aux FAI et autres opérateurs s'inquiète de la saturation prochaine d'IPv4. On estime aujourd'hui que la totalité de ces adresses devrait être allouée dans le courant de l'année 2011. Annoncé de longue date et inéluctable, ce phénomène de saturation a été contourné par divers mécanismes qui commencent aujourd'hui à trouver leurs limites. La NRO exhorte ainsi les FAI, opérateurs, organismes gouvernementaux, entreprises et utilisateurs à mettre en oeuvre le plus vite possible le protocole IPv6, dont on sait qu'il fournit un espace d'adressage sur 128 bits au lieu de 32 bits, donc virtuellement illimité. Plus précisément, l'organisme donne des recommandations (de bon sens) à chacun des acteurs : - Les entreprises doivent accélérer le support d'IPv6 au niveau de leurs infrastructures et des services qu'ils délivrent. - Les organismes gouvernementaux doivent en faire autant et surtout encourager le déploiement d'IPv6 et l'achat d'équipements et de logiciels compatibles. - Les éditeurs et les constructeurs doivent évidemment implémenter IPv6 dans leurs produits. - Les utilisateurs doivent exiger le support d'IPv6 de la part de leur FAI ou opérateur. (...)
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