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(16/11/2009 17:07:56)

L'EMSI Grenoble publie un référentiel de compétences IT complémentaire à celui du Cigref

L'EMSI Grenoble (Ecole de Management des Systèmes d'Information de Grenoble) vient de publier un référentiel des compétences des métiers des systèmes d'information. Basé sur celui des emplois-métiers mis au point par le Cigref depuis 2005, ainsi que sur les contributions de plusieurs organismes et entreprises (La Poste, SNCF, CNFPT, APEC...), ce référentiel vise avant tout à définir les cursus de formation de l'EMSI et les critères d'évaluation des VAE (validations des acquis de l'expérience). Mais son usage dans les entreprises ou administrations relève évidemment d'une autre problématique : identifier les compétences nécessaires à l'exécution d'un métier relatif aux SI. Un référentiel pour les offreurs et les utilisateurs de technologie Pour éviter de se limiter à des définitions propres aux grands groupes où la parcellisation des tâches est plus importante que dans les PME, ce référentiel tient compte, pour chaque compétence-métier, de variantes et surtout de niveaux (notion, application, maîtrise, spécialiste, expert) sur quatre axes : connaissances, savoir-faire, savoir-être et capacités cognitives. De plus, il s'adresse autant aux offreurs qu'aux sociétés utilisatrices de technologies. Les compétences-métiers correspondent d'ailleurs davantage à des domaines qu'à des postes précis, ceux-ci se trouvant plutôt dans les différents niveaux. Dans les domaines, on trouve ainsi « conception/développement », « production/exploitation » ou « conduite de projets ». Avec HP et le Cigref, l'école publie également un livre blanc sur l'évolution des compétences dans les systèmes d'information. Tout développeur doit connaître le métier pour lequel il développe[[page]] Tout développeur doit connaître le métier pour lequel il développe D'après l'étude amont(*) qu'a réalisée l'EMSI avant de publier ce référentiel, la première compétence requise pour un manager du SI (à commencer par le DSI) est... la connaissance du métier de cette entreprise. « Même le développeur Java doit connaître le métier de son client interne », indique Renaud Cornu-Emieux, directeur de l'EMSI. Christian Pilaud, DG SI et logistique d'Accor Services et enseignant à l'EMSI, renchérit : « Le mode guichet avec un cahier des charges, s'il a jamais fonctionné un jour, ne fonctionne plus du tout aujourd'hui et le développeur doit donc connaître le vocabulaire, les process et les urgences de celui pour qui il travaille ». Le manager du SI, éventuellement futur DSI, doit également être en mesure d'impulser la conduite du changement et l'adhésion aux évolutions technologiques. Il doit aussi être un parfait gestionnaire des achats, y compris des externalisations, et savoir distinguer ce qui relève du stratégique ou, au contraire, de la 'commodité'. « Si le DSI se préoccupe surtout de commodités au lieu de s'occuper du stratégique, il perd du poids » assène Renaud Cornu-Emieux. Enfin, le manager du SI doit être un expert de la veille technologique et du recueil des innovations susceptibles d'apporter de la valeur à son organisation. (*) Etude synthétisée dans le livre blanc publié avec le soutien de HP sur l'évolution des compétences dans les systèmes d'information. (...)

(16/11/2009 17:00:43)

Impression : Canon rachète son concurrent Océ en conservant sa marque et sa R&D

Le Japonais Canon rachète le Hollandais Océ, l'un de ses concurrents sur le marché de l'impression. A première vue, un géant met la main sur une société dix fois plus petite que la sienne. Canon a réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 44,9 milliards de dollars tandis qu'Océ enregistrait de son côté un CA de 4,31 milliards de dollars. D'autres lectures sont possibles. Canon est un multi-spécialiste, opérationnel sur le grand public comme dans les entreprises, proposant des appareils photos, des webcams, des projecteurs ou des jumelles. Océ reste un acteur de l'impression en entreprise, connu pour ses solutions grand format, mais proposant aussi une large gamme de solutions d'impression professionnelles. Dans le plan de reprise, annoncé ce lundi 16 novembre, Canon prend bien soin de montrer que l'acquisition se fera en douceur. La marque Océ ne disparaît pas. La société rachetée sera une division de Canon, rattachée à l'entité « Canon Office imaging products division ». Son conseil d'administration reste en place, le siège de cette division sera toujours en Hollande, à Venio. La division Océ demeure chargée des impressions grands formats. D'ailleurs, l'entité « Canon's large format printing », autrefois concurrente, lui sera rattachée. En France, le centre de R&D d'Océ regroupe 150 personnes Canon insiste également sur le poids de la R&D dans l'industrie de l'impression. Celle d'Océ est préservée. En France, Océ était d'ailleurs composé de deux entités : une filiale commerciale et un centre de R&D (Océ Print Logic Technologies). Le centre de R&D fournit des contrôleurs et des applications, il regroupe 150 personnes et agit en collaboration avec les autres centres de développement (Pays-Bas, Allemagne, Belgique, États-Unis, Canada et Japon). Côté distribution, la filiale française compte 34 partenaires actifs. Canon France en dénombre 200. L'indirect représente un peu moins de 30% du chiffre d'affaires de Océ en France et 40% de celui de Canon. Les deux sociétés se refusent, toutefois, à tout commentaire sur le rapprochement de leurs distributeurs et de leurs programmes (Océ certified partner program d'un côté, Canon partner program de l'autre). Pour expliquer le rapprochement, Canon explique que le secteur est entré dans une période de consolidation. Océ a publié des résultats négatifs ces derniers mois. Le 3ème trimestre s'est achevé sur une baisse de 10% de son chiffre d'affaires à 631 millions d'euros, les neuf premiers mois se concluent sur une baisse de 7% à 1,96 milliard d'euros. Pour Canon, la situation est encore plus négative, avec -21,5% au 3ème trimestre (5,79 milliards d'euros) et -27,2% sur les trois premiers mois (à 16,5 milliards d'euros). (...)

(16/11/2009 16:48:47)

Tim Berners-Lee lance les opérations de sa Web Foundation

Tim Berners-Lee est persuadé que le Web peut aider les gens à améliorer leurs conditions de vie, et il entend le démontrer au travers d'une fondation. Invité à s'exprimer dimanche au Forum sur la gouvernance d'Internet à Sharm El Sheik en Egypte, l'inventeur du Web a annoncé le lancement des premières opérations de la World Wide Web Foundation. « Nous ne nous intéressons pas à la technologie du Web elle-même, mais à ce qu'elle peut faire pour aider les gens à améliorer leur situation, créer de nouvelles opportunités, de nouvelles activités, répondre aux besoins de santé de leur famille, aux besoins d'éducation », a expliqué de son côté Steve Bratt, CEO de la fondation. Le premier programme de la fondation, lancé en partenariat avec l'Université d'Amsterdam, et nommé Web Alliance for Re-greening in Africa (W4RA), vise à concevoir des plateformes Web et mobiles destinées aux agriculteurs africains (Burkina Faso, Mali « et d'autres », indique la Fondation), en faisant appel aux développeurs locaux. Steve Bratt et Tim Berners-Lee entendent promouvoir l'échange d'informations et de bonnes pratiques grâce au Web pour améliorer les techniques d'agriculture « dans des endroits désertiques ». Le second projet annoncé sera mené en collaboration avec le Center for Digital Inclusion, une structure basée au Brésil, s'attachant à apprendre aux jeunes défavorisés un peu partout dans le monde l'usage des nouvelles technologies. Le projet amènera ces jeunes à développer des sites et applications Web, accessibles par les mobiles et proposant des interfaces vocales. Cinq programmes pilotes vont être lancés en Amérique latine, Europe et Moyen-Orient. Steve Bratt et Tim Berners-Lee avaient annoncé la Fondation en septembre 2008, mais il s'agit cette fois du véritable lancement. Il faut dire que les deux créateurs de cette organisation à but non lucratif n'avaient pas les moyens de financer eux-mêmes leur idée ; la 'Web Foundation' repose donc uniquement sur les dons d'entreprises ou de particuliers. (...)

(16/11/2009 15:59:56)

La France contre l'intrusion des Etats-Unis dans le réseau interbancaire Swift

Plusieurs pays européens, dont la France, souhaitent faire marche arrière sur l'ébauche d'accord qui permettrait aux agences antiterroristes américaines d'accéder aux données bancaires de millions de citoyens européens. Les informations en question transitent par le réseau Swift, service de transfert interbancaire qui gère des millions de transactions internationales chaque jour. La Suède, qui assure actuellement la présidence tournante de l'Union Européenne, a négocié avec le gouvernement américain un accord qui permettrait à ce dernier de pouvoir examiner un large éventail de données incluant numéros de comptes bancaires, adresses et numéros d'identification. La France, l'Allemagne, l'Autriche et la Finlande craignent que cet accord ne soit trop intrusif. La ministre allemande de la justice s'est notamment dit opposée à un accord qui autoriserait le transfert d'énormes quantités de données « sans garantie de protection légale ». L'intervention de ces quatre pays fait écho aux inquiétudes qu'ont exprimé plusieurs parlementaires européens qui estiment avoir été tenu à l'écart des négociations. Pour l'instant, les lois de l'UE ne prévoient pas d'inclure les parlementaires dans les discussions portant sur des questions judiciaires, mais le traité de Lisbonne qui doit entrer en vigueur le mois prochain va modifier ces dispositions. Un accord provisoire d'une durée maximum d'un an La présidence suédoise de l'UE rappelle que le texte de l'accord avec les Etats-Unis n'a pas été finalisé. « Plusieurs pays ont émis des réserves, a reconnu vendredi dernier Nils Hanninger, porte-parole du gouvernement suédois. Mais nous sommes toujours en négociation. » Il rappelle que rien n'est arrêté tant que toutes les dispositions n'ont pas été acceptées. Le porte-parole a par ailleurs nié la volonté d'exclure le Parlement européen de la boucle, soulignant que l'accord temporaire aurait de toutes façons une durée maximum d'un an et que, aussitôt qu'il serait signé démarreraient les négociations pour un accord définitif. Les préoccupations portant sur l'accès aux données transitant par le réseau interbancaire Swift sont apparues pour la première fois en 2006. Un article du New York Times avait alors révélé que les Etats-Unis accédaient à ces informations sur les citoyens européens (gérées par la société belge Swift, Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication), sans que les autorités européennes en soient averties. (...)

(16/11/2009 12:08:31)

Les moyens efficaces de protection des données personnelles restent encore à inventer

Il existe bien des moyens pour protéger les données personnelles de l'internaute, mais ils ont leurs limites et dépendent beaucoup de la responsabilisation des différents acteurs. Daniel Le Métayer, directeur de recherche au centre Inria de Grenoble, l'a rappelé la semaine dernière, lors de l'Atelier sur le « Droit à l'oubli numérique », accueilli à Sciences Po Paris, le 12 novembre. Une matinée organisée à l'initiative de Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, auprès du Premier ministre, et à laquelle participaient Alex Türk, président de la CNIL, et différents acteurs du monde Internet, parmi lesquels Google et Microsoft. NKM avait d'emblée reconnu, au début de la matinée, qu'elle faisait partie des très nombreux internautes qui ne lisaient pas les chartes de confidentialité soumises par les sites Web avant de les accepter. Agir à la source et limiter l'usage des données Pour limiter la divulgation des informations privées, le premier moyen consiste à agir à la source, en chiffrant ses données ou en communiquant sans livrer son identité, avec des adresses anonymes et 'jetables', a d'abord rappelé le directeur de recherche. « Pour naviguer et effectuer des recherches sur le Web de manière anonyme, certaines techniques de protection des adresses reposent sur l'idée d'introduire un intermédiaire [NDLR : un tiers de confiance] entre nous et notre correspondant », explique-t-il aussi. De la même façon, on peut faire valoir ses droits en fournissant des garanties anonymes, en utilisant des certificats, par exemple pour prouver que l'on est un adulte. Le deuxième moyen de protection consiste à limiter les usages des informations. Du côté de l'internaute, cela implique de filtrer les messages non désirés et les cookies, notamment, ou d'effacer les traces, les cookies, etc. Du côté du responsable du traitement, la sécurisation des données requiert contrôle d'accès, chiffrement, anonymisation, etc. Mais la plupart de ces méthodes ont leurs limites, rappelle encore Daniel Le Métayer. « Pour l'internaute, les outils sont quelquefois difficiles à utiliser et ils induisent des pénalités en temps de réponse, reconnaît-il. Et la question se pose toujours de savoir jusqu'à quel point on peut faire confiance aux relais et intermédiaires. » Sur un autre plan, la protection des données personnelles « par l'obscurité » entre en conflit avec d'autres besoins de l'internaute, liés notamment à sa vie sociale. Des données pas aussi anonymes que cela [[page]] Quant aux techniques d'anonymisation utilisées par les responsables du traitement, elles ont aussi leurs limites, rappelle le directeur de recherche. Aux Etats-Unis, le rapprochement d'informations comme le code postal, la date de naissance et le genre permettraient d'identifier 87% des citoyens. Il y a quelques années, des chercheurs américains ont montré que les informations collectées par le loueur de DVD en ligne Netflix permettaient d'identifier une personne aussi facilement qu'avec son numéro de sécurité sociale. Netflix avait publié les notes accordées aux DVD par 500 000 utilisateurs en six ans. « La connaissance de deux notes suffit à identifier l'ensemble des vidéos notées par 68% des utilisateurs ». Le chercheur à l'Inria cite encore AOL, montré du doigt pour avoir publié des données qu'il croyait avoir anonymisées ; pas suffisamment cependant pour que l'on ne retrouve l'identité des personnes. Etablir des schémas de certification pour attribuer des labels reconnus aux outils Parmi les voies de recherche explorées pour mieux protéger les données personnelles, Daniel Le Métayer évoque le principe de transparence, « pas toujours facile à mettre en oeuvre », ou encore la limitation de l'essaimage de données par partage de pointeurs (des liens renvoyant vers la source des données). « Il y a aussi des techniques, en cours d'étude, qui visent à associer systématiquement des dates d'expiration aux fichiers », ajoute-t-il. Ou encore « à contrôler la durée de vie des données par chiffrement avec des clés éphémères ». Le directeur de recherche reconnaît qu'en matière de protection, on a jusqu'à présent « surtout fait du palliatif, des rustines pour colmater les brèches. » Il considère que dans la recherche des moyens, il faut avoir, dès le départ, l'objectif de protéger la vie privée pour « prévenir plutôt que guérir ». Il y a, selon lui, un manque d'incitation : « La loi doit venir à la rescousse ». On pourrait aussi établir des schémas de certification pour attribuer des labels reconnus. « Cela pourrait constituer un véritable différentiateur pour les fournisseurs d'outils et de services », ce qui leur permettrait alors d'investir vraiment dans des moyens de protection de la vie privée. Les conditions de la confiance de l'internaute restant la transparence et la responsabilisation. (...)

(16/11/2009 11:32:28)

Un marché local trop petit pour des équipementiers télécoms européens trop grands

( Source EuroTMT ) Contrairement à l'industrie informatique qui a bénéficié au cours du troisième trimestre 2009 de la légère amélioration du climat économique, les équipementiers télécoms semblent toujours traverser une passe difficile. Sont essentiellement concernés les trois grands européens : Ericsson, Nokia et Alcatel-Lucent. Ils ont en effet, tous les trois, publiés des comptes trimestriels qui ont déçu les investisseurs. En cause essentiellement, les ventes aux opérateurs. Alors que la plupart des opérateurs, notamment dans les pays occidentaux, continuent de réduire leurs investissements pour atteindre leurs objectifs de cash-flows en attendant une reprise claire de la consommation, les équipementiers sont touchés de plein fouet. Des analystes surpris par le recul d'Alcatel-Lucent Ainsi, Alcatel-Lucent a annoncé une baisse (sur une base annuelle) de 9,3 % de ses revenus au troisième trimestre. Si la baisse s'inscrit dans la prévision du repli du marché des équipements télécoms pour l'ensemble de l'année tel qu'annoncé par l'équipementier franco-américain (un repli compris entre 8 et 12 %), les analystes ont toutefois été surpris par le recul affiché au troisième trimestre : ils avaient parié sur une quasi stabilité des ventes par rapport au deuxième trimestre, alors qu'elles ressortent en recul de 5,6 %. La situation est encore plus grave chez Nokia Siemens Networks qui a enregistré une chute de 21 % de ses ventes par rapport au troisième trimestre 2009. Enfin, la branche réseaux d'Ericsson affiche aussi un repli de 8 % sur une base annuelle (-13 % sur une base séquentielle). Si les trois équipementiers peuvent logiquement expliquer cette nouvelle dégradation par la baisse des investissements des opérateurs, reste à expliquer pour quelles raisons ZTE et Huawei vont mieux que résister et voient leurs revenus croître : les deux constructeurs chinois ont prévu un bond de 30 % de leurs ventes cette année. Des investissements en baisse en Europe Certes, Huawei et ZTE bénéficient du fort soutien financier des banques chinoises, prêtes à accorder de larges financements aux opérateurs qui achètent chinois. Mais, d'autres éléments, structurels, peuvent aussi expliquer les difficultés particulières des équipementiers européens. Si les opérateurs ont été amenés, pour des raisons financières, à baisser leurs investissements cette année, ces derniers connaissent aussi un changement de cycle d'investissements : près de 20 ans après son lancement, le GSM (technologie sur laquelle régnaient les trois grands équipementiers européens) ne suscite plus d'importants investissements. Ainsi, lors de sa présentation de ses résultats trimestriels, France Télécom a indiqué que ses investissements étaient en baisse de près de 900 millions d'euros au troisième trimestre, dont 165 millions s'expliquent par la chute des investissements dans la 2G. Or non seulement les investissements marquent le pas dans la 3G, mais le déploiement de la 4G va prendre un peu plus de temps que ne pourraient le faire croire la multiplication des annonces faites par quelques grands opérateurs ou des équipementiers. De plus, contrairement au GSM (ou au CDMA), les équipementiers européens doivent partager le marché de la 3G et du LTE avec leurs concurrents asiatiques, notamment Huawei, qui a fait une percée dans la téléphonie mobile en Europe. Si les restructurations déjà en cours chez Alcatel-Lucent et chez Ericsson portent déjà leurs fruits, on peut néanmoins craindre qu'ils ne doivent mettre en oeuvre de nouveaux plans d'économies, comme celui annoncé par Nokia Siemens Networks, pour faire face à cette nouvelle donne. (...)

(16/11/2009 11:13:04)

Huawei revient sur le marché français des entreprises

En cédant il y a trois ses parts dans H3C, la co-entreprise qu'il avait fondée avec 3Com, Huawei était sorti par la même occasion du marché des entreprises. L'équipementier chinois s'était alors recentré sur les acteurs des télécoms. Il fait aujourd'hui son retour auprès des TPE, des PME et des grands comptes, avec une nouvelle gamme de commutateurs qui leur est dédiée. En France, seront proposés deux commutateurs pour les TPE, un commutateur conçu pour les besoins des PME et une troisième offre pour ceux des grands comptes. D'ici la fin de l'année, cette gamme de produits Huawei sera complétée par des solutions de stockage (traditionnelles et flash). La reprise par 3Com des parts de Huawei dans H3C lui avait permis de bénéficier d'une base solide en Chine, pour concevoir et développer ses produits... et finalement devenir assez alléchant pour que HP le rachète. (...)

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