Flux RSS

108538 documents trouvés, affichage des résultats 9841 à 9850.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(13/11/2009 16:24:19)
Informatica unifie l'accès à ses acquisitions dans la v9 de sa plateforme
Dans sa version 9, tout juste annoncée, la plateforme d'intégration de données d'Informatica rassemble maintenant six catégories d'outils, issus tant des investissements en R&D de l'éditeur (16 à 18% de son chiffre d'affaires) que des rachats technologiques qu'il a effectués au cours des derniers mois. « L'activité d'intégration de données d'Informatica a évolué bien au-delà du décisionnel depuis plusieurs années, vers les projets de consolidation, de migration et de synchronisation avec des données situées au-delà du firewall, avec des exigences de haute disponibilité, d'alimentation en temps réel des datawarehouses et la nécessité de prendre en compte les données semi structurées et non structurées dans les échanges B-to-B, rappelle Didier Guyomarc'h, directeur général d'Informatica France et vice-président des ventes pour l'Europe du Sud. En avril 2008, l'éditeur a acquis Identity Systems et sa technologie de réconciliation des données d'identité pour compléter son offre portant sur la qualité des informations. Ce type de projets représente aujourd'hui 30% du chiffre d'affaires de la société, selon Didier Guyomarc'h. En 2009, Informatica s'est offert l'offre de gestion du cycle de vie des données applicatives d'Applimation, ainsi que les solutions de traitement des événements complexes (CEP) d'Agent Logic. Ces trois catégories d'outils complètent ses fonctions d'intégration de données, d'échange de flux interentreprises et de synchronisation avec les applications hébergées comme Salesforce. Informatica dispose aussi d'une offre accessible sur le cloud EC2 d'Amazon. Des fonctions d'entrepôt virtuel « Avec la version 9, nous proposons une plateforme d'intégration d'entreprise, avec une interface unifiée, un environnement de développement unifié, et des moteurs de règles et d'orchestration des flux », expose Didier Guyomarc'h. Le dirigeant explique que 20% des clients d'Informatica ont évolué d'une intégration en mode projet à une plateforme d'entreprise. « Les entreprises sont de plus en plus soumises à des obligations réglementaires, de type Bâle 2 ou Reach, et à des contraintes métiers qui leur imposent une cohérence des données. » Pour une meilleure communication entre utilisateurs métiers et équipes IT, la v9 comporte des outils basés sur une interface Web permettant aux premiers de spécifier leurs besoins. Les outils de gestion de la qualité des données sont par ailleurs déclinés pour différents rôles d'utilisateurs dans l'entreprise. La plateforme comporte de nouveaux services Web, notamment pour renforcer les possibilités de synchronisation entre données du SI et données hébergées au-delà du firewall. « Dans la v9, nous offrons aussi des fonctions d'entrepôt virtuel, complète Didier Guyomarc'h. Elles permettent de constituer ponctuellement un datamart en s'appuyant sur plusieurs datamarts existants pour confronter des données à la volée et effectuer des simulations métiers. » Informatica dispose d'une base installée d'environ 190 clients en France (3 900 dans le monde) parmi lesquels figurent nombre de grandes entreprises telles que Printemps, Nestlé, BNP Assurances, Groupama ou Faurecia, mais aussi, depuis 18 mois à deux ans, des entreprises de plus petite taille, aux équipes informatiques réduites, tels que Resavacs, Vente-privee.com ou Gérard Darel. (...)
(13/11/2009 15:52:56)1 heure au soleil pour téléphoner 10 minutes avec le Samsung E1107
Après LG, Samsung lance son mobile solaire, le E1107 "Crest Solar" disponible à 1 euro chez l'opérateur MVNO Simplicime. Doté de cellules photovoltaïques, cet appareil se recharge grâce à l'énergie solaire. Une heure d'exposition au soleil permet de passer 10 minutes d'appel selon le constructeur coréen. Ce Samsung "écolo" est également livré dans un emballage fabriqué à partir de matériaux respectueux de l'environnement et avec un chargeur économe en énergie. Commercialisation à partir du 25 novembre à 1 euro avec une gamme de forfaits (engagement sur 24 mois) , et à 49 euros avec une offre prépayée. (...)
(13/11/2009 12:35:07)Microsoft Bing va accéder au service de recherches Wolfram Alpha
Microsoft a enfin trouvé un élément de différenciation pour son moteur de recherches, Bing. L'éditeur va proposer des réponses issues du service Wolfram Alpha, un moteur s'appuyant sur un logiciel scientifique éprouvé pour chercher dans diverses sources de données. Wolfram Alpha a récemment mis à disposition d'éventuels partenaires une API, et Microsoft en est « l'un des premiers clients commerciaux », apprend-on sur le blog de Wolfram Alpha. Dans le blog officiel consacré à Bing, les chefs produit expliquent de leur côté que le moteur de Microsoft proposera en haut de la première page de résultats des réponses issues de Wolfram Alpha. Dans un premier temps, seul les domaines de la nutrition et des mathématiques seront pris en compte : les maths, puisqu'il s'agit du domaine de prédilection de Wolfram Alpha, et la nutrition, parce que, indiquent les responsables de Bing, cela touche une large audience : « 90 millions d'Américains feraient un régime chaque année ». Grâce à ce partenariat, Bing pourra donc délivrer des résultats de calculs complexes, mais aussi calculer un indice de masse corporelle ou comparer la valeur calorique d'un blanc de poulet et d'un cheeseburger. Le service commencera à être introduit lundi, dans la version américaine de Bing. Les détails du partenariat ne sont pas connus, mais selon les tarifs publics de Wolfram Alpha, l'API peut coûter à une entreprise quelque 40 000 dollars par mois pour 1 million de requêtes, et 220 000 dollars par mois pour 10 millions de requêtes. Le partenariat pourrait bien sûr s'étendre à d'autres domaines par la suite, mais cette approche prudente de Microsoft est compréhensible : si Wolfram Alpha sait donner des réponses bien construites qui rendent inutile de cliquer plus loin, d'autres réponses laissent parfois songeur. Mais comme on le reconnaît aisément chez Wolfram Alpha, le moteur n'en est aujourd'hui qu'à une première étape d'un plan à long terme. (...)
(13/11/2009 11:26:48)Le Référentiel général d'interopérabilité enfin publié, au grand dam de l'April
Le feuilleton du Référentiel général d'interopérabilité (RGI) vient de recevoir une conclusion provisoire avec la publication de l'arrêté d'approbation publié au Journal Officiel du 9 novembre 2009. Ce référentiel de bonnes pratiques est donc d'application obligatoire pour les administrations d'Etat. Il peut également inspirer utilement les collectivités et établissements publics mais aussi les entreprises privées, les pratiques de l'Etat ayant de fait un poids considérable sur le marché informatique. De plus, le RGI est d'accès public et libre, ainsi que d'une application simple, ce qui le rend plus accessible que des référentiels plus complexes. Le RGI dans sa forme actuelle a été publié le 12 mai 2009 par la DGME (Direction générale à la modernisation de l'Etat). Il est le fruit d'une vaste bataille qui dure depuis plusieurs années visant à promouvoir les standards ouverts et l'interopérabilité dans les systèmes d'information publics avec un objectif de rationalisation des dépenses publiques. L'un des enjeux centraux de la bataille a été un « détail » du RGI : le format bureautique imposé aux administrations. Dans sa forme originelle, le RGI imposait OpenDocument, seul format à l'époque normalisé ISO. Désormais, le format soutenu par Microsoft Office OpenXML (OOXML) est traité sur un pied d'égalité alors même que sa version ISO ne sera implémentée que dans la prochaine version de Microsoft Office, qui est attendue en 2010. Pour l'April, il s'agit d'un cadeau fait à Microsoft, qui « condamne [les données des administrations publiques] à demeurer prisonnières de formats propriétaires ». L'association de défense des logiciels libres estime que « loin de favoriser l'interopérabilité, cela engendrera des discriminations entre les citoyens pour l'accès à l'administration électronique ». A côté de ce détail, c'est l'ensemble des normes de construction des SI publics, tant en termes techniques que méthodologiques, qui est désormais fixé. Ces normes peuvent être ou non d'usage impératif selon leur niveau estimé de maturité. Les formats bureautiques sont ainsi, aussi bien PDF qu'OOXML ou OpenDocument, considérés comme immatures et « en observation ». (...)
(13/11/2009 10:51:47)Avanquest va recevoir 9 millions d'euros du FSI pour développer l'international
Lancé par le gouvernement pour venir en aide à l'industrie française du logiciel, le FSI (*) ne chôme pas. Après Dailymotion et Cegedim, il investit dans Avanquest qui sort de deux années de difficultés. « Nous avons recours au FSI pour deux raisons principales, nous explique Thierry Bonnefoi, le directeur administratif et financier d'Avanquest : d'une part nous avons retrouvé la profitabilité et donc des marges de manoeuvre, de l'autre, nous sommes dans le top 10 des éditeurs mondiaux de logiciels grand public, nous souhaitons passer dans le top 5 »(**). L'opération concernant Avanquest comprend deux étapes. Dans un premier temps, au mois de janvier prochain, le FSI va accorder 9 millions d'euros (9 ME), dont 6 par augmentation de capital et 3 par émission d'obligations convertibles. Le FSI détiendra alors 12% du capital de l'éditeur, devenant le 3ème actionnaire derrière les dirigeants et salariés (16,62%) et Oddo asset management (14,22%). Dans un deuxième temps, suivant les opportunités de rachats d'Avanquest, le FSI pourrait accorder jusqu'à 20 ME de financement supplémentaire et entrer à hauteur de 20% (au maximum) dans le capital d'Avanquest. Le CA baisse, les marges reviennent Avanquest se projette dans la croissance externe d'autant plus facilement qu'il publie des résultats satisfaisants pour son 1er semestre 2009/2010. Le chiffre d'affaires, 38,6 ME, est en recul de 24% par rapport aux six premiers mois du précédent exercice. En revanche, la marge brute augmente de 3,8%. « Nous assumons totalement ces chiffres » commente Thierry Bonnefoi. La baisse du chiffre d'affaires a été voulue pour rompre avec les sources de déficit, elle s'est accomplie par la diminution des gammes de produits (arrêt des produits non rentables) et la fin de la distribution dans les grandes surfaces décentralisées. Le chiffre d'affaires en France a par exemple été divisé par 2, celui de l'Allemagne a été réduit de 50%, mais ces deux pays retrouvent la profitabilité. C'était le but. Pour le second semestre, Avanquest se montre optimiste et ce, pour trois raisons. La saisonnalité fait que ce semestre est toujours meilleur que le précédent. Beaucoup de lancements de produits ont eu lieu en septembre et octobre et produiront leurs fruits au second semestre. Enfin, Avanquest fait partie des partenaires de Microsoft et le succès de Windows 7 devrait lui donner une autre bouffée d'oxygène. (*) Le FSI, Fond Stratégique d'Investissement a été créé en décembre 2008 pour sécuriser le capital d'entreprises de croissance. Il est détenu à 51% par la CDC, le reste appartenant à l'Etat. Dans le domaine des TIC, le fonds a investi dans Dailymotion (partage vidéo), 3S Photonics (composants optoélectroniques), Cegedim (éditeur spécialisé dans le domaine de la santé), Nexans (câbles), Gemalto (cartes à puce). (**) Au Top 100 des éditeurs de logiciels français établi par l'EuroSoftware (PwC), Avanquest arrive à la huitième place, toutes catégories de logiciels confondues. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |