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(28/10/2009 18:02:04)
Android 2.0, les premiers mobiles arrivent
Google a présenté ce mardi la deuxième version de son kit de développement pour son OS mobile Android 2.0. Si plusieurs fonctionnalités apparaissent dans cette mouture, la mise à jour des smartphones ne semble pas très claire. L'annonce a été faite la veille d'un salon Verizon à New York. L'opérateur américain serait ainsi susceptible d'être le premier à introduire un Google Phone animé par Android 2.0, le Motorola Droid, attendu le 6 novembre. Le multi-touch natif arrive sur Android 2.0 Cette mise à jour comporterait plusieurs fonctions comme le zoom numérique sur la caméra, la boite mail unifiant vos différents comptes et (enfin) le support natif du multi-touch comme sur l'iPhone. Avec la fonction Quick Connect, les utilisateurs peuvent facilement communiquer par téléphone, SMS ou courriel en choisissant leur photo dans la liste de contacts. Pour Avi Greengart, consultant chez Current Analysis, cette fonction vient à point, car « Android avait été jugé comme ennuyeux. Son interface utilisateur n'est pas aussi ergonomique que celle de WebOS, iPhone ou certains Android équipé d'une surcouche logicielle comme le HTC Sense » explique-t-il. Android 2.0 travaille de concert avec Exchange Quelques mois après iPhone OS, Android 2 .0 supporte également la synchronisation avec les serveurs Microsoft Exchange. Les utilisateurs de cet OS pourront ainsi récupérer leurs courriels de différentes manières. Toutefois, les fabricants peuvent choisir de ne pas activer le support d'Exchange sur leurs terminaux. Google a également mis à jour son navigateur maison, Chrome, avec le support d'un quatuor d'API (interfaces de programmation d'application) issu du prochain standard HTML 5. Désormais, les webapps (applications web) fonctionnent aussi bien que les programmes installés sur les terminaux. HTML 5 offre également la prise en charge l'API Database côté-client pour conserver localement des données comme les emails. Par ailleurs, le gestionnaire de mémoire Application cache de HTML 5 permet aux développeurs de garder des fonctions et interfaces d'applications dans le code JavaScript ou les feuilles de styles en cascade (CSS). De cette manière, les utilisateurs peuvent accéder à ses pages en mode hors connexion. Il existe d'autres améliorations dans le navigateur comme l'API de géolocalisation HTML 5 (offrant des indications complémentaires sur la position), le support de la vidéo en plein écran, une nouvelle barre d'URL pour les recherches, des favoris avec des pages web en vignettes ainsi que le zoom par double frappe. Mise à jour incertaine vers Android 2.0 Bien que le Motorola Droid distribué par Verizon fonctionnera sous Android 2.0, il n'est absolument pas évident que les précédents Google Phones disposeront de cette mise à jour du firmware. Ainsi, le Motorola Cliq, commercialisé normalement début novembre, est animé par Android 1.5. L'opérateur américain T-Mobile qui commercialise le Cliq aux États-Unis n'a par exemple toujours pas indiqué si ce smartphone pourra profiter de cette nouvelle version. Pour Google, cette décision revient aux opérateurs et aux constructeurs. Selon Katie Watson, porte-parole de Google « comme Android est open source, toutes les mises à jour logicielles que nous proposons, sont disponibles auprès des opérateurs et des constructeurs qui souhaitent mettre à jour le parc actuel ou futur de terminaux Android ». Les mises à jour précédentes avaient été automatiquement proposées aux utilisateurs. Cependant, certains prérequis matériels sont peut-être nécessaires au bon fonctionnement de cette nouvelle mouture. De plus, Avi Greengart pose la question de l'intérêt pour des utilisateurs de Motorola Cliq ou du HTC Sense de migrer vers ce nouvel OS. Faute d'un support proposé par leur opérateur, ils pourraient perdre l'interface propriétaire de leur mobile après l'installation de ce nouveau firmware. (...)
(28/10/2009 17:26:54)Free Mobile unique candidat à une 4ème licence mobile
Le groupe Iliad, propriétaire du fournisseur d'accès à Internet Free, a officiellement déposé, mercredi 28 octobre, son dossier de candidature à l'attribution de la quatrième licence de téléphonie mobile auprès de l'ARCEP (régulateur des télécoms). Seul candidat déclaré à l'obtention de cette fameuse licence, pourrait donc devenir, dès l'année prochaine, le quatrième opérateur national aux côtés d'Orange, SFR et Bouygues Telecom. Dans un communiqué, Iliad indique avoir déposé son dossier de candidature sous le nom de Free Mobile, nom du futur opérateur mobile si celui-ci venait à être retenu. Dans le même texte, la maison mère de Free pose clairement ses objectifs : accélérer l'essor du multimédia mobile, proposer aux consommateurs des offres plus simples, plus innovantes, et surtout, moins chères. La décision concernant l'attribution de la quatrième licence de téléphonie mobile pourrait être prise fin 2009 ou début 2010, a fait savoir Jean-Ludovic Silicani, Président de l'Arcep, dans une interview accordée au Monde (édition du mardi 27 octobre). Selon le calendrier initialement fixé par le gendarme des télécoms, le quatrième opérateur mobile devait être désigné à la mi-2010, mais les abandons des autres candidats potentiels, comme Bolloré, Orascom, Virgin Mobile ou Numericable, devraient accélérer le processus d'attribution. (...)
(28/10/2009 17:22:07)Des URL avec des caractères arabes et chinois
L'ICANN, organisme en charge de la gestion des noms de domaines sur Internet, a annoncé lors de son congrès international à Séoul que les adresses Internet pourraient bientôt être ouvertes aux caractères issus d'alphabets non occidentaux, tels que l'arabe, le coréen ou le chinois. Jusque-là, l'ICANN n'acceptait que les caractères non-occidentaux que pour la première partie des adresses des sites. La dernière partie de l'URL, devait quant à elle être rédigée obligatoirement en typographie latine : ".com" pour les sites commerciaux, ou par exemple ".ru" pour les sites russes et ".cn" pour les sites chinois. Cette petite révolution sur la Toile intervient à l'issue d'une phase de tests entamée en 2007 par l'ICANN, et qui a permis à des centaines de millions d'internautes de créer des noms de domaine et des extensions régionales en onze langues : arabe, perse, russe, hindi, grec, coréen, hébreu, tamil, japonais, chinois traditionnel et chinois simplifié. Cette réforme, qui doit être validée d'ici quelques jours, permettra dès l'année prochaine de simplifier l'accès à Internet pour certaines populations peu familières avec l'anglais ou les lettres des alphabets occidentaux. (...)
(28/10/2009 17:21:36)Trimestriels SAP : chute de 9% pour le CA et de 31% pour les ventes de licences
Les trimestres négatifs se suivent et se ressemblent chez SAP, qui se montre de plus en plus pessimiste pour l'ensemble de son exercice 2009. En plus des mauvais résultats financiers trimestriels, l'éditeur d'ERP souffre d'un effondrement de ses ventes de logiciels. Dans les services, ses ventes sont également légèrement négatives. Le troisième trimestre fiscal de SAP s'achève en effet sur un chiffre d'affaires de 2,51 milliards d'euros, en baisse de 9%. Le bénéfice net est, lui, en hausse de 12% à 435 millions d'euros. Ce bon chiffre n'est pas dû aux résultats commerciaux mais à la compression des coûts. L'éditeur est par exemple engagé dans un plan de réduction d'effectifs qui porte sur 2 900 salariés dans le monde. La charge de la restructuration pour 2009 se monte à 200 millions d'euros. En plus de ces résultats financiers, SAP souligne la forte baisse de ses revenus de licences. Ils ont chuté de 31% sur ce trimestre à 525 millions d'euros. C'est la principale raison d'inquiétude quant à la santé de SAP. Les services fléchissent de 3%, ils représentent 1,9 milliard d'euros, soit près de 80% du chiffre d'affaires. Pour les trois premiers trimestres de 2009, le géant allemand affiche des résultats semblables. Le chiffre d'affaires baisse de 7% à 7,48 milliards d'euros, le bénéfice net augmentant de 2% à 1,06 milliard d'euros. Mais les revenus de licences baissent de 35% à 1,48 milliard d'euros, ceux des services de 3% à 5,6 milliards d'euros. Ces résultats trimestriels sont en deça des prévisions, alors qu'ils étaient supérieurs aux prévisions pour le deuxième trimestre. A cette occasion, Léo Apotheker, le Pdg expliquait que le pire de la crise était passé pour SAP. (...)
(28/10/2009 17:12:41)A l'occasion de l'arrivée de Seven, Microsoft multiplie les initiatives vers l'Open Source
Seven à peine lancé, Microsoft a décidé de tendre la main à l'Open Source. Au risque sans doute de se faire mordre, mais la démarche n'est pas sans intérêt. L'éditeur entreprend une série de démarches en compagnie de deux entreprises du Libre, Tasktop et Soyatec. Objectif : doper l'interopérabilité entre ses produits - Seven, Azure, Silverlight, etc. - et les technologies de l'Open Source comme Eclipse et Java. "Cela fait partie de nos nombreux efforts pour rendre nos produits plus ouverts," commente Vijay Rajagopalan, architecte principal de la stratégie d'interopérabilité pour Microsoft. Avec le fournisseur de solutions Eclipse, Tasktop, Microsoft travaille ainsi à rendre Seven accessible aux développeurs utilisant l'IDE Eclipse. "Plus des trois quarts des téléchargements d'Eclipse correspondent à la distribution Windows, rappelle Mik Kersten, CEO de Tasktop. » Les deux éditeurs vont étendre leur support au développement et à l'exécution d'applications exploitant ces outils. Ils vont incorporer des fonctions de Windows 7 et de Windows Server 2008 R2 dans de prochaines mises à jour de l'IDE Eclipse. Un plug-in Open Source pour les applications PHP dans Azure Les développeurs disposeront ainsi de fonctions de Seven telles que les nouveaux menus contextuels de la barre des taches appelés 'Jump Lists', pour un accès à des fonctions spécifiques Eclipse. Le projet comprend aussi l'extension du Standard Widget Toolkit d'Eclipse pour intégrer l'intégration du widget de recherche, par exemple. Les améliorations apportées à Eclipse par Tasktop le seront sous licence publique Eclipse en 'early access' au premier trimestre 2010. La version accessible à tous est prévue avec la disponibilité de la technologie Eclipse Helios technology en juin 2010. Microsoft annonce aussi un plug-in Open Source appelé Windows Azure Tools for Eclipse, destiné à faciliter le développement en PHP d'applications Web pour sa plateforme de cloud. Disponible gratuitement au téléchargement, ce module comprend des outils d'écriture, de déboguage et de déploiement pour ces applications. Le SDK (Software development kit) de PHP pour Windows est intégré dans le projet Eclipse via le plug-in. Celui-ci comprend aussi un explorateur de stockage (storage explorer) pour Azure pour scanner les données contenues dans les tables, les blobs ou les queues Azure. Le SDK Windows Azure pour Java, par ailleurs, propose des outils et des méthodes de développement pour que les applications Web exploitent efficacement le stockage de données dans le cloud Azure. Stimuler l'intérêt de la communauté Java pour Azure [page]Soyatec, de son côté, a travaillé avec Microsoft aussi bien sur les outils Eclipse pour Windows Azure pour PHP que sur le SDK Windows Azure pour Java. Les deux éditeurs ont rendu disponible une version 1.0 des Eclipse Tools for Silverlight, un plug-in à exploiter Silverlight dans développement Eclipse. Il inclut le support du Macintosh et un guide d'interopérabilité des applications Silverlight avec les sites et services web Java (y compris REST, JSON, etc.). Une version 2 des Eclipse Tools for Silverlight, avec le support de Silverlight 3.0 et des fonctions pour les applications offline est prévue pour le printemps 2010. "Avec ce type de démarches, Microsoft cherche à atteindre l'"autre rive" - celle où se trouvent les développeurs Open Source. Reste à savoir combien de développeurs entreront dans le jeu de l'éditeur. Ses efforts sont louables, même si l'entreprise garde clairement ses propres intérêts en tête. Et après tout, on ne s'attend pas à ce qu'ils deviennent une association caritative. Mais il y a différentes façons d'interpréter leur démarche. On sait par exemple qu'ils cherchent à susciter davantage l'intérêt de la communauté Java vis à vis d'Azure. Et le géant ne cesse de rappeller qu'il n'est pas indispensable d'être un développeur .Net pour tirer avantage de son cloud. » (...)
(28/10/2009 15:55:40)Pour la gestion des risques et la réduction des coûts, IDC plaide pour un système de stockage unifié
Invitée à donner son opinion sur l'avenir du stockage lors du salon SNW Europe (Storage Networking World) de Francfort les 27 et 28 octobre 2009, Carla Arend, analyste du cabinet IDC, a défendu une vision du marché animé par deux axes. Le premier concerne la gestion du risque, notamment juridique. Cela implique un fort besoin de « gestion de la conformité » avec les réglementations nationales ou trans-nationales (comme les impacts hors Etats-Unis de la loi Sarbanes-Oxley). Le second relève de la désormais classique réduction des coûts et accroissements de l'efficience des investissements consentis. Selon IDC, la croissance du marché ralentit : le cabinet n'attend que +6% en 2009 contre 10,5% en 2008. Malgré tout, la croissance est donc toujours là. En effet, le marché du stockage bénéficie de mauvaises pratiques, qui doivent disparaître, mais aussi de l'inflation continue des volumes de données. Les entreprises ont souvent à assurer des migrations de systèmes en archivant l'ancien. Conserver ainsi les anciens systèmes a-t-il réellement un sens ? Pas toujours... Le premier problème, en matière de stockage, reste cependant que les entreprises archivent encore tout et n'importe quoi un peu n'importe comment sans réelle hiérarchie alors même que les différents types de supports ont chacun leurs caractéristiques, leurs coûts plus ou moins élevés et leur rapidité d'accès plus ou moins importante. Globalement, le volume de données stockées par les entreprises ne cesse pas d'augmenter. La pente de l'augmentation n'est cependant pas uniforme. Les données structurées classiques (PGI...) et leurs réplications ont ainsi une croissance assez limitée. A l'inverse, le non-structuré classique (e-mail...) et surtout les dépôts de contenus, notamment multimédias, explosent. Or, bien souvent, les systèmes de stockage ne concernent qu'une seule des fractions des données stockées, interdisant de fait une optimisation des supports. IDC plaide pour un système de stockage unifié avec des systèmes plus ou moins coûteux, avec une administration automatisée, notamment concernant la gestion de la répartition entre les supports. Selon le cabinet, quatre questions clés doivent être posées : par où commencer une réforme du stockage, doit-on choisir une standardisation ou une fédération de systèmes, quel doit être la règle de répartition entre les différents types de stockage et enfin quels sont les besoins métiers se traduisant en terme de stockages ? (...)
(28/10/2009 12:55:11)Dassault Systèmes rachète à IBM la division des ventes de son PLM
Dassault Systèmes a signé un accord pour racheter pour 600 M$ la division d'IBM qui vend et supporte son offre de PLM (product lifecycle management). L'éditeur français, numéro un mondial sur ce marché, propose une gamme PLM v6 d'outils de gestion du cycle de vie des produits industriels depuis leur design et leur conception jusqu'à la fabrication, dans un monde 3D. Depuis 27 ans, IBM est son partenaire commercial privilégié. Mais voilà déjà quelques mois voire années que ce mariage de raison bat de l'aile. La réintégration des ventes PLM d'IBM devrait clarifier la situation. Dassault Systèmes reprend toute la maîtrise de sa clientèle grand compte qui, comme il le précise, devrait apprécier de dialoguer avec un interlocuteur unique. Mais le Français laisse aussi tout le loisir au géant américain de travailler plus librement avec ses concurrents, comme Siemens PLM Software ou PTC. Depuis 2005, Dassault systèmes a déjà progressivement récupéré la distribution de ses produits à destination des PME avant de transformer, en France, la division qui en a la charge en une société indépendante en 2008 . Par le biais de ce rachat, le Français devrait aussi devenir IBM Global Alliance Partner. 700 employés d'IBM viendront rejoindre les rangs de Dassault Systèmes qui hérite par ailleurs du support de 1000 clients IBM. Cette acquisition en cash devrait être effective au premier semestre 2010, sous condition d'acceptation par les autorités de régulation. Les deux entreprises devraient continuer de collaborer par ailleurs afin de proposer des offres de PLM en cloud. (...)
(28/10/2009 11:40:32)EffiTIC affiche ses ambitions et espère embaucher 100 personnes d'ici 3 ans
Au mois de mai dernier, les dirigeants de Prologue Eric Dermont et Luc Pévère (*) reprenaient, avec des investisseurs, l'activité services applicatifs d'EDS. Ils créaient pour cela la société EffiTIC (à partir du mot « efficience »). Parallèlement, ils continuaient à exercer la direction de Prologue, éditeur et intégrateur, dont Eric Dermont a pris la tête et assumé le redressement depuis 2004. L'activité reprise sous le nom d'EffiTIC représente 43 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA). L'intégralité des contrats est poursuivie, dont 25 parmi des grands comptes, nous explique Eric Dermont qui annonce un objectif de 100 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) d'ici trois ans et une centaine d'embauches pour cette fin d'année 2009. De quoi rassurer les sceptiques, sur sa capacité à redresser une activité non rentable chez EDS et à assumer la présidence de deux sociétés différentes, un éditeur-intégrateur (Prologue) et une SSII (EffiTIC). La société compte 530 personnes, le tiers des cent recrutements se fera en Ile-de-France, le reste en régions, où la société compte six directions régionales. Deux types de compétences sont recherchés : l'intégration de systèmes et le testing applicatif. Début 2010, EffiTIC va également mettre sur pied une Academy chargée de former ses ingénieurs. « Nous allons déployer des moyens importants pour les mettre au top niveau que ce soit en technologies (virtualisation, outils de développement par exemple) ou pour le management » souligne Eric Dermont. (*)Luc Pévère fut directeur général des services applicatifs d'EDS pour la France, l'Espagne et le Portugal de février 2007 à juin 2008. (...)
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