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(27/10/2009 17:04:31)

Le réseau de recherche Digiteo a co-financé 50 projets depuis sa création en 2006

Ce matin, à Paris, le directeur de Digiteo, Maurice Robin, a dressé un bilan des activités du réseau qui regroupe 1 300 chercheurs permanents et 500 doctorants. En 2008, le réseau a totalisé 2 400 publications, vu 170 projets acceptés dans des appels d'offres nationaux ou internationaux, créé trois start-up, déposé 83 brevets et logiciels et concédé 43 licences de brevets et logiciels. A noter qu'il a participé à 80% des projets du pôle de compétitivité System@tic.

Au bilan des actions communes menées au sein de Digiteo depuis sa création figurent 50 projets de recherche coopératifs. Le but du réseau étant de favoriser la collaboration entre ses partenaires, les appels à projets qu'il cofinance avec la Région Ile-de-France doivent inclure au moins deux de ses laboratoires, rappelle Maurice Robin. « L'effet réseau permet à des équipes de répondre de manière plus efficace aux appels à projet », souligne le directeur en insistant par ailleurs sur l'importance du soutien apporté à Digiteo par les collectivités locales - la Région, le Conseil général de l'Essonne et la Communauté d'agglomération du plateau de Saclay - et par le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche.

Un mur d'images de 131 millions de pixels

Ce matin, Michel Beaudoin-Lafon, professeur d'informatique et représentant de l'université Paris-Sud au comité de pilotage du réseau, a présenté deux de ces projets communs. Le premier, Wild, rassemble trois laboratoires de Digiteo autour d'une plateforme de visualisation interactive, « pour l'instant unique au monde », selon Michel Beaudoin-Lafon. Elle se présente sous la forme d'un mur d'images constitué de 32 écrans LCD de 30 pouces dont la surface globale (5,5 x 1,8 mètres) offre une résolution de 131 millions de pixels. Cet affichage se complète d'une table interactive tactile et d'un système de capture de mouvement qui permet de suivre les objets. Ce dernier enregistre la position des personnes ou des objets au demi-millimètre près, à l'aide de caméras infrarouges placées autour du mur d'images. A cela s'ajoute des assistants numériques pour transférer les données, contrôler leur affichage et les manipuler. « Les chercheurs ont besoin d'afficher des données complexes dans de nombreux domaines », rappelle Michel Beaudoin-Lafon. « L'objectif du projet Wild est de permettre à plusieurs personnes de travailler simultanément sur un même sujet, en manipulant des données hétérogènes et en visualisant, à l'aide des différents équipements -mur, table, PDA- des objets numériques complexes de façon intuitive ».

L'autre projet mis en avant ce matin, WebContent / WebDAM, porte sur les outils de recherche du Web sémantique. Il doit déboucher sur la distribution de logiciels en Open Source et implique 18 partenaires, dont 5 au sein de Digiteo et 7 industriels. A noter que parmi les chercheurs de Digiteo distingués en 2008 figure Serge Abiteboul, lauréat de l'European Research Council (ERC) pour le projet WebDAM.

L'OMTE, un dispositif et un financement pour accélérer le transfert des projets scientifiques

Présidente du Comité de valorisation de Digiteo, Françoise Fabre a de son côté présenté deux projets de transfert dans le cadre d'OMTE (opérations de maturation technico-économique) dont l'objectif est la création de valeur. « Les chercheurs ont souvent une vue très théorique du monde industriel, rappelle la scientifique qui préside aussi l'incubateur d'Ile-de-France Incuballiance. Il nous fallait trouver une structure pour accélérer le transfert des projets scientifiques. »

L'OMTE, dont le montant s'élève environ à 100 000 euros, inclut l'intervention d'un ingénieur développeur qui réalise un 'démonstrateur' pour démontrer la valeur du concept technologique. Le dispositif prévoit aussi une étude de marché par un ingénieur marketing. Enfin, il se complète d'un coaching en propriété intellectuelle avec un cabinet spécialisé. « Il y a souvent dans les projets une zone qui n'est pas financée. Nous avions besoin d'un dispositif pour soutenir cet accélérateur de transfert vers le monde économique, résume Françoise Fabre. Jusqu'à présent, nous avons fait neuf opérations ». La plupart sont encore en cours. Parmi les plus abouties, la présidente du comité de valorisation a présenté Fluctuat, portant sur les systèmes critiques pour la sécurité, et ICI-TV, chaîne de télévision interactive pour les personnes âgées. A la clef, pour chacune d'elles, une création de start-up : mise en incubation en 2009 pour Fluctuat, prévue pour 2010 pour ICI-TV. (...)

(27/10/2009 16:41:42)

Geocities a définitivement fermé son service de pages Web personnelles

Geocities n'est plus. Le célèbre service gratuit de création de pages personnelles sur Internet a fermé lundi 26 octobre, entraînant la disparition de plusieurs milliers de pages Web. Racheté par Yahoo! en 1999, Geocities avait permis à toute une génération d'internautes de créer leur propre site, avant d'être dépassé puis enterré par les réseaux sociaux. Depuis lundi, la page d'accueil Geocities indique aux internautes que les comptes ne seront plus disponibles. Ceux qui souhaitent toutefois conserver leur site devront le transférer sur un service d'hébergement payant de Yahoo! et facturé 4,99 dollars par mois pendant un an, puis 9,95 dollars par mois par la suite. La fin d'un pionnier de l'Internet grand public Fondé en 1994, à l'aube de la démocratisation d'Internet, Geocities proposait un service d'hébergement gratuit de pages personnelles. Les internautes disposaient d'outils d'édition pour créer en quelques minutes leurs pages, en y intégrant texte et photos. Des applications, qui aujourd'hui, font figurent de précurseur pour les actuels Facebook ou MySpace. La particularité de Geocities était de classer les sites personnels par noms de ville. Ainsi, les internautes qui dédiaient leur site à l'art résidaient virtuellement à Paris, ceux qui parlaient de cinéma à Hollywood, ceux qui faisaient de la politique à Athènes, etc. Racheté en 1999 par Yahoo! au prix de 2,9 milliards de dollars, Geocities n'a pas pu résister à la déferlante des blogs puis à celle des réseaux sociaux. La fermeture de ce service pourrait faire disparaître les témoignages des grands débuts de l'Internet grand public. L'organisation Internet Archive Project, qui se donne pour mission de sauvegarder la mémoire du Web, a lancé une opération spéciale pour archiver les pages Geocities avant qu'elles ne s'effacent à jamais des serveurs. (...)

(27/10/2009 15:15:05)

Selon une étude Morse, les réseaux sociaux nuiraient à la productivité en entreprise

Facebook et Twitter néfastes pour les entreprises ? On s'en doutait à titre personnel, des études le prouvent maintenant. Une étude anglaise réalisée par le cabinet d'analyse Morse sur plus de 1 460 employés révèle que 57% d'entre eux utilisent les réseaux sociaux pour des motifs personnels pendant leur temps de travail. Elle estime qu'ils passent en moyenne 40 min/jour sur les différents sites de réseautage. Ces distractions coutent une semaine de travail par employé et par an, soit 1,5 milliard d'euros pour la Grande-Bretagne. « La popularité des réseaux comme Twitter ou Facebook a considérablement grandi ces deux dernières années et ce phénomène s'accompagne de la tentation de visiter ces sites pendant les heures de bureau » indique Philip Wicks, un consultant de Morse. « L'arrivée de ces sites dans l'environnement professionnel est une gangrène pour la productivité ». Les dirigeants ne doivent pas faire l'autruche face à ces comportements déplacés, ils doivent plutôt mettre en place et renforcer leur charte d'usages. Une menace pour la sécurité ? En outre, un tiers des employés anglais disent qu'ils ont vu des informations sensibles sur leurs entreprises publiées sur des réseaux sociaux alors que 76% révèlent que leur patron n'a pas instauré de charte d'usages pour Twitter. Plus de quatre sur cinq ont également déclaré qu'ils étaient inquiets de cliquer sur un lien menant à site malveillant en suivant les liens postés sur les sites de réseautage. Morse explique que sans la mise en place de règles claires, les dirigeants acceptent une réduction de la productivité, ainsi que des risques de sécurité ou de dégradation de la marque. Le cabinet Morse a été commissionné par l'institut de sondage TNS Group pour conduire cette étude. D'autres études arrivent aux mêmes conclusions. En juillet, le cabinet d'analyse Nucleus (basée à Boston) avait publié une étude expliquant que les entreprises qui ne verrouillaient pas l'accès à Facebook perdaient moyenne 1,5% de leur productivité globale. De plus, 77% des employés qui possédaient un compte personnel sur Facebook l'utilisait pendant les heures de travail. Limiter ou interdire les réseaux sociaux ? « Après des années à alerter employés sur les dangers provenant des clics sur des emails ou sites web inconnus, ces derniers peuvent involontairement baisser leur garde en cliquant sur des liens de Twitter ou d'autres réseaux sociaux » ajoute Philip Wicks. « Il est primordial que les entreprises fassent de leur mieux pour se protéger en rappelant les dangers. Toutefois, les réseaux sociaux peuvent faciliter les rapports entre employés et clients, s'ils sont bien intégrés. C'est pourquoi les entreprises doivent trouver le juste équilibre en matière d'usage chez les employés entre l'engagement et la productivité». Certains sont toutefois plus radicaux. Début octobre, une étude commanditée par Robert Half Technology (spécialisée dans le recrutement informatique) montrait que les entreprises commençaient à se préoccuper des réseaux sociaux dans leurs bureaux. L'étude signalait que 54% des sociétés américaines ont purement et simplement interdit l'usage de sites comme Twitter, Facebook, LinkedIn et MySpace au travail. Avant d'en arriver là, il est peut-être préférable de faire preuve de pédagogie et de réfléchir à l'apport des réseaux sociaux (des intranets plus conviviaux en fait) pour améliorer la communication interne de l'entreprise. (...)

(27/10/2009 13:38:48)

Les internautes ont préparé une charte verte pour le sommet de Copenhague

Jusqu'au 15 septembre dernier, les internautes pouvaient soumettre leurs idées en faveur de l'environnement sur un site Internet réservé à cet effet. Depuis, les contributions les plus nombreuses ont été recensées par l'IFOP et remises aux experts de la fondation Terra Nova qui ont identifié les 20 tendances les plus porteuses. Devenues recommandations-clés, ces 20 contributions concernent, entre autres, les économies d'énergie, les changements d'habitudes de transport, l'exemplarité des pouvoirs publics, l'investissement dans la coopération internationale. Les thèmes abordés ont été répartis en 10 engagements individuels et en 10 axes d'engagement collectif à faire tenir aux dirigeants politiques. L'initiative, lancée par MSN en partenariat avec la fondation Terra Nova, Le Monde.fr et des experts en écologie, a débouché sur l'élaboration d'une Charte Verte. Afin de récolter un maximum de signatures, ce document est désormais soumis à pétition sur la Chaîne Verte du site MSN. Le texte sera présenté aux acteurs politiques qui se réuniront le 7 décembre prochain au sommet international de Copenhague sur l'environnement. (...)

(27/10/2009 14:33:21)

Avec Deep Security, Trend Micro renforce les options de sécurité pour la virtualisation

Trend Micro a dévoilé une version de son logiciel Deep Security, servant à la fois de pare-feu et de système de protection pour le serveur VMware ESX. L'éditeur a ajouté une fonctionnalité de virtualisation au niveau de l'hyperviseur pour protéger plusieurs machines virtuelles fonctionnant sur un même serveur. Auparavant, Deep Security fonctionnait uniquement dans le système d'exploitation invité de la machine virtuelle comme « une enveloppe de sécurité autour de la machine virtuelle », explique Mohamed Wael, Vice président de Trend Micro. Désormais avec Deep Security 7.0, nous offrons également une plateforme virtuelle qui utilise l'interface de programmation VMsafe de VMware. Les responsables informatiques peuvent aussi utiliser le pare-feu/IPS (Système de prévention des intrusions) au niveau de l'hyperviseur. « Les clients veulent une solution unifiée, mélangeant et rassemblant », estime Mohamed Wael. Les utilisateurs ont la possibilité de déployer le pare-feu/ISP Deep Security depuis la console Deep Security ou depuis le VMware Center. A l'origine, Deep Security n'était qu'une start-up canadienne créée par Mohamed Wael. Elle appartient depuis moins d'un an à Trend Micro, qui poursuit ses efforts pour améliorer la sécurité de son data-center. Neil MacDonald , analyste en sécurité chez Gartner, a signalé lors d'un symposium sur la protection des machines virtuelles, que Trend Micro était connu plutôt comme un éditeur traditionnel d'antivirus. Toutefois, il salut l'initiative de l'éditeur à proposer aux entreprises davantage d'alternatives pour sécuriser leur environnements virtualisés. Il a ajouté que Trend Micro pourrait jouer le rôle de trublion dans ce marché, déclarant qu'il appréciait que les éditeurs multiplient les initiatives. La sortie de Deep Security 7.0 comme une plate-forme d'applications virtuelles jette les bases pour ajouter plus de fonctionnalités de sécurité, telles que des capacités contre les virus, dans les futures versions, selon Trend Micro. La solution Deep Security de Trend Micro 7.0, sera commercialisée en novembre, à partir de 2.000 dollars. (...)

(27/10/2009 12:18:23)

La virtualisation de serveurs marque le pas

Selon IDC, 16,5% des nouveaux serveurs livrés au deuxième trimestre 2009 ont été virtualisés. C'est une augmentation de 14,5% par rapport au même trimestre en 2008. Une bonne nouvelle ? Pas vraiment, car le nombre total de serveurs livrés, lui, a diminué. Ils sont 246 000 sur ce deuxième trimestre 2009, en baisse de 21% par rapport au trimestre équivalent de 2008. Motif de cette baisse ? «Les clients continuent de limiter les dépenses sur les nouveaux serveurs par rapport à l'année dernière » note Matt Eastwood, vice-président des plate-formes d'entreprises d'IDC. C'est donc la crise économique qui ralentit ce segment de marché. Même diagnostic pour les logiciels de virtualisation. Ils ont diminué de 18,7 % entre le deuxième trimestre de 2008 et celui de 2009 à 344 millions de dollars. Toutefois, "au deuxième trimestre 2009, IDC a observé un certain nombre de signes indiquant que la stabilité est en train de prendre pied sur ce marché mondial des serveurs, souligne Matt Eastwood. Les serveurs installés dans le monde ont vieilli de façon significative et la densité de machines virtuelles sur ces systèmes ont fortement augmenté au cours de la dernière année. Par conséquent, le marché est prêt pour le début d'un important cycle de rafraîchissement des infrastructures dans les mois à venir. » HP numéro un des serveurs virtualisés "La virtualisation des serveurs a définitivement changé la façon dont les clients gèrent leurs datacenters, déclare de son côté Michelle Bailey, vice-président recherche sur les Datacenter chez IDC. 'La virtualisation d'abord' : c'est l'approche pour les déploiements de serveurs dans la plupart des organisations IT. » IDC livre également son classement des acteurs du marché. HP reste n°1 mondial pour les nouveaux serveurs virtualisés avec 36% du marché. HP chute de 18% par rapport au même trimestre de 2008 mais progresse de 1% par rapport au 1er trimestre 2009. Ces résultats sont principalement attribuables aux serveurs ProLiant x86. Dell continue à se démarquer, il reste n°2 avec une part de marché en croissance de 9% par rapport au 1er trimestre 2009. IBM reste en troisième position avec 15% du marché, 14% de croissance séquentielle tirée par ses serveurs x86. VMware reste leader, mais fléchit Côté plateformes de virtualisation, VMware continue de détenir les places de numéro 1 (VMware ESX) et de numéro 2 (VMware Server). Les ventes de la société sont pourtant en baisse de 22 % sur douze mois. Une chute légèrement supérieure à celle de l'ensemble des licences de virtualisation x86 : -21%. Microsoft a vu ses livraisons de licence de virtualisation baisser de 16% d'une année à l'autre, en raison de la dépréciation continue de Virtual Server 2005 (numéro 3). Mais ce dernier est tallonné par son petit frère Hyper-V, dernier arrivé sur le marché, montre une nette augmentation de 54%, un an après son lancement officiel. (...)

(27/10/2009 12:29:02)

Quelques couacs à l'installation de Windows 7

Appelons ça le poids de l'héritage Windows Vista. Certains utilisateurs de PC désirant passer de Vista à Seven se heurtent à une série de problèmes depuis mardi dernier. Les plaintes vont de redémarrages sans fin à des refus de valider le code d'authentification de Windows 7 pourtant livré avec le produit. Depuis lundi matin, Microsoft a répondu à près de 2 600 questions dans le forum consacré au support de mises à niveau. Au dernier recensement (le 26 octobre au soir), près de 1 400 questions sont toujours sans réponses ! Redémarrages en boucle Depuis vendredi dernier, des utilisateurs ont commencé à se plaindre de redémarrages sans fin lors du passage de Windows Vista à Seven. Microsoft indique qu'il enquête sur les problèmes de ces utilisateurs, mais a minimisé ces réclamations en les traitant de « problèmes isolés ». Voici un échantillon des récriminations formulées sur les forums : « Lors de la dernière étape de la mise à niveau (transfert de fichiers / programmes / etc.), mon ordinateur portable a redémarré et un message sur l'écran m'a signalé que la mise à jour avait échoué et que mon précédent OS [Vista] allait être rétabli. Mon portable est ensuite parti dans ce qui semble être une boucle de redémarrage et essaie de restaurer sans succès les fichiers Vista », écrit un utilisateur, JSchneider21. Microsoft va-t-il reconnaître ces problèmes de redémarrage ? En juillet dernier, l'éditeur avait pourtant publié une note sur son site Web décrivant ce problème et suggéré les mesures que devaient prendre les utilisateurs pour y remédier. Impossible de télécharger Windows 7 Sur le forum de support de Microsoft, certains utilisateurs se plaignent de recevoir des messages d'erreurs les empêchant de décompresser les fichiers issus du téléchargement de Windows 7 Home Premium destiné aux étudiants. On y trouve des messages indiquant, par exemple : « Nous sommes incapables de créer ou de sauvegarder de nouveaux fichiers dans le dossier dans lequel cette demande a été téléchargée ». Pour proposer cette mise à jour à 30 dollars uniquement disponible en téléchargement, Microsoft s'est adressé au prestataire Digital River. Sur le forum Windows 7 de Microsoft, un technicien en charge du support, identifié sous le prénom Michael, reconnaissait que certains clients rencontraient des difficultés pour installer Windows 7 64 bits sur une version 32 bits de Vista. « Cette erreur se produit lorsque vous êtes dans la phase de téléchargement de Seven 64 bits et que vous exécutez une version 32 bits de Windows, XP ou Vista, précise Michael. C'est une question de conception, vous ne pouvez pas lancer d'installation pour la version 64 bits de Seven si vous exécutez un système d'exploitation 32 bits. Vous devez faire une installation propre en démarrant depuis le DVD Windows 7 64 bits », explique-t-il. Les étudiants qui ont téléchargé à tort l'édition 64 bits de Windows 7 à partir de Digital River doivent demander un remboursement et récupérer la version 32 bits à la place. Des clefs invalides D'autres utilisateurs sont particulièrement remontés contre leur version de Windows 7 qui n'accepte pas la clef produit fournie avec le disque de mise à niveau. « La clé de produit n'est pas valide. S'il vous plaît, retaper la clé produit », répète inlassablement Windows 7. De nombreux utilisateurs sont particulièrement insatisfaits des réponses apportées par Microsoft à cette question. Hier matin, les représentants du support technique de Microsoft répondaient encore aux questions des usagers sur les problèmes de clefs produits avec une formule type « plusieurs raisons expliquent pourquoi une clé de produit ne pourrait pas être acceptée." Pour l'essentiel, on a : « Vous avez mal saisi la clé produit, Microsoft a identifié la clef produit vous avez entré comme une contrefaçon », ou « cette clé a déjà été utilisée sur un autre ordinateur ». Un client très agacé : « Je suis au téléphone depuis 4 heures, et je n'ai toujours pas de code produit valide. Merci Microsoft ! Merci de me faire perdre mon temps précieux ! Le temps, c'est de l'argent et j'ai ici une perte flagrante », écrit par exemple thatguy38. Certains utilisateurs sur les forums proposent leurs propres solutions, quelquefois alambiquées, pour résoudre ce problème de numéros de série. Mais ne serait-il pas plus simple que Microsoft apporte une réponse rapide à tous ces problèmes ? Si Windows 7 est un produit particulièrement abouti, il n'est pas anormal de subir quelques désagréments de jeunesse. (...)

(27/10/2009 08:38:47)

5 conseils pour passer sans souci de XP à Seven

1 - Il est impossible de mettre à jour Windows XP vers Seven directement. L'OS n'a pas été conçu pour cette opération. Les différences entre Windows XP et Windows 7(dans le noyau, les registres, les pilotes, etc.) sont trop importantes. Il est de toutes manières plus propre de reformater et installer un OS neuf, comme le recommande les experts et Microsoft. Votre machine n'en sera que plus performante et plus robuste. 2 - En fait, il est bel et bien possible de passer Windows de XP vers Windows 7... mais en passant par Vista. Un PC pas trop vieux sous Windows XP a généralement été livré avec un DVD de Vista pour passer du premier vers le second. Il suffit ensuite, avec le DVD de Windows 7 cette fois, de gravir un échelon supplémentaire et d'installer Seven. Si l'opération est théoriquement possible, nous vous la déconseillons cependant vivement. Vous perdrez une à deux heures pour un résultat qui n'est guère optimal. 3 - N'oubliez pas Windows 7 Upgrade Advisor pour vos pilotes. Si votre machine date des années 90, vous risquez d'avoir du mal à trouver des pilotes compatibles avec vos périphériques et cartes graphiques. Néanmoins, Windows 7 Upgrade Advisor Tool scanne les machines et reconnait les principaux composants et logiciels. Il indique les compatibilités et donne des recommandations pour résoudre les petits soucis. 4 - Pensez à Windows 7 Easy Transfer pour conserver vos données personnelles à l'abri lors de la migration de XP à 7. L'application migwiz.exe se trouve sur le DVD de Windows 7 dans le répertoire Support\Migwiz. Lancez-le depuis Windows XP pour sauvegarder tous les fichiers personnels vers un support externe. Une fois Seven installé, importez vos fichiers sauvegardés vers le profil Windows 7. Mais attention, cette migration ne semble pas fonctionner d'un système XP -en 32 bits- vers un système Windows 7 -en 64 bits-. 5 - Les logiciels de sécurité pour XP ne seront probablement plus compatibles avec Seven. Le système de protection étant radicalement différent, les pare-feu, antivirus, anti-logiciels espions seront inefficaces. La bonne nouvelle, c'est que Windows 7 est suffisamment sophistiqué pour se passer temporairement de ces outils. La sécurité a été améliorée avec le nouveau pare-feu, Windows Defender et la sortie de l'antivirus Microsoft Security Essentials. Mais attention, ce dernier n'est pas installé en standard, il est nécessaire de le télécharger sur le site de Microsoft. (...)

(27/10/2009 08:32:14)

Le Crédit Agricole pourrait supprimer 1 000 postes dans ses entités informatiques régionales (MAJ)

Le Crédit Agricole avait annoncé en avril dernier son projet Nice (*) visant à constituer un seul système d'information d'ici cinq ans. Aujourd'hui les ressources informatiques des cinq caisses régionales ne sont pas totalement homogènes. Historiquement, chaque caisse a développé ses propres solutions informatiques sans grande concertation avec ses voisines. Ainsi une transaction financière effectuée dans une caisse régionale, déposer un chèque par exemple, pourra être plus longue à créditer dans une autre caisse régionale que dans une banque extérieure au groupe, nous expliquait un informaticien du groupe. Ce chantier de rationalisation informatique pourrait conduire à supprimer 1 000 postes qui font doublons dans les entités informatiques régionales, passant de 2 500 à 1 500 postes. La banque doit investir 400 millions d'euros dans ce projet de refonte et prévoit de créer de nouveaux métiers, a précisé en fin de semaine dernière à l'AFP le directeur du projet Hichem Jaballah. Ce dernier a cité en exemple à l'agence la maîtrise d'ouvrage, « à mi-chemin de la banque et de l'informatique », qui devrait ainsi employer 400 personnes. (*) Projet Nice pour « Nouvelle Informatique Communautaire Evolutive » (...)

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