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Paiement sans contact

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(01/02/2012 09:48:46)

Regain de méfiance sur les paiements électroniques en France

Aujourd'hui, alors que le taux de possession des moyens de paiement classiques par les Français reste stable - 95% ont un chéquier, 67% une carte de crédit à débit immédiat, l'utilisation des moyens de paiement dématérialisés perd la confiance des consommateurs.
Ainsi, le nombre de Français utilisant la carte bancaire à débit différé baisse de cinq points (41%), le nombre de possesseurs d'un compte de transfert de fonds comme PayPal recule de six points (36%), d'utilisateurs de cartes d'organismes de crédit baisse de six points (27%, et enfin le nombre de possesseurs de porte-monnaie électronique tel que Moneo est en repli de trois points (12%).

Comparés à l'argent liquide, les moyens de paiement électronique disposent de plusieurs avantages : la rapidité (63%) et la simplicité (62%). Ceux-ci n'offrent la sécurité que pour 42% de répondants. Face à la problématique de sécurisation des moyens de paiement, 66% se disent intéressés par la carte bancaire à usage unique et 45% par la carte prépayée à recharger.

A l'inverse, 64% avouent ne pas faire confiance à la technologie sans contact, qui permet pour certains paiements par carte de crédit de ne pas saisir son code secret. Enfin, seuls 28% des Français se disent prêts à changer leur téléphone portable pour opter pour un nouveau qui leur permet de régler leurs achats.

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(16/01/2012 17:59:56)

L'UE veut accélérer le paiement électronique

La Commission européenne a lancé un livre vert dédié aux obstacles qui peuvent entraver l'amélioration du système de paiements électroniques dans l'espace européen. Les commerçants, les fournisseurs de services de paiement mais aussi les consommateurs sont invités à donner leur avis à ce sujet jusqu'au 11 avril prochain, qu'il s'agisse de paiements par carte sur internet ou sur téléphone mobile.

Bruxelles ambitionne d'identifier « les obstacles à lever pour parvenir à un marché des paiements pleinement intégré, ainsi que les sources de ces obstacles ». Ce livre vert compte poser la question de la sécurité des paiements et la protection des données, la transparence et l'efficience de la tarification des services de paiement.

La Commission européenne précise que d'autres étapes sont prévues avant l'été 2012 pour améliorer le système de paiements électroniques au sein de l'Union européenne.

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(09/12/2011 10:29:17)

Tendances 2012 : le m-commerce s'annonce comme un nouvel eldorado

L'étude, intitulée "12 Crucial Consumer Trends for 2012", reflète les situations économiques, les avancées technologiques et l'évolution de la demande des consommateurs, notamment la hausse du pouvoir d'achat des Chinois, le développement de la communication par champ rapproché (Near Field Communication ou NFC) et le "dégoût" des consommateurs vis-à-vis des "méga-marques" manquant d'éthique. Dans son introduction à l'étude, Trendwatching se montre optimiste pour 2012, qui pourrait devenir une année faste pour les entreprises innovantes tournées vers l'avenir. Certaines de ces initiatives font toutefois sourire tant elles semblent naives...

Voici donc les 10 tendances consommation pour 2012, selon Trendwatching :

 

1. Smart santé (DIY Health)
En 2012, la tendance des appareils et des applis permettant de suivre l'évolution de sa santé devrait continuer de se développer. L'offre du marché, qui affiche déjà une forme resplendissante, répond à la demande croissante des consommateurs. A titre d'exemple, le nombre d'applis santé dans l'App Store d'Apple s'élève à environ 9 000 titres, et ce chiffre pourrait atteindre les 13 000 d'ici juin 2012.

2. Les économies sans complexe (Dealer Chic)
La recherche de bonnes affaires fait déjà partie des tendances établies qui sont devenues socialement acceptables. En 2012, la tendance va s'accentuer, notamment grâce à la poussée d'adrénaline que les bons plans procurent. C'est ce côté excitant qui devrait conduire à des systèmes de fidélisation/récompense dans ce domaine, ainsi qu'à des notifications des affaires à saisir par le biais des dernières technologies.

3. Eco-cycologie (Eco-cycology)
En 2012, on peut s'attendre à une multiplication des initiatives de recyclage menées par les marques et les gouvernements, un phénomène baptisé "Eco-cycologie" par Trendwatching. Cette tendance écolo reflète la sensibilisation croissante des consommateurs aux coûts environnementaux de la fabrication de biens ainsi qu'aux efforts des marques d'apparaître plus vertes.

4. Cash-Less
Même si 2012 ne sera pas l'année où les consommateurs se débarrasseront de leurs portefeuilles pour effectuer leurs achats par smartphone interposé, Trendwatching pense que Google devrait réaliser plusieurs percées importantes dans ce domaine.

5. La bas de la pyramide urbaine (Bottom of The Urban Pyramid ou BOUP)
Il s'agit d'une cible marketing constituée des travailleurs urbains qui ne jouissent pas des salaires de la classe moyenne, cible qui se développe avec l'urbanisation rapide. Cette population demande des biens et des services adaptés à ses besoins, par exemple des tablettes discount et des distributeurs automatiques qui ne nécessitent pas de savoir lire. Trendwatching prévoit que la demande pour ce type de biens et de service devrait continuer de croître l'année prochaine. 

6. Partager les informations (Idle Sourcing)
Les marques consulteront davantage les informations partagées par leurs clients pour innover en 2012. La popularité du "crowd sourcing" devrait croître en 2012, puisque les consommateurs n'auront rien à faire pour y participer. Pour ceux qui ne souhaitent pas communiquer avec les développeurs, il faudra par contre désélectionner l'option de partage d'informations à l'installation ou l'achat d'un nouveau produit. Cette tendance soulève toutefois des inquiétudes au sujet du respect de la vie privée.

7. Des marques plus humaines (Flawsome - mot valise constitué de "flaw" et "awesome")
2012 sera l'année où les marques admettront leurs faux pas, en montrant un visage plus humain. L'erreur est humaine, mais en 2011 les consommateurs ont montré qu'ils étaient dégoûtés du manque d'éthique des grandes marques et de la cupidité des multinationales.

8. Culture écran (Screen Culture)
Les écrans sont partout et la tendance devrait se poursuivre l'année prochaine. Plusieurs des tendances évoquées ci-dessus se transmettront par écrans interposés. En 2012, les écrans vont devenir plus mobiles, interactifs et abordables. D'après Trendwatching, les consommateurs vont cesser de se soucier des caractéristiques techniques des appareils pour se concentrer sur les contenus qu'ils permettront d'afficher.

9. Maturialisme émergent (Emerging Maturialism)
Les consommateurs vont rejeter les produits milieu de gamme fades ou manquant d'innovation pour se tourner vers des expériences plus risquées en achetant des produits novateurs. Cette tendance, déjà établie dans les pays riches, va franchir les frontières des pays émergents en 2012.

10. Point & Know
La demande pour l'accès instantané à l'information par le biais de la réalité augmentée va se confirmer en 2012. Les applis et les codes QR intégrés à toutes sortes d'objets permettront aux consommateurs de s'informer en temps réel sur le produit recherché et la boutique dans laquelle ils se trouvent. Des applis novatrices comme Google Goggles développeront les technologies de reconnaissance d'image.

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(07/11/2011 15:32:46)

Intel et Mips se bousculent pour supporter Android 4.0

On a déjà vu Android 4.0, alias Ice Cream Sandwich, tourner sur un smartphone intégrant un processeur ARM, puce que l'on retrouve dans la plupart des smartphones et tablettes actuelles. Le mois dernier, Google avait montré une version de Ice Cream Sandwich (ICS) tournant sur le futur Galaxy Nexus de Samsung, dont la commercialisation doit démarrer ce mois-ci aux États-Unis, en Europe et en Asie. Google avait choisi de s'appuyer sur Samsung et Texas Instruments, dont la puce double coeur OMAP4460 fait déjà tourner le premier Nexus, pour fournir des dispositifs compatibles ICS. Mais Intel et Mips, en rivalité avec ARM, et tous deux pratiquement absents de ce marché, comptent bien faire en sorte que leurs processeurs soient aussi compatibles avec Android 4.0.

Cette semaine, Intel a fait savoir que le système d'exploitation mobile de Google était prêt pour tourner sur des tablettes et des smartphones équipés de processeurs x86 pour mobiles d'Intel. « Le premier smartphone basé sur une puce Intel est prévu pour le premier semestre de l'année prochaine, » a ainsi précisé Intel. Le fondeur a travaillé étroitement avec Google sur le développement d'une version Android compatible avec les processeurs Intel destinés aux smartphones et aux tablettes, laissant même de côté son propre OS MeeGo pour privilégier Android. « Ice Cream Sandwich a été optimisé pour les architectures x86, si bien que les appareils construits autour de l'architecture d'Intel supporteront le dernier OS mobile de Google, » a déclaré Suzy Greenberg, porte-parole d'Intel. Parmi les tablettes intégrant les processeurs d'Intel, il y a notamment la Slate 2 de Hewlett-Packard, annoncée la semaine dernière, et la Cius de Cisco, qui tourne sous une ancienne version d'Android.

Mips veut également travailler avec Android 4.0

Mips est la troisième architecture processeur à vouloir rivaliser avec ARM sur le marché de la tablette et du smartphone. Il existe déjà sur le marché des tablettes intégrant des processeurs Mips et tournant sous Android 3.0, alias Honeycomb. Et l'entreprise compte également porter Android 4.0 sur ses tablettes. « Une version d'Android 4.0 pour processeurs Mips sera disponible sous peu, » a déclaré Jen-Bernier Santarini, porte-parole de Mips. « La disponibilité de tablettes sous Android 4.0 tournant avec des processeurs Mips dépendra du moment où Google libèrera son OS sous licence Open Source, » a-t-elle expliqué. « Dès que le smartphone de Samsung sera sur le marché, Google pourra libérer le code source d'Android 4.0 et permettre le portage de l'OS sur d'autres puces et d'autres dispositifs. « Si Google libère le code d'ICS en novembre, celui-ci pourra être porté sur Mips une quinzaine de jours après, pour une mise en production sous 3 mois, » a encore déclaré Jen Bernier-Santarini.

Beaucoup de licenciés Mips travaillant avec Android ont déjà terminé le développement de bas niveau sur le noyau Linux et le pilote, et ils n'attendent plus que le code Open Source des couches supérieures d'Android pour compléter le portage. «Dans la mesure où l'architecture d'Ice Cream Sandwitch est très similaire à celle d'Honeycomb, il sera facile de tirer profit de tout le travail effectué par Mips et ses licenciés sur Honeycomb. C'est pourquoi nous pensons que ICS tournera sur nos plateformes très peu de temps après la mise à disposition par Google du code en Open Source, » a ajouté la porte-parole de Mips.

Un portage plus facile

Intel et Mips auront plus de facilité à porter Android 4.0 pour leurs processeurs que cela n'a été le cas pour les versions précédentes d'Android. Au mois de janvier, alors que l'on pouvait voir Android 3.0 sur des tablettes intégrant des processeurs ARM, Intel et Mips travaillaient encore sur le portage de l'OS sur leurs puces, et il leur a fallu plusieurs mois pour mettre au point la version définitive. HTC est l'un des fabricants de smartphones proposant des produits qui supportent Android 4.0. Le constructeur vient de livrer un smartphone Rezound, qui pourra être mis à niveau vers Android 4.0 dès l'année prochaine.

L'OS comprend de nombreuses améliorations, dont une nouvelle interface et un dock qui permet d'accéder et de naviguer plus facilement entre les applications. A noter au nombre des autres caractéristiques, un clavier virtuel amélioré, la possibilité de gérer plusieurs comptes de messagerie, une sécurité renforcée, de meilleures performances pour les applications, une prise en charge plus rapide des photos, l'accès à technologie de communication de proximité (NFC) qui apporte des capacités en paiement mobile, plus l'amélioration des fonctionnalités de reconnaissance vocale speech-to-text.

Dans l'ensemble, les fabricants de smartphones et de processeurs sont très enthousiastes en ce qui concerne Android 4.0. En particulier, parce que le nouvel OS apporte une cohérence entre les versions Android pour tablettes et smartphones qui pourrait contribuer à réduire la fragmentation du système mobile de Google.

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(13/09/2011 09:56:25)

Deutsche Telekom prépare ses prochains services connectés

Dans son forum T-Gallery, sorte de show-room sur les usages connectés de demain, Deutsche Telekom présente différents prototypes conçus avec des partenaires. Ils illustrent des solutions et des services à exploiter, à la maison et au bureau, ou en se déplaçant. Certains sont déjà disponibles comme DeutschlandLAN, l'offre de téléphonie unifiée sur IP pour PME. D'autres ne le seront pas avant deux ou trois ans telle l'interface interactive mêlant reconnaissance vocale personnalisée et gestuelle pour sélectionner une vidéo à la demande. D'autres sont plus inattendus. Ainsi, cette porte de réfrigérateur qui joue les panneau d'affichage en recevant les SMS de la famille. Sa surface invite aussi les enfants au dessin.

L'espace d'exposition T-Gallery a été inauguré en février 2010 à Bonn, au siège social de l'opérateur de télécommunications allemand. S'il n'est pas ouvert au public, il reçoit néanmoins quelques milliers de visiteurs chaque année, concepteurs, responsables produits, chercheurs ou clients, voire concurrents. Une petite équipe de dix personnes s'y est investie, issues de différentes entités du groupe allemand, à laquelle se sont joints seize partenaires. Ces derniers ont apporté leur contribution sur des technologies telles que les fonctions de contrôle par gestes, la reconnaissance intuitive de la voix, la recherche sémantique, ou encore l'utilisation de matériaux novateurs : plastique qui s'auto-régénère, laque à base d'eau, cuir injectable, feuille électroluminescente qui peut évoluer vers un affichage flexible.

Ecran panoramique et vidéoconférence

Deutsche Telekom pousse ses pions vers des marchés pouvant générer de nouvelles sources de revenus. Il tire parti de l'infrastructure de réseau qu'il a déployée et des capacités de traitement, de stockage et de diffusion du cloud computing. Dans sa ligne de mire : la maison reliée au cloud, la voiture connectée, un meilleur contrôle de la consommation d'énergie grâce à des compteurs intelligents, la e-santé et la distribution de contenus multimédias.

La T-Gallery s'ouvre sur un espace bordé d'un écran panoramique où défilent des milliers d'images figurant autant de contenus multimédias (films, morceaux de musique, photos...). Deutsche Telekom montre comment faciliter, à partir d'un terminal mobile ou d'une autre interface, la gestion des fichiers stockés en ligne ou des services numériques proposés à la demande. On contrôle à distance sa set top box pour enregistrer une émission. Des services qui tablent sur la capacité d'accéder à tout moment à une connexion haut débit.

Au fil de la T-Gallery, on découvre une vitre murale, support de vidéoconférence, qui affiche en regard un agenda partagé et des fichiers. Ces derniers sont ramenés par les participants depuis le cloud via leurs terminaux mobiles respectifs. Chacun rejoint la discussion par le canal qu'il choisit, Skype ou autre. « C'est le genre de services que nous voulons proposer sur notre cloud », explique l'opérateur.

Suivre sa courbe de poids

A l'espace « e-health », divers équipements permettent de surveiller et de repérer des anomalies dans un état de santé via des capteurs adaptés : détecter une chute, suivre une grossesse à risque, une courbe de poids (la balance transmet l'information au smartphone par bluetooth) ou le taux de sucre d'une personne diabétique. Au passage, les données peuvent être stockées sur un dossier médical dans le cloud.

Pour les applications de sécurité, Deutsche Telekom dispose, avec le Simko (un modèle HTC) d'un smartphone équipé d'un dispositif de chiffrement. L'opérateur travaille aussi sur des solutions de paiement mobile qui arriveront l'an prochain. La technologie NFC (near field communication) peut aussi servir à ouvrir la porte de sa maison ou à démarrer un véhicule de location avec la clé électronique adressée sur le téléphone. Dans le train, l'accès en libre service à un écran, flanqué d'un socle pour recevoir un smartphone, connecte le possesseur du terminal à ses données dans le cloud.

Un certain nombre de ces services sont d'abord destinés au marché allemand. Mais certains devraient être aussi disponibles dans d'autres pays.

Illustration : écran panoramique de la T-Gallery (crédit : Deutsche Telekom)

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(12/07/2011 11:19:10)

Les Français restent prudents sur le m-commerce

Le m-commerce n'en est encore qu'à ses début en France. Les Français utilisent encore peu leur téléphone portable pour faire des achats. Ils sont sensibles aux problématiques de sécurité et sont méfiants face à la géolocalisation. C'est ce qui ressort d'une étude CSA pour Orange et Terrafemina.

Utiliser son téléphone portable pour effectuer des achats reste une pratique encore marginale en France. Seulement un Français sur dix (9%) déclare avoir déjà effectué une opération de m-commerce. Parmi les pratiquants, la liste de leurs achats les plus fréquents concerne des produits numériques : l'achat d'une application pour Smartphone (74%), vient ensuite l'achat de jeux pour téléphone (46%), la musique (39%), une sonnerie de téléphone portable (32%).

L'achat de biens réels est plus difficile

Paradoxalement, les Français pensent que le m-commerce est amené à se développer même s'ils ne sont majoritairement pas intéressés par l'achat de produits via leurs terminaux mobiles ! Certains produits ou services recueillent alors un intérêt notable quoique minoritaire : les titres de transport en commun (28%), les places de cinéma (22%), les billets de train ou d'avion (21%) et les places de musées (21%). Seuls 8% des Français pensent que le m-commerce ne va pas se développer.

Au titre des inquiétudes vis à vis du m-commerce, on note la géolocalisation et la sécurité des transactions. Les Français sont ainsi majoritairement méfiants face à la géolocalisation. Trois quarts d'entre eux considèrent cette fonctionnalité comme trop intrusive et dangereuse. Ils estiment que le lieu où ils se trouvent relève de leur vie privée.

Reste qu'une minorité (23% des Français) voit dans la géolocalisation une opportunité pour les consommateurs de bénéficier d'offres personnalisées et avantageuses. Les Français qui sont le plus favorables à cette fonctionnalité sont des hommes de 18-34 ans et les possesseurs de smartphone.

La sécurité reste un frein

La sécurité des moyens de paiement est le critère le plus important pour se mettre au m-commerce aux yeux des français : pour 42 % d'entre eux, c'est le premier critère nécessaire. Les critère les plus cités sont ensuite : la simplicité d'utilisation (19%), la garantie de ne pas recevoir de nombreux messages de publicité (15%), les prix pratiqués (11%), les offres supplémentaires et les produits disponibles.

Les Français qui utilisent le plus le m-commerce sont les possesseurs de smartphone (25% d'entre eux ont déjà effectué un achat avec leur mobile), suivi par les CSP + (15%) et les jeunes. Un quart des hommes de 18-24 ans (25%) ont ainsi déjà pratiqué le m-commerce, tout comme 16% des femmes du même âge.


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