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PC et portables

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(07/05/2009 15:35:16)

Ventes de PC : stagnation du marché européen au premier trimestre

Selon Gartner, le marché européen de la micro-informatique a connu une très légère hausse (+0,7%) des livraisons de PC avec 15,3 millions d'exemplaires écoulés au premier trimestre 2009. En revanche, bien que Gartner ne communique pas les données en chiffre d'affaires, celui-ci a dû nettement baisser. Ce sont, en effet, les netbooks à bas prix et, plus généralement les portables, qui ont dopé les livraisons d'ordinateurs de ce trimestre. Rien d'étonnant à ce que les spécialistes de ce type de machines enregistrent une forte hausse des livraisons : Acer avec +31% (il détient 22% des parts de marché), Toshiba avec +20% (7% du marché) et Asus, +43% (5% du marché). Acer surfe avec maestria sur la vague des portables et netbooks. Avec plus de 3,3 millions de machines livrées, il talonne HP (numéro un avec presque 3,5 millions d'exemplaires) qui progresse toutefois plus vite que le marché. A l'inverse, le marché professionnel a plongé de plus de 20% avec, en corollaire une chute très nette des ventes de machines de bureau. C'est Dell, surtout présent sur ce marché et moins bien positionné que ses concurrents sur le créneau des portables qui paye le prix le plus cher : -22% sur des livraisons qui s'élèvent à 1,6 million d'unités. En France, les portables pèsent 64% du marché Au niveau géographique, c'est la baisse de 5,1% du marché britannique à 3 millions d'exemplaires qui plombe l'ensemble du marché européen. Avec la livraison de près de 2,5 millions d'ordinateurs, le marché français a progressé de plus de 3% en volume. Acer (+18%, 26,5% du marché) se hisse à la première place. Il devance HP (-0,4%, 23% du marché) et Dell (-20%, 10% du marché). Mais c'est Toshiba qui a connu la plus forte croissance (+33%). En France, le marché a enregistré une hausse 18% des livraisons de portables qui pèsent désormais 64% du marché. A eux seuls, les 253 000 netbooks livrés représentent 18% du marché des portables. Asus, qui avait profité l'an dernier des ventes sponsorisées de netbooks par les opérateurs de télécommunications, essuie une baisse de 10% de sa part de marché et disparaît des cinq premières places du classement. Gartner anticipe un deuxième trimestre hexagonal moins bon que le précédent. (...)

(04/05/2009 12:11:54)

Les ventes de netbooks septuplent au premier trimestre

Apple a eu beau peindre un portrait sombre des netbooks en leur reprochant leur clavier exigu et leur équipement minimaliste, ces PC ultra-portables et bon marché n'en connaissent pas moins un succès commercial d'ampleur. Selon IDC, leurs ventes au 1er trimestre 2009 auraient ainsi atteint 4,5 millions d'unités, soit sept fois plus qu'un an auparavant. Et sur cent PC écoulés au cours de la période, huit étaient des netbooks. Une performance d'autant plus remarquable que sur le même laps de temps, les livraisons totales, tous types de machines confondus, reculaient de 7%. A quelque chose malheur est bon : la crise, qui a contribué à éloigner les consommateurs du marché des PC, les a parallèlement incités à se tourner vers les netbooks, qui tirent ainsi largement leur épingle du jeu grâce à leurs prix plancher. Cette vitalité des ventes de netbooks illustre également, explique IDC, un usage des PC en mutation : depuis les étudiants qui n'ont besoin que d'une machine pour prendre des notes jusqu'aux professionnels nomades ne souhaitant pas se lester d'un ordinateur poids lourd, la course à la puissance devient un schéma éculé. « Les vendeurs prennent en considération la demande des consommateurs pour une informatique adaptée à leurs besoins réels. Tous ne nécessitent en effet pas la puissance d'un Core 2 Duo. La plupart du temps, l'utilisation d'un processeur ne dépasse pas 5% », précise l'analyste Jay Lou. Vers 50 millions d'unités en 2010 La vague sur laquelle surfe le marché des netbooks ne devraient pas se dégonfler cette année : IDC estime que le volume des ventes devrait doubler par rapport à 2008, pour atteindre 22 millions d'unités, avec des pics saisonniers sur les périodes de rentrée des classes et de fêtes de fin d'année. Aux yeux d'Acer, ces prévisions sont trop prudentes : le constructeur taiwanais, qui a su se hisser en tête des ventes avec son Aspire en dépit d'une entrée tardive sur le marché, table sur des ventes de 25 à 30 millions de netbooks en 2009, puis 50 millions en 2010. Rapportée aux projections des cabinets d'analyse, cette prédiction suppose qu'un PC sur quatre vendu l'année prochaine sera un netbooks. Si cette vaticination était avérée, le marché de la micro-informatique s'en trouverait certes dopé. Mais cela traduirait également un ralentissement important des revenus des grands constructeurs, dont le quart de l'activité PC serait alors constituée de machines peu dispendieuses et génératrices de faibles marges. Des marges d'autant faibles que les netbooks embarquent très majoritairement Windows : si, dans les premiers temps, les OS libres pouvaient permettre aux constructeurs de tirer leur épingle du jeu, l'inclusion presque systématique de Windows les oblige désormais à rogner sur leur bénéfice pour conserver des prix de vente attractifs. (...)

(24/04/2009 17:54:52)

Microsoft conclut le pire trimestre de son histoire

Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft annonce un chiffre d'affaires trimestriel en baisse. La société qui, plus que toutes les autres, fonde l'informatique actuelle, enregistre une baisse de revenus de près de 6%, à 13,6 Md$. Dans la foulée, son résultat net s'effondre : -32% à 2,9 Md$. Ce tassement est d'une telle ampleur qu'il touche le résultat net cumulé sur neuf mois. Il baisse de 14%, à 11,5 Md$. Sur cette période, Microsoft parvient à afficher un CA en légère hausse (moins de 2%), à 45,3 Md$. Microsoft a pourtant serré les boulons ces derniers mois. Il est parvenu à réduire ses charges opérationnelles de 9%. Faute de procès, de paiements d'amende et de coûteux règlements à l'amiable ce trimestre, l'éditeur a pu réduire de 61% ses charges G&A (General and administrative). Il a cependant dû débourser 290 M$ de charges liés à 1100 licenciements. Le géant de Redmond n'échappe pas aux perturbations économiques La crise actuelle met en lumière les faiblesses du Microsoft. Au cours du trimestre, l'éditeur a été attaqué sur tous les fronts, mais ce sont les divisions Online et celles reliées à l'informatique personnelle qui ont le plus souffert. La division Services en ligne voit son CA chuter de 14,5%, à 721 M$ et, surtout, ses pertes se creusent encore : 575 M$ contre 226 M$ un an auparavant. La division loisirs et périphériques affiche aussi des pertes (31 M$, contre un résultat de 106 M$ il y a un an) sur un CA en légère baisse (-1,6%, à 1,5 Md$). Mais c'est sur la division Client (OS pour système individuel) que le retentissement de la crise est le plus remarquable : la vache à lait historique qu'elle représentait pour Microsoft n'est plus aussi prolifique, cette activité passe en troisième position du groupe en termes de revenus. Sur un CA en baisse de 15%, à 3,4 Md$, elle ne rapporte plus que 2,5 Md$ à l'éditeur. La sanction de cette baisse (-19%) est radicale : elle fait chuter le ratio CA/résultat opérationnel à 74%... Vista toujours boudé par les entreprises [[page]] Microsoft a dû casser les prix de Windows : alors que le nombre de licences vendu en OEM a baissé de 6%, le CA généré a chuté de 19%. Microsoft incrimine à la fois les netbooks (vendus avec du Windows XP à bas prix pour contrer Linux) et la morosité de la demande de "premium editions" par le marché professionnel. Comprenez, les entreprises ne veulent pas de Vista. Heureusement, la division Server and Tools voit son CA augmenter de 7%. Avec 3,4 Md$ engrangés, elle est devenue la deuxième division du groupe. Sa rentabilité progresse dans des proportions encore plus importantes avec un résultat opérationnel de 1,3 Md$ (+24%). Avec un ratio par rapport au CA de 39%, on est pourtant encore loin de la profitabilité des Windows clients. Microsoft souligne la progression des ventes de SQL Server, mais pas celle de Windows Server qui devrait pourtant être portée par les mises à jour vers la version 2008. L'intérêt pour la virtualisation ne doit pas être étranger à cette discrétion. Quant à la Business Division, dont 90% du CA provient des ventes de Microsoft Office et le reste du PGI (ERP) Dynamics, elle affiche des résultats mitigés. La plus importante division du groupe annonce un CA en baisse de près de 5%, à 4,5 Md$ et un résultat opérationnel en baisse de 8%. En cause, la chute de la demande du grand public (-30%, à 299 M$). Microsoft constate, outre la morosité générale du marché, un basculement ("shift") vers des "produits moins chers". Il doit s'agir de la suite bureautique gratuite Open Office. (...)

(24/04/2009 12:55:50)

PixelQi lance un écran hybride sur les traces du XO

À défaut de lancer un PC à moins de 75 dollars, PixelQi annonce le lancement d'un écran « 3-en-1 » : un mode noir et blanc pour la basse consommation, un mode couleur haute résolution et un mode e-paper plus adapté à la lecture de textes. Cet écran, le 3Qi, aura une diagonale de 10 pouces et restera lisible même en plein soleil. En revanche, dans un premier temps, il ne disposera pas de fonction tactile.

Les premiers exemplaires seront disponibles d'ici un mois et Pixel Qi espère une commercialisation de ses produits durant l'été. Si OLPC semble être candidat pour doter ses XO de ces écrans, PixelQi n'a pas encore annoncé de constructeur partenaire. Lors de sa présentation, Mary-Lou Jepsen, PDG de PixelQi, a précisé qu'elle souhaitait voir cet écran intégrer des ordinateurs portables à bas coût pour les enfants des pays en voie de développement, sans préciser si elle parlait du XO d'OLPC ou du projet à moins de 75 dollars de sa société. (...)

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