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PC et portables

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(10/12/2008 17:14:20)

Record de rustines pour finir l'année avec Microsoft

Vingt-huit failles, la plupart "critiques", le dernier patch Tuesday pour 2008 de Microsoft prend des allures de (triste) record. On n'avait pas vu un emplâtre (40 Mo) de cette envergure depuis cinq ans. Microsoft en donne le détail dans huit différents bulletins. Au moins deux correctifs empêchent l'exploitation à distance de failles dans le noyau de Windows, dont celui de Vista, ce qui va se traduire par une phase de redémarrage des systèmes ainsi corrigés. A l'installation de ces rustines, il convient d'ajouter en priorité celles qui concernent Internet Explorer. Mais, le pire, c'est qu'installer l'intégralité de la palanquée de rustines du jour n'empêche pas d'être exposé à deux autres failles "zero day". L'une dans SQL Server 2000 et l'autre dans IE 7. Cette dernière est, en effet, déjà exploitée et son utilisation est expliquée sur les forums chinois. Pour ceux qui auraient choisi d'utiliser IE 7, il n'y a qu'une solution : désactiver les scripts. Tous les logiciels vedettes de Microsoft concernés En auscultant les rustines à télécharger, on constate bien que Vista, présenté comme un parangon de la sécurisation, figure parmi les logiciels qui souffrent de failles critiques, de celles qui permettent de s'arroger les fameux droits d'administration sur le système attaqué. Il est, lui aussi, menacé par les failles qui empoisonnent toujours le GDI (Graphic Device Interface) de la famille Windows. D'autres logiciels de dernière génération - Word 2007 et IE 7- souffrent aussi de failles critiques. Le discours de Microsoft autour de son Security Development Lifecycle (SDL), sur la certification du code de ses logiciels, est donc encore loin d'être passé dans ses pratiques de développement. Aux côtés de ces trois vedettes, on trouve la quasi-intégralité des logiciels Microsoft : toutes les générations d'Internet Explorer (de la 5.01 à 7), de Windows (de 2000 à 2008 en passant par XP), idem pour Office (y compris sur Macintosh) et pour Windows Media Player (de la version 6.4 à celle d'aujourd'hui, en 32 et 64 bits). Les outils de développement VB, Visual Studio et Project ont aussi leurs rutines. La longue liste s'achève par Sharepoint Server, 2007 et 2008, 32 et 64 bits. (...)

(10/12/2008 17:14:37)

Netbook : Les clés pour faire le bon choix

Acer et Asus devant, les autres loin derrière. Les deux Taïwanais sont les champions du marché des netbooks, selon les chiffres publiés par Display Search. A eux deux, les constructeurs ont enregistré 68,3% des ventes sur le troisième trimestre, soit plus de 3,8 millions d'unités. Acer caracole en tête, avec 38,3% de parts de marché, contre 30,3% pour Asus. Ces chiffres confirment les prévisions des analystes, tous instituts confondus, qui tablent sur une dizaine de millions de machines écoulées en 2008. Un incroyable succès pour ces micro-PC dont personne, ou presque, n'était équipé il y a encore un an. Si ces ordinateurs qui misent tout sur la mobilité ne dégagent que peu de marge pour les constructeurs, ils ont au moins le mérite de maintenir le marché des PC - très affecté par la crise économique - à flot. A quelques jours de Noël, les fabricants s'attendent à enregistrer de très fortes ventes. C'est l'occasion, pour LeMondeInformatique.fr, de faire le point sur ces petites machines dans un dossier qui répondra aux questions que vous vous posez. Vous découvrirez que les netbooks commencent à trouver leur place dans le cadre de l'entreprise et, à travers un guide d'achat et une sélection de huit machines, nous vous donnerons des pistes pour choisir votre futur netbook. (...)

(10/12/2008 13:36:46)

Google exécutera du code natif sur le poste de l'internaute depuis un navigateur

Sur un de ses blogs, Google évoque son projet de recherche Native Client qui devrait permettre d'exécuter du code natif depuis un navigateur. Certains modules applicatifs exploiteraient ainsi directement la puissance des postes de travail des internautes, sans que ceux-ci soient contraints de quitter leur navigateur pour autant. Pour expliquer son projet, l'éditeur prend l'exemple d'un site de partage de photos. Si un utilisateur veut manipuler ses images sans quitter le site Web, il peut disposer de la fonction idoine qui combinera du Javascript et du code sur le serveur. Mais cela implique de lourds et longs échanges de données, en l'occurrence d'images, entre le poste de travail et le serveur. L'exécution du code en mode natif sur la machine de l'internaute permettrait d'exploiter directement la puissance du poste client pour le traitement d'image et ainsi d'éviter les va-et-vient avec le serveur et les temps de latence associés. Google en appelle à la communauté Opensource pour gérer la sécurité Mais il reste à Google à résoudre les questions soulevées par de tels développements : l'indépendance vis à vis du navigateur, la portabilité sur les OS et surtout la sécurité des modules applicatifs natifs. Sur tous ces domaines et ce dernier sujet en particulier, le géant du moteur de recherche a décidé d'en appeler à la communauté opensource. L'éditeur veut par exemple que ses modules Native Client soient exempts de certaines séquences d'instructions ou qu'ils respectent un ensemble de critères structurels qui permettent de les désassembler de façon fiable. Face à « l'importance considérable » de l'enjeu, il a donc décidé de partager sa technologie avec la communauté bien que le projet soit encore très en avance de phase. Le package en ligne mis à disposition des développeurs comprend un runtime de Native Client, un plugin pour navigateur et un ensemble d'outils de compilation GCC (GNU Compiler Collection). Google propose l'accès à une version de recherche et à son code source, ainsi qu'à une documentation détaillée. Il conseille de disposer de Python et de Firefox 3, même si aucun des deux n'est obligatoire. L'environnement ne nécessite par exemple pas Python, mais l'éditeur a utilisé le langage pour écrire les scripts des premiers modules Native Client. Et ceux qui seront développés par les testeurs tourneront aussi bien sur Firefox, Safari, Opera, et Google Chrome sur n'importe quel Windows 'moderne', sur Mac ou Linux sur x86, pour l'instant. (...)

(09/12/2008 15:45:31)

AMD livre un portrait idéalisé de la France numérique

Trois ans après une première enquête menée en 2005, AMD, en association avec le cabinet YouFGov, étudie de nouveau les usages numériques des Européens et des Français en particulier. Le résultat est plutôt étonnant si on le compare avec d'autres études existantes. Il faut dire que l'enquête a été réalisée auprès de 5148 Européens dont seulement 1000 Français, entre le 17 et le 30 septembre dernier. Dans ce sondage, les Français interrogés se classent troisièmes en terme d'équipement numérique derrière les espagnols et les Anglais. Et 87,5 % des Français interrogés déclarent avoir un ordinateur de bureau chez eux, loin des 60,1 % annoncés par l'institut GFK en début d'année et des optimistes 66 % de taux d'équipement avancés par le Credoc. Et s'ils restent fidèles à leurs vieilles « tours », 40 % des Français sondés déclarent vouloir acheter un ordinateur portable, parmi lesquels 14 % préféreraient un netbook. Parmi eux, les habitants de Poitou-Charente (à 56 %), ceux de Champagne et d'Alsace (à 52 %) et de Provence et Languedoc Roussillon (à 50 %) sont les plus désireux de s'équiper d'un portable. Cette envie d'une solution mobile correspond également à un besoin d'être connecté à Internet. Selon cette enquête, 85 % des Français considèrent qu'avoir un accès à Internet est indispensable, contre 77 % pour une machine à laver ou 66 % une automobile. 89 % utilisent cet accès pour la messagerie instantanée, contre seulement 73 % des Européens. Parmi les autres activités préférées des Français, citons le jeu (à 76 %) et le multimédia (lecture de vidéo pour 75 % d'entre eux et mise en ligne de photos pour 68 %). (...)

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