Flux RSS

PC et portables

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2797 documents trouvés, affichage des résultats 541 à 550.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(28/02/2011 14:44:25)

La présence d'Apple progresse sur Internet

Sur un an, la part des Européens allant sur Internet depuis un ordinateur Apple est passée 6,4% à 8,7%. A contrario, les internautes navigant depuis un PC équipé de l'une des plateformes Microsoft sont en baisse mais représente toujours près de 90% des utilisateurs, selon le baromètre AT Internet publié ce lundi 28 février.

Pour la marque à la pomme, la progression la plus nette quant à l'utilisation de l'un de ses produits pour naviguer sur la toile est à mettre au crédit de la plateforme iOS, passant de 1,4% à 2,2% en une année. Cette plateforme est présente dans les iPhone, les iPod Touch et iPad. Fort logiquement, Windows 7 voit son taux progresser largement pour représenter désormais une visite sur quatre. XP reste toutefois la plus utilisée avec 45,7% des visites des internautes européens.

(...)

(28/02/2011 14:38:40)

iPad 2 : les dernières rumeurs avant le lancement

Chaque annonce de conférence par Apple s'accompagne de son lot de rumeurs et de spéculations, alimenté par les blogs et sites spécialisés. Celles de la semaine prochaine, concernent en toute logique l'iPad 2, deuxième génération de la tablette tactile d'Apple. Généralement bien informé, le site américain Engadget.com a dévoilé quelques caractéristiques de l'iPad 2, s'appuyant sur des sources confidentielles. L'ardoise serait plus fine que la première, sans que les capacités de sa batterie ne soient altérées, un premier capteur photo/vidéo ferait son apparition au dos de l'appareil, et un autre pour les appels FaceTime en WiFi serait intégrée à l'avant.

Pour la partie technique, la tablette de la firme de Cuppertino profiterait d'une plus grande quantité de mémoire vive, d'un micro-processeur plus performant (A5), et sans doute d'une capacité de stockage accrue. En revanche, il semblerait que le port de cartes SD, qui permettrait par exemple de transférer les clichés de son appareil photo sur la tablette, serait toujours absent, Apple ayant fait le choix de réduire les entrées physiques de sa machine au maximum. Il sera toujours possible de passer par un adaptateur pour le faire. Par ailleurs, la résolution de l'écran serait inchangée. Enfin, l'iPad 2 serait animé par la dernière version du système d'exploitation mobile d'Apple, iOS 4.3. L'iPad 2 serait commercialisée en avril aux Etats-Unis et en juin en Europe.

Un marché de plus en plus concurrentiel

Lancé au printemps 2010, l'iPad s'est écoulé à environ de 15 millions d'exemplaires dans le monde. A en croire les rapports des cabinets d'études, la tablette d'Apple a représenté 90% des ventes mondiales sur ce segment high-tech, situé à mi-chemin entre les smartphones et les ordinateurs portables. Le succès d'Apple a poussé les concurrents à lancer avec retard des modèles concurrents, la plupart fonctionnant sous le système d'exploitation mobile de Google. La Motorola Xoom, dotée d'Android 3.0 Honeycomb et pourvue des fonctionnalités absentes du premier iPad (appareil photo, enregistrement des vidéos en HD, etc.), a notamment reçu des critiques positives lors de sa présentation au CES de Las Vegas en début d'année. La presse américaine a également fait de la tablette HP TouchPad l'un des challengers les plus sérieux à l'iPad.


(...)

(25/02/2011 10:12:22)

Le Cebit 2011 très connecté et très cloud

Pendant européen du salon CES de Las Vegas, organisé en janvier, le CeBit de Hanovre est, depuis le milieu des années 80, l'événement high-tech référence du vieux continent. Cependant, la crise économique de 2008 a sérieusement réduit l'ampleur du show allemand. Cette année, environ 4 200 sociétés seront présentes à la Deutsche Messe, alors que l'édition 2006 comptait pas moins de 6 200 exposants. Ces dernières années, certains géants comme Samsung, Toshiba, ou Philips, ont même fait l'impasse sur l'événement. Les organisateurs se veulent toutefois rassurants. « Les entreprises ont de grandes attentes pour cette édition du CeBit » a souligné Ernst Raue, l'un des dirigeants du salon. « Elles sont déterminées à profiter de cet événement pour de nouvelles opportunités et une reprise de la croissance ».

Le salon, qui attire près de 700.000 visiteurs, a d'ailleurs été réorganisé en quatre plateformes bien distinctes ; CeBit pro pour les professionnels, CeBit gov pour le secteur public, CeBit lab pour la recherche et CeBit life pour les dernières tendances en matière d'électronique grand public.

Un monde ultra connecté et orienté cloud


Thème majeur de ce CeBit 2011, le Cloud Computing. Ce concept, traduit en français par « informatique dans le nuage » (ou « informatique dématérialisée »), repose sur les services et les technologies de l'information fournis par des ordinateurs et des serveurs répartis dans le monde, et reliés entre eux par Internet. Cette révolution annoncée permettrait aux entreprises de se passer de serveurs propres (elles utiliseraient la puissance de calcul et de stockage de machines distantes), et aux consommateurs d'utiliser des logiciels et de la mémoire accessibles à distance, et non plus stockés sur leurs ordinateurs. C'est d'ailleurs cette logique qui anime le futur système d'exploitation Google Chrome OS. Les PC et netbooks s'allumeront en quelques secondes, et la plupart des fonctionnalités (traitement de texte, multimédia, etc.) seront accessibles via Internet. La principale conférence du salon sera ainsi axée sur le « cloud », et pas moins de 1000 forums, débats et ateliers tourneront autour de cette notion.

De manière générale, de nombreuses annonces du CeBit devraient concerner des solutions connectées. Alan Mulally, PDG de Ford, doit notamment exposer les avancées du secteur automobile en matière de technologies embarquées : accès aux webradios, surf en WiFi depuis une tablette pour les passagers arrière, affichage des cartographies en ligne pour le conducteur, etc. Une « Smart Home », exposée sur le salon, servira aussi d'illustration concrète à une vie ultra connectée. La maison high-tech du futur permettra de contrôler ses équipements à distance, depuis son smartphone, de réduire sa consommation énergétique en fonction de ses besoins, mais aussi de profiter de réfrigérateurs, de pèse-personne ou de téléviseurs intelligents, ou de commander des appareils directement par la voix ou un geste de la main.

La 3D et les tablettes en vedette


Côté produits, le CeBit 2011 s'inscrit dans la lignée du CES de Las Vegas de la même année. Les tablettes, alternatives ou remplaçantes des ordinateurs portables, investiront les stands de nombreux constructeurs, tels qu'Asus, Acer, Toshiba ou AOC. Selon le cabinet IDC, le marché des tablettes tactiles, inauguré l'année dernière par l'iPad d'Apple, représentera plus de 44 millions de ventes cette année, contre 17 millions en 2010.

Autre tendance forte de ce salon, la 3D. Les images en relief sont désormais proposées dans la plupart des équipements high-tech : téléviseurs, appareils photo, caméscopes, PC portables, smartphones, tablettes, consoles portables, etc. Si les contenus sont encore peu nombreux, les fabricants proposent aujourd'hui aux consommateurs de créer leurs propres photos et vidéos en trois dimensions, et de les visualiser sur des écrans ne nécessitant pas de lunettes spécifiques. C'est le cas notamment sur la nouvelle gamme de produits de LG (téléphones mobiles et tablettes).

Le coup d'envoi du CeBit 2011 sera donné le lundi 28 février par la chancelière allemande Angela Merkel en compagnie du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, dont le pays est cette année l'invité d'honneur du salon.

(...)

(24/02/2011 12:30:12)

Un ordinateur complet vraiment micro

L'ordinateur, appelé puce Phoenix, mesure un peu plus d'un millimètre cube et a été conçu pour contrôler la pression oculaire chez les patients atteints de glaucome. « C'est le premier vrai système informatique complet à l'échelle millimétrique » explique Dennis Sylvester, professeur à l'Université du Michigan et l'un des chercheurs sur ce projet.

Dans l'ordinateur, on retrouve un microprocesseur de très faible puissance, un capteur de pression, de la mémoire, une batterie fine, une cellule solaire et une radio sans fil avec une antenne qui peut transmettre des données à un dispositif de lecture externe installé près de l'oeil. En matière de consommation électrique, l'ordinateur s'allume toutes les 15 minutes pour récupérer et transmettre les informations. En restant en mode sommeil la plupart du temps, ce système ne consomme en moyenne que 5,3 nW (nanoWatt) à chaque fois qu'il se met en marche. Il dispose d'un système photovoltaïque qui nécessite 10 heures de lumière à l'intérieur ou 1,5 heures de lumière du soleil pour charger complètement la batterie. Le composant radio de la puce est compatible avec la plupart des fréquences radio et transmettre ainsi les informations au lecteur. Les données peuvent ensuite être utilisées au sein d'un dossier médical électronique du patient.

Arriver au nanomètre

Selon les chercheurs, les micro-ordinateurs et la connectivité de réseaux sans fil pourraient un jour être utilisés pour surveiller la pollution, l'intégrité de certaines structures, assurer une traçabilité intelligente de n'importe quel objet. « Notre travail est unique en ce sens que nous pensons à des systèmes complets dans lesquels tous les composants sont de faible puissance et peuvent tenir dans la puce » a déclaré Dennis Sylvester. « Nous pouvons collecter des données, les stocker et les transmettre. Les applications pour les systèmes de cette taille sont infinies. »

Les chercheurs ont présenté leurs travaux à l'International Solid-State Circuits Conference (ISSCC) de San Francisco. Le travail est dirigé par trois membres du corps professoral du département de génie électrique et informatique de l'Université du Michigan. David Blaauw, un des universitaires explique que quand les puces atteindront l'échelle nanométrique, alors des centaines d'ordinateurs pourront être montés sur une même plaque de silicium et réaliser des tâches de surveillance multiples.

Les chercheurs mettent en avant la loi de Bell, stipulant qu'il y a une nouvelle classe d'ordinateurs plus petits, moins chers qui apparaît tous les dix ans. Cet axiome a été émis dans les années 1960. « Dans les années 80, on parlait d'ordinateurs personnels, dans les années 90, on a vu l'émergence de l'ordinateur portable et le début du deuxième millénaire est résolument orienté vers les smartphones, la prochaine décennie sera certainement le temps des nano-ordinateurs » concluent les chercheurs.

(...)

(24/02/2011 10:39:48)

Douleurs dorsales en hausse chez les jeunes à cause de leur ordinateur

Le 18 février, le site spécialisé dans la santé LiveScience a cité dans un article une récente étude, menée par des chercheurs à l'Université de Boston, sur les douleurs associées à l'utilisation d'un ordinateur portable et publiée ce mois-ci dans la revue Ergonomics. Selon l'étude, plus de 50% des étudiants à l'université souffraient déjà de douleurs liées à l'utilisation d'un ordinateur. Un étudiant sur sept affirme ressentir des douleurs après seulement une heure passée devant un ordinateur.

La principale cause de ces douleurs, selon les experts, est le fait que les utilisateurs d'ordinateurs, en particulier de portables, ne sont pas installés correctement. Les chercheurs conseillent par exemple d'utiliser une souris plutôt qu'un trackpad, qui peut être la cause de tension dans la main et le poignet. Il faut faire en sorte que la souris soit posée à la même hauteur que le coude et pas trop loin de l'ordinateur. Selon LiveScience, « les écrans d'ordinateur sont souvent positionnés trop bas, ce qui force la personne à se pencher en avant et peut causer des douleurs au dos et au cou ».

Selon la recherche, les personnes qui pratiquent une activité physique sont moins sujettes aux douleurs liées à l'utilisation d'un ordinateur que les personnes trop sédentaires. Dans tous les cas, il est bon de se lever et d'aller marcher toutes les deux ou trois heures. Il est aussi important de bien étirer ses poignets et son cou pendant la journée.

 

Crédit Photo: D.R

(...)

(24/02/2011 10:20:53)

Annuels Archos : Une croissance portée par les tablettes

Le français Archos publie ses résultats 2010. Ils montrent des progressions très spectaculaires. Le chiffre d'affaires (CA) passe à 83,3 millions d'euros (ME) sur l'année, en hausse de 43,9%. Le groupe s'est donc redressé, il le doit à l'élargissement de sa gamme (avec  50 références) et à son positionnement sur des produits très en vogue.

Le 4ème trimestre est ainsi en hausse de 120,3% (à 35,6 ME) avec le lancement de la nouvelle génération de tablettes (Archos 2.8, 3.2, 70 IT, 101 IT). « La demande a été telle, explique le P-dg fondateur Henri Crohas que nous avons été confrontés à une situation de pénurie dans le plupart des enseignes ». Archos souligne, en s'appuyant sur les chiffres de GFK, être n°1 en France sur le segment des tablettes à moins de 400 euros et 2ème sur le marché des tablettes, tous segments confondus.

(...)

(23/02/2011 15:44:01)

La destruction de fichiers sur les disques SSD problématique

Les chercheurs ont notamment mis en évidence une série de problèmes quant il s'agit de détruire des données de manière sécurisée, que ce soit l'effacement d'un disque SSD dans son ensemble ou la suppression de fichiers individuels inscrits sur ce type de disque. En premier lieu, ils font état de problèmes liés à la façon dont certains firmware de disque mettent en oeuvre les commandes ATA/SCSI pour effectuer la fonction d'effacement. Ceux-ci ont constaté que, parmi les douze disques SSD analysés, seuls quatre d'entre eux avaient complétement effacé l'empreinte utilisée pour le test. Parmi les huit disques restant, quatre ne prenaient pas en charge la fonction d'effacement des données, trois d'entre eux étant des disques amovibles USB, et l'un, crypté, n'a pu être vérifié. Trois autres disques n'ont pas permis d'aboutir : deux à cause de bugs dans le firmware, et le troisième indiquait que les données avaient été correctement effacées alors qu'elles étaient intactes et encore accessibles sur le disque.

Les résultats obtenus pour l'effacement d'un seul fichier sur un disque SSD à partir d'une série de protocoles standards de destruction ont été encore plus mauvais. Ainsi, il s'est avéré que 4 à 75% des données restaient récupérables. Dans le genre, les clés USB font piètre figure, avec un taux d'accès aux données « effacées » de 0,57% à 84,9%. L'équipe a même essayé de démagnétiser les disques avec un matériel recommandé par la NSA, pour confirmer que cette technique ne fonctionnait pas sur les disques à mémoire flash.

Une erreur d'emplacement


Le coeur du problème est que, contrairement aux supports magnétiques, les disques SSD enregistrent les données dans des pages physiques, mais effacent les blocs logiques d'adresses (LBA). Ce processus, géré par une couche appelée Flash Translation Layer (FTL), trompe le driver du contrôleur ATA ou SCSI, qui confond entre l'endroit où se trouvent les données et celui où elles résident physiquement. Le disque compense en recopiant les données et c'est cette copie qui laisse des traces qui ne sont pas effacées. « Ces différences de comportement réel entre les disques durs magnétiques et les disques SSD présentent un risque dans la mesure où il ne se produit pas la même chose et que, dans un cas, la demande de l'utilisateur n'est pas satisfaite, » disent les chercheurs. « Le propriétaire d'un disque SSD qui applique une méthode de destruction de données propres aux disques durs pense, à tort, que ses données seront irrécupérables. En réalité, les données demeurent sur le disque et il est possible de les récupérer sans avoir recours à des outils très sophistiqués. » En d'autres termes, l'hypothèse selon laquelle les techniques de destruction de données actuelles peuvent s'appliquer de la même manière sur les disques SSD et sur les supports à mémoire flash en général est aussi erronée. Parfois, cela marche, parfois non. Cela dépend de la qualité de l'intégration et s'il s'agit ou non de fichiers uniques.

La difficulté de nettoyer de simples fichiers sur des disques SSD va alerter les administrateurs IT, parce que c'est pour eux une exigence quotidienne. Comment par exemple, être sûr de détruire des clés de chiffrement, des fichiers de tableur et autres documents importants sans altérer l'ensemble du disque. Les chercheurs suggèrent plusieurs techniques qui permettraient de modifier le Flash Translation Layer (FTL) du SSD pour répondre à ces besoins en sécurité.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >