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PC et portables

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(15/09/2010 11:57:55)
Econocom se développe vers le multimédia professionnel
La convergence élargit les attributions des directions informatiques à qui l'on demande fréquemment de gérer des outils initialement situés hors de leur champs de compétences. Ces dernières années, ce fut notamment le cas des copieurs, à mesure que ceux-ci embarquaient une connexion au réseau, ou celui de la téléphonie, avec l'arrivée de la ToIP. Selon Econocom, cette tendance est aussi observable depuis quelque temps autour des solutions multimédias professionnelles. « Il y a 7 mois, nous nous sommes adaptés à cette évolution en créant un pôle dédié à ces produits au sein de la division solutions et services d'Econocom Products and Solutions (EPS) », explique Philippe Goullioud, le directeur général de l'activité EPS en France.
Pleinement Opérationnel depuis quelques semaines seulement, ce pôle baptisé Multimedia Competence Center a pour mission de signer des partenariats avec des fournisseurs de technologies, de concevoir des solutions à partir de leurs offres, et d'appuyer les forces de vente et avant-vente du revendeur. Sa direction a été confiée à Cédric Boulanger. Comme Philippe Goullioud, Il fut notamment l'un des collaborateurs du revendeur LAFI chez qui il a développé une structure dédiée à l'audiovisuel. Chez Econocom, l'offre de produits et de solutions du Multimedia Competence Center est axé vers la vidéosurveillance / Vidéoprotection, la vidéprojection, les tableaux blancs interactifs et les bornes interactives.
L'objectif de revenus initial est déjà dépassé
« La principale cible de notre nouveau pôle sont nos clients actuels chez qui nous allons élargir notre présence », indique Philippe Goullioud. A priori, ces entreprises réagissent très favorablement à l'arrivée d'Econocom Products and Solutions sur ce nouveau marché. En effet, le Multimedia Competence Center a déjà dépassé en 7 mois l'objectif de 1,6 M€ de chiffre d'affaires qui lui avait été fixé pour sa première année d'existence.
(...)
L'offre de communication unifiée de Microsoft devient Lync
La solution de communications unifiées de Microsoft fête ses 5 ans et en profite pour s'offrir un toilettage. Il est vrai que l'offre commençait se compliquer entre Microsoft Office Communication Server 2007, Communication on line (client en ligne), Communicator (client Office) et Communication Web App (client web). Auparavant distinctes, ces différentes solutions sont vues de manière uniforme sous l'appellation Lync, combinaison de l'anglais Link (lier) et Sync (synchroniser). Etienne Lacour, chef de produit communications unifiées chez Microsoft résume le concept : « proposer aux utilisateurs une solution par laquelle ils peuvent en tout lieu, par tout média et à tout moment se connecter aux autres ».
L'objectif est que l'utilisateur « à partir d'un identifiant unique et d'une simple connexion » puisse dialoguer, partager, échanger des informations. Les outils de présence via la messagerie instantanée vont être mieux intégrés au sein des applications Office, avec une amélioration des recherches de contact par compétence. En matière de VoIP, l'apport de Lync se fera surtout ressentir dans la prise en charge de scénarios plus étoffés, comme les PABX classiques ou la haute disponibilité avec des fonctionnalités de débordement dans une agence par exemple. En ce qui concerne la vidéoconférence, « la qualité est bluffante, même avec une simple webcam » assure Etienne Lacour. Pour développer son offre, l'éditeur de Redmond se repose sur un ensemble de partenaire, comme Polycom, Aastra, Logitech, Plantronics, etc. qui seront Lync Ready.
Disponible en téléchargement, Lync Server 2010 est actuellement en version Release Candidate et devrait arriver en version commerciale (RTM), à la fin 2010 ou début 2011.
Malgré certaines lacunes, l'iPad s'implante dans les entreprises
Très populaire auprès des consommateurs depuis son lancement en avril dernier, l'iPad d'Apple semble peu à peu trouver sa place entre les mains des médecins, des avocats et autres hommes d'affaires qui affirment que la tablette peut leur rendre service dans l'accomplissement de leur travail.
Par exemple, le cabinet Sonnenschein Nath & Rosenthal LLP basé à Chicago a donné la permission à ses avocats d'utiliser des iPad à condition qu'ils paient eux-mêmes pour l'achat des machines. 100 des 800 juristes de l'entreprise les utilisent. "L'iPad a une valeur réelle pour les avocats au service de nos clients. Il leur permet d'accéder immédiatement aux données d'entreprise et à des documents, beaucoup plus rapidement qu'avec un ordinateur portable," a déclaré Michael Barnas, directeur des services applicatifs au sein du cabinet américain. Les responsables informatiques ont approuvé les fonctions de sécurité et de gestion de l'iPad et l'entreprise apporte un soutien limité à ces utilisateurs nomades lorsqu'ils rencontrent des problèmes de connexion, d'authentification ou tentent d'utiliser le middleware Citrix Receiver sur leur périphérique. Mais Michael Barnas a reconnu que le personnel informatique ne pouvait pas pour l'instant apporter un support à distance complet pour l'iPad. "Ceux qui utilisent des iPad ont encore besoin d'ordinateurs portables, notamment pour rédiger de longs documents qu'ils doivent revoir et modifier un certain nombre de fois - une tâche aujourd'hui presque impossible sur la tablette d'Apple," estime Michael Barnas.
Bien adapté au milieu médical
Jon Wahrenberger, un cardiologue du Dartmouth-Hitchcock Medical Center situé à Lebanon, New Hampshire, a indiqué que lui-même et quatre de ses collègues utilisaient des iPad pour accéder aux dossiers de santé électroniques et prendre des notes tout en examinant les patients. "L'encombrement de l'appareil est moins intimidant que peut l'être un ordinateur portable pendant les examens," a-t-il déclaré. Le médecin a fait savoir que le centre médical avait récemment installé un serveur Microsoft Exchange avec des extensions pour l'iPad. "Une nouvelle qui a suscité beaucoup d'excitation au sein de l'hôpital," a-t-il ajouté.
Pour Ted Schadler, analyste chez Forrester Research, "l'iPad aurait besoin de renforcer ses capacités professionnelles en offrant des fonctionnalités plus adaptées au monde de l'entreprise avant de s'imposer comme un outil de base." Selon lui, le plus important est de disposer d'applications pour créer et modifier des documents communs à travers des plates-formes informatiques multiples. "Tant que nous n'aurons pas accès à des applications professionnelles, les salariés devront trimbaler leur ordinateur portable", a-t-il déclaré. Il fait remarquer que l'iPad dispose du même "modèle de sécurité et d'administration que celui qu'Apple a mis dans l'iPhone". Ce qui lui fait dire qu'"Apple a déjà fait diligence raisonnable." Celui-ci cite également trois utilisations pratiques de l'iPad en entreprise aujourd'hui. "Tout d'abord, dit-il, les vendeurs peuvent utiliser l'appareil pour faire défiler des photos ou montrer un site web. Ensuite, pendant de courts déplacements, les cadres peuvent l'utiliser pour accéder à leur messagerie, à leur agenda ou visualiser des présentations Keynote. Enfin, les médecins, les vendeurs dans les magasins, ceux qui travaillent dans des entrepôts ou dans d'autres emplois, peuvent utiliser l'iPad pour accéder à des applications tout en marchant."
(...)(13/09/2010 17:00:55)Les élus ruraux à la recherche d'un second souffle pour l'Ecole Numérique
Le plan Ecole Numérique Rurale, lancé pour la rentrée 2009 a été le premier plan d'ensemble décidé par l'Etat en matière d'équipements informatiques dans les classes rurales. Il concerne les communes de moins de 2 000 habitants. 6 700 écoles sont concernées. Un effort supplémentaire est toutefois nécessaire estime le président de l'Association des maires ruraux de France, Vanik Berberian. Celui-ci vient d'écrire au Président de la République. Il lance également une pétition en ligne pour ses adhérents.
Son raisonnement ? Le 1er plan a intéressé beaucoup plus de communes que celles qui ont été effectivement subventionnées. D'autres communes restent en attente. L'effort financier de l'Etat doit donc se poursuivre. « Les 67 millions d'euros du plan ENR n'ont représenté que 0,28% sur les 24 milliards du plan de relance. Les 250 millions nécessaires pour un plan ENR 2 couvrant l'ensemble des 25 000 écoles publiques des communes de moins de 2 000 habitants représenteraient à peine 0,4% du budget de l'Education nationale en 2010 (environ 60 milliards d'euros) ».
L'association travaille également à l'écriture d'un guide méthodologique sur l'école numérique en milieu rural. Il sera présenté début décembre. (...)
Tribune de François Delumeau : la brevetabilité des logiciels en question
La Grande Chambre de Recours de l'Office Européen des Brevets a rendu un avis intéressant. Selon elle, la saisine du 22 octobre 2008 portant sur plusieurs questions relatives à la brevetabilité des logiciels est irrecevable.
Cet organe considère en effet, après avoir reconnu l'importance du sujet, que les décisions fondamentales en la matière ne présentent pas le caractère « divergent » nécessaire à la recevabilité de ladite saisine. Cependant, même s'il n'apporte pas de réponse directe aux questions posées, cet avis présente l'intérêt de fixer clairement la jurisprudence d'une part sur l'exclusion des programmes d'ordinateurs et d'autre part sur l'appréciation de la nouveauté et l'activité inventive de ces programmes. Il apporte aussi des précisions quant à la forme des revendications.
On rappelle de façon liminaire que selon le paragraphe 1 de l'article 52 de la CBE, des brevets européens sont délivrés pour toute invention, dans tous les domaines technologiques, à condition qu'elle soit nouvelle, qu'elle implique une activité inventive, et qu'elle soit susceptible d'application industrielle. Cependant, le second paragraphe de cet article contient une liste d'objets qui ne sont pas considérés comme des inventions au sens du premier paragraphe.
La vérification du premier critère visant à déterminer si l'objet revendiqué est une invention au sens cité précédemment ou s'il fait partie des exclusions est un prérequis pour l'examen des critères de brevetabilité.
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(...)
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