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(21/10/2009 12:09:17)

Sun supprime 3000 postes, en attendant son rachat par Oracle

Sun Microsystems va se séparer de près de 3000 employés dans les 12 prochains mois (10% de l'effectif). Une information qui est loin d'être une surprise. En effet, en attendant que la Commission Européenne donne son aval à Oracle pour le racheter, le constructeur californien perdrait en effet environ 100 M$ chaque mois, aux dires Larry Ellison, CEO d'Oracle. Dans un communiqué envoyé mardi 20 octobre aux autorités de régulation des Etats-Unis, Sun confirme procéder à ce plan de licenciements à cause du "retard pris dans le processus de clôture de l'acquisition." Le constructeur ajoute que cette démarche permettra "d'aligner ses ressources avec ses objectifs stratégiques et économiques." Le Californien estime entre 75M$ et 125 M$ la charge associée à ces départs, essentiellement en primes de licenciements. Une charge qui devrait surtout peser sur les 2e et 3e trimestre de son année fiscale, c'est à dire entre octobre 2009 et mars 2010. Ces licenciements semblaient inévitables, quoi qu'il arrive. Avec ou sans les retards de validation de l'acquisition. Tony Sacconaghi, analyste spécialisé dans la technologie pour Sanford C.Bernstein&Co., Oracle pourrait supprimer jusqu'à 10000 postes, une fois l'opération conclue. En novembre 2008, Sun avait déjà annoncé entre 5000 et 6000 licenciements pour améliorer sa position financière. Une porte-parole du constructeur a précisé que les coupes annoncées mardi venaient bien s'ajouter à ce nombre. Si le DoJ (Department of Justice, ministère américain de la justice) a approuvé le rachat de Sun par Oracle pour 7,4 Md$ en août, la Commission Européenne a préféré lancer une enquête approfondie avant de se prononcer. Cette investigation pourrait se prolonger jusqu'en janvier. La Commission s'inquiète en particulier des conséquences sur le marché de l'Open Source, du passage de MySQL entre les mains du numéro un mondial des SGBD. (...)

(21/10/2009 12:08:11)

Sans surprise, le projet THD Seine mécontente certains opérateurs

( Source EuroTMT ) En donnant, fin septembre, son feu vert au projet de réseau à très haut débit dans les Hauts-de-Seine, THD seine, financé partiellement par le Conseil Général, la Commission européenne ne vient-elle pas de mettre à bas la délicate architecture réglementaire bâtie par l'Arcep pour inciter les opérateurs privés à investir dans le FTTH ? Si l'intervention des collectivités locales dans les télécoms est jugée légitime dans les zones où l'investissement privé fait défaut, le projet des Hauts-de-Seine est d'une tout autre nature. Ce département est l'un des plus riches de France et il a été intégré dans la zone 1 (la zone très dense) définie par l'Arcep dans le cadre de son projet de décision sur les conditions de déploiement des réseaux à très haut débit. Il s'agit d'une zone présentée comme rentable et où les opérateurs peuvent investir dans les infrastructures pour se concurrencer. Cette incitation à investir dans les réseaux répond d'ailleurs à deux objectifs principaux : éviter de recréer un monopole sur la boucle locale en fibre optique et favoriser l'emploi et la croissance économique. Corollaire: l'intervention des collectivités publiques dans cette zone n'y est pas jugée comme nécessaire. Cette philosophie semblait avoir été entérinée par la Commission européenne quand elle a émis ses propres recommandations sur les aides publiques pour déployer les réseaux FTTH. Elle estimait aussi que l'intervention des pouvoirs publics dans les zones très denses n'était pas utile. Une évolution attendue de la Commission européenne Quelques jours plus tard, Bruxelles a donc paru se déjuger en autorisant le projet des Hauts-de-Seine. D'où la stupéfaction de certains opérateurs, comme France Télécom, qui juge l'action de la Commission incohérente. « L'Arcep a proposé une réglementation précise dans les zones très denses où on est sûr qu'il y aura une concurrence par les infrastructures jusqu'au pied des immeubles. En même temps, la Commission européenne approuve un service d'intérêt économique dans ce département au motif qu'il peut y avoir de zones blanches. Cela pose un problème majeur de cohérence entre les décisions nationales et communautaires, et constitue de fait une grave remise en cause du cadre national en cours de définition par l'Arcep » souligne Eric Debroeck, le directeur de la réglementation de l'opérateur historique. France Télécom estime que la Commission européenne n'aurait pas dû accepter ce projet si elle avait appliqué ses propres lignes directrices. De leur côté, le conseil général et les opérateurs qui participent au consortium ayant obtenu la délégation de service publique pour le réseau du 92 justifient le projet par l'existence de zones peu denses à l'intérieur du département. Mais en privé, l'un des responsables du projet reconnaît que cet investissement public peut provoquer le trouble dans le secteur. S'il est encore trop tôt pour savoir comment les opérateurs vont réagir et s'ils vont revoir leur plan d'investissements dans les Hauts-de Seine, ce projet pose un certain nombre de problèmes. Alors que certains opérateurs notent que même dans Paris certains quartiers (comme le 16ème arrondissement) ne seront pas rentables, le risque est donc grand de voir maintenant d'autres collectivités locales pourtant classées en zone 1 réfléchir à des projets d'investissement public pour garantir la couverture en FTTH des « zones blanches » qui peuvent exister en leur sein. D'où une incertitude nouvelle pour les opérateurs qui souhaitent investir. Face à cet enjeu, l'Arcep ne doit-elle pas corriger son projet de décision ?

(...)

(21/10/2009 11:59:30)

Cegid propose des produits en Saas pour les experts comptables

L'éditeur Cegid lance deux produits en Saas pour les experts comptables : Cegid Expert et QuadraExpert. « Une offre complètement industrialisée qui s'adresse à toutes les tailles de cabinets en dessous de 50 collaborateurs » explique Sylvain Mossé, directeur de la business unit Cegid Interactive et par ailleurs DSI de Cegid. Les avantages de la formule Saas selon lui ? « La disponibilité permanente, l'assurance de mises à jour en temps réel (fiscalité et paye), le fait que ce soit un budget de fonctionnement (via une location sur 36 mois) et non pas un budget d'investissement ». Cegid réalisait sur 2008 5% de son chiffre d'affaires avec des formules en Saas, soit 13 millions d'euros(ME) sur un chiffre d'affaires total de 250. La société possède plusieurs offres en Saas. Historiquement, elle a débuté sur la paye et les RH, établissant aujourd'hui 250 00 feuilles de paye par mois via ce mode de fonctionnement Une offre TPE compte 8700 entreprises clientes, 3600 pour la comptabilité. Cegid compte également une offre retail qui concerne actuellement 650 points de vente. D'autres offres sont en phase de lancement, c'est le cas dans l'industrie, les experts comptables importants avec 7 ou 8 cabinets comme clients, le secteur public. Sur ce dernier secteur, Cegid a racheté Civitas il y a un an et travaille à une offre Saas pour les collectivités locales. (...)

(21/10/2009 11:53:31)

Le Syntec Informatique crée un Comité Infrastructures

Sans faire de bruit, le Syntec Informatique poursuit depuis des années une politique d'élargissement et de recrutement. Elle vise les régions avec des SSII de taille locale ou inter-régionale, elle est passée par les éditeurs, ou les acteurs du conseil en technologies. Le Syntec Informatique a voulu sortir de son image, et de sa réalité ancienne, celle d'un regroupement des grandes SSII. Désormais, le Syndicat compte plus de mille adhérents. Une catégorie particulière adhère au Syndicat, mais plus récemment, celle des intégrateurs télécoms et réseaux. De grands acteurs de ce secteur se sont glissés dans les rangs du Syntec Informatique : Nextiraone, Axians, Spie Communications, Telindus, TRS. Pour échapper à l'isolement et mieux mettre en perspective leurs métiers et leurs poids dans l'économie numérique, ces intégrateurs viennent de créer un « Comité professionnel »(*), le Comité « Infrastructures numériques et services ». Microsoft, HP, IBM, Unisys, un équipementier comme Axians, ou ECS les rejoignent. Il ne s'agit donc pas d'une filière mais bien d'acteurs d'un marché très large, mais bien identifié : « celui des infrastructures IT au sens large, télécoms et informatiques, nous représentons avec le Comité 80% du marché », souligne Foucault de la Rochère Président de ce comité et P-dg de Nextiraone. « Ce secteur des infrastructures, poursuit-il, a beaucoup évolué. Tous les applicatifs viennent désormais sur le réseau. Il n'est plus le parent pauvre, mais l'élément stratégique de la décision IT. La crise économique actuelle souligne les besoins en réseaux, pour éviter les déplacements par exemple, on recourt au travail à distance ». Participer aux grands chantiers du secteur public Participer aux grands chantiers du secteur public Le Comité veut d'abord une reconnaissance de la filière et participer aux grands investissements IT du secteur public. Cette mise en valeur se fera en interne dans le secteur IT et en externe, en particulier vis-à-vis des pouvoirs publics. Le secteur veut par exemple mettre en valeur son poids en terme d'emplois. Il va surtout s'investir dans les grands chantiers, les possibilités ne manquent pas. Du côté de l'Etat, la procédure du grand emprunt est lancée, le Syntec Informatique et le nouveau Comité Infrastructures sont auditionnés par la commission Rocard-Juppé. Le gouvernement a également lancé deux dossiers lourds en termes d'investissements IT : la Santé et l'Education. Le plan Hôpital 2012 comporte une forte partie infrastructures. Dans l'Education, le plan Ecole Numérique Rurale s'est mis en place. D'autres grands projets se profilent, dans l'Education ou dans la fibre optique. Le Comité Infrastructures a bien pour premier objectif de sensibiliser les ministères et les collectivités locales à la nécessité d'investir. (*) Le Syntec Informatique compte 10 comités professionnels : éditeurs, infrastructures numériques et services, services informatiques, conseil en technologies, conseil en système d'information, systèmes embarqués, développement durable et green IT, data mobile, open source, santé. Les Comités regroupent les adhérents par filières professionnelles, ils peuvent également se retrouver dans des structures plus transversales : les commissions. Elles sont au nombre de huit : développement ; social / formation / emploi ; économie numérique / innovation / relations institutionnelles ; marchés tendances / Europe ; communication ; juridique / fiscale / finance ; PME ; satisfaction adhérents. (...)

(21/10/2009 12:07:36)

Windows 7 : déjà 9 failles corrigées

Avant le lancement officiel de son OS pour poste de travail, Microsoft a corrigé neuf vulnérabilités, dont cinq désignés comme critiques dans Windows 7. Les utilisateurs doivent ainsi mettre immédiatement à jour leur machine, s'ils ne veulent pas être concernés. Ce sont les premiers patches mis en place depuis la version finale RTM (Release to manufacturing) de Seven. Celle-ci est distribuée depuis août dans les entreprises bénéficiant d'accords avec Microsoft. Évidemment, il y a, pour l'instant, moins de correctifs que pour Vista ou le vénérable XP, officiant depuis 8 ans sur la majorité des ordinateurs, à travers le monde. Depuis bientôt six ans, Microsoft fournit des correctifs chaque mois. Ce « patch Tuesday » constitue la plus importante mise à jour de sécurité. Selon une étude de Computerworld sur ce correctif, Windows 7 est infecté par 26% (9 sur un total de 34) des vulnérabilités révélées et 24% (5 sur 21) des bugs les plus sérieux découverts par Microsoft. Windows Vista, en comparaison a été touché par 19 des 34 vulnérabilités (soit 56% du total) dont plus de la moitié (11) jugées critiques. Windows XP a été affecté par la plupart des vulnérabilités (24 sur 34, soit 71%) et la quasi-totalité des bugs critiques (18 sur 24, soit 88%). L'étude indique également que Windows 7 a été inquiété par la moitié des vulnérabilités de Vista et par un tiers de celles de XP. Les bugs suivent en effet le même modèle. Ces défauts sont probablement causés par du code ancien recyclé dans le nouvel OS, expliquent les experts en sécurité. « Les failles proviennent du même code source" précise Jason Miller, responsable de l'équipe de gestion des correctifs pour l'éditeur Shavlik Technologies. Des failles déjà anciennes En fait, aucune des vulnérabilités découvertes par Microsoft la semaine dernière ne provenait uniquement de Windows 7. Les cinq bulletins de sécurité envoyés pour le nouvel OS, ont également concerné Vista et XP, qui ont dû être patchés. Certaines vulnérabilités cachées dans du code sont connues de longue date. Quelques mois après le lancement de Vista, des chercheurs en sécurité avaient averti Microsoft d'une faille dans le curseur animé, alors que cette fêlure remontait à un bug que le géant de Redmond avait corrigé plus de deux ans. Microsoft a déclaré que Windows 7 serait plus sûr et sécurisé que son prédécesseur. Il avait déjà produit le même discours trois ans plus tôt à propos de Vista face à XP. Tout est relatif. Même le fleuron des experts Microsoft en sécurité a admis qu'il était virtuellement impossible de déceler certains types de bugs, sauf à procéder à une fastidieuse vérification des milliers de lignes de code, une par une. Pourtant, l'éditeur semble bel et bien disposé à en arriver à cette extrémité. Trois des cinq vulnérabilités critiques de Seven proviennent du navigateur web maison, Internet Explorer 8, équipant le nouvel OS. Les deux autres découlent de vieilles éditions de Silverlight et du Framework.NET, permettant d'accéder à distance à un ordinateur. À l'inverse, Windows 7 n'est pas affecté par les huit vulnérabilités découvertes dans la GDI+ (Graphics Device Interface, Interface des dispositifs d'affichage) alors que cette interface figure en tête des failles à corriger par bon nombre d'experts. En comparaison, XP doit patcher 6 vulnérabilités quand Vista n'a besoin de s'occuper que d'une seule. Windows 7 n'est cependant pas à l'abri de nouvelles failles, que les ingénieurs et hackers trouveront sans doute progressivement. « Tant que Microsoft ne concevra pas un système d'exploitation totalement neuf, il faut s'attendre à ce type de désagréments", présage Jason Miller. (...)

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