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(22/10/2009 16:09:30)
Blackberry 9700 : Rim en panne d'innovations
Le Blackberry 9700 n'est pas encore commercialisé en France, qu'il fait déjà polémique outre atlantique. Il n'offrirait que peu d'innovations selon les spécialistes. Certes, il est plus mince que le Bold 9000 mais il est toujours équipé du capteur photo 3,2 mégapixels, du processeur à 624 MHz et de la batterie 1500 mAh de son prédécesseur. Le seul changement conséquent se situe dans la navigation avec le remplacement de la bille magique par un trackpad optique. D'ailleurs, ce dispositif était déjà installé sur le Blackberry Curve 8520. Il constitue un modèle de transition, entre un Bold 9000 light et un Curve 8520 dopé aux stéroïdes. Par rapport aux Google phones (Motorola Cliq) ou même aux smartphones Windows Mobile, le constructeur canadien semble distiller les novations au compte gouttes. Seuls les clients de l'opérateur américain T-Mobile peuvent être enthousiastes. En effet, ils vont enfin bénéficier de la 3G et de la VoIP sur un Blackberry. Blackerry reste toujours la référence en entreprises Le marché des smartphones haut de gamme tourne aujourd'hui autour de l'iPhone. Le constructeur à la pomme a réussit à drainer massivement les consommateurs. Le mobile d'Apple est le référent obligatoire pour tous les nouveaux mobiles convergents. Chaque constructeur se vantant de commercialiser un iPhone Killer. Or, le terminal à la pomme séduit aussi bien le grand public (cherchant confort et ergonomie) que les professionnels (désirant un objet valorisant). Et pourtant, le BlackBerry Curve était le smartphone le plus vendu aux Etats-Unis au deuxième trimestre 2009, devant l'iPhone 3G S, selon une étude d'IDC. D'après le classement des meilleurs ventes de smartphones, réalisé par ce même cabinet, RIM occupaient quatre des dix premières places. Une surprise pour une marque venant du monde professionnelle. A l'inverse, destiné à l'origine au grand public, l'iPhone cherche aujourd'hui à séduire les entreprises avec le push de messagerie et la synchronisation avec les serveurs Microsoft Exchange même si l'absence de clavier reste un handicap. (...)
(22/10/2009 16:05:34)APEC : pas de remontée des offres pour les cadres IT en septembre
En septembre, l'Apec a reçu 5 269 offres d'emploi de cadres destinées aux professionnels de l'informatique, soit une baisse de 38% par rapport à l'an dernier. Si l'on considère le cumul des offres reçues par l'Apec dans ce domaine depuis le début de l'année (45 230), on constate un recul équivalent (-38%) par rapport aux trois premiers trimestres 2008. Dans le secteur de l'informatique, 81% des entreprises ont recruté au moins un cadre sur cette période et 76% prévoient d'en recruter un sur les trois derniers mois de l'année, contre 81% au troisième trimestre 2008. A noter qu'une entreprise sur trois du secteur informatique qui ne recrute pas invoque la mauvaise conjoncture économique, contre seulement 20% seulement pour l'ensemble des entreprises qui ne prévoient pas d'embauche. Globalement, les recruteurs semblent trouver un peu plus facilement des candidatures correspondant aux postes proposés : 53% déclarent en effet avoir eu des difficultés pour recruter, alors qu'ils étaient 60% à s'en plaindre l'an dernier. L'Apec l'explique par une remontée du nombre moyen de candidatures par offre : 48 contre 34 il y a un an. Toutefois, dans ce paysage, « les offres de la fonction Informatique sont toujours celles qui attirent le moins de candidatures, 23 en moyenne », très en dessous, donc, des 48 candidatures reçues en moyenne sur l'ensemble des offres. (...)
(22/10/2009 15:10:14)L'UE sermonne Oracle pour son manque de coopération
L'Union Européenne vient de tancer Oracle pour son manque de coopération dans l'enquête concernant l'acquisition de Sun. Le Vieux-Continent a en effet réclamé cet été des compléments d'informations concernant entre autres le traitement qui sera réservé à MySQL, avant de se prononcer sur l'opération -l'absorption de Sun par Oracle entraineraît l'intégration de MySQL chez le géant du SGBD et génère des interrogations sur le respect de la concurrence sur ce marché- Oracle, de son côté, n'a de cesse de se plaindre de la lenteur des autorités européennes à approuver le rachat. Une lenteur qui générerait, selon le CEO d'Oracle, Larry Ellison, 100 M$ de pertes mensuelles à Sun, qui annonce 3000 suppressions de postes, en blamant indirectement la Commission. A l'occasion d'une rencontre mercredi à Bruxelles avec Safra Catz, présidente d'Oracle, la commissaire Neelie Kroes s'est livrée à une rapide mais ferme mise au point. Elle a diplomatiquement exprimé « son désappointement vis à vis d'Oracle qui, malgré des demandes renouvelées, n'a pas réussi à proposer de solution aux problèmes de concurrence identifiés par la Commission ou à produire la moindre preuve qu'il n'existe pas de problème de concurrence." Elle a ajouté qu'elle souhaitait aboutir à une décision finale rapide tout en soulignant "que la solution était entre les mains d'Oracle". Une façon, selon George Weiss, analyste au Gartner, de montrer que la Commission ne se laisserait pas impressionner. Un écosystème Sun entièrement paralysé Pour Andrew Butler, autre analyste du même cabinet, ce retard permanent "paralyse tout l'écosystème Sun". Selon lui, les employés, les partenaires et les clients souffrent en attendant que l'opération soit conclue et qu'Oracle publie une feuille de route qui "redonnera confiance au moins dans une partie du portfolio de Sun". Il reste que, comme le rappelle George Weiss, il sera difficile pour Oracle de présenter des preuves que le rachat n'aura pas d'impact sur la concurrence dans l'Open Source en particulier. Il pourrait proposer une analyse du marché des bases de données qui montrerait qu'il existe d'autres options que MySQL dans l'Open Source comme PostgreSQL ou Ingres. Puisqu'Oracle a assuré qu'il ne créerait de filiale pour MySQL, il pourrait aussi choisir de l'inclure dans sa division SGBD et tenter de convaincre la Commission qu'il n'interférera ni dans les développements de MySQL ni dans ceux de la communauté de la base Open Source, imagine George Weiss. "Il semble néanmoins que la Commission Européenne ne veuille pas que MySQL devienne une 'business unit' à part entière au sein d'Oracle », ajoute le consultant. Pour les analystes, si Oracle est surtout en concurrence avec DB2 d'IBM ou SQLServer de Microsoft, en haut de gamme, il va bel et bien devoir « préciser les lignes de démarcation vis à vis de MySQL », selon Andy Butler. L'inquiétude est palpable dans la communauté du Libre. Pour preuve, Richard Stallman, initiateur de GNU et chantre de l'Open Source, a envoyé cette semaine une missive à la Commission Européenne dans laquelle il explique que "si Oracle est autorisé à acheter MySQL, il limitera à coup sûr le développement des fonctions et des performances de la plateforme, entrainant un lourd préjudice pour ceux qui l'utilisent comme moteur de leurs applications." Le Gartner n'est pas du même avis qui rappelle que non seulement il existe d'autres bases Open Source sur le marché, mais aussi d'autres distributions MySQL, qui survivront malgré le rachat. Pour le Gartner, Oracle devrait positionner MySQL comme une option d'entrée de gamme, complémentaire à son offre. "Ils ont largement assez d'opportunités sur le marché haut de gamme pour leur base, comme ils le démontrent avec Exadata, ajoute George Weiss. Ils devraient prendre une journée ou deux pour réfléchir à la chose et ne surtout pas réagir avec impétuosité. La situation exige de réfléchir calmement pour donner la réponse la plus intelligente possible." (...)
(22/10/2009 09:58:35)La crise accélère l'usage du web 2.0 en entreprise
Si les budgets en webmarketing BtoB sont relativement plus modestes en France qu'au-delà de ses frontières, les entreprises de l'Hexagone comme leurs voisines investissent davantage dans les techniques du marketing 2.0. La crise mondiale n'est qu'un catalyseur de ce phénomène, souligne une étude internationale menée par le Benchmark Group. Sur les 112 entreprises sondées dans sept pays, 23% avouent que la conjoncture ne fait qu'accélérer un processus déjà enclenché depuis plusieurs années, qui vise à modifier en profondeur les relations entre les marques et les consommateurs. Pour près d'un tiers des sociétés, les budgets se portent sur les vecteurs Internet offrant une visibilité précise sur le ROI. Blogs et sites interactifs plutot que micro-blogging Un tiers des services marketing BtoB ont ainsi déjà mis en place des sites en web 2.0 avec des plateformes de partage de contenus (Youtube, DailyMotion...) ou simplement des sites interactifs auprès de communautés (forums, blogs...). Et cette proportion devrait doubler en 2010. En revanche, le micro-blogging (type Twitter) semble avoir atteint un plafond en ce qui concerne les responsables marketing. Déjà utilisé par 20% des entreprises, ce type de services n'a attiré que 5% des sociétés qui ne l'avaient pas déjà adopté. Les mondes virtuels, eux, semblent devenus sans intérêt pour les services marketing interrogés : aucune ne prévoit d'investir dans les Second Life et autres métaverses peuplés d'avatars. Des réticences quant aux coûts Malgré cet engouement pour le webmarketing participatif, certaines sociétés s'interrogent encore sur l'usage de ces sites en raison du surcoût, selon elles, engendré par l'animation et la modération de ces environnements (pour 71% des entreprises françaises). Les technologies du web 2.0, vantées comme des instruments de dialogues entre entreprises et consommateurs, sont détournées de leur origine. Une grande majorité des sociétés interrogées avouent que ces environnements servent essentiellement à améliorer l'image de marque de l'entreprise et à drainer davantage de trafic. Cependant, 19% d'entre elles utilisent le web 2.0 pour intégrer le consommateur aux décisions. (...)
(22/10/2009 10:58:20)Microsoft proposera une bêta d'Office 2010 en novembre
A l'occasion de la manifestation SharePoint Conference qui se tient à Las Vegas jusqu'au 22 octobre, Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a annoncé le lancement de la bêta d'Office 2010 pour novembre. L'éditeur n'a pour l'instant offert qu'un aperçu de sa nouvelle suite bureautique à un groupe restreint de testeurs. Il a également ouvert l'accès à la version en ligne Office Web Apps à quelques rares privilégiés. Cette mouture inclut des versions allégées de Word, Excel et PowerPoint et sera mise à disposition du public gratuitement au premier semestre 2010. La version finale d'Office 2010 devrait être commercialisée à la même période. Selon Microsoft, la version bêta de la suite sera accessible à tous. Toutefois, L'éditeur n'a pas précisé si il limiterait cet accès dans le temps ou en nombre de copies, comme il l'avait fait pour Windows 7 et sa Release Candidate (RC). L'été dernier, Microsoft a pourtant estimé qu'il s'attendait à distribuer des millions de copies d'Office 2010 en bêta publique. Une bêta payante ? En avril, l'éditeur précisait qu'il ne proposerait pas d'offre spéciale pour tester Office 2010 aux utilisateurs des versions précédentes, comme il l'avait fait jusqu'à présent. Puis il est revenu sur sa décision, en expliquant avoir donné une « mauvaise impression » de ses projets. Par ailleurs, aucune information n'a filtré sur un hypothétique téléchargement payant de la bêta d'Office 2010. Pour la seconde bêta d'Office 2007, l'éditeur avait en effet pratiqué un tarif de 1,5 euro pour un test avec un autre navigateur que le sien. Microsoft s'était alors justifié en expliquant que le nombre de téléchargements avait dépassé ses objectifs. Une mise à disposition en streaming [[page]]Microsoft devrait utiliser une nouvelle technologie, appelée Click-To-Run, déjà présentée en juillet. Ce procédé consiste à envoyer des parties du logiciel aux internautes qui le téléchargent. Ceux-ci ne sont ainsi pas contraints d'attendre la fin de l'opération pour commencer à profiter de l'application. Le code continue de se charger progressivement en tâche de fond. Début octobre, Microsoft a déclaré songer à utiliser Click-To-Run pour une version limitée dans le temps d'Office 2010, quand la version finale sera commercialisée l'année prochaine. Office Starter, une solution de remplacement pour Works La firme de Redmond proposera également une version d'Office 2010 avec bandeau publicitaire aux constructeurs de PC, à la place de l'ancienne suite Works. Le pack logiciel Office Starter 2010 comprendra des versions allégées de Word 2010 et Excel 2010. La clé d'activation sera disponible sur une carte auprès des détaillants ou directement en ligne chez Microsoft. Elle déverrouillera la version payante, sans télécharger d'autres applications. Les clients auront ensuite la possibilité de migrer de la version Starter à Office 2010 Home & Étudiante, Home & Entreprise ou Professionnelle. Microsoft n'a toutefois pas encore annoncé les tarifs de cette dernière mouture. Steve Ballmer a également dévoilé quelques caractéristiques de SharePoint 2010, précisant qu'une bêta publique serait disponible en novembre. (...)
(22/10/2009 09:25:28)Green Grid : les législations environnementales de l'UE pèseront sur les datacenters
Sans grande surprise, le rapport 'energy policy research for data centres' du Green Grid conclut à une pression croissante de la législation environnementale européenne sur les datacenters et leurs propriétaires. Le document a aussi bien étudié les réglementations actuelles et à venir, et les réglementations de la Commission Européenne autant que certaines législations nationales (Royaume-Uni, France, Allemagne et Pays-Bas). De plus en plus de textes de loi européens tiennent compte du dérèglement climatique et imposent aux industriels de réduire leur empreinte environnementale pour limiter les émissions de GES (Gaz à effet de serre). Or, la mise en place de datacenters va de pair avec une imposante consommation énergétique (bâtiments, infrastructures informatiques et systèmes de climatisation) qui engendre des émissions de GES (les centrales autres que nucléaires qui alimentent les datacenters en énergie sont émettrices de GES). Dans son rapport, l'association Green Grid qui regroupe des fournisseurs et utilisateurs de datacenters qui travaillent à une meilleure efficacité énergétique, a identifié trois impacts principaux des nouvelles législations à considérer dans les entreprises. Celles-ci concernent en particulier les bâtiments. Pour commencer, les révisions de la directive EPDB (Energy performance of buildings directive, Performance énergétique des bâtiments) vont exiger des nouvelles constructions qu'elles deviennent 'zéro énergie' avant 2018. Un bâtiment 'zéro énergie' est censé produire autant d'énergie qu'il en consomme. Ensuite, de nouvelles politiques de construction, liées à l'efficacité énergétique devraient aussi réduire la marge de manoeuvre de ceux qui souhaitent construire ou réhabiliter des bâtiments pour des datacenters. Enfin, certains pays d'Europe comme le Royaume-Uni vont, par ailleurs, imposer des réductions plus importantes des émissions de gaz à effet de serre des entreprises et y associer des pénalités pour ceux qui ne respecteront ces engagements. En conclusion, le Green Grid conseille vivement aux entreprises de mesurer la consommation énergétique des matériels, des logiciels et des bâtiments. Il propose d'améliorer la situation en profitant entre autres des différentes incitations fiscales en place dans les pays de l'Union Européenne. (...)
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