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(15/10/2009 17:42:32)

Le rapport Afsset ne tranche pas sur la nocivité du sans fil

L'Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail) a présenté aujourd'hui son rapport d'expertise collective relatif aux radiofréquences. En conclusion de ces travaux, l'agence admet « l'existence d'effets des radiofréquences sur des fonctions cellulaires » et « recommande de réduire les expositions ». Mais le document ne permet pas de conclusion plus ferme sur le sujet car « un certain nombre d'études ne rapporte aucun effet particulier » et « aucun mécanisme d'action n'a été identifié entre radiofréquences et cellules ». L'Afsset reste donc prudente et préconise le développement de recherches complémentaires pour lever les incertitudes. Commandée en 2007 par les ministères de la Santé et de l'Environnement, cette étude devait en particulier s'intéresser à l'éventuelle « modification de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique, à une étude épidémiologique sur le risque de neurinome associé à l'usage du téléphone mobile ainsi qu'au développement et au déploiement de nouvelles technologies.» Elle s'est attachée à l'utilisation des technologies sans fil avec des champs électromagnétiques de radiofréquences situés entre 9 kHz et 300 GHz (Bluetooth, Wi-Fi, WiMax, etc.), qui s'est fortement développée en particulier ces dix dernières années, soulevant des interrogations quant à leurs effets éventuels sur la santé. Le rapport Afsset présente l'avantage de présenter clairement la question de la dangerosité des ondes : type de technologies de radiofréquence existantes et applications associées, bandes de fréquences concernées, impacts sur la santé étudiés (le rapport note à ce propos que la présence constatée d'un effet biologique ne signifie pas forcément qu'il entraîne forcément un dommage), etc. Le document s'est aussi intéressé à la question particulière de l'hypersensibilité électromagnétique. Le texte présente les différentes inquiétudes exprimées et les études existantes dans chacun des domaines. Si l'état des lieux est des plus complet, la plupart du temps, aucune conclusion ne permet de pencher du côté de la dangerosité ou au contraire de l'innocuité de ces technologies. Un outil de travail pour le Grenelle des ondes Pour plusieurs raisons, la question n'a pas encore été tranchée. Pour commencer, il semble particulièrement difficile de prouver l'impact ou l'absence d'impact des ondes sur l'être humain (ou sur les animaux, d'ailleurs). Mais par ailleurs, les études publiées jusqu'ici proviennent de l'un ou l'autre des deux clans opposés sur le sujet : les acteurs du marché des télécoms d'un côté et de l'autre, les associations d'usagers ou de riverains opposants à ces technologies. Des études qui sont, de fait, sujettes à caution. Le rapport de près de 500 pages de l'Afsset aura sans doute le mérite d'exposer le problème de façon détaillée, mais pas celui d'apporter une réponse ferme et définitive, ni même de fixer des seuils de dangerosité. Sur sa page Facebook, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, rappelle que demain, vendredi 16 octobre, « le Gouvernement lancera le Comité de suivi de la table-ronde 'radiofréquences, santé, environnement', le Grenelle des ondes », mise en place en avril par la ministre avec Roselyne Bachelot, ministre de la Santé et Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'Ecologie. Ce comité s'appuiera donc sur le rapport de l'Afsset. NKM tient aussi à souligner « le travail fait par l'Agence, la qualité et la rigueur scientifique et méthodologique des travaux conduits. Je sais qu'une importance particulière a été donnée pour garantir l'indépendance des experts. » Le groupe de travail proprement dit comprenait des experts en médecine, biologie, biophysique, métrologie des champs magnétiques, épidémiologie et sciences humaines et sociales. Et en préambule du rapport, l'Afsset précise aussi qu'un de ses comités d'experts a auditionné quatre associations françaises mobilisées sur la téléphonie (Priartem, Agir pour l'environnement, Criirem, Robin des Toits). Un membre de Priartem a également été nommé observateur du déroulement des travaux. (...)

(15/10/2009 17:41:29)

OpenWorld 2009 : Larry Ellison annonce Fusion Applications pour 2010

Oracle prévoit de lancer l'année prochaine la suite de gestion intégrée Fusion Applications qui doit rassembler le meilleur des différentes technologies développées ou acquises par Oracle. L'offre sera disponible en ligne (en mode SaaS) et dans une version traditionnelle à installer en interne. C'est ce qu'a annoncé hier son PDG, Larry Ellison, au quatrième jour d'OpenWorld, la grande conférence que l'éditeur tient chaque année à San Francisco (11-15 octobre 2009). Aux utilisateurs des applications de gestion de la relation client Siebel, ou encore des ERP JD Edwards ou Oracle e-Business Suite, le patron d'Oracle a pris grand soin d'assurer que, comme promis il y a déjà trois ans, leurs applications respectives continueraient, quoi qu'il arrive, à évoluer... sur les dix ans à venir et au-delà. « Nous pouvons nous permettre, non seulement de maintenir les logiciels que vous exploitez aujourd'hui, mais aussi de bâtir ceux que vers lesquels vous pourriez vouloir évoluer demain. » Il y a quelques jours, Larry Ellison, avait de la même façon affirmé aux clients de Sun qu'il allait poursuivre les investissements dans les produits qu'ils avaient achetés. Pour donner du poids à sa parole, il avait sollicité à ses côtés le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, un autre 'showman' de sa trempe. Des fonctions de Business Intelligence embarquées La suite Fusion Applications est basée sur une architecture SOA reposant sur la couche Fusion Middleware. « Nous ne pensons pas que tous nos clients vont remplacer ce qu'ils ont aujourd'hui par Fusion, a reconnu Larry Ellison. Nous pensons qu'ils vont étendre ce qu'ils ont avec certains éléments de Fusion. C'est ainsi que Fusion sera déployé. » Les tout premiers éléments de Fusion avaient été dévoilés sur OpenWorld 2007. Conçus pour s'utiliser en ligne, ces premières briques étaient destinées à la gestion de la relation client (CRM). Les premiers modules de la suite Fusion Applications couvriraient la gestion financière, ainsi que la gestion du capital humain, des ventes, du marketing, de la chaîne logistique, des risques et de la conformité réglementaire, des projets et des achats. En revanche, le module de gestion de production arrivera plus tard. Hier, sur OpenWorld 2009, le patron d'Oracle a insisté sur l'intérêt de cette approche modulaire : « Vous assemblez les composants dans l'ordre où vous voulez les utiliser, de la façon la plus pertinente pour votre secteur d'activité. Nous avons travaillé de façon très très rapprochée avec les utilisateurs pour concevoir et tester Fusion Applications », a-t-il précisé. Ce qui, selon lui, a permis de déboucher sur une interface « de qualité supérieure ». Les fonctions décisionnelles embarquées sont un des autres bénéfices mis en avant sur la future suite de gestion. « Vous pouvez utiliser le système sans utiliser de Business Intelligence », n'a pas hésité à affirmer Larry Ellison à ce sujet. (...)

(15/10/2009 16:13:12)

Modéliser les immeubles dans Google Earth avec Building Maker

La nouveauté Google de la semaine se nomme "Building Maker", ou, en français, "Modéliseur de bâtiments 3D". Concrètement, ce service permet aux internautes de modéliser en quelques clics des bâtiments en 3D qui seront par la suite visibles sur le logiciel de cartographie Google Earth. Actuellement, Google Earth propose essentiellement des vues en 2D, mais dans certaines grandes villes, il est possible de visualiser des monuments ou des bâtiments célèbres en 3D, comme la Tour Eiffel à Paris. Afin de remplir ses cartes virtuelles de représentations en relief, le géant du Web fait appel aux internautes. Grâce à Google Building Maker, les utilisateurs peuvent dès à présent modéliser leur immeuble ou leur école. Simple à utiliser, cet outil propose d'abord de choisir un lieu puis un bâtiment sur Google Maps. L'internaute doit ensuite dessiner les volumes correspondant à ce bâtiment à partir des photos disponibles pour ce bâtiment. La création est ensuite enregistrée et envoyée à l'équipe de Google qui la validera et, si besoin est, la perfectionnera, avant de la publier finalement sur Google Earth. Pour le moment en France, seules les villes de Lyon et Marseille sont disponibles dans ce nouveau service, mais Paris et d'autres agglomérations suivront prochainement. (...)

(15/10/2009 16:08:26)

Deux informaticiens sur trois veulent changer de poste pour gagner plus

Deux tiers des informaticiens en poste envisagent de changer de poste pour doper leur salaire, et 38% aimeraient le faire dans les six mois. C'est ce que fait apparaître l'étude menée en juin dernier sur près de 3 700 professionnels de l'informatique par Expectra et LesJeudis.com (*). C'est dans le groupe des 30/49 ans que l'on trouve surtout les candidats au changement, ainsi que parmi les salariés des SSII et des éditeurs. Les professionnels de l'audit et du conseil sont eux aussi partants pour bouger, contrairement à ceux qui évoluent dans le développement, plus stables. Enfin, on montre davantage de velléités à évoluer lorsque l'on a entre 3 et 10 ans d'ancienneté dans son entreprise ou lorsque l'on est collaborateur d'une structure de plus de 500 salariés. 37% des professionnels de l'informatique interrogées par Expectra / LesJeudis.com jugent que la crise aura des conséquences négatives sur leur carrière, principalement parmi le groupe des 40/49 ans qui sont 45,5% à se trouver dans cet état d'esprit. Les professionnels du développement pensent la même chose à 45%, de même que les salariés des SSII, à 47%. A titre de comparaison, Expectra met en regard de ces chiffres ceux de l'étude qu'il a conduite sur le même sujet auprès des ingénieurs. Plus confiants, ces derniers ne sont que 30% à se déclarer affectés par la crise. Malgré tout, chez les informaticiens, il se trouve tout de même 40,3% de répondants qui considèrent que la crise n'a aucun effet sur leur carrière et 22,8% qui vont jusqu'à estimer que ces turbulences peuvent même avoir une influence favorable sur leur parcours. 64% des professionnels IT voient dans la virtualisation des perspectives d'évolution Les informaticiens qui entendent changer de poste souhaitent en premier lieu accéder à des fonctions d'encadrement (dans 32,7% des cas) ou développer leur expertise technique (23,6%). 12,9% aimeraient évoluer vers le conseil, 9,8% monter leur propre structure et 6,2% aspirent à ... changer totalement d'activité. Pour plus de la moitié des professionnels de l'informatique interrogés, la conduite de projet est hissée au rang des fonctions les plus attractives (55,4%). Suivent, un peu plus loin, le conseil (32,7%), le développement logiciel (30,1%), l'ingénierie des systèmes et réseaux (25,8%), l'administration et l'exploitation (25,5%), la configuration et la maintenance (22,3%), le support aux utilisateurs (21,3%), l'architecture IT (19,8%), l'ingénierie logicielle (17,2%). L'administration de bases de données arrive en bout de liste avec 10,6% des suffrages. L'étude souligne par ailleurs que 64% des professionnels IT interrogés voit dans la virtualisation une innovation qui leur offre d'importantes perspectives d'évolution de carrière. C'est ce que pensent en premier les 20/29 ans et les professionnels de l'exploitation ou des systèmes et réseaux. A l'inverse, le Green IT n'est cité que par 45% des répondants comme un levier pour avancer dans leur parcours. (*) Méthodologie : Etude conduite entre le 2 et le 15 juin 2009 auprès de 3 689 professionnels de l'informatique. 58,4% des professionnels des répondants avaient un statut de cadre, 21,7% étaient techniciens et 7,9% agents de maîtrise. 10,8% d'entre eux avaient un autre statut. La répartition des répondants par domaine d'activité se répartissait ainsi : 29,5% dans le développement, 27,3% dans les systèmes et réseaux, 17,5% dans l'audit, le conseil et l'étude, 9,8% dans l'exploitation et 15,4% dans d'autres secteurs. (...)

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