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(05/10/2009 11:19:39)

France Télécom : Louis-Pierre Wenes remplacé par le futur successeur de Didier Lombard

Ce n'est pas vraiment une surprise. C'est finalement Louis-Pierre Wenes, directeur général adjoint de France Telecom qui quitte son poste suite à la vague de suicides vécu par l'opérateur depuis 18 mois. "Louis-Pierre Wenes, actuel directeur général adjoint en charge des opérations France, a demandé à Didier Lombard de le décharger de ses responsabilités, ce que Didier Lombard a accepté. Le Président le remercie pour l'action accomplie depuis décembre 2002 et pour sa contribution majeure au redressement et à la performance du Groupe. ", indique sans plus de commentaires l'opérateur dans un communiqué. Alors que la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, Christine Lagarde, a renouvelé sa confiance au PDG Didier Lombard la semaine dernière, le nom de son adjoint était sur toutes les lèvres. Arrivé il y a près de 7 ans dans l'entreprise, il a été à l'origine des nouvelles méthodes de management remises en cause par les salariés, les syndicats et pour partie aussi, par les pouvoirs publics. C'est Stéphane Richard, ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde, qui remplace dès aujourd'hui Louis-Pierre Wenes. Il a été désigné au printemps dernier pour succéder à Didier Lombard en 2011 et a intégré France Telecom le 1er septembre. (...)

(02/10/2009 16:43:19)

iNotes LotusLive, un webmail sécurisé signé IBM

Après Google et Microsoft, IBM lance à son tour un service de webmail avec agenda et système de gestion des contacts. Baptisée iNotes LotusLive, cette plateforme payante vient concurrencer Gmail et Exchange avec un abonnement commençant à 3 $ par utilisateur et par mois. Pour mémoire, le service Google Apps Premier Edition est facturé 50 $ par utilisateur et par an. Reposant sur la technologie Outblaze, rachetée à une compagnie de Hong Kong, iNotes LotusLive répond aux besoins des grandes entreprises qui désirent migrer leur service de messagerie vers une solution de type SaaS (Software as a Service). Une solution particulièrement bien indiquée pour tous les travailleurs nomades qui ne sont pas attachés à un bureau. IBM espère également convaincre de plus petites sociétés intéressées par les offres de logiciel à la demande, mais refroidies par les problèmes de sécurité et de pannes de service tels que ceux subis par Gmail ces derniers mois. «Ce que nous avons ajouté à la technologie Outblaze correspond à la qualité de service que vous pouvez attendre d'IBM en termes de sécurité, de fiabilité et de confidentialité", a déclaré Sean Poulley, vice-président de l'activité collaboration en ligne chez Big Blue. Tout en faisant allusion aux pannes récurrentes de Google Gmail, Sean Poulley reconnait qu'aucune société ne peut garantir à une disponibilité de 100 % avec des applications en ligne. Mais pour offrir une meilleure qualité de service que Gmail, IBM peut compter sur sa grande expérience dans la gestion et la maintenance des systèmes critiques précise-t-il. Avec cette offre, Big Blue compte bien récupérer les clients de Microsoft qui ne désirent pas migrer vers Exchange 2010. Une solution qui demande énormément d'ingénierie et d'investissements selon Sean Poulley. "Globalement, le principal point d'intérêt de cette nouvelle offre IBM est son prix", avance Matt Cain, analyste chez Gartner. "Tout comme Google et Microsoft, la société Outblaze propose depuis longtemps des webmails professionnels très bon marché." Avec son offre iNotes LotusLive, le géant d'Armonk rattrape simplement son retard". Toutefois, cela ne veut pas dire que l'impact de la marque IBM sur le logiciel n'apporte pas une certaine valeur, ajoute Matt Caïn. "Du point de vue de l'entreprise, il est toujours préférable d'acheter un service email à IBM plutôt qu'à une société appelée Outblaze". Il est toutefois peu probable que la politique de prix serrés de Big Blue incitera les concurrents à baisser le tarif de leurs offres, souligne Matt Cain. "Microsoft, par exemple, propose déjà un service mail à 2 $ par mois et par utilisateur avec Exchange Online, une option baptisée «travailleurs nomades (deskless worker)" pointe Matt Caïné. (...)

(02/10/2009 16:19:49)

Firefox et Chrome continuent de grignoter Internet Explorer

Le navigateur de Microsoft, Internet Explorer, perd encore des parts de marché face à ses concurrents Firefox de Mozilla et Chrome de Google, selon Net Applications qui produit entre autres des études de marché. IE est tombé à son plus bas niveau historique avec 65,71% de part de marché. L'outil de Microsoft a perdu 8,5 points dans les 12 derniers mois et 2,6 points dans les trois derniers mois seulement. Sauf si Microsoft arrive à enrayer ce phénomène, son navigateur devrait descendre sous la barre des 50% dans les deux prochaines années. Et ce sont toujours Firefox et Chrome qui sont la cause des déconvenues du géant de Redmond. Le navigateur de Mozilla a vécu sa plus forte hausse mensuelle depuis novembre 2008 avec 0,8 points de plus pour atteindre 23,75% de parts de marché. Le petit panda roux n'a pas encore récupéré de la chute de sa part de marché en mai et juin derniers, mais il pourrait retrouver dès le mois prochain le record atteint en avril avec 23,84%. Le tout jeune Chrome de Google - en version 3.0 depuis mi-septembre- se fait quant à lui petit à petit une jolie place au pays des navigateurs Internet. Il a de nouveau fait un bond record en septembre avec +0,3 point et 3,17% du gâteau. La croissance du navigateur dans les trois derniers mois s'est placée à près de 0,8 points, plus de la moitié de la poussée de Mozilla sur la même période. Bientot plus d'IE8 que d'IE7 Safari a gagné 0,45 point à 4,24% de parts avec une forte proportion d'utilisateurs sur Mac. Le navigateur d'Apple gagne surtout des points grâce à la vente de ses machines. Quant au Norvégien Opera dont la version 10 est disponible depuis début septembre, il ne compte que pour 2,19% du marché. Du côté d'Internet Explorer, IE6 représente 24,4%, IE7 est tombé à 19,4% et IE8 est grimpé à 16,8% contre 3,6% en avril dernier. La dernière version du navigateur de Microsoft devrait dépasser son prédécesseur dès ce mois d'octobre. Même tendance chez Mozilla dont la mouture la plus récente, Firefox 3.5 a été lancée en juin. En septembre, pour la première fois, les utilisateurs de cette dernière ont représenté une proportion plus importante des adeptes de Firefox que les utilisateurs de la 3.0. Pour évaluer ce marché, Net Applications identifie les navigateurs utilisés par les internautes qui visitent les 40 000 sites suivis pour ses clients, ce qui représente une base de près de 160 millions de visiteurs uniques par mois. (...)

(02/10/2009 16:29:13)

Open World Forum : Mark Shuttleworth plaide pour des développements coordonnés dans l'Open Source

Pourquoi les nouvelles versions des distributions Linux se succèdent-elles à ce rythme effréné, sans aucune concertation ? Pourquoi les développeurs de l'Open Source persistent-ils à croire que leur code est bon à partir du moment où il est plus rapide, plus efficace, mais pas utilisable par le commun des mortels ? En cette seconde journée de l'Open World Forum, Mark Shuttleworth aura amené le public à se poser ces questions, à prendre du recul. Le patron et fondateur de Canonical, à l'origine de la très populaire distribution Ubuntu, a en effet estimé que le monde Linux devrait prendre un moment pour réfléchir à trois notions essentielles sur lesquels de gros progrès restent à accomplir : la fréquence des sorties de produit, la gestion de la qualité et l'ergonomie. Mark Shutleworth a d'abord pointé le fait que l'Open Source suit un cycle de sorties de produit directement calqué sur celui des logiciels commerciaux. Or, a-t-il souligné, "dans le domaine commercial, tout tourne autour des nouvelles fonctionnalités à ajouter, alors que dans l'Open Source, tout tourne autour de l'innovation..." Il ne remet évidemment pas en cause le fait qu'il y ait une cadence importante, et prévisible, de nouvelles versions, c'est "ce qui maintient une communauté en bonne santé", et "ce qui aide à hiérarchiser les priorités". En outre, cela procure à chaque fois une certaine publicité. Mais le fait que chacun dans ce domaine produise des mises à jour à ce rythme empêche toute vue d'ensemble, a-t-il fait valoir. Pour lui, "ce niveau de fragmentation" est préjudiciable à l'Open Source, dans la mesure où seuls des efforts concertés permettraient de régler les problèmes techniques qui séparent encore le monde Linux du grand public. Mark Shuttleworth propose donc que les grands projets (distributions, noyau, systèmes graphiques, etc. mais aussi outils de développement, frameworks...) se calent sur des méta-cycles coordonnés, avec des versions majeures, stables, plus simples à tester et à promouvoir auprès du grand public et des professionnels. Ces méta-cycles seraient "de 2 ou 3 ans", sachant que les fabricants de matériels plaident pour des cycles les plus courts possibles, et les intégrateurs (qui déploient les solutions), pour des cycles relativement longs. Chez Ubuntu, les versions majeures, dites LTS, suivent "un cycle strict de 2 ans". Qualité et design peuvent aussi être améliorés, selon le patron de Canonical Le patron de Canonical a également appelé les développeurs Open Source à considérer leur travail, en termes de qualité, avec un peu plus de sévérité. "C'est un point de fierté dans le monde du logiciel libre, a-t-il dit, nous estimons généralement que nos logiciels Open Source sont par nature de meilleure qualité [que le propriétaire]." De fait, la nature collaborative du développement Open Source, et l'aspect méritocratique, poussent à la production d'un code de qualité. Toutefois, a souligné Mark Shuttleworth, "nous pouvons apprendre du monde propriétaire de biens des façons". Il a ainsi mis en exergue les méthodes formelles, l'automatisation des tests et d'autres "bonnes pratiques rigoureuses" qui, une fois appliquées, "font une énorme différence". Enfin, Mark Shuttleworth a invité les développeurs et les communautés éditant du code à s'inspirer de ce qui est fait dans le monde du Web en termes d'utilisabilité. "Le logiciel libre n'est pas fait par des hackers pour des hackers, ce doit être fait par nous, pour tout le monde. Nous célébrons les logiciels les plus rapides, les plus performants, mais pas les plus excitants à utiliser !" Pour lui, il faut partir du design, comme lorsqu'il s'agit de créer un site Web : "Vous avez 15 secondes pour capter l'attention d'un utilisateur et lui donner satisfaction avant qu'il ne passe à autre chose." Pour parvenir à ce résultat, dans la mesure où "les développeurs ne sont pas très bons pour ce qui est du design", il faudrait non seulement inviter les designers à participer aux projets, mais surtout leur donner une place prééminente. "Cela demande un changement radical dans la façon dont nous dirigeons les communautés. Nous devons penser en priorité à l'utilisateur." (...)

(02/10/2009 15:25:09)

Google affine encore ses recherches

Google a annoncé de nouvelles options pour filtrer ses recherches : par fil d'actualité, en provenance de blogs, ou sur une période bien précise (une option propose même d'afficher les informations apparues « durant la dernière heure »). Ces filtres sont accessibles, depuis la version américaine du site, en cliquant sur le lien « Show Options » en haut à droite au dessus des résultats. En mai dernier, la société avait déjà proposé de filtrer les recherches en les classant par vidéos, par discussions sur les forums ou par avis. Pour Nundu Janakiram, responsable produit Recherche chez Google, ces options vont apporter aux internautes plus de pertinence de façon plus rapide. Et au passage de mettre en évidence ses performances techniques. « Ces fonctions mettent en exergue la rapidité des agents de Google et la fraîcheur des résultats fournis. Nous remontons souvent des informations dans les minutes qui suivent leur mise en ligne sur Internet. » Pour l'instant, aucune date n'est disponible pour ces filtres dans la version francophone du moteur de recherche. (...)

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