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(24/06/2009 15:38:44)

Hadopi : la suspension de l'abonnement à Internet fait son retour

Un nouveau texte portant sur les sanctions en cas de téléchargement illégal sur Internet a été présenté mercredi 24 juin en Conseil des ministres. Logiquement, le projet de loi a été remanié pour permettre à la justice de sanctionner les fautifs, alors que le texte initial accordait ce rôle à une haute autorité administrative (Hadopi). Ce point avait été censuré par le Conseil constitutionnel, le 10 juin dernier. "Prenant acte de la décision du Conseil constitutionnel (...), le projet de loi présenté le 24 juin en Conseil des ministres simplifie le dispositif judiciaire de lutte contre le téléchargement illégal. Il autorise la Haute autorité pour la diffusion et la protection des oeuvres à constater les infractions et permet à la justice de recourir à des procédures simplifiées pour prononcer des sanctions", indique le communiqué du conseil. En cas de téléchargement illégal d'oeuvres protégées, la suspension de l'abonnement à Internet pourra donc être décidée par un tribunal correctionnel. Quant à l'Hadopi, son rôle sera de constater les infractions à la protection des oeuvres sur Internet, et à émettre des avertissements. Le nouveau texte sera examiné à partir du 20 juillet prochain, pendant la session extraordinaire du Parlement. (...)

(24/06/2009 14:37:22)

Le retour imminent de Steve Jobs questionne

Steve Jobs a bien subi une greffe du foie au cours de ses six mois d'absence, a confirmé pour la première fois le Methodist University Hospital de Memphis. Le décidément stupéfiant fondateur et président d'Apple aurait déjà été vu dans les locaux de sa société. Officiellement, il pourrait revenir d'ici quelques semaines. Les sentiments (si l'on peut dire) des investisseurs sont mitigés. Ils reconnaissent à la fois l'incomparable atout d'avoir un Steve Jobs à la tête d'un groupe qu'il a fait voler de succès en succès depuis plusieurs années, mais s'inquiètent aussi, à demi-mot, du risque de voir revenir un homme malade, mû par sa seule volonté, qui ne disposerait pas des ressources nécessaires pour diriger efficacement un groupe de la taille d'Apple. Les bons résultats d'Apple au dernier trimestre, qui a affiché des bénéfices supérieurs aux prévisions, ont permis aux actionnaires de découvrir les qualités de Tim Cook, directeur général opérationnel qui assurait l'intérim pendant l'absence de Steve Jobs. Depuis 1998 chez Apple, cet homme de l'ombre formait un tandem idéal avec son patron. On porte à son crédit un management opérationnel très efficace qui a permis au groupe d'optimiser ses charges tout en mettant en place un outil de production très efficace. Sa prestation au cours des derniers mois a rassuré les investisseurs qui y ont vu le signe qu'Apple pouvait survivre à la disparition de Steve Jobs. (...)

(24/06/2009 13:25:43)

Top 500 : les supercalculateurs en moyenne deux fois plus puissants qu'il y a six mois

Les deux supercalculateurs les plus puissants de la planète n'ont pas été détrônés dans les six derniers mois. Dans son édition du mois de juin, le classement Top 500 place, comme en novembre 2008, les systèmes Roadrunner de IBM et Jaguar de Cray sur les deux plus hautes marches. Installés tous deux aux Etats-Unis, ils affichent des puissances de calcul respectives de 1,105 Pflops et 1,059 Pflops (un petaflops équivaut à un million de milliards d'opérations par seconde), inchangées au cours du semestre écoulé. Le podium est complété par un nouveau venu : le BlueGene/P, de IBM, baptisé Jugene, est installé au centre de recherche allemand Forschungszentrum de Jülich et atteint 825,5 Tflops. Ce même centre accueille également Juropa, le système HPC de Bull qui se hisse à la 10e position du classement. Ces deux derniers sont les seuls du top 10 à franchir les frontières des Etats-Unis. Si les deux systèmes installés au sommet de la hiérarchie établie par le Top 500 n'ont pas vu leur puissance s'accroître au cours des six derniers mois, cela n'est pas le cas de l'ensemble des supercalculateurs. Au total, les 500 systèmes du classement affichent une puissance cumulée de 22,6 Pflops, soit près de deux fois plus qu'en novembre 2008. Ainsi, le supercalculateur le moins puissant du classement, avec ses 17,1 Tflops, aurait été classé à la 274e place il y a six mois. Chez les constructeurs, HP est largement représenté avec 212 systèmes présents dans le Top 500, devant IBM (188), Cray et SGI (20 chacun). L'immense majorité (80%) des systèmes est équipée de processeurs Intel, qui voient leur présence s'accroître par rapport à novembre 2008, au détriment des puces estampillées IBM (55 dans le Top 500, contre 60 il y a six mois) et Opteron d'AMD (43, contre 59). (...)

(24/06/2009 13:19:47)

MySpace supprime 300 postes et ferme quatre bureaux

MySpace va supprimer 300 postes en dehors des Etats Unis, soit les deux tiers de ses effectifs, alors que le site communautaire parlait de 30% il y a quelques jours à peine. La société a également annoncé qu'elle allait fermer quatre bureaux, sans toutefois préciser lesquels. La France pourrait être concernée (avec l'Argentine, le Brésil, le Canada, l'Espagne, l'Inde, l'Italie, le Mexique, la Russie et la Suède - le Japon et la Chine ne sont pas menacés). MySpace souhaite concentrer ses activités au sein de trois bureaux, à Londres, Berlin et Sydney. « Nos effectifs ont trop gonflé et ont entravé notre fonctionnement, a commenté Owen Van Natta, PDG du groupe depuis deux mois. Nous voulons nous recentrer sur l'innovation, nos utilisateurs et nos produits. » Filiale du groupe américain News Corp (depuis 2005) détenue par le milliardaire Rupert Murdoch, MySpace a longtemps été le réseau social plébiscité par les internautes américains. Avec 200 millions de membres Facebook l'a dépassé en termes de popularité, aux Etats-Unis comme dans le monde. Ces sites éprouvent toujours beaucoup de difficultés à bâtir un modèle économique solide et à monétiser leur audience. (...)

(24/06/2009 13:15:25)

Incertitudes et désaccords entourent le déploiement du très haut débit dans les zones denses

Si la publication lundi 22 juin par l'Arcep de ses recommandations sur le câblage vertical des immeubles dans les zones denses représente une avancée significative, un certain nombre de points demeurent incertains. Ils concernent à la fois les conditions du déploiement dans les zones denses mais aussi les zones moins denses pour lesquelles l'Arcep n'a pas encore soumis de propositions. Ces points en suspens rendent donc toujours incertain un déploiement rapide du très haut débit, malgré les souhaits du régulateur. Si Iliad et SFR se sont félicités, lundi, des propositions de l'Autorité de régulation, France Télécom laisse toujours planer le doute sur ses intentions. L'opérateur historique s'est toujours dit opposé à la solution du multi fibrage dans les immeubles, estimant que la solution de la mono fibre était la meilleure. France Télécom évoque le surcoût de plusieurs réseaux montants Réagissant à l'annonce de l'Arcep, France Télécom indiquait ainsi qu'il allait étudier l'impact de cette décision sur ses plans d'investissement dans la fibre. Pour les opérateurs alternatifs, le choix de poser plusieurs réseaux montants ne change en réalité aucun élément de l'équation économique pour l'opérateur historique. A condition toutefois que ceux qui demandent la fibre surnuméraire (sous-entendu Iliad) déploient effectivement leurs réseaux. Ce point constitue le coeur de la discussion entre Iliad et France Télécom. Pour l'opérateur historique, équiper les immeubles de plusieurs réseaux montants (quatre selon les recommandations de l'Arcep) induirait un surcoût d'environ 40 %. Iliad calcule, lui, un surcoût inférieur à 10 %. L'Arcep semble avoir tranché en indiquant un surcoût de 5 %. En fait, France Télécom et Iliad ne prennent pas en compte les mêmes éléments pour calculer ce surcoût. France Télécom intègre tous les éléments d'installation jusqu'à l'équipement des foyers ; Iliad ne prend en compte que la pose des réseaux dans les cages d'escalier. Selon Jérémie Manigne, directeur de la division très haut débit de SFR, les opérateurs auraient en fait convenu de s'arrêter sur les paliers, d'où le surcoût de 5 % évoqué par l'Arcep. Le coût d'installation des prises dans les foyers seraient ainsi à la charge de l'opérateur choisi par chaque abonné. Un flou dans la définition des zones denses Pour faciliter le déploiement des réseaux en fibre optique, l'Arcep a défini trois zones, en fonction de la répartition de la population. Les zones très denses (celles concernées par les annonces faites lundi) concernent les très grandes agglomérations. Mais parmi ces dernières, les villes retenues sont celles où les immeubles de plus de 12 foyers représentent plus de 50 % du parc. Cette définition a abouti à retenir 20 agglomérations (de plus de 250 000 habitants), comprenant 148 communes et abritant 5,16 millions de foyers. Si l'Arcep s'est montré plus restrictif dans la définition qu'Iliad ou France Télécom (ces deux opérateurs proposaient une taille respective de 7 et 15 millions de foyers), SFR estime que la taille retenue pose problème. « Dans la liste, figurent des villes, comme Orléans, où il n'est pas possible de déployer des réseaux à des conditions économiques viables » explique Jérémie Manigne. L'Arcep a ainsi indiqué que sur les 5,16 millions de foyers compris dans cette zone, 3 millions étaient immédiatement concernés : sur ces 3 millions, 1,4 millions sont situés à Paris et le solde se répartit entre les plus grandes villes (essentiellement Lyon et Marseille). La crainte est donc de voir les opérateurs alternatifs couvrir rapidement ces trois villes, délaissant les autres communes. Si le déploiement des réseaux à très haut débit dans les zones très denses voit ses conditions s'éclaircir, SFR estime que la situation dans les zones moins denses pourrait s'améliorer très rapidement, si les pouvoirs publics acceptaient le plan mis au point avec Iliad. Les deux opérateurs ont envoyé une lettre en fin de semaine dernière à la secrétaire d'Etat à l'économie numérique et au président de l'Arcep, proposant la constitution d'un réseau unique partagé et financé par tous les opérateurs. Dans les zones moins denses, la réalisation de plusieurs réseaux « horizontaux » paraît en effet économiquement moins viable. D'où la proposition des deux opérateurs alternatifs pour éviter la constitution d'un monopole. Ce qui signifie aussi qu'un tel réseau soit construit sur une architecture point à point pour permettre son « dégroupage », ce qui pourrait poser des problèmes de génie civile. (...)

(24/06/2009 11:32:09)

MicroStrategy ose une version gratuite de sa plateforme décisionnelle

MicroStrategy, acteur historique du secteur de la BI (business intelligence), cherche à entrer dans les entreprises par la petite porte, en proposant désormais une version gratuite de sa plateforme décisionnelle MicroStrategy 9. Il est vrai que, depuis un an ou deux ans, les éditeurs traditionnels de ce type d'environnements sont fréquemment concurrencés sur les projets départementaux par des éditeurs comme QlikTech ou Spotfire proposant des solutions souvent plus rapides et moins coûteuses à déployer. Proposé au téléchargement, le produit MicroStrategy Reporting Suite est donc bien destiné à des applications « départementales » au sein des entreprises. Son installation est limitée à un CPU et le déploiement des outils de consultation des rapports et d'analyse (Web Reporter et Intelligence Server) à 25, 50 ou 100 utilisateurs. L'offre rassemble des logiciels pour créer des rapports, manipuler et analyser les données, afficher des représentations graphiques et effectuer des requêtes ad hoc. Elle comporte aussi deux licences pour des développeurs (MicroStrategy Desktop et Architect) et deux licences destinées à des utilisateurs avancés, à choisir parmi une liste d'autres applications. Dans cette liste figurent notamment MicroStrategy OLAP Services pour procéder à des analyses multidimensionnelles en mémoire (in memory) sur les postes de travail, ou encore MicroStrategy Mobile pour l'accès aux données depuis un terminal Blackberry. Un passage obligé par la case formation Pour exploiter cette plateforme BI, il faudra bien sûr passer par la case formation. L'intérêt de cette offre gratuite étant de permettre à l'entreprise de vérifier à moindre coût que l'outil peut convenir à ses besoins. L'éditeur fournit, pour deux contacts nommés, une formation par courriel sur une période de 60 jours. Il la complète avec une assistance en ligne. Si une entreprise, souhaitant aller plus loin avec la solution, choisit de souscrire à un service de support payant, ses licences pourront être converties vers la version supérieure de la plateforme BI, c'est-à-dire vers MicroStrategy 9 Departmental. Cette déclinaison du produit inclut en particulier des services de clustering. Elle peut s'installer sur deux CPU et comporte un kit de développement. Sur l'année 2008, MicroStrategy a représenté 3,2% du marché mondial de la Business Intelligence, selon Gartner, la première place étant détenue par SAP (23,8%), devant SAS (14,6%), Oracle/Hyperion (14,6%), IBM/Cognos (11,3%) et Microsoft (7,7%). (...)

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