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(15/04/2009 11:23:30)

Les serveurs Sun à base de Xeon 5500 intègrent le réseau

Faisant fi du capotage des négociations avec IBM, Sun continue son bonhomme de chemin en annonçant, à son tour, des serveurs Galaxy à base de processeurs Intel Xeon 5500 (Nehalem). Le constructeur tente de se démarquer en soulignant deux points de différenciation. Le premier concerne l'intégration de la dimension réseau dans les configurations et, le second, celle du stockage flash dans toutes ses machines. Quatre servers en rack et deux lames Six modèles de serveurs bi-Xeon sont présentés, quatre racks et deux lames. Les modèles lames acceptent tous les modèles de Xeon 5500 à l'exception du plus rapide, le W5580 (3,2 GHZ) en raison de la consommation de 130 watts de cette puce. Le Sun Blade X6270 est destinée aux environnements virtualisés. L'autre, le Sun Blade X6275, dopé par un port Infiniband Quad Data Rate (40 Gbis/s), s'adresse aux environnements HPC (High performance computing). Elle se compose de deux serveurs bi-Xeon 5500, chacun avec 96 Go de mémoire, soit la moitié de la capacité maximale des autres modèles annoncés par Sun. Sun a adapté Solaris aux Xeon 5500 et ZFS aux SSD Sun propose donc également quatre serveurs en rack dont deux sont au format 1U (X2270 et X4170) et deux autres au format 2U (X4270 et X4275). L'une des machines 2U est un module de stockage avec 12 baies 3,5 pouces pour des disques SATA ou SAS, soit une capacité maximale de 12 Go. Sun propose tous ces modèles avec des disques flash, de 24 Go pour les lames et 32 Go pour les racks. Sun précise qu'il a optimisé Solaris pour tirer profit de l'architecture des nouveaux processeurs d'Intel. Le gestionnaire de fichiers ZFS a aussi été adapté pour prendre en compte les disques électroniques. Côté réseau, Sun annonce deux lames, le Blade 6000 Virtual Network Express Module (NEM) en 10 Gigabit Ethernet (GbE) et le Sun Blade 6048 InfiniBand (IB) Quad Data Rate NEM (QNEM). Innovation intéressante, le Californien utilise les ports PCI-Express pour les interfaces réseau de ses serveurs et emploie une puce réseau maison. Au final, cela lui permet d'affirmer qu'il réduit de façon notable les besoins en câblage de ses serveurs. Sun souligne aussi le haut niveau d'intégration entre ses serveurs et ses composants réseau. S'il le compare à celui atteint par Cisco dans son offre UCS (Unified Computing System), il dit s'en démarquer par l'ouverture de son produit. Un discours qu'aucun élément matériel ne permet de justifier, les châssis et les lames des deux constructeurs étant tout aussi fermés les uns que les autres. (...)

(15/04/2009 11:02:55)

Ebay introduit Skype en bourse, ses fondateurs veulent le racheter

Le site de vente aux enchères Ebay a annoncé hier qu'il comptait introduire Skype en bourse au courant du premier semestre 2010. Ce changement de statut pourrait constituer une première étape vers une vente complète de Skype. Depuis son acquisition en 2005 pour un montant exorbitant (2,6 Md$), le service de téléphonie par Internet a fait perdre 1,4 Md$ à eBay, ce qui a rapidement poussé la société à envisager une revente. Certes, le nombre d'utilisateurs de Skype ne cesse de croître (405 millions contre 53 millions en 2005), mais le service peine à trouver un modèle économique qui tienne la route, eBay n'ayant pas réussi à créer des synergies entre son site de e-commerce, son outil de paiement en ligne (Paypal) et Skype, comme il le souhaitait au moment du rachat. Selon John Donahoe, DG d'eBay, la société « n'est pas parvenue à suivre le rythme imposé par la concurrence et par les besoins des clients. » Il souhaite qu'eBay se concentre désormais sur son coeur de métier, le commerce électronique et le paiement en ligne. Ebay vient d'ailleurs de revendre à trois fonds d'investissement une autre de ses filiales, StumpleUpon, rachetée en juin 2007 pour 75 M$. Selon le New York Times, les fondateurs de Skype, le Suédois Niklas Zennström et le Danois Janus Friis, aimeraient remettre la main sur leur outil de téléphonie par Internet. Ils auraient contacté divers fonds d'investissement afin de réunir un milliard de dollars et faire une proposition à eBay. Difficile de comprendre les motivations des deux fondateurs, Skype étant considéré par eBay comme un véritable boulet. Si eBay se résout à vendre Skype, il est fort probable que les prétendants ne se précipitent pas au portillon, d'autant plus que le site vient de révéler que Joltid, une société fondée par les mêmes Zennström et Friis, avait mis fin à la licence d'une technologie peer-to-peer permettant de faire fonctionner Skype. « Entrepreneurs dans l'âme » comme ils se qualifient eux-mêmes sur leur blog, Niklas Zennström et Janus Friis ont créé Atomico, un groupe de capital-risque qui a investit dans diverses startups (dont le site français de vidéo participative Seesmic) ainsi que Joost, une plateforme de télévision sur Internet qui a du mal à décoller. (...)

(15/04/2009 09:26:08)

Pour Oracle aussi, la maintenance constitue un revenu crucial

En période de récession, le chiffre d'affaires lié à la maintenance des logiciels constitue une source de revenu cruciale pour les éditeurs, à un moment où de nombreux clients révisent à la baisse leurs achats de nouvelles licences. Oracle n'échappe pas à la règle. Sur son troisième trimestre fiscal, les mises à jour et le support réalisés sur ses logiciels lui ont permis d'engranger 2,9 Md$ (+11% par rapport à l'année précédente) quand, dans le même temps, le chiffre d'affaires sur ses ventes de logiciels baissaient de 6%, à 1,5 Md$ (*). Les analystes ne sont donc pas surpris que l'éditeur ne modifie pas d'un iota ses tarifs de support sur les nouveaux contrats qu'il finalise pour la fin de son exercice fiscal (qui s'achève le 31 mai prochain). Le taux de maintenance annuel de ses logiciels s'élève à 22% du prix de vente des licences. Un taux sur lequel s'est aligné depuis un an son principal concurrent, SAP, au grand dam d'un certain nombre de ses utilisateurs qui pouvaient jusque-là ne débourser que 17% du coût des licences. Pour Ray Wang, analyste de Forrester, il est possible que des clients d'Oracle bénéficient, ici ou là, de concessions autour du support. Mais il ne s'agit pas à proprement parler de réductions sur le prix de la maintenance. Aux Etats-Unis, les contrats peuvent par exemple comporter une clause permettant de réajuster annuellement la facture de maintenance en fonction de l'indice des prix à la consommation (Consumer Price Index, CPI), pour tenir compte de l'inflation. « Certains utilisateurs demandent à Oracle de lâcher du lest sur ce point », indique Eliot Arlo Colon, président de la société Miro Consulting, qui conseille les clients dans leurs négociations. Un arrangement facilité par le fait que l'indice CPI est plutôt anémique cette année. Un revenu récurrent capital pour les éditeurs français Oracle ne s'empresse pas non plus « à faire des concessions sur le prix des nouvelles licences », remarque Ray Wang. A la place, l'éditeur essaie de fournir des bonus à ses clients : « Il les assiste lors de l'installation, renforce la formation, ajoute certains outils qui peuvent faciliter la mise en place », énumère l'analyste de Forrester en estimant que ces divers éléments peuvent être quelquefois plus intéressants qu'une réduction pure et simple de la facture. Les revenus de la maintenance constituent pour tout éditeur un poste essentiel. Pierre Marty, associé de PricewaterhouseCoopers, le rappelait la semaine dernière à Paris à l'occasion du colloque de l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels) : « Il ne faut pas céder sur tous les tableaux chez le client. Il ne faut pas céder, notamment, sur la réduction du contrat de maintenance, ou bien alors, négocier sur sa durée ». A sa suite, Jean-Michel Lorenzi, directeur de ServiceSource, expliquait comment sa société pouvait aider les éditeurs à augmenter la part des revenus récurrents dans leur chiffre d'affaires. (*) une baisse dûe en grande partie aux variations des taux de change, précise Oracle. (...)

(14/04/2009 18:15:24)

Novell soutient les processeurs ARM du bout d'OpenSuse

Ira, ira pas ? Novell affirmait le mois dernier qu'il n'y avait plus de portage en cours de Suse sur processeur ARM pour netbook. Avant d'ajouter, la semaine dernière, un bémol : sa communauté OpenSuse Project supporte le packaging de plusieurs distributions pour processeur ARM. Elle utilise pour cela les outils 5e de l'éditeur allemand Datasoft pour assurer le portage sur différentes architectures, dont ARM, de distributions comme Ubuntu, Debian, Fedora et... OpenSuse. Novell, dont la distribution Suse avait été choisie début 2008 par nombre de fabricants des premiers netbooks, garde donc un fer au feu dans le monde ARM/Linux, malgré les liens qui l'attachent à Microsoft. Même si la première génération de netbooks à base de Linux a été balayée par Microsoft et Intel fin 2008, la guerre n'est pas finie. Faute d'un OS à la fois léger et performant, Microsoft maintient artificiellement en vie Windows XP : Vista épuise déjà un portable équipé d'un processeur Core d'Intel et Windows Mobile 6 manque de fonctions. Un rapport performance/autonomie inégalée Face à ce couple XP/Atom handicapé par la différence d'âge, le dynamisme de celui constitué par ARM/Linux attire toujours. Au coeur de la dernière génération de téléphones mobiles multimédia (iPhone, HTC, Android G1), les processeurs ARM brillent par leur rapport performance/autonomie inégalé. Cadencée jusqu'à 1 GHz, la génération qui arrive promet de meilleures performances. Texas Instruments et Qualcomm, qui fournissent la quasi-totalité des fabricants de téléphones multimédia, mais aussi Marvell (Xscale), Freescale (ex-Motorola) et Nvidia ont entre les mains des puces dont la puissance taquine celle de l'Atom tout en étant beaucoup moins voraces. ARM a conçu les processeurs Cortex A8 et A9 (architecture ARMv7) sur lesquels repose la série OMAP 3xxx de Texas Instruments (tablette multimedia Archos 5, téléphone multimedia Palm Pre), le jeu de composants Tegra APX de Nvidia et le Qualcomm Snapdragon (QSD8250). Ce sont ceux que l'on trouve dans l'étonnant Toshiba TG01. Un téléphone multimédia sous Windows Mobile 6.1. L'architecture ARMv7 d'ARM, qui se concentre sur la conception de ses processeurs et laisse à ses clients OEM le soin de les fabriquer, intègre des évolutions d'envergure, dont le multiprocessing. De plus en plus étroit, le fossé entre téléphone multimédia et tablette Internet / netbook va être franchi d'ici la fin de l'année. Et ce sont les adeptes d'ARM qui sauteront le pas. Archos promet ainsi pour le troisième trimestre sa première tablette Internet basée sur un processeur ARM et l'Android de Google qui utilise un noyau Linux. D'autres prototypes circulent du côté des fabricants asiatiques. Chez Asus, on parle d'un produit à moins de 200$, prix impossible à obtenir en choisissant le duo Windows XP/Atom. La semaine dernière, l'annonce par Intel du transfert de sa communauté Moblin (Mobile Linux - Fedora) au sein de la Linux Foundation indique que sa relation avec Microsoft n'est pas exclusive. Quant à Adobe, très actif sur les logiciels liés à Internet, il optimise Flash pour les processeurs ARM. (...)

(14/04/2009 16:26:19)

Microsoft et Yahoo à nouveau en pourparlers

Microsoft et Yahoo ont à nouveau entamé des discussions à propos d'un partenariat autour de la recherche et de la publicité en ligne, rapporte le Wall Street Journal. Malgré le fiasco de la tentative de rachat de Yahoo par Microsoft, Steve Ballmer n'a jamais caché qu'un rapprochement entre les deux sociétés était quasiment inévitable, et ce pour le bien des deux parties. En février dernier il indiquait devant un parterre d'analystes de Wall Streetque les deux rivaux devraient enterrer la hache de guerre et s'associer pour créer un géant capable de donner le change au tout-puissant Google (65% des parts de marché de la recherche en ligne). Il en avait profité pour lancer une énième perche à la direction de Yahoo, remaniée en janvier dernier avec l'arrivée de Carol Bartz à sa tête. Le souhait de Steve Ballmer semble être exaucé puisque les deux dirigeants se sont rencontrés afin d'en discuter. Pas question pour autant de remettre sur le tapis l'éventualité d'une acquisition. Si elle est plus souple que son prédécesseur, Jerry Yang, qui a toujours obstinément refusé l'idée d'une simple alliance avec le géant de Redmond, Carol Bartz n'entend pas céder Yahoo dans son intégralité. L'accord porterait uniquement sur les activités de recherche des deux groupes. Microsoft travaille actuellement au développement de Kumo, son futur outil de recherche censé concurrencer Google. Mais le géant de Redmond, qui compte débourser 100 M$ pour la promotion de cet instrument, est conscient de son retard : il ne possède que 8% des parts de marché de la recherche. Il est donc contraint de s'adosser à un autre acteur, en l'occurrence Yahoo (21% du marché). Ces derniers mois, Microsoft a d'ailleurs recruté une dizaine de personnes...chez Yahoo (Qi Lu par exemple, qui a rejoint sa division Services en ligne en décembre 2008). (...)

(14/04/2009 16:21:00)

Hadopi : la majorité trime pour relancer le texte

Après le rejet du projet de loi Création et Internet par les députés, le 9 avril, la majorité présidentielle peine à relancer le texte. Les signes d'affolement abondent en effet sur l'aile droite de l'échiquier politique. Depuis les députés, coupables d'absentéisme lors du vote et dénonçant, pour mieux se dédouaner la fourberie des élus socialistes, jusqu'aux hautes sphères de l'exécutif. Le chef de l'Etat aurait ainsi admonesté Jean-François Copé, le président du groupe UMP à l'Assemblée, et Roger Karoutchi, le secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement, pour l'amateurisme avec lequel il ont conduit ce dossier. Contrit, ce dernier n'a pas tardé à offrir sa démission à Nicolas Sarkozy, lui assurant dans les colonnes du monde qu'elle « lui était acquise ». Même son de cloche pour Christine Albanel, la ministre de la Culture et rédactrice du projet de loi, qui assure à nos confrères du Figaro : « je représenterai ce texte le 28 avril. Et si je ne devais pas le faire, évidemment je partirai. » Hadopi avant l'inceste Si la date du 28 avril semble acquise pour le réexamen de la loi qui passionne désormais la France entière, c'est sans compter sur le fait que l'ordre du jour de l'Assemblée nationale est déjà bouclé. Qu'à cela ne tienne, répond en substance Roger Karoutchi, « Jean-François Copé a proposé de renoncer au texte sur l'inceste qui était prévu dans la semaine d'initiative parlementaire. On pourrait donc y inscrire le texte Internet pour une nouvelle lecture. » Chacun appréciera la hiérarchie des priorités de l'UMP. Soucieux de désamorcer une éventuelle nouvelle polémique, le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer se veut plus nuancé et, surtout, respectueux des règles de fonctionnement de la chambre basse. Le titulaire du perchoir indique ainsi qu'il a convoqué la Conférence des présidents, qui réunit les patrons des groupes parlementaires et des commissions, le 15 avril. L'objectif étant, selon Bernard Accoyer, de dissiper la « confusion [qui] règne sur l'organisation des travaux parlementaires dont la reprise est fixée au mardi 28 avril ». C'est cette Conférence, et non le seul Jean-François Copé, qui pourra modifier l'ordre du jour déjà établi et, si cela devait être le cas, il faudra encore que les députés valident le nouveau calendrier lors de leur rentré post-pascale. (...)

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