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(02/09/2008 10:34:54)
Alcatel-Lucent présente ses nouveaux patrons
Le conseil d'administration d'Alcatel-Lucent a approuvé hier la nomination de Ben Verwaayen en tant que nouveau directeur général du Groupe en remplacement de Patricia Russo. Il rejoint le conseil d'administration. Quant à Philippe Camus, il est nommé Président non-exécutif du Groupe, à partir du 1er octobre 2008, remplaçant Serge Tchuruk. Ben Verwaayen est âgé de 56 ans. De nationalité néerlandaise, il connaît bien le secteur des télécoms, vu du côté des opérateurs, puisqu'il a été directeur général de l'opérateur télécoms BT de 2002 à juin dernier. Il a également été vice-président du comité de direction de Lucent Technologies, qu'il avait rejoint en septembre 1997. Auparavant, il avait été PDG de la filiale télécoms de KPN aux Pays-Bas, pendant neuf ans. Il a même travaillé à une époque chez ITT qui devint plus tard une filiale d'Alcatel. Ben Verwaayen établira ses bureaux au siège du Groupe à Paris. Philippe Camus, 60 ans, français vivant aux Etats-Unis, a été co-directeur général d'EADS. Il est co-gérant de Lagardère et partenaire d'Evercore Partners, une société d'investissement et de conseil basée à New York. L'ancien DG, Mike Quigley, finalement écarté [[page]]Finalement, Mike Quigley, qui avait déjà été directeur général (chief operating officer) d'Alcatel-Lucent, n'aura pas été retenu pour remplacer Patricia Russo. Sa nomination, selon le Financial Times, aurait pu déclencher une controverse parmi les employés et les actionnaires. Il avait en effet reçu une pension estimée à plusieurs millions de dollars lorsqu'il a pris sa retraite l'an dernier, tandis que Patricia Russo devrait recevoir 8,8 millions de dollars à son départ. (...)
(01/09/2008 17:56:04)Groupe Open est parvenu à convaincre les gros actionnaires de Sylis
Le 7 juillet dernier, Groupe Open lançait son Opa sur Sylis. Le conseil d'administration de cette dernière parlait d'offre non sollicitée. Au départ hostile, cette Opa semble entrer aujourd'hui dans une phase plus favorable. Et ce pour deux raisons convergentes. D'un côté, Groupe Open relève son offre de 4,25 à 4,60 euros. De l'autre, il annonce avoir obtenu pour son opération l'aval des quatre plus importants actionnaires de Sylis, deux individuels (Mrs Tricot et Mellentin), deux fonds (Comir et Capexitis). Le prix plus élevé semble bine récompenser l'accord donné par les quatre actionnaires qui représentent 60% du capital et 71% des droits de vote. L'AMF avait donné son aval le 1er août à cette Opa dont l'échéance est fixée au 18 septembre prochain. (...)
(01/09/2008 17:35:01)Le site de recherche de commerces Brozengo récolte 500 000 euros
En pleine phase de lancement, le site Web Brozengo vient de récupérer 500 000 euros auprès d'investisseurs privés et de business angels à l'issue d'une première levée de fonds. Ouvert au public en juin dernier, ce moteur de recherche propose de remonter les bonnes affaires et les adresses d'enseignes dans un rayon de 500 mètres à 100 kilomètres autour du domicile de l'internaute, avec l'objectif, notamment, de redynamiser le commerce de proximité. Brozengo n'est pas un site de vente en ligne. Le visiteur vient y sélectionner les produits qui l'intéressent et repérer les magasins où les acheter avant de s'y rendre. Etoffer le réseaux de franchise et de petits commerces L'apport de capitaux viendra soutenir le développement de Brozengo sur plusieurs axes : le renforcement de la force de vente pour référencer son réseaux de franchises et de petits commerces (en commençant par l'ouest de la France), la mise en place d'une équipe commerciale axée sur les grandes enseignes, la création d'un centre d'appels et le développement marketing du site. Le site n'en est aujourd'hui qu'à ses débuts. A la tête de Brozengo, Grégory Ogorek, président, et Jean-Michel Maurer, vice-président, viennent tous deux de Business Lab, agence de marketing interactif, où ils occupaient respectivement les postes de DGA (responsable de la stratégie, des finances, du développement commercial et des ressources humaines) et de directeur conseil (responsable de la mise en place et du pilotage de l'activité de conseil en stratégie et marketing internet). (...)
(01/09/2008 17:29:04)Le nouveau système de refroidissement de Cray réduit la consommation d'énergie globale
Cray a décidé de revenir au bon vieux refroidissement de ses supercalculateurs à base de liquide. Objectif : en augmenter la puissance -en l'occurrence, plusieurs Pflops- tout en réduisant leur consommation énergétique globale. Même si le constructeur utilisait déjà cette méthode de réduction de la température en 1976 pour son Cray 1, c'est une toute nouvelle technique qu'il exploite désormais. Le mode de refroidissement ECOphlex (phase-change liquid exchange) permet d'augmenter la densité du système et de réduire le recours à des dispositifs plus coûteux de refroidissement par air, tout en limitant les besoins en eau froide. Il doit équiper les supercalculateurs XT5 avant la fin de l'année. De l'air, de l'eau ou du liquide R134a en phase gazeuse L'ECOphlex utilise de l'eau froide, mais en faible quantité, selon Cray, ce qui réduit les risques liés à la condensation et aux fuites d'eau qui pourraient endommager les composants. Le constructeur promet aussi un effet neutre sur l'air ambiant puisque l'air sortant du système est à peu près à la même température que celui qui y entre. [[page]]La nouvelle armoire Cray exploitant ECOphlex exploite au choix, le système de refroidissement par air déjà installé dans l'entreprise cliente ou la nouvelle technologie transformant un liquide inerte (R134a) en gaz. Il peut aussi utiliser de l'eau froide à différentes températures, réduisant ainsi la nécessité d'aligner de nombreux CRAC pour absorber la chaleur. Cray rappelle qu'actuellement, la plupart des supercalculateurs expulsent la chaleur dans l'air, celle-ci étant ensuite récupérée par un système d'air conditionné (CRAC, computer room air conditioner). Une méthode que le constructeur juge très peu efficace, puisque le CRAC peut parfois occuper davantage de place que l'ordinateur lui-même, et consommer autant d'électricité. D'autres technologies de refroidissement utilisent des circuits d'eau froide dans chaque armoire d'ordinateur, parfois jusqu'au milieu des serveurs lames. Cray se classe 111ème au Green 500 des supercalculateurs [[page]]La problématique de la maîtrise de l'énergie rencontrée par Cray est comparable à celle qui se pose dans tous les centres de données. Il est à noter que dans le Green 500, le constructeur est à la 111ème place. Ce classement, né du Top 500, organise les 500 supercalculateurs les plus puissants du monde en fonction du rapport performance/consommation énergétique (mesuré en Mflops par Watt). Le premier Cray du Green 500 affiche 126,42 Mflops/W contre 488 Mflops/W pour la machine IBM considérée comme la plus économe. (...)
(01/09/2008 16:34:15)Citrix XenApp 5 dix fois plus rapide que la version précédente
Citrix annonce la version 5 de XenApp pour le 10 septembre. Cette solution de virtualisation des applications du poste client, héritière de la ligne Presentation Server et, auparavant, de Metaframe, a été rebaptisée à la suite du rachat de Xen, spécialiste de la virtualisation, il y a exactement un an. Cette version 5 améliore à tel point les performances que l'on s'inquiète a posteriori pour celles de la 4.5 de XenApp. Citrix parle d'un temps de chargement des applications 10 fois plus rapide ! Cette version bénéficie aussi d'améliorations au niveau de la gestion de charge (load balancing) afin d'optimiser les temps de réponse des applications critiques. XenApp fait partie de la trilogie Citrix pour une virtualisation totale, aux côtés de XenServer et de XenDesktop qui prennent respectivement en charge les OS des serveurs et des postes clients. (...)
(01/09/2008 14:00:12)Trimestriels Dell : le bénéfice souffre de la baisse des prix des portables
Dell n'en finit pas de souffrir. L'ex-numéro un de la micro a certes annoncé un CA en hausse de 11% à 16,4 Md$ pour son deuxième trimestre fiscal 2009, mais il a dû rogner sur ses marges au point d'enregistrer une baisse de 17% de son résultat net à 616 M$. Son résultat opérationnel ayant baissé de 9% à 819 M$. Surprise par cette baisse de rentabilité, la bourse a sanctionné ces résultats avec un cours du titre qui a perdu jusqu'à plus de 12%. Alors que ses ventes de PC de bureau stagnent à 4,92 Md$ (-2%), celles de portables (+26% à 4,87 Md$) explosent. Mais cette hausse se fait sur fond de guerre des prix. Dell a dû vendre 44% de portables en plus pour accroître son CA de 26%. C'est le seul segment qui affiche un net dynamisme avec celui des services (+14% à 1,46 Md$) et du stockage (+11% à 681 M$). Mais ce dernier secteur ne représente que 4% de l'activité totale et profite des opérations de croissance externe de Dell. Du côté des serveurs /équipements réseau, le CA n'augmente que de 5% à 1,7 Md$ pour des livraisons en hausse de 19%. La faible hausse du CA de la division serveur est toutefois présentée par Dell comme deux fois supérieure à celle de l'ensemble du marché. Le Gartner Group, qui estime la croissance du marché des serveurs X64 à 13,7% en volume et à 3,4% en valeur, constate que Dell a gagné des parts de marché tant sur HP, numéro un, que sur IBM, troisième fournisseur sur le marché X64. (...)
(01/09/2008 12:23:23)Semestriels Steria : marge en forte progression mais CA France en retrait
La société de services informatiques française Steria a publié des résultats semestriels 2008, qualifiés de « solides, en ligne et très prometteurs », par François Enaud, gérant du groupe. Au cours du premier semestre 2008, la SSII a significativement amélioré sa rentabilité opérationnelle. La marge opérationnelle s'établit à 62,2 M€, en progression de +52,6% par rapport à celle publiée sur le premier semestre 2007. Le taux de marge opérationnelle s'élève à 7,1%, affichant une hausse de 0,8 point par rapport au 30 juin 2007. La SSII a dégagé un chiffre d'affaires en hausse de 35,6%, à 878,7 M€, et un résultat net en augmentation de +13,8%, à 27 M€. Pour le groupe français, cette amélioration est notamment à mettre au crédit du succès de l'intégration de la SSII britannique Xansa, spécialiste du BPO (Business process outsourcing). Ainsi, au 30 juin 2008, Steria était en avance sur son objectif de synergies de coûts (11 M€ cumulés contre un objectif initial à 6,5 M€). -2,2% sur le chiffre d'affaires en France Seule ombre au tableau, la France, dont la transformation engagée en 2007 vers un modèle de production plus industriel a continué d'impacter négativement, sur le premier semestre 2008, le chiffre d'affaires qui se solde par une légère décroissance (-2,2%), à 261,2 M€. Par ailleurs, l'augmentation ponctuelle des investissements liés à ces transformations a impacté le taux de marge opérationnelle qui s'établit, sur le premier semestre 2008, à 7,3%. « La dynamique de la transformation et ses premiers effets bénéfiques permettent toutefois d'envisager un retour à une croissance solide du chiffre d'affaires sur le deuxième semestre 2008, a estimé François Enaud. Nous tablons donc sur une amélioration sensible du taux de marge opérationnelle dans l'Hexagone, par rapport à celui du premier semestre 2008. » Progression de la rentabilité au Royaume-Uni et en Allemagne [[page]] Au Royaume-Uni, le taux de marge opérationnelle a progressé de 1,7 points à 9,7% sous l'effet de la réalisation des synergies de coûts (11 M€) et de l'amélioration de la profitabilité, avant impact des synergies, du nouveau périmètre (+0,5 point). De son côté, l'Allemagne confirme son modèle de croissance profitable en affichant un accroissement du taux de marge opérationnelle de 1,1 point à 8,5% dans un contexte de forte croissance des activités (croissance organique de +13,4% sur le premier semestre 2008 associé à un bon ratio de prises de commandes sur chiffre d'affaires s'élevant à 1,14 au 30 juin 2008). Sur la zone « Autre Europe » (incluant notamment la Scandinavie), le taux de marge opérationnelle s'améliore de 1,3 point à 4,5%. Cette évolution est à mettre en perspective d'un accroissement significatif de la performance en Scandinavie dont la croissance organique s'est établie à 11,1% sur le premier semestre 2008 et dont la marge opérationnelle s'est accrue de 3,2 points à 7,1%. (...)
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