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(02/07/2008 11:45:08)
HEC Paris rejoint le réseau d'écoles d'ingénieurs ParisTech
Le conseil d'administration du réseau ParisTech, l' institut des sciences et technologies de Paris regroupant dix écoles d'ingénieurs de la région parisienne, vient d'accepter la candidature d'HEC Paris en tant que membre fondateur. En accueillant la célèbre école de commerce, l'établissement entend développer son offre de formations et ses recherches dans le domaine mixte Technologie et Management, qui reste encore trop peu développé en France. Grâce à la construction de parcours mixtes à forte dimension entrepreneuriale, ParisTech compte accroître sa visibilité sur la scène internationale et conforter sa position aux côtés des grandes universités mondiales, qui adossent pour la plupart, une business school à leurs facultés de sciences et de technologies. « L'intégration d'HEC va nous permettre de proposer une offre académique plus large, commente Cyrille van Effenterre, président de ParisTech.. Elle augmente également les opportunités de mobilité inter-écoles pour les 18 900 étudiants de notre institut.» HEC de son côté, prolonge et consolide les nombreux partenariats (de recherche ou pédagogiques) déjà engagés avec plusieurs grandes écoles d'ingénieurs estampillées ParisTech, notamment l'Ecole polytechnique, l'Ensae ParisTech, Telecom ParisTech et Mines ParisTech. (...)
(02/07/2008 09:03:44)Oracle choisit de faire de BEA Weblogic son serveur d'applications
Depuis qu'Oracle a lancé son offre d'achat sur BEA en octobre 2007, tout le monde se demandait quels choix drastiques il opérerait en cas de fusion des gammes de produits. La réponse est venue hier soir, délivrée par Thomas Kurian, vice-président senior d'Oracle responsable de la stratégie middleware. La star de l'offre BEA, le serveur d'applications Java Weblogic, devient le serveur d'applications d'Oracle. Personne ne doutait que Weblogic - fort de commentaires élogieux des analystes et d'une base installée conséquente - continuerait son existence. En revanche, le fait que le serveur d'applications d'Oracle serve de container J2EE au progiciel d'Oracle rend les choses problématiques. Oracle a résolu le dilemme en expliquant que les fonctionnalités de son logiciel qui n'existent pas chez BEA (tel que l'outil de correspondance relationnel-objet) y seraient intégrées, mais qu'en aucun cas les clients de son progiciel e-Business Suite ne seraient forcés de migrer. « Le développement du serveur d'applications va continuer, a précisé Thomas Kurian. Les clients auront simplement la possibilité de migrer. » BEA Aqualogic Repository devient le coeur de l'offre de gouvernance SOA d'Oracle D'autres produits BEA font leur entrée tels quels au catalogue d'Oracle (si on met de côté le changement de nom). Toujours du côté de Weblogic, l'édition dédiée au secteur des opérateurs télécoms, SIP Server, remplace Oracle SIP Server. Le moniteur transactionnel Tuxedo, qui a fait le premier le succès de BEA, reste évidemment inchangé. Le référentiel Aqualogic Repository devient de son côté le référentiel de l'offre de gouvernance des architectures orientées services d'Oracle. Lequel n'avait jusqu'à présent qu'un annuaire UDDI, qui vient donc s'intégrer à l'offre de BEA. [[page]]D'autres produits très spécifiques, comme la machine virtuelle Java JRockit ou l'outil de gestion des serveurs virtuels LiquidVM, viennent compléter immédiatement l'offre Oracle. On peut encore citer une des composantes d'Aqualogic, pour associer de façon centralisée des droits à des utilisateurs ou à des rôles, Aqualogic Enterprise Security, qui deviendra Oracle Entitlements Manager. Les ESB de BEA et d'Oracle seront fusionnés Pour la majorité des produits, toutefois, la stratégie qui prévaut est celle de l'intégration. Côté développement, les éléments de BEA Workshop deviennent par exemple des composants au sein d'un tout nouveau « pack Eclipse » livré gratuitement avec JDeveloper, l'atelier de développement d'Oracle. Pour la conception des processus, le studio de BEA, Aqualogic BPM Designer, vient compléter l'offre d'Oracle, plus axée sur la modélisation des processus d'entreprise. Un moteur unifié sera proposé pour le déploiement. Les bus de services (ESB) seront aussi unifiés, l'ESB d'Aqualogic étant complété par les fonctions de celui d'Oracle. Idem pour les outils de portail : les logiciels de BEA viendront compléter l'offre WebCenter d'Oracle. La gestion des événements complexes (CEP, complex event processing) n'échappe pas la règle, Thomas Kurian jugeant que « l'offre de BEA est avant tout un moteur pour collecter des événements, [alors que celle d'] Oracle propose un grand nombre d'algorithmes pour effectuer les calculs ». D'une façon générale, Thomas Kurian a insisté sur le fait qu'il n'y aurait aucune migration forcée, que ce soit pour les clients de BEA ou d'Oracle, et qu'il s'agisse des produits ou des contrats : une nouvelle liste de prix a été établie, mais les anciennes restent valables, a-t-il dit. Il a également fait valoir que tous les produits mentionnés dans sa présentation comme « en mode maintenance » l'étaient déjà avant l'acquisition de BEA par Oracle. Seule exception : Aqualogic Services Manager, qui reposait sur une offre OEM, « redondante avec Oracle Enterprise Manager », et qui est donc mise de côté. (...)
(02/07/2008 11:09:20)Illuminate veut accélérer l'outil décisionnel avec sa base de données
Nouvel entrant sur le marché français du décisionnel, l'éditeur hispano-américain Illuminate aborde la constitution d'entrepôts de données (datawarehouses) en prenant ses distances avec la classique base de données relationnelle. Il n'est pas le seul à se démarquer. Le monde de l'analyse de données fourmille d'offres qui se distinguent des approches habituelles avec, notamment, le chargement des informations en mémoire (in-memory) et un mode de stockage des données en colonnes qui, pour l'utilisateur, réduisent sensiblement les temps de réponse lors de la phase d'exploration et d'analyse. Illuminate, lui, avance une technologie encore différente. « Le coeur de l'offre, c'est un moteur de base de données 'corrélation' qui repose sur un mode de stockage VBS -Value based storage, explique Hervé Barsanti, directeur technique d'Illuminate. Plutôt que de stocker de manière relationnelle, chacune des valeurs n'est conservée qu'une fois. Les données sont en accès direct permanent ; des pointeurs permettent de reconstruire la structure logique ». Efficacité dans le traitement des bases volumineuses, compacité, optimisation des échanges entre processeur, mémoire et disques... Le directeur technique énumère ce qu'il considère être les atouts de l'offre. La technologie permet un requêtage ad hoc « très performant quel que soit le modèle logique de présentation des données ». Une exploration adaptée au datamining L'éditeur estime se placer sur un créneau où se trouvent des offres comme Sybase IQ ou Vertica (une société co-créée par Michael Stonebraker, principal architecte des bases Ingres et de PostGres). Quant au Suédois QlikTech, l'un des notables représentants de l'analyse in-memory, il se présente davantage comme un partenaire puisque Illuminate utilise son offre QlikView en complément de la sienne chez certains de ses clients. « Elle est bien adaptée pour travailler sur des données avec un certain niveau d'agrégation ; nous y avons recours pour réaliser des tableaux de bord ». Illuminate est ensuite appelée pour « continuer l'analyse au niveau de granularité le plus fin », complète Hervé Barsanti. Pour les requêtes, Illuminate propose une interface d'exploration (iCorrelate) dotée d'un assistant graphique qui laisse l'utilisateur d'interagir avec le système. « A l'aide de filtres et de 'glisser/déplacer', on affine les questions », explique le directeur technique. Un mode d'incursion adapté aux applications de datamining. Un challenge pour les bases traditionnelles Pour Jean-Michel Franco, directeur des offres internationales chez Business & Décision (intégrateur spécialisé sur les projets analytiques), les multiples acteurs qui se positionnent sur le marché du décisionnel constituent « un vrai challenge pour les bases de données traditionnelles ». [[page]]Jean-Michel Franco note que les nouveaux entrants surfent sur l'augmentation des volumes de données à traiter et sur la nécessité de réduire les temps de réponse. Parmi les alternatives, il constate, pour certaines applications décisionnelles, accessibles par exemple sur des sites Internet grand public (achat de voyages, notamment), le recours à des bases en Open Source, ou encore à des moteurs de recherche, qui s'appuient sur des « copies des bases opérationnelles ». « Plus on s'approche d'applications transactionnelles, plus les entreprises cherchent des temps de réponses courts. Or, les bases traditionnelles sont lourdes à gérer et ne permettent pas vraiment à l'utilisateur de faire ce qu'il veut. La tendance pour les nouvelles solutions, c'est de se spécialiser et d'automatiser l'extraction et la catégorisation des données. » Constituer un écosystème autour d'Illuminate A l'instar d'un Netezza, autre acteur du datawarehouse récemment implanté en France (avec, pour sa part, une offre d'appliances alliant matériel et logiciels), Illuminate met l'accent sur le déploiement rapide de sa solution. « Cela peut être quelques semaines sur certains projets, indique le directeur technique. Les données sont chargées rapidement car la base ne contraint pas à une modélisation et elle utilise immédiatement les informations. » L'Hispano-Américain compte actuellement une quarantaine de collaborateurs et autant de clients. Ces derniers sont répartis entre l'Espagne (26) et l'Amérique du Sud (une dizaine). La société, co-fondée en 2005 par Anton Torrents et Joseph Foley, a démarré ses opérations aux Etats-Unis (Minneapolis) et en Europe de l'Ouest fin 2007, début 2008. Parallèlement à son implantation en France, l'éditeur change son modèle de distribution. Opérant jusque-là en mode direct, il souhaite créer un réseau de partenaires pour constituer un écosystème autour de sa technologie. « Pour faciliter l'intégration, nous mettons à jour, d'ici la fin de l'année, l'ensemble de nos interfaces de programmation (APIs) afin de les rendre accessibles en Java ou sous forme de services Web », précise Hervé Barsanti. (...)
(02/07/2008 09:09:59)Marc Andreessen apporte son expérience du Net à Facebook
Marc Andreessen rejoint Mark Zuckerberg, Peter Thiel et Jim Breyer au sein du conseil d'administration de Facebook. A 37 ans, ce visionnaire d'Internet ne vient pas les mains vides. Dans ses bagages il compte par exemple la création de Mosaic, le premier navigateur Internet (1993) et de Netscape. Principal rival d'Internet Explorer, Netscape a été revendu en 1999 à AOL et définitivement enterré au début de cette année - non sans avoir produit une descendance qui connaît aujourd'hui son heure de gloire : Mozilla avec Firefox. Marc Andreessen a par ailleurs occupé la fonction de directeur technique chez AOL. Il a également lancé Ning, une plateforme qui propose de développer des réseaux sociaux en marque blanche (donc un concurrent de Facebook) et a investi plusieurs millions de dollars dans des sociétés Web 2.0 comme Netvibes, Digg, Plazès (racheté il y a quelques jours par Nokia) ou encore Twitter. Avec cette arrivée, le jeune Mark Zuckerberg (24 ans) se dote donc d'un bras droit expérimenté. Son nouveau conseiller pourrait lui éviter de reproduire certaines « erreurs de jeunesse », comme le lancement très controversé de Beacon, l'outil de ciblage publicitaire de Facebook, les dénis de service ou encore la découverte de failles de sécurité dans des albums censés être privés. (...)
(02/07/2008 10:55:19)Windows Server 2008 bien accueilli par les informaticiens américains
Vista qui pleure et Windows Server 2008 qui rit. Une enquête réalisée par Computerworld (voir encadré ci-dessous) auprès de 403 de ses lecteurs responsables informatiques indique un accueil favorable de la dernière version de Windows Server. Ils sont 63% à s'être déclarés prêts à intégrer Windows Server 2008 dans leurs projets d'investissement. Un intérêt qui tranche avec le peu d'entrain que les DSI américains montrent à l'endroit de Vista. Sur les 63% de DSI qui prévoient d'installer Windows Server 2008, 59% ont planifié un déploiement dans les douze mois et 55% prévoient de l'avoir déployé sur tous leurs serveurs d'ici deux ans. Les plus enthousiastes se trouvent dans les entreprises de 100 à 1000 salariés. 69% se déclarent prêts à commencer un déploiement dans les douze mois à venir. Premier usage de Windows Server 2008 : serveur d'applications L'intérêt pour 2008 se fonde principalement sur les améliorations apportées à sa sécurisation (73%), à de meilleures performances (69%), aux améliorations apportées à Active Directory (64%), au coeur du système (45%). Par ordre de popularité, Windows Server 2008 sera utilisé pour les serveurs d'applications, la gestion des domaines et Active Directory, DNS/DHCP, les serveurs Web et la virtualisation avec Hyper-V. Ce dernier usage pourrait progresser rapidement, Hyper-V et ses outils d'administration sortant à peine des limbes. En attendant, c'est, avec 42%, VMWare qui emporte le plus de suffrages (42%) des adeptes de la virtualisation, devant Hyper-V (24%), sachant que 31% des DSI interrogés déclarent ne pas être intéressés par la virtualisation. (...)
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