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(28/03/2008 17:58:13)

Fuzz, condamné pour atteinte à la vie privée, vient de fermer

Le tribunal de grande instance de Paris vient de condamner en référé fuzz.fr (un site d'informations alimenté par les internautes et exploité par la société Bloobox), à verser 1000 euros de dommages et intérêts et 1500 euros de frais de justice pour atteinte à la vie privée. Le tribunal accuse fuzz.fr d'avoir laissé en ligne un lien impliquant deux célébrités, et renvoyant vers un autre site, avec un article complet. Eric Dupin, créateur de fuzz.fr se défend avec véhémence contre cette accusation, considérant qu'il agit en tant qu'hébergeur de contenu et non pas éditeur de site, auquel cas sa responsabilité n'est pas engagée sur les articles publiés par les internautes. Furieux, Eric Dupin a même fermé fuzz.fr. Sur son blog, on peut lire : « Le tribunal dans son ordonnance a retenu ma responsabilité d'éditeur en considérant que j'organisais l'information sur Fuzz en opérant un tri et une hiérarchisation des liens par catégories. Si vous connaissez notre site et le fonctionnement des Digg-like vous savez tous parfaitement que ceci est inexact. » En tant qu'aggrégateur, Fuzz ne modère pas les liens postés par les internautes. Depuis la loi sur l'Economie numérique (LCEN, qui date du 21 juin 2004), ces sites sont considérés comme de simples hébergeurs, qui fournissent aux internautes des espaces de stockage, mais ne sont pas responsables des informations publiées. Ils sont obligés de supprimer des contenus illicites (pédopornographiques, racistes, négationnistes, etc.) qui leur sont signalés, mais uniquement sur demande par lettre recommandée. Ca n'a pas été le cas d'Eric Dupin, qui a directement été assigné en justice, le TGI considérant que Fuzz est un éditeur, donc bel et bien responsable du contenu qu'il diffuse. [[page]] Cette affaire n'est pas sans rappeler celle qui a opposé Olivier Dahan (qui a gagné un procès contre le site Lespipoles le 28 février dernier) ou encore Jean-Yves Lafesse (qui s'est vu pour sa part débouté par le TGI de Paris dans son procès contre Dailymotion et Youtube). Elle n'a pas manqué de susciter de vives réactions dans la blogosphère. Mais ce jugement très contesté remet surtout sur le tapis la problématique du flou le plus complet qui règne autour du statut d'hébergeur ou d'éditeur de sites Internet, notamment en raison de l'émergence des sites participatifs. D'après Christiane Féral-Schuhl, avocate associée du cabinet Feral-Schuhl / Sainte-Marie, « il faut redéfinir ces statuts, l'avenir de ces sites (comme leur fermeture) sera lié au régime de responsabilité qui sera retenu ». Rappelons toutefois qu'il ne s'agit que d'un jugement en référé, c'est-à-dire traité en urgence afin de faire cesser des troubles « manifestement illicites », mais qu'il peut faire l'objet d'un jugement au fond. Le célèbre avocat blogueur maître Eolas estime pour sa part qu'Eric Dupin a tout intérêt à lâcher le dossier, étant donné qu'il s'en sort avec une condamnation relativement légère comparée à la demande initiale (35 000 euros)... sans compter le formidable coup de publicité que lui apporte cette affaire. (...)

(28/03/2008 17:45:59)

Bios : Phoenix achète BeInSync, spécialiste de la synchronisation

Phoenix Technologies, numéro un mondial des Bios (Basic input output system, qui fait l'interface entre la machine et le système d'exploitation) pour systèmes x86, annonce l'achat de BeInSync pour un montant estimé à 25 M$. Cette société israélienne est spécialiste de la synchronisation de fichiers en pair à pair. Phoenix Technologies, dont les Bios (Phoenix, Award, First.) sont enfouis dans la plupart des cartes mères des grands de la micro-informatique et des serveurs, inscrit cette acquisition dans son projet de plateforme "PC 3.0" dont l'élément essentiel est l'hyperviseur HyperCore qui a été présenté en octobre 2007. Cet hyperviseur a pour caractéristique d'être ultraléger et ajouté au Bios. Il permet déjà de faire fonctionner Hyperspace, un environnement applicatif indépendant de Windows. Au premier regard, la technologie de BeInSync se destine naturellement à la synchronisation des fichiers de données. Les utilisateurs pourraient disposer d'un référentiel pour sauvegarder leurs données, les synchroniser et y accéder dès lors qu'ils disposeraient d'un accès Internet. Une intégration attendue entre BeInSync et Hypercore L'autre éventualité, qui n'est pas exclusive de l'autre, serait la conjonction de la technologie de BeInSync et de l'hyperviseur Hypercore. Dans cette perspective, Phoenix pourrait alors proposer une approche originale à la gestion des machines virtuelles dans le cadre d'un environnement VDI (Virtual desktop infrastructure, infrastructure de poste de travail virtualisé). Une certitude, Phoenix compte bien proposer son développement à tous ses clients, autrement dit au ban et à l'arrière-ban du monde X86/64. Une offre qui ne pourra qu'avoir l'aval d'Intel. Début 1996, Intel est rentré au capital de Phoenix Technologies à hauteur de 6% pour un montant de 10,8 M$. Phoenix a racheté ces 6% à Intel début 2001, mais les deux sociétés sont restées très proches et collaborent étroitement. Notons que FolderShare (acheté par Microsoft en 2005) et Sharpcast sont considérés comme des concurrents de BeInSync. (...)

(28/03/2008 17:40:38)

J-1 avant l'adoption ou le rejet d'OOXML par l'ISO

C'est demain soir que les représentants de 87 pays, réunis au sein de l'ISO (International Organization for Standardisation), décideront si le format bureautique OOXML de Microsoft est conforme à ce que l'on attend d'un standard OSI international. Les dernières informations obtenues par les Echos laissent entendre que la France s'opposera à ce que OOXML rejoigne ODF, format qui a déjà reçu l'imprimatur. Notre pays se trouverait aux côtés du Brésil et de l'Inde, notamment. Tandis que les Etats-Unis et l'Allemagne auraient choisi de soutenir la candidature d'OOXML. Dès son origine, le format ODF a été conçu comme un format ouvert, à même de garantir l'accès aux données enregistrées. A l'inverse, Microsoft, fort de son quasi-monopole de fait sur les logiciels bureautiques, n'a décidé que tardivement d'entrouvrir le format d'Office 2007. Il l'a fait sous la pression des utilisateurs qui lancent désormais des appels d'offre réclamant des produits supportant un format normalisé. (...)

(28/03/2008 16:59:21)

SAP réajuste son catalogue décisionnel après l'absorption de BO

Quelque trois mois après avoir finalisé l'acquisition de Business Objects, SAP a été amené à prendre quelques difficiles décisions, en particulier sur les recouvrements applicatifs induits par le rapprochement des deux catalogues de solutions décisionnelles. C'est principalement sur les solutions de gestion de la performance que le nouveau portefeuille applicatif est le plus fourni, en raison des nombreux rachats effectués dans ce domaine, tant par SAP que par BO : Pilot Software et OutlookSoft pour l'un, ALG, SRC et Cartesis pour l'autre. L'offre Outlooksoft continuera d'être développée « Evidemment, certains arbitrages ont été délicats dans la mesure où chacun des produits a ses mérites, une base installée de clients, ainsi qu'une équipe qui le défend passionnément, a confié à nos confrères d'IDG News Service John Schwarz, ancien PDG de BO, désormais responsable des offres décisionnelles de SAP. Comme vous pouvez l'imaginer, les débats ont donc été plutôt animés. » Avant toute chose, SAP indique qu'il supportera pendant au moins trois ans les produits dont il ne poursuivra pas le développement. Cela signifie que leurs utilisateurs recevront les correctifs nécessaires et bénéficieront d'un support limité. En revanche, ils ne doivent pas s'attendre à voir les fonctionnalités des logiciels enrichies. Dans le domaine de la planification, SAP a décidé de poursuivre le développement de l'offre OutlookSoft, devenu SAP Business Planning and Consolidation (SAP-BPC). Les clients de l'offre BO héritée du rachat de SRC devraient donc être encouragés à migrer vers SAP-BPC.[[page]] Sur la gestion des coûts et de la profitabilité, SAP va conserver l'offre d'ALG Software, que Business Objects a rebaptisée Activity Analysis. Ce n'est pas surprenant puisque, dans cette catégorie, SAP revendait l'offre d'un éditeur tiers (Acorn Systems), sous l'appellation SAP Business Profitability Management. Du côté des outils de consolidation financière, la situation est un peu plus compliquée. SAP a choisi l'offre de Cartesis (rachetée par BO en avril 2007) comme solution principale. Toutefois, les clients préférant opter pour un produit associant planification et consolidation pourront utiliser SAP-BPC, auquel SAP conservera son interface à la Excel, précise John Schwarz. Les outils de Pilot Software préférés à ceux de BO Un porte-parole de SAP décrit Cartesis comme un produit «Cadillac» destiné aux consolidations financières complexes qui impliquent de prendre en compte de nombreuses contraintes réglementaires. Et si SAP prévoit des améliorations cette année sur son propre logiciel de consolidation, SEM BCS, ses utilisateurs devraient se voir conseiller de migrer un jour ou l'autre vers les applications Cartesis. Sur les solutions de pilotage stratégiques, incluant les tableaux de bord et les outils de scorecard, SAP va garder les produits qu'il a rachetés avec Pilot Software et qui s'appellent SAP Strategy Management. Les nouveaux développements devraient donc bientôt s'arrêter sur l'ancien produit de gestion de la performance de BO.[[page]] « Je suis assez impressionné de les voir faire ces choix difficiles, a commenté Boris Evelson, analyste de Forrester Research, spécialisé sur le décisionnel. A l'inverse de certains de leurs concurrents qui abandonnent tous les produits qu'ils achètent en annonçant "nous ne laisserons rien tomber", Business Objects et SAP prennent des décisions. » D'autres choix délicats à faire Boris Evelson pense que SAP devra sans doute procéder à d'autres choix délicats. Il lui faut encore arbitrer entre Crystal Reports, Web Intelligence, Dashboard Builder, Voyager et d'autres produits, du côté BO, et Visual Analyzer et BEx BI du côté de SAP. Les analystes pensent que les produits de BO devraient l'emporter dans la majorité des cas. L'ancien PDG de BO, John Schwarz, a fourni quelques détails sur la façon dont les choix se sont déroulés : « En dernier lieu, nous avons regardé quel était le produit qui avait la plus large base installée, celui qui avait les meilleurs retours d'expérience, celui qui évoluait le pus vite sur le marché et celui qui disposait de l'architecture la mieux adaptée pour l'intégration d'autres composants. Et ces éléments guidaient notre choix définitif. » Selon John Schwarz, SAP cherche à minimiser les perturbations que ces évolutions pourraient entraîner chez les clients. Par exemple, il va importer les modèles de données de l'offre SRC vers celle d'OutlookSoft. Il fera de même pour les solutions métiers développées pour le secteur médical, la banque, la distribution... de façon à ce que ces applications spécifiques ne soient pas perdues. (...)

(28/03/2008 16:53:58)

Syntec présente sa nouvelle politique emploi, sociale et formation

Syntec Informatique a dévoilé aujourd'hui les principales orientations de sa politique sociale, d'emploi et de formation pour l'année 2008. L'occasion pour Alain Donzeaud, vice-président de Syntec Informatique et président de la Commission des affaires sociales et de la formation, de présenter une série d'actions qui s'articulent autour de trois grands axes : la sensibilisation des entreprises du secteur à la mise en place d'une politique RH performante, l'adaptation des dispositifs légaux aux spécificités des entreprises de la branche, et la contribution de Syntec Informatique à chasser de nouveaux talents. Pour aider les acteurs des logiciels et services à développer une gestion efficace de leurs ressources humaines, le syndicat professionnel a choisi d'instaurer des échanges de bonnes pratiques. « Chaque mois, des matinées sociales réunissant une centaine d'entreprises adhérentes abordent des problématiques liées à a la formation continue, au DIF, ou à la discrimination », a exposé Alain Donzeaud lors d'une conférence de presse. Second volet de la politique d'orientation sociale initiée par la chambre professionnelle : l'harmonisation des dispositifs légaux aux spécificités des entreprises de la branche. « Deux négociations sont actuellement en cours, a ajouté le porte-parole de Syntec Informatique. L'une, sur la parité, l'autre sur la GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences). Nous réfléchissons parallèlement à la mise en application des lois dites TEPA sur le pouvoir d'achat dans les entreprises de la branche. » Considérant que l'une des modalités de cette loi - qui porte notamment sur le rachat des RTT et des jours de repos - empêche sa mise en application dans la profession, Syntec a pris les devants en alertant les pouvoirs publics sur le sujet. [[page]] La fédération syndicale compte également régler le problème de la comptabilisation des effectifs des sociétés prestataires dans les effectifs des entreprises clientes, une question qualifiée « d'importante bataille juridique », par le vice-président de Syntec Informatique. Le porte-parole a conclu en passant en revue les différents dispositifs permettant d'aider les entreprises à trouver de nouveaux collaborateurs. « Le site Changeursdemonde.com, lancé en mars 2007 pour sensibiliser les jeunes aux métiers de l'informatique, vient d'entrer dans sa deuxième phase, avec un nouveau blog et un jeu de simulation plus rapide, a expliqué Alain Donzeaud. Nous agissons aussi sur les sources d'approvisionnement des talents en collaborant avec les grandes écoles d'ingénieurs, et avec des organismes comme l'ANPE ou le Garp. » Syntec Informatique étudie également l'analyse des besoins en compétences et de leurs évolutions en conduisant des études métiers, et agit sur la formation dans la branche en collaboration avec le Fafiec, pour définir des priorités. (...)

(28/03/2008 15:08:58)

L'image de marque de Microsoft en chute libre aux USA

Selon une étude publiée par CoreBrand, l'image de Microsoft est en perte de vitesse auprès des entreprises américaines. Le cabinet a interrogé 12 000 sociétés, à propos de leurs préférences en termes de marques (toutes catégories confondues : informatique, automobile, alimentation...). Microsoft subit un camouflet en passant de la 38ème à la 59ème place du classement, perdant ainsi 21 points (ce qui correspond à la plus forte chute du top 100 établi par CoreBrand). Une baisse d'autant plus sévère quand on sait que le géant de Redmond figurait en 11ème position en 2004, et en tête du classement en 1996 (parmi 1200 sociétés, dans 50 secteurs différents). James Gregory, chef de la direction de CoreBrand, a souligné que si ce déclin se poursuivait, Microsoft pourrait bien se faire griller la politesse par Toshiba (71ème, et qui gagne 10 places) dans les années à venir. Si on s'en tient aux fournisseurs du secteur informatique, Microsoft est en effet en deuxième position, devant Toshiba, et derrière IBM (18ème au classement général). Sony se classe 21ème [[page]] Dans son analyse, James Gregory identifie plusieurs facteurs à cette chute : les déboires rencontrés par Windows Vista dans les entreprises, la campagne publicitaire d'Apple aux Etats-Unis « I'm a Mac, I'm a PC » qui aurait pu ternir l'image de Windows, ainsi que les difficultés rencontrés par Microsoft pour diversifier ses activités, notamment dans le secteur de la publicité en ligne. CoreBrand se sert de quatre critères pour mesurer le taux de popularité des marques auprès des décideurs des entreprises : le niveau de connaissance de la marque, sa réputation, la perception de la gestion et les investissements potentiels. Parmi les autres sociétés du secteur informatique cités dans le Top 100 de CoreBrand on retrouve Sony (21ème), Xerox (49ème), Canon (82ème), Verizon Communications (90ème) ou encore Motorola (94ème). (...)

(28/03/2008 11:24:12)

La création graphique d'interfaces accessible aux développeurs iPhone

Apple a sorti une nouvelle version de la bêta de son kit de développement pour iPhone. Le SDK inclut désormais Interface Builder, l'outil de création graphique d'interfaces d'Apple, qui a dû être revu et adapté à l'interface tactile de l'iPhone. Interface Builder a en effet été conçu pour concevoir les interfaces pour la couche graphique Cocoa de MacOS X, et cette dernière a été modifiée en Cocoa Touch pour le téléphone d'Apple. La disponibilité de cet outil graphique dans le SDK devrait améliorer la productivité des développeurs. En revanche, les conditions d'utilisation du SDK restent aussi draconiennes. (...)

(28/03/2008 10:34:04)

Oracle rachète les outils de test d'Empirix

La dernière acquisition d'Oracle s'est opérée dans la catégorie des outils de test d'applications. L'éditeur américain vient de racheter à son compatriote Empirix sa suite e-TEST pour l'intégrer à ses offres Oracle Enterprise Manager et Oracle Real Application Testing. La suite acquise comprend e-Manager Enterprise pour développer et organiser les processus de test, e-Tester, pour construire des scripts de test, et e-Load, pour contrôler les performances des applications Web. Empirix, un éditeur du Massachusetts qui conçoit aussi des produits de test pour les applications de voix sur IP (VoIP), gardera le contrôle de l'offre e-TEST jusqu'à ce que l'accord avec Oracle soit finalisé. Les conditions de la transaction n'ont pas été précisées. La suite e-TEST est actuellement utilisée par 695 clients dans des secteurs divers (services financiers, assurance, industrie...). Oracle précise qu'elle fonctionne parfaitement avec ses propres produits, quelques centaines de ses clients l'utilisant déjà. (...)

(28/03/2008 09:44:44)

Autodesk apporte les avancées du jeu et de la 3D à l'industrie

Autodesk a présenté ses résultats 2007 et sa nouvelle gamme de produits, Autodesk 2009. Le chiffre d'affaires dépasse 2 milliards de dollars et Inventor, la CAO 3D, devient native 64 bits... Mais la véritable nouveauté est ailleurs. Elle est dans la synergie désormais affichée entre les quatre divisions : technologies géospatiales (46% du CA), architecture et construction (22%), industrie manufacturière (20%) et la petite division qui monte : médias et divertissement (12%). Une synergie qui n'avait rien d'évident. Et pourtant. L'univers des jeux en particulier apporte son lot d'innovation à l'ensemble de l'activité. En architecture, les images 3D photoréalistes servent à implanter les infrastructures (ponts, tramways, etc.) dans leur environnement futur. Dans l'industrie automobile, les prototypes virtuels sont animés et testés dans un environnement réel simulé... FBX, un format unique de conversion et d'échange de données 3D D'un point de vue technique, cela se traduit par exemple par l'arrivée prochaine du format FBX de conversion et d'échange de données 3D (géométrie, matériau, modélisation et même animation) entre les outils 3DS Max et Maya (jeu et animation) mais aussi le logiciel d'architecture Revit. Un moyen d'utiliser davantage la visualisation en amont d'un processus de conception de bâtiment. Pourquoi pas ensuite utiliser FBX dans la CAO Inventor ? [[page]] D'un point de vue organisation, Autodesk mène désormais une réflexion verticale, par métier de ses clients, et non plus uniquement par produit, pour identifier les nouveaux besoins. En parallèle, une R&D transversale permet de partager les innovations technologiques entre toutes les divisions. Encore 958 M$ de cash pour une éventuelle croissance externe Dassault Systèmes aussi, depuis plus de deux ans, se tourne vers la 3D inspirée du jeu pour ses environnements de PLM (Product Lifecycle Management, gestion du cycle de vie des produits). « Tous les plus grands du jeu, du cinéma et de la télévision sont nos clients et nos partenaires, réplique Julie Barrette, directeur des ventes de la division Médias et Divertissement d'Autodesk. C'est un avantage considérable. » Enfin, fort d'une croissance mondiale de 18%, Autodesk garde dans sa manche quelque 958 M$ de cash. Une somme que cet habitué de la croissance externe pourrait bien investir dans une nouvelle vague d'acquisitions pour compléter son offre technologique. (...)

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