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(24/01/2008 17:28:05)
Mainframes et SOA, couple idéal aux dires d'IBM
Pour IBM et, semble-t-il, ses clients, les grands systèmes pourraient bien être la plateforme idéale pour déployer une architecture orientée services. Selon le Share, qui se présente comme le plus important groupe d'utilisateurs indépendants de produits IBM, 70% des applications les plus critiques seraient encore hébergées sur grands systèmes. De plus, pour un tiers des répondants qui travaillent dans des entreprises de plus de 10 000 salariés, 51% à 75% des données sont hébergées sur ces systèmes. Le Share constate aussi que les grands systèmes sont toujours de grands solitaires. Parmi la moitié des 431 entreprises interrogées, la plupart des efforts d'intégration se traduisent par des scripts écrits à la main. On comprend alors pourquoi les données hébergées sur mainframes restent difficiles à partager. Les sociétés ayant répondu à l'enquête expriment le souhait de résoudre ce paradoxe par l'adoption d'architectures orientées services. Plus de 20% d'entre elles ont entamé une démarche SOA et un autre tiers conduiraient une réflexion dans ce sens. Bien que les SOA n'en soient pas encore à la phase opérationnelle, 40% visent des déploiements sur des architectures temps réel. Autre bémol à relever pour finir un tableau aux messages ambigus : si, parmi celles conduisant un projet d'architecture orientée services, seulement 37% des personnes interrogés déclarent conduire un projet SOA de l'ampleur de leur entreprise, la plupart le font sur des domaines bien plus restreints : une ligne d'activité, une division de l'entreprise ou au sein même d'applications. Pour conclure, les résultats de cette enquête sont suffisamment ambivalents pour être interprétés dans un sens favorable ou non au déploiement de projets SOA sur grands systèmes. (...)
(24/01/2008 17:20:00)NTT Docomo adopte Android pour ses téléphones i-mode
La rumeur courait depuis décembre dernier. C'est désormais chose faite : NTT Docomo proposera des téléphones équipés de la plateforme Android de Google. Le projet est du moins en bonne voie puisque les deux géants ont entamé des discussions qui incluraient également le support d'i-mode, le service Internet de NTT Docomo. Pas si étonnant puisque NTT Docomo fait partie de l'alliance Open Handset créée par Google lors du lancement d'Android, ce rapprochement devrait profiter aux deux sociétés. Premier opérateur mobile au Japon avec 50% du marché et 48 millions d'abonnés, NTT Docomo n'en est pas moins confronté à une concurrence acharnée et perd régulièrement des parts de marché. En ajoutant les services Google à son panier, il renouvèle son offre mobile et pourrait donc se montrer plus attractif face aux concurrents. De son coté, Google signe là son plus gros partenariat avec un opérateur, apportant ainsi du crédit à sa stratégie télécoms qui laisse toujours les analystes du marché dubitatifs. Cette annonce devrait se concrétiser dès le printemps prochain pour 48 millions des 53 millions de clients de l'opérateur qui sont abonnés au service i-mode. Ils auront en effet de nouvelles fonctionnalités à disposition émanant de la plateforme Android dont, notamment, le moteur de recherche, le mail, l'agenda ou encore le stockage de photos. D'autres services sont envisagés par la suite tel que Google Maps ou encore la possibilité d'accéder et visionner des vidéos Flash. Pour autant, NTT Docomo n'abandonne pas ses projets en cours avec des plateformes rivales, dont ALP (Access Linux Platform) de l'éditeur japonais Access, et pourrait proposer prochainement un pack de services spécifiques dans ce cadre. En attendant, quand les 48 millions d'utilisateurs d'i-mode allumeront leur téléphone NTT Docomo, c'est la page de recherche de Google qu'ils verront s'afficher par défaut. (...)
(24/01/2008 17:15:59)Le W3C lève un coin du voile sur HTML 5
Le W3C a publié la première ébauche de la prochaine génération de HTML. Une cinquième évolution du langage qui montre à la fois la mesure des travaux entrepris par le groupe de travail dédié, mais également une mise à jour majeure de la spécification. L'objectif premier du groupe a bien sûr été de suivre les évolutions du Web et de ses usages, et adapter ainsi HTML. « L'intéropérabilité est l'avancée majeure de HTML5, commente Karl Dubost, Conformance Manager du W3C et membre du groupe de travail HTML. Pour la première fois, HTML définit précisément comment un document HTML doit être lu par un programme. » On parle alors d'une forte collaboration entre tous les éditeurs de navigateurs, comme Apple, Opera, Microsoft, Mozilla, Access et Nokia qui, chacun, ont « documenté comment les implémentations traitent les documents et comment récupérer de façon cohérente un document dont le balisage contiendrait des erreurs ». Notons au passage que la version 5 est la première mouture à avoir intégré, au départ, les documents publiés par le groupe dissident What WG (Web Hypertext Application Technology Working Group). Techniquement, HTML 5 intègre les caractéristiques multimédia et interactives du Web. « HTML 5 définit des interfaces de programmation pour les graphiques 2D, la gestion des données off/online (Ajax), du DOM », précise Karl Dubost. Et surtout HTML5 se voit paré d'une série de nouvelles balises qui éclairciront le code. Notons par exemple l'apparition d'une balise 'video pour inclure en direct une video - sans avoir recours au lourd code des plug-in dans une page, les balises très sémantiques 'article' et 'section' qui, très inspirées du XML, viennent baliser un article ou un billet de blog, et enfin l'ajout d'un simple attribut pour afficher des fonctions étendues aux formulaires (par exemple un calendrier de saisie de date sera simplement codé dans un attribut de la balise Form, type=date). Certaines fonctionnalités de HTML 5 ont également été fondues à la spécification par défaut, de par leur utilisation massive par les développeurs actuels. C'est notamment le cas de XMLHttpRequest, brique centrale d'Ajax, qui assure la communication entre le navigateur et le serveur en arrière-plan. Côté calendrier, tout reste flou. Si on entend parler d'une finalisation des spécifications en 2010, Karl Dubost reste, quant à lui, beaucoup plus pragmatique. « Une fois que la spécification sera finalisée en tant que norme W3C, cela dépendra de la demande du marché. Les développeurs de navigateurs implémentent ce que le marché demande. » Aux développeurs et designers de se pencher alors sur le sujet. (...)
(24/01/2008 17:12:37)Annuels Cegid : +13,4% sur les licences et services d'intégration
Sur 2007, l'éditeur de logiciels de gestion Cegid a vu ses ventes de licences et de services d'intégration progresser de 13,4%, à 104,2 M€, sur un chiffre d'affaires total de 241,1 M€. Cette croissance, tirée par le quatrième trimestre (+16% sur cette activité), s'est répartie sur plusieurs secteurs : la profession comptable et libérale et ses clients en TPE, les solutions de gestion des ressources humaines, les outils de gestion de la performance financière destinés aux moyennes et grandes entreprises, ainsi que les métiers de la mode. Elle a également été alimentée par une augmentation de 60% des ventes indirectes provenant du réseau de distribution. Autant d'axes sur lesquels l'éditeur entend poursuivre son développement en 2008, notamment à l'international pour le secteur de la mode. Cegid mise également sur l'extension de son activité d'applications hébergées (On Demand). Rappelons par ailleurs que le quatrième trimestre 2007 a été marqué par l'entrée de Groupama au capital de Cegid, à hauteur de 17,23%, avec l'objectif de développer un partenariat industriel pour étendre les offres destinées aux professionnels de l'expertise comptable en contact avec les TPE et PME. Rentabilité opérationnelle : 13,5% du chiffre d'affaires Sur l'année, la part des ventes de licences et de services d'intégration pèse plus lourd dans le chiffre d'affaires total que l'an dernier : 43,33% contre 40,3% en 2006. Un poids à comparer aux 44% issus en 2007 des revenus récurrents provenant de la maintenance qui ont de leur côté progressé de 3% par rapport à l'an dernier. Sur le chiffre d'affaires total, la progression annuelle s'élève à +5,7% à périmètre courant, Cegid ayant racheté Comptanoo, éditeur de logiciels de comptabilité en ligne pour les TPE, en janvier 2007, et AS Infor, éditeur de solutions de gestion de magasins, en avril 2007. Pour 2007, Cegid estime sa rentabilité opérationnelle courante consolidée à 13,5%, au moins, de son chiffre d'affaires (contre 12,8% en 2006), mais précise qu'il s'agit de chiffres estimés et non audités. Les résultats définitifs seront annoncés fin février. (...)
(24/01/2008 17:09:40)IBM réduit le salaire de ses équipes de support américaines
Les techniciens américains de support d'IBM ont peut-être gagné la bataille pour qu'on leur paye leurs heures supplémentaires. Mais Big Blue s'est ménagé un arrangement. Selon nos confrères de The Register, le fournisseur rémunèrera ses techniciens de support sur la base d'un salaire horaire qui devrait baisser de 15%, mais qui pourra être récupéré en heures supplémentaires. Une décision qui devrait concerner quelque 7 600 techniciens de support d'IBM, soit 6% de ses effectifs aux Etats-Unis. . Cette annonce fait suite à deux années de conflit opposant l'entreprise et ses techniciens de support sur la question des heures supplémentaires. En 2006, IBM avait été condamné par une décision de justice à payer 65 M$ d'heures supplémentaires impayées à 32 000 techniciens. Pour sa défense, IBM indique vouloir tout simplement se conformer à la législation américaine. Or, il apparaît qu'Outre-Atlantique, la loi sur les heures supplémentaires comporte certaines ambiguités En effet, certaines professions de haut niveau, comme les dirigeants, les administratifs et certains professionnels IT ne sont pas concernées par la question des heures supplémentaires. Les techniciens de support ont donc le sentiment d'être victimes d'une injustice, cette mesure ne s'appliquant qu'à leur seule profession. Selon Lee Conrad, coordinateur d'Alliance@IBM, un syndicat qui représente les droits des salariés d'IBM, les salaires annuels moyens des techniciens de support d'IBM s'élevaient auparavant à 80 000 $. Après réduction de 15%, leur rémunération annuelle tombera à 68 000 $. Ce qui les obligera à travailler de cinq à six heures de plus par semaine. Or, d'après l'agence Associated Press, un mémo interne circulant chez IBM indique qu'un tiers des salariés affectés n'effectuent pas un nombre d'heures suffisant leur permettant de compenser la baisse de leurs salaires. (...)
(24/01/2008 16:44:43)Avec FOSSology, HP traque l'Open Source dans les systèmes d'informations
Comme toutes les grandes sociétés, le système d'informations d'HP regorge de logiciels divers et variés, notamment en Open Source. Or savoir quelle licence s'applique à quelle partie du SI relève parfois du vrai casse-tête. Les développeurs d'HP ont donc conçu un produit maison, nommé FOSSology, qui - à la manière de Black Duck - retrouve les logiciels Open Source installés dans un système d'informations et en analyse le code source pour savoir quelles sont les licences utilisées. Si les informations ainsi remontées sont de bonnes indications sur ce qu'il est possible de faire ou de ne pas faire avec un logiciel, les développeurs d'HP se déchargent de tout problème juridique en précisant : « En général, les résultats d'analyses sont très bons, mais ne devraient pas être considérés comme faisant autorité. (ou pour faire simple : nous ne sommes pas des avocats. Le code fait de son mieux, mais laissez les décisions juridiques à vos juristes.) » FOSSology est disponible gratuitement sous licence GPL 2.0. Dans le futur, il devrait également servir pour faire l'analyse des patches installés, détecter la réutilisation de code, et remonter les alertes de sécurité. (...)
(24/01/2008 15:23:13)Ebay présente des annuels satisfaisants mais des prévisions moroses pour 2008
Bien des chefs d'entreprise rêveraient de pouvoir dégager 2,1 Md$ de bénéfices sur un chiffre d'affaires de 7,7 Md$. Mais John Donahoe, qui va succéder à Meg Whitman, démissionnaire, au poste de CEO d'eBay, n'est pas dans une position facile : l'annonce des résultats annuels du site d'enchères a provoqué une nouvelle chute du titre en Bourse. De fait, les prévisions pour 2008 sont moroses. EBay table sur un revenu compris entre 8,50 et 8,75 Md$, contre les 9,02 Md$ attendus par les analystes. John Donahoe déplore : « eBay ne progresse pas aussi rapidement que je le souhaiterais. » Le patron d'eBay a également reconnu que les internautes ont attrapé des réflexes d'achats basés sur la rapidité et l'efficacité, avant d'admettre : « Nous avons encore beaucoup de progrès à faire. » Une étude du cabinet Nielsen confirme la désaffection des acheteurs sur eBay : le taux de fréquentation du site d'enchères à baissé de 10% entre décembre 2006 et décembre 2007. Le modèle économique d'eBay reste néanmoins assez solide, d'autant que le site a su se diversifier avec PayPal, son système de paiement en ligne, qui a rapporté 563 M$ (+35%) au dernier trimestre, et avec des filiales comme shopping.com, StubHub et Kikiki, qui ont permis à eBay d'engranger 1,5 Md$ (+21%) en cette fin d'année. La seule erreur aura donc été le logiciel de téléphonie sur IP Skype, dont la dépréciation a entraîné une charge exceptionnelle au troisième trimestre de 1,4 Md$. Ce qui fait plonger de 69% le bénéfice net annuel. (...)
(24/01/2008 15:08:15)Mozilla fête ses 10 ans
Le 22 janvier 1998, Netscape - le grand rival de Microsoft sur le Web de l'époque - annonce qu'il rend public le code source de son produit phare : Netscape Communicator 5. Dix ans plus tard, si le développement propriétaire de Netscape est au point mort, la version libre Mozilla s'est multipliée : Firefox et Camino pour la navigation Web, Thunderbird pour le courrier électronique et Sunbird pour les calendriers gagnent de plus en plus de terrain dans le grand public comme en entreprise. Et désormais, Firefox, disponible en 44 langues et revendiquant 150 millions d'utilisateurs actifs se place en seconde position derrière Internet Explorer. Pour Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, l'excitation du début est toujours là : « Je suis vraiment chanceux de travailler sur Mozilla, de travailler avec autant de gens talentueux. Dix ans après, je suis toujours aussi excité qu'au premier jour. » (...)
(24/01/2008 13:52:12)Xavier Darcos demande au Syntec de plancher sur l'éducation
Le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, a donné le 23 janvier le coup d'envoi d'une mission qui devra aboutir au développement des technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (TICE), au sein du monde éducatif. La mission E-educ, d'une durée de trois mois, rassemblera des représentants de l'Education nationale et des professionnels du secteur informatique, et sera dirigée par Jean Mounet, le président du Syntec Informatique. Parmi les problématiques abordées, la définition et le développement d'une offre logicielle adaptée aux besoins des enseignants ; ou encore, la mise en place d'un modèle économique pour le développement des TICE qui pourrait passer par des partenariats publics-privés. Pour plancher sur le sujet, le patron du syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels est entouré de 17 représentants d'entreprises du secteur de l'informatique. On trouve parmi elles HP, IBM, Microsoft, Sopra Group, Cap Gemini ou encore Accenture. Les enseignants et les familles seront également associés au projet par le biais d'un forum de discussions qui leur est ouvert sur les sites www.education.gouv.fr et www.forum.gouv.fr. Les propositions feront l'objet d'un rapport qui sera remis à Xavier Darcos courant avril aux fins d'envisager de nouvelles actions dès la rentrée 2008. (...)
(24/01/2008 12:19:20)L'Afdel critique les recommandations sur le Libre de la commission Attali
Pour l'Afdel, Association française des éditeurs de logiciels, « la commission Attali tourne le dos à l'innovation ». De fait, le rapport remis par Jacques Attali au président de la République préconise de favoriser l'Open Source, ce qui va à l'encontre des recommandations de l'Afdel, qui souhaite favoriser le modèle classique des éditeurs de logiciels. Parmi les 316 propositions du rapport de la Commission Attali, certaines visent explicitement les technologies de l'information et de la communication. Le chapitre 3, intitulé « Les révolutions à ne pas manquer », explique que si la France est compétitive en matière de haut débit, elle souffre tout de même d'un certain retard dans l'économie du numérique. On peut lire : « 45% de la population française ne se connecte jamais à Internet. La France n'a plus aucun acteur significatif dans le logiciel ni dans la fabrication d'ordinateurs, de serveurs et d'équipements annexes. Aucune société française ne figure parmi les 15 premières sociétés éditrices de logiciels. Seuls deux « champions nationaux » s'inscrivent au palmarès des 5 premiers groupes mondiaux dans les six principaux secteurs de l'économie numérique. La France n'a presque aucun acteur de taille mondiale dans les industries d'Internet. [...] La part de l'économie numérique dans la production française n'est que de 6% au lieu de 13% aux États-Unis et 17% en Corée. Le niveau d'investissement en recherche et développement (0,3 à 0,4% du PIB) est deux fois moindre que celui des États-Unis, de certains pays nordiques et des nouveaux champions asiatiques. » La décision 58 du rapport Attali veut promouvoir le Libre [[page]] Parmi les mesures proposées pour remédier à cet état de fait, la décision 58 implique de promouvoir les logiciels libres, dont l'intérêt est selon le rapport d'induire « une économie moyenne de 36% en recherche et développement pour les entreprises utilisatrices ». Le rapport préconise donc d'instaurer « un objectif de 20% des applications nouvellement développées ou installées au profit du secteur public en Open Source » d'ici « à l'horizon 2012 », de « considérer fiscalement, comme aux États-Unis, les aides aux communautés des logiciels libres comme du mécénat de compétence », et d'exiger, « à un niveau européen dans le cadre de la politique de la concurrence entre solutions logicielles, la fixation de normes internationales garantissant l'interopérabilité entre logiciels libres et les logiciels propriétaires, en priorité ». De son côté, l'Afdel estime que le Libre n'est pas une réponse au besoin d'innovation, « la valeur ajoutée du modèle Open Source résidant davantage dans une stratégie commerciale qui vise à faire tomber les barrières à l'entrée, en déplaçant le prix du produit vers le service ». L'Afdel, présidée par Patrick Bertrand, DG de l'éditeur de progiciels Cegid, préférerait des mesures d'aide aux PME du logiciel et non qu'elles soient ainsi écartées du secteur public : « Plutôt que de tabler sur le gisement de croissance (8% en moyenne en 2007) dont sont porteuses les 2500 entreprises françaises du logiciel qui emploient 60 000 personnes, la Commission Attali privilégie étonnamment une stratégie de coûts. » (...)
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