Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 16701 à 16710.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(10/01/2008 15:28:27)
Sondage flash : la stratégie des acteurs globaux ne séduit pas
Les lecteurs de notre site ne sont apparemment pas séduits par la stratégie des grands acteurs du monde informatique, qui cherchent à étendre leur offre au maximum. Notre dernier sondage flash posait la question « Pour vos contrats, vous préférez ? » et proposait trois options : « Un gros acteur pour l'assurance de tout trouver », « Privilégier les acteurs locaux et/ou indépendants », et « Panacher votre panier selon vos besoins ». Sur un total de 690 votes, la première proposition n'a recueilli que 100 suffrages, soit 14,5% de voix. Autant pour ce concept de 'One stop shopping'. Toutefois, la tentation patriotique de choisir un acteur local ou le choix d'un acteur indépendant ne comptent eux que pour 26,4% des votants. S'il n'emporte donc pas franchement l'adhésion, le gigantisme des IBM, Oracle ou Microsoft ne provoque pas non plus de rejet. Ce qui prévaut, c'est le pragmatisme : vous êtes 59,1% (408 voix) à panacher selon les besoins. Notre prochain sondage : votre principale bonne résolution pour 2008. Donnez votre avis sur la page d'accueil www.lemondeinformatique.fr. (...)
(10/01/2008 15:10:51)Network Solutions soulève la polémique sur l'enregistrement de nom de domaines
Si vous allez sur le site de Network Solutions et que vous effectuez une recherche sur un nom de domaine que vous envisagez d'enregistrer, vous serez surpris de constater que, s'il n'est pas déjà utilisé par une autre entreprise, il est la propriété de Network Solutions. De fait, Network Solutions a mis en place un processus qui permet d'enregistrer instantanément et automatiquement tout nom de domaine saisi par un utilisateur dans son moteur de recherche, pour peu que celui-ci n'existe pas déjà. Résultat, si l'utilisateur veut son nom de domaine, il doit l'acheter auprès de Network Solutions. Très controversée, cette pratique est critiquée par les observateurs de l'industrie qui estiment que, outre le fait qu'elle oblige les utilisateurs à devenir des clients de Network Solutions, elle peut également conduire à des arnaques. Les noms saisis pourraient en effet être récupérés par des personnes peu scrupuleuses à des fins d'enregistrement. Pour toute réponse, Champ Mitchell, PDG de Network Solutions a annoncé mercredi qu'une mention serait ajoutée au site afin que les utilisateurs soient au courant de l'enregistrement systématique du nom de domaine saisi. Il entend également proposer de ne pas enregistrer la recherche en option. Le PDG rappelle toutefois que le processus a justement été mis en place pour éviter les vols de noms de domaine, certains spécialistes du secteur n'hésitant pas à enregistrer des noms de domaine en masse pour ne garder finalement que ceux qui suscitent du trafic. D'autres iraient même jusqu'à « espionner » les moteurs de recherche spécialisés et enregistreraient les noms pour ensuite les revendre. Des pratiques de plus en plus courantes, selon Champ Mitchell, qui campe sur ses positions malgré la polémique soulevée par son service. Il renvoie surtout la balle dans le camp de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), estimant que si l'organisme faisait son travail en interdisant toutes ces pratiques frauduleuses, il ne serait pas obligé de protéger ses utilisateurs par ce processus d'enregistrement systématique. Et la solution, selon lui, tiendrait en une réduction du tarif d'enregistrement : porté à 0,25 $, le vol de nom de domaine ne représenterait plus une manne financière. Certes, mais à condition d'oublier tous les procès passés et probablement à venir, au cours desquels plaidants et attaquants se disputent un nom de domaine enregistré en milliers d'euros et même parfois plus. (...)
(10/01/2008 11:19:02)Microsoft livre Dynamics CRM 4.0, sur site et en ligne
Microsoft vient de lancer la version 4.0 de son logiciel de gestion de la relation client Dynamics CRM, sur laquelle il travaillait d'arrache-pied depuis plusieurs mois (un projet longtemps connu sous le nom de code de Titan). L'avancée la plus attendue du produit, c'est la capacité multi-instance du serveur applicatif, ce qui permet désormais à Microsoft de mutualiser son utilisation pour proposer le produit en mode SaaS (software as a service), c'est-à-dire en mode connecté, à l'instar de ce que fait un Salesforce.com, ou Oracle avec son offre CRM On Demand (ex-Siebel On Demand). Toutefois, en phase avec sa stratégie « software + services », Microsoft continue à donner aux entreprises le choix entre une installation classique du logiciel sur site et une exploitation en mode connecté. Il ne veut surtout pas opposer les deux modes de fonctionnement qu'il juge complémentaires, a rappelé Bertrand Launay, directeur de la division PME de Microsoft France, lors de la conférence de lancement à Paris. Aux Etats-Unis, l'éditeur jouera lui-même le rôle de l'hébergeur pour la version « Live » de l'offre, accessible sur le Web. En France, il s'appuie sur des partenaires comme Prodware, Infoclip et Plenium pour commercialiser le logiciel en ligne, à partir de 45 € par mois par utilisateur. Cibles : PME, grandes entreprises et centres d'appels Initialement, l'offre CRM de Microsoft a d'abord touché les PME. Cette fois, la version 4.0 vise aussi les grandes entreprises et les centres d'appels, deux cibles pouvant tirer parti des capacités de mutualisation du serveur. Aux clients choisissant l'installation sur site, l'éditeur ne propose pas moins de six types de licences : par utilisateur nommé, par poste de travail (pour les centres d'appels), par connecteur (pour les utilisateurs externes à l'entreprise), chacune de ces trois licences existant en usage plein ou en lecture seule (accès par un portail, notamment). Le logiciel s'utilise aussi depuis un terminal mobile. Depuis le début, l'intégration avec Outlook constitue l'un des points forts de Dynamics CRM. Elle facilite l'adoption du produit auprès de tous les utilisateurs qui connaissent déjà le client de messagerie et réduit les temps de formation. Il en va de même des liens avec MS Office, de nouveau renforcés. Dans la version 4.0 sur site, les fonctions de reporting sont assistées. L'utilisateur peut aussi constituer ses rapports sans assistance du service informatique. D'autres outils l'aident à personnaliser lui-même son interface. L'import/export des données dans le module de marketing se font plus facilement. La modélisation des relations entre différentes entités d'une entreprise, un assistant de workflow (dispensant du recours à Visual Studio) et des capacités supérieures de montée en charge (notamment sur la base de données) s'ajoutent à la liste des nouveautés d'un logiciel qui sera, à terme, disponible en 25 langues. La base installée de Dynamics CRM compte actuellement 300 clients en France et 11 000 dans le monde (correspondant à quelque 500 000 utilisateurs). Microsoft lui-même est en train de déployer le produit en interne. 6 000 de ses collaborateurs l'utilisent déjà, les autres devraient le faire d'ici 18 mois. (...)
(09/01/2008 17:46:02)Un photographe dénonce des failles dans les licences Creative Commons
Décidément la photographie ne réussit pas à Créative Commons. Un mois à peine avoir échappé à des poursuites judiciaires pour une photo postée sur Flickr en Creative Commons et réexploitée commercialement par Virgin Mobile Australie, le consortium est à nouveau mis en cause. Cette fois-ci, le photographe californien, Dan Heller, dénonce dans une série de trois articles sur son blog les failles importantes qu'il détecte dans Creative Commons. Il s'inquiète notamment de la possibilité de re-licencier des images sous copyright au format Creative Commons en les prenant sur le Web (sur un site de photographe par exemple) et en les réinstallant sur Flickr. Ce qui expose les utilisateurs suivants à des poursuites de la part de l'auteur de l'image, même s'ils sont de bonne foi. Selon lui, cette manipulation s'avère d'autant plus facile que Creative Commons ne définit en fait aucun cadre légal pour l'exploitation des images et qu'elle peut être révoquée par le propriétaire de l'oeuvre à tout moment, sans prévenir les utilisateurs des images, qui se retrouvent encore une fois exposés à des poursuites. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |