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(09/01/2008 16:52:59)
Nette hausse de l'emploi IT et R&D en décembre, selon Monster et Keljob.com
En décembre 2007, les index publiés par Monster et Keljob.com, deux spécialistes de la gestion de carrière en ligne, ont de nouveau été marqués par une forte hausse de l'activité de recrutement en ligne à destination des informaticiens. Selon l'index de l'emploi publié par Monster, le volume d'offres d'emploi en ligne était en très nette hausse fin 2007 dans le secteur recherche et développement. La filière est devenue le second secteur d'activité, en termes d'offres publiées sur Internet. Dans cette catégorie, l'indice gagne 59 points et atteint 187. L'informatique arrive loin derrière, avec un indice à 120, en léger repli par rapport au mois précédent, mais qui reste néanmoins stable depuis un an. Si l'activité de recrutement en ligne des professions intellectuelles et scientifiques est restée stable depuis les mois de novembre et d'octobre 2007, elle était en très nette hausse en décembre 2007, avec 22 points de mieux qu'en décembre 2006. Le baromètre de l'emploi publié par Keljob.com en décembre 2007 place pour sa part, l'informatique en tête des secteurs qui recrutent. Concentrant 17,7% des offres publiées en ligne, soit 70 373 offres à pourvoir sur le Net, l'informatique et les télécoms occupent toujours la première marche du podium, très loin devant la R&D, qui ne représente que 2,2% des postes à pourvoir. (...)
(09/01/2008 16:43:47)Le BSA fait payer six sociétés américaines indélicates
Près de 700 000 $. C'est la somme que le BSA (Business Software Alliance) a obtenu de six sociétés américaines utilisatrices de logiciels sans licence. Les six sociétés concernées ont dû effacer toutes les copies illicites se trouvant dans leur entreprise. Les logiciels étaient des copies d'outils Microsoft, Autodesk, Adobe et Symantec, trouvées grâce à des audits menés en interne. Ces infractions ne résulteraient pas de volontés délibérées de nuire, mais d'une politique d'installation logicielle mal appliquée. Ainsi, Andrew Wilkinson, porte-parole d'IBG Software, l'une des sociétés incriminée explique : « Cela a été malencontreusement causé par des installations manuelles et des procédures administratives que nous avons depuis revues en automatisant la gestion de nos logiciels et en effectuant des vérifications trimestrielles. » (...)
(09/01/2008 16:07:38)Des licenciements IT supérieurs à la moyenne nationale
En 2006, 9 725 licenciements ont été recensés dans le secteur des services informatiques, soit près de 3% des effectifs de la branche. Pire, en 2005, 10 523 informaticiens ont été remerciés, soit 3,3% des effectifs de la filière informatique. Ces données - qui sont un peu plus élevées dans le secteur IT par rapport à la moyenne nationale - ont été collectées par le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens), auprès des Assedic. S'interrogant sur le contexte actuel de « bonne conjoncture marquée par des difficultés de recrutement », l'association professionnelle relève le nombre important de licenciements pour motifs personnels, souvent abusifs (7095, un chiffre trois fois plus élevé que les licenciements économiques), précisant que, malgré leur importance, ces chiffres ne sont que des minima. Régis Granarolo, président du Munci, insiste sur le fait que ces données « ne sont basées que sur les entrées en indemnisation chômage, et ne prennent donc pas en compte la plupart des départs négociés qui sont souvent des licenciements déguisés, ni un certain nombre de transactions, qui ne donnent pas lieu à l'indemnisation chômage ». Il précise que ces chiffres ne tiennent également pas compte des salariés licenciés qui ont retrouvé un poste avant d'être entrés en indemnisation chômage du fait des périodes de carence (qui s'élèvent généralement à plusieurs mois). Pour le fondateur de l'association, ces chiffres montrent que l'instabilité de l'emploi, voire la précarité, est une réalité dans la filière informatique, même quand la conjoncture est très favorable. (...)
(09/01/2008 16:00:34)Virtualisation : Les DSI américains bien au fait des difficultés à surmonter
Le passage à la virtualisation ne sera pas de tout repos. S'ils ont bien compris l'intérêt de cette technologie, les quelque 300 directeurs informatiques interrogés par notre confrère américain CIO sont aussi bien au fait des obstacles qu'ils vont devoir surmonter. Tout est à découvrir. En particulier les bonnes métriques : combien de VM et quelles applications peut supporter un serveur donné sans qu'il ne s'effondre ? Là est la seule question technique qui importe. Et la plus difficile. Il est intéressant de noter que la vague de la virtualisation commence à déborder des datacenters pour déferler sur les postes de travail. Si 87% des répondants ont implanté la virtualisation dans leurs centres serveurs, 34% ont entamé celle des postes clients. Si ce sont les économies qui poussent en premier lieu au virtuel (81%), l'optimisation des PRA (Plan de reprise d'activités) et des sauvegardes arrive juste derrière (63%). Quant aux difficultés à surmonter, elles sont presque autant d'ordre politique (42%) que technique (58%). La virtualisation implique en effet une redéfinition des responsabilités et, surtout, oblige à resserrer les liens entre différents services qui vont devoir revoir leur collaboration. Les hommes ne sont pas naturellement enclins au changement. (...)
(09/01/2008 15:53:53)Forrester souligne l'avancement du Green IT dans les entreprises
Si, dans la pratique, les déploiements de politiques « vertes » peinent à se frayer un chemin, les entreprises mondiales commencent toutefois à prendre en compte les critères environnementaux dans leurs évaluations et leurs sélections de produits IT. Ce constat, plutôt optimiste, relevé par le Forrester dans son baromètre trimestriel « Green progress in entreprise IT » montre que le taux d'adoption ou d'acceptation de problématiques écolo serait en nette hausse dans le IT : 38%, contre 25% en avril 2007, des entreprises sondées ont ainsi intégré dans leur processus de sélection le caractère « vert » du produit. Plus globalement, souligne Forrester, le concept de green IT a gagné en popularité dans les processus des entreprises. En octobre, date de l'étude, seules 6% n'en tenaient pas compte, contre 13% en avril. 59% estiment cela important ; 35% très important. Une progression que l'on doit toutefois pondérer. Si Forrester met en avant dans son étude l'évolution du principe de l'informatique verte dans les entreprises, le cabinet souligne également l'absence d'intégration du concept pour la majorité des sondés. Bon point pour les intentions et la prise de conscience ; peu faire beaucoup mieux dans l'opérationnel, semble dire Forrester. Sur la totalité des entreprises ayant participé à l'étude (130), seulement 15% ont de véritables projets de déploiements. 25% sont en cours de création. 39% ne font que considérer de loin un projet et 22% n'ont rien de prévu. Des chiffres que Forrester qualifie toutefois de « prometteurs » notamment par la part grandissante des projets latents. Réduire les coûts et sauvegarder l'environnement Sans surprise, la réduction des coûts induits par le Green IT reste la motivation première (pour 55% des sondées) dans la mise en place de projets (comme la diminution de la facture d'électricité). Plus étonnant, c'est une préoccupation purement écolo qui arrive en deuxième place du classement. Pour 50% des entreprises interrogées, l'intérêt premier de mettre en place une politique verte serait ... « parce que c'est bon pour l'environnement ». Ce qui fait dire à Forrester que les raisons financières et environnementales fonctionnent de pair et ce duo devrait ainsi populariser le Green IT. Viennent ensuite la baisse des dépenses opérationnelles (31%), l'amélioration de l'image de l'entreprise (29%), l'alignement sur une politique corporate (28%), la mise en conformité avec la loi (20% - un pourcentage qui devrait gonfler en Europe dans les mois à venir) et enfin, l'amélioration de l'infrastructure (19%). Le cabinet d'analystes insiste enfin sur le fait que l'éducation environnementale des consommateurs et des acheteurs professionnels modifie les problématiques des constructeurs, qui voient dans leur recommandations de plus en plus de clauses liées au Green IT. Surtout en Europe. (...)
(09/01/2008 15:20:17)Apple dope ses Xserve
Les Serveurs Xserve d'Apple bénéficient enfin d'une remise à niveau technologique. Les modèles précédents étaient tellement obsolètes qu'Apple peut annoncer un doublement des performances avec un serveur bi-Xeon 5400 quadricoeurs à 3 GHz (version Penryn à 45nm). Au format 1U, ce serveur dispose d'un bus frontal à 1600 MHz et jusqu'à 32 Go de mémoire à 800 MHz. Deux slots PCI Express 2.0 permettent d'installer une carte FC 4 Go multicanal et une carte Ethernet 10 Gbits. Le prix d'entrée du XServe s'établit à 2900 € avec un processeur à 2,8 GHz, 2 Go de mémoire et un disque SATA de 80 Go. Cette remise à niveau des Xserve redonne des chances à Leopard Server (MacOS Server 10.5), un Unix FreeBSD qui bénéficie du savoir-faire d'Apple en matière d'interface. Apple annonce aussi un Mac Pro qui reprend les mêmes caractéristiques que le Xserve mais dans un boîtier tour. Il est commercialisé à 2900€ avec deux processeurs à 2,8 GHz, 2Go de mémoire, un disque de 320Go et une carte ATI Radeon HD 2600 XT/256Mo. (...)
(09/01/2008 14:31:56)Facebook, Google et Plaxo optent pour l'interopérabilité
Google, Facebook et Plaxo ont annoncé rejoindre le Dataportability Group (groupe de travail sur la mobilité de données). Selon TechCrunch, Chris Saad, responsable du groupe mais aussi PDG de FaradayMedia, développeur d'outils d'analyses comportementales des internautes, a reçu les réponses officielles de Joseph Smarr (Plaxo), Brad Fitzpatrick (Google) et de Benjamin Ling (Facebook). L'effort vers plus d'interopérabilité est particulièrement louable chez Facebook, les deux autres candidats ayant déjà fait un pas dans ce sens avec OpenSocial (une initiative de Google). « Nous nous dirigeons immanquablement vers une standardisation de l'offre, car il s'agit d'un véritable besoin chez les internautes », explique Mary Beth Kemp, analyste senior chez le cabinet d'études Forrester. Créé en novembre dernier, le Dataportability Group se propose de définir un standard de description des données personnelles pour faciliter leur propagation dans les réseaux sociaux. Cette initiative a pour but de créer des passerelles entre des systèmes aujourd'hui encore beaucoup trop étanches, et faciliter ainsi la vie des internautes. Le groupe compte déjà parmi ses membres Yahoo, MySpace, Seesmic, Disney, BBC, NineMSN ou encore Dow Jones/Fox. (...)
(09/01/2008 10:44:38)La formation des ingénieurs IT appauvrie par Java
Java nuirait-il gravement à la formation des ingénieurs IT ? C'est en tout cas le point de vue de Crosstalk, une publication américaine qui milite pour la défense de l'ingénierie logicielle. Le magazine considère en effet que les programmes de formation informatiques et scientifiques négligent les connaissances de base, surtout en programmation et en méthodes formalisées. Crosstalk déplore la baisse de niveau des enseignements en mathématiques, et estime que l'enseignement de différents langages de programmation a été remplacé par une sorte de « cuisine » basée sur l'utilisation de vastes bibliothèques de codes et de packages spécifiques. Du coup, les compétences en programmation seraient devenues insuffisantes pour répondre aux besoins actuels de l'industrie du logiciel, surtout dans les domaines de la sécurité et des plans de secours. Ces tendances avaient déjà été relevées en 2005 par l'ACM (Association for Computer Machine, association pour l'ingénierie informatique), qui avait noté à cette époque une absence totale des mathématiques dans les UV (unités de valeur) proposées dans le cadre de certains programmes d'études IT, et seulement un cours théorique en programmation. Robert B.K. Dewar, et Edmond Schoenberg, auteurs du billet publié par Crosstalk, professeurs à l'Université de New-York depuis plusieurs décennies et également dirigeants d'Adacore, un éditeur de solutions Open Source, mettent cette baisse du niveau des enseignements sur le compte de Java : ils regrettent que ce langage soit devenu le premier langage de programmation enseigné dans la plupart des institutions scientifiques. « Le fait d'avoir fait de Java le premier des langages dispensés dans les programmes d'apprentissage a eu pour effet de faire baisser le niveau des étudiants ingénieurs, déplorent-ils. En tant que fondateurs d'une entreprise spécialisée dans la programmation Ada pour le développement d'applications critiques, nous rencontrons actuellement des difficultés pour recruter des spécialistes ayant des compétences de programmation de base. Nous ne pouvons que recommander aux établissement de l'enseignement supérieur de délivrer des programmes de formation plus rigoureux, basés sur l'enseignement de méthodes formalisées et de différents langages de programmation. » (...)
(09/01/2008 09:41:59)Les outils du Web 2.0 utilisés par un cinquième des entreprises
Wikis, réseaux sociaux ou blogs, les instruments du Web 2.0 sont utilisés dans près d'un cinquième (24%) des entreprises américaines et 8% comptent les mettre en place cette année, rapporte une étude conduite par ChangeWave. L'institut, qui annonce l'explosion du recours à ce type d'outils, note que 39% des entreprises ayant participé à son enquête désirent les utiliser. Et parmi celles qui le font déjà, plus du tiers (35%) prévoient une hausse du budget afférent dans les trois prochains mois. Seules deux entreprises sur cent tablent sur un budget en régression. Les investissements porteront en premier lieu sur les wikis (36%), les blogs (15%), les réseaux sociaux (13%), les mashups (5%), les flux RSS (5%) et les outils collaboratifs (3%). Les avantages tirés ou attendus de ces outils différent selon qu'on les utilise déjà ou qu'on prévoit de le faire. Chez les utilisateurs actuels, c'est avant tout l'amélioration de la communication interne et du travail collaboratif qui est mis en valeur. Les futurs utilisateurs attendent plutôt des outils du Web 2.0 qu'ils leurs permettent d'assurer un meilleur service client, de mieux mettre en valeur leurs marques et d'accroître leurs ventes. (...)
(09/01/2008 09:38:52)L'offre de BAM de Systar se distingue par sa maturité, selon Yphise
La solution BusinessBridge BusinessVision, de Systar, sort une nouvelle fois en tête d'une étude d'Yphise portant sur quatre solutions de BAM (business activity monitoring). C'est sans surprise la maturité de l'offre de cet acteur spécialisé dans la supervision des activités métiers qui la distingue des autres produits analysés par Yphise, à savoir, BusinessFactor, de Tibco, webMethods Optimize, de Software AG, et Websphere Business Monitor, d'IBM. Rappelons que les produits de BAM sont utilisés par les entreprises pour superviser le déroulement de leurs activités métiers et fournir aux utilisateurs des informations en temps réel sur les dysfonctionnements et les opportunités qui auront été identifiés par les dits outils. Ces solutions ont vocation, de cette façon, à contribuer à augmenter la productivité des entreprises et à réduire les coûts des dysfonctionnements. Modélisation complexe et analyse prédictive des risques Yphise note des différences significatives entre les quatre offres qu'il a examinées sur plus de 220 critères techniques et fonctionnels. A l'issue de son analyse, c'est le produit de Systar qui, selon le cabinet, répond « le mieux aux bénéfices attendus par les grandes entreprises ». Cette solution se distingue par sa facilité de mise en oeuvre, simplifiée par l'existence de modèles prédifinis, de solutions verticales prêtes à l'emploi et d'assistants. Elle se démarque aussi par ses possibilités de modélisation complexe et de prise en compte des activités métiers non standard, ce qui lui permet de s'adapter à chaque secteur d'activité et aux besoins de chaque entreprise. Yphise souligne également sa capacité à anticiper les événements et opportunités, ce qui procure une analyse prédictive des risques efficace. Enfin, l'offre de Systar convient à la supervision d'activités reposant sur des systèmes d'information hétérogènes, le produit ayant été conçu pour rester indépendant des plateformes d'exécution et d'intégration. Le cabinet note par ailleurs la robustesse de BusinessFactor, de Tibco, la facilité d'utilisation de webMethodes Optimize, de Software AG, et l'intérêt de la solution d'IBM qui répond aux principales exigences de la supervision d'activité métiers (et dont les quelques faiblesses sont compensées par les autres produits de la gamme Websphere). (...)
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