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(08/11/2011 10:28:30)

Un module pour datacenter à courant continu

Le groupe électrotechnique zurichois ABB, spécialiste de l'énergie et de l'automatisation, et la société américaine IO, spécialisée dans les services de centre de calcul modulaires, s'allie pour mettre au point un module pour datacenter à courant continu. Les deux entreprises entendent ainsi répondre à une demande croissante de centres de calcul alimentés en courant continu. Le premier module à courant continu sera disponible d'ici fin 2011.

Plusieurs constats: Premièrement, la croissance rapide du stockage de données a entraîné une explosion de la capacité mondiale des datacenters, qui consomment de grandes quantités de courant. Deuxièmement, opter pour une technologie à courant continu pour la distribution électrique dans les centres de données permet de consommer de 10 % à 20 % d'énergie en moins que la technologie traditionnelle à courant alternatif. Troisièmement, les systèmes à courant continu sont moins complexes et moins volumineux ce qui implique que leurs coûts d'équipement, d'installation et d'entretien sont moindres.

Avec module, IO élargit sa gamme de produits modulaires à laquelle s'ajoute l'option à courant continu d'ABB. «Le centre de calcul a toujours été alimenté en courant continu; chaque dispositif du centre de données utilise le courant continu », précise George D. Slessman, CEO d'IO. «En misant sur le contrôle intelligent de l'environnement d'IO OS et du centre de données modulaire d'IO, nous pouvons désormais fournir tout le centre de calcul en courant continu tout en offrant une option de courant alternatif au moment et à l'endroit où elle est nécessaire.»

ICTJournal.ch

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(08/11/2011 10:22:31)

Une perception aléatoire de la sécurité IT par les cadres dirigeants

Les récentes technologies et pratiques sont mises en vedette dans la dernière livraison de l'étude mondiale de Ernst & Young sur la perception de la sécurité des SI par les dirigeants d'entreprises. Et cela dans un contexte des plus hostiles : 72% des répondants de l'enquête considèrent que les risques externes s'accroissent.

Mais l'insécurité n'est pas un frein à l'adoption de technologies et de pratiques. Ainsi, 80% des répondants pensent implanter des tablettes (14% l'ont déjà fait officiellement avec le support de la DSI) dans leurs organisations alors même qu'ils reconnaissent un niveau de sécurité très perfectible pour ces terminaux. D'une manière générale, seulement 47% des organisations semblent recourir à des techniques de cryptage des données sur des terminaux mobiles (portables, tablettes, smartphones...) alors même que les vols de ces objets sont très nombreux.

De la même façon, la priorité des prochains douze mois sera la sécurité dans le cloud alors même que l'adoption de l'informatique dans les nuages ne cesse de progresser. 61% des répondants déclarent ainsi utiliser ou compter utiliser le cloud dans l'année à venir. Mais plus de la moitié n'ont fait aucune analyse des risques induits par une migration dans le cloud. Et la seule réponse à cette insécurité latente est un contrôle des clauses contractuelles pour 20% des répondants. C'est certain qu'un contrat a toujours arrêté un cybercriminel. Dans 88% des cas, une accréditation par un tiers sera un plus pour accorder sa confiance, dans 45% seulement si cette accréditation se fait selon des standards reconnus.

Les réseaux sociaux inquiètent

L'une des craintes majeures des entreprises reste la pénétration des défenses par l'ingénierie sociale. Or les médias sociaux et notamment les réseaux sociaux sont analysés comme des outils facilitant ce genre d'attaque. La réponse des entreprises est donc d'en couper l'accès durant les heures de travail (53% des répondants), les collaborateurs étant donc réputés oublier toutes les informations professionnelles et ne plus se connecter aux réseaux sociaux dès qu'ils sont hors des locaux de l'entreprise.

Si 59% des répondants pensent accroître le budget de la sécurité, surtout pour perfectionner le PCA/PRA du reste, l'argent ne fait pas tout. Ainsi, seulement 51% admettent disposer d'une stratégie formalisée de sécurité.

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(08/11/2011 10:08:57)

Oodrive structure ses divisions produits en fonction de la taille des entreprises

S'en est fini des divisions « Produits de sauvegarde » et « produits de partage » qui constituaient le socle de l'organisation d'Oodrive. L'éditeur de solutions de sauvegarde, de partage de fichiers et de dématérialisation des appels d'offres en mode SaaS vient en effet de leur substituer deux nouvelles divisions, l'une dédiée aux TPE et aux petites entreprises (TPE-PE, jusqu'à 100 personnes), l'autre aux moyens et grands comptes (MGE). Objectif : diffuser l'ensemble de son offre auprès de toutes ses cibles de clients et prospects et non plus seulement vers une partie. Car, comme l'explique Anne-Sophie Clémo, la directrice marketing du groupe Oodrive, « notre ancienne approche ne répondait pas forcement aux besoins de nos clients. Dans les faits, la division produits de sauvegarde avait fini par vendre principalement aux grands comptes tandis que la division produits de partage ciblait surtout les PME. »

En dépit de cette réorganisation, tout ne va pas foncièrement changer chez l'éditeur. Les clients MGE continuent d'être ciblés par ses propres forces de ventes tandis que les TPE-PE restent confiées à ses 1000 revendeurs. Sur les 24 commerciaux dont dispose Oodrive, 11 sont affectés à la division TPE-PE en soutien du réseau de distribution. « En 2011, l'effectif global de nos commerciaux a progressé de 20%, que ce soit dans nos équipes de vente directe ou indirecte », précise Anne-Sophie Clémo. Plus globalement, c'est aussi l'ensemble de l'effectif de la société en France qui a progressé cette année pour passer à 120 personnes cette année contre à 90 en 2010. De cette façon, Oodrive soutient sa croissance. Après avoir atteint 13 M€ en 2010, son chiffre d'affaires devrait, en effet, encore connaître une progression à deux chiffres cette année.

Déménager pour suivre la hausse des effectifs

Tout ce beau monde, dans lequel on trouve les 20 salariés de la société Omnikles rachetée en juin dernier, prend de la place. Au point que l'entreprise a dû emménager dans de nouveaux locaux plus spacieux en septembre dernier. Désormais sis dans le 10ème arrondissement de Paris, le nouveau siège d'Oodrive lui permet de disposer de 1600 mètres carrés d'espace de travail. Il en réserve une partie à la création d'une pépinière d'entreprise dans laquelle il souhaite accueillir des entreprises innovantes. Une façon pour l'éditeur de rester proche de l'esprit de start-up qui l'anime depuis sa création il y a dix ans.

A mesure qu'elle grandit, l'entreprise ressemble en effet de moins en moins à une jeune pousse. Au-delà de la croissance de ses effectifs et de son chiffre d'affaires, l'éditeur s'est également développé à l'international. Il s'est installé en Asie, en Belgique ainsi qu'en en Espagne et cible l'Allemagne depuis son siège parisien. Et sa volonté de réaliser des opérations de croissance externe dans le monde du SaaS reste entière. D'autant qu'Oodrive dispose depuis le mois de mai dernier du soutien du fond d'investissement Time qui a investi 7 M€ dans son capital et lui a déjà permis d'acquérir Omnikles pour 4 M€.

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(08/11/2011 10:03:34)

Impression : Kyocera Mita mise sur les applicatifs pour ses MFP

« Ceux qui ne sauront pas revendre de l'applicatif autour des systèmes d'impressions ne survivront pas ». Excessif ou non, cet avis formulé par un revendeur lors du forum de l'impression de la FEB témoigne d'une des évolutions qui se joue actuellement chez les fabricants de copieurs et de MFP : développer une offre applicative permettant de proposer plus de fonctions à partir des matériels pour continuer de maintenir leur valeur. Cette stratégie est notamment suivie par le fabricant japonais Kyocera Mita qui vient de lancer en France le programme de partenariat Développeur HyPAS. Déjà mise en oeuvre aux Etats-Unis et en Allemagne depuis cette été, cette initiative consiste à faire appel à des éditeurs métier ou des revendeurs compétents en développement pour « faciliter l'intégration des multifonctions dans les applications métiers et les processus d'entreprises », explique Gérard Decarville, le directeur marketing de Kyocera Mita France.

Une stratégie axée sur l'ensemble des MFP de Kyocera

« On peut par exemple imaginer une application qui permette de scanner une facture et de l'indexer à partir du MFP depuis lequel elle est ensuite directement envoyée et archivée dans le système de gestion de l'entreprise, poursuit Benjamin Claus, le responsable du développement de l'activité Solutions & Services chez Kyocera Mita France. Pour permettre aux futurs adhérents de son programme de développer leurs propres applications, le constructeur met à leur disposition la plate-forme HyPAS qui offre la double intégration des SDK Java et des services web. Les solutions logicielles créées à partir de cet environnement sont exploitables sur les copieurs A3 de la gamme Kyocera TASKalfa ainsi que sur certains des copieurs A4 du constructeur. A terme, l'ensemble des nouveaux produits livrés par le fabricant les supporteront. Pour avoir accès à HyPAS, les partenaires de la marque devront bien sûr montrer leurs compétences en développement et s'acquitter d'une adhésion de moins de 1000 € par an. Ils devront également suivre, une seule fois, une formation de deux jours également facturée moins de 1000 euros.

« Sur les 180 revendeurs avec qui nous travaillons, nous en avons déjà identifiés une dizaine qui dispose des compétences requises, indique Gérard de Carville. Etonnement, c'est chez les bureauticiens, qui constituent 75% de notre réseau de distribution, que nous avons trouvé le plus de potentiel. » Mais le constructeur espère également faire adhérer à HyPAS des VARS et des SSII auprès desquels il commence à développer ses ventes de MFP. Pour Gérard de Carville, il est toutefois encore trop tôt pour parler d'objectif de recrutement, que ce soit dans les rangs des revendeurs ou ceux des éditeurs métiers. Néanmoins, celui-ci peut assurer que les applications qui seront créées feront l'objet d'une promotion de la part du constructeur, via son site web et auprès du reste de son réseau de distribution. (...)

(08/11/2011 09:46:23)

Tech Data va présenter en France TDCloud

Annoncé le 19 mai dernier aux Etats-Unis, TDCloud a été présenté en Europe début octobre lors du EVPS (European vendor partner summit) qu'organise Tech Data Europe chaque année. Chacune des 16 filiales européennes du grossiste va s'organiser pour présenter cette offre, avant la fin de l'exercice fiscal annuel, fin janvier pour Tech Data. La France, avec l'Allemagne, l'Angleterre et la Suède fait partie des quatre pays qui seront en pointe en Europe. Tech Data Azlan va présenter cette nouvelle offre en France, le 22 novembre prochain, lors de Partner VIP.

TDCloud comprend trois volets : cloud builder, cloud reseller, et cloud provider. Cloud builder est destiné aux VARs qui souhaitent bâtir des cloud privés pour leurs clients dans les domaines clés d'Azlan : stockage, réseaux, sécurité, serveurs.  Cloud reseller fonctionne sur la base des cloud publics existants et donne la possibilité aux VARs de travailler, sans investir dans des infrastructures, en marque blanche. Enfin, cloud provider aide les revendeurs à monter une plate-forme d'hébergement, à partir de la plate-forme StreamOne de Tech Data.

Tech Data Azlan dégage des moyens

Voilà pour l'offre proprement dite, « mais, insiste Omid Ahmadi, directeur général d'Azlan, en France, Tech Data Azlan dégage des moyens pour cette opération que ce soit en termes de formations ou d'accompagnement». Un portail en français va être disponible, comprenant des webinars, des Livre Blancs, des séminaires. La partie formation fait l'objet d'un développement spécifique sous le nom de Tech Data Academy. Le VAD va également accompagner et activer ses partenaires (6 000 en France) sur le cloud. Un BDM (business development manager) est déjà dédié au marketing :  génération de leads et  suivi de solutions. Une solution Center dans sa version1 est par ailleurs déjà en place au siège de Bussy-St-Georges, pour accompagner les revendeurs dans l'élaboration de solutions.

Tech Data Azlan mise beaucoup sur l'aspect concret du cloud. « Il y a un temps pour les slides, mais maintenant c'est le temps des réalisations, souligne Omid Ahmadi,  il faut montrer ce qu'est le cloud, à travers les réalisations de nos revendeurs ».  Lors de Partner  VIP, Tech Data Azlan va justement organiser  une table ronde avec IBM, Microsoft et deux revendeurs qui présenteront leurs réalisations. « Le cloud, tout le monde peut dire j'y suis ou j'y vais, nous, nous mettons des moyens et nous pouvons montrer des réalisations, conclut Omid Ahmadi. C'est le concret qui doit l'emporter.

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(07/11/2011 17:12:08)

Six bonnes raisons d'essayer Fedora 16

Parmi les différentes distributions Linux, Fedora, la version communautaire de Red Hat Enterprise Linux, figure parmi les plus populaires, rappellent nos confrères de pcworld.com dans un de leurs blogs. Dans le classement du site spécialisé DistroWatch, qui propose un Top 100 des distributions (classées en fonction des clics enregistrés quotidiennement par chacune), Fedora figure à la troisième place sur les six derniers mois. Elle arrive derrière Mint et Ubuntu, devant Debian et openSUSE.

Il y a quelques jours, le projet auquel s'adosse cette distribution a annoncé que Fedora 16, également connue sous le nom de « Verne », avait officiellement été déclarée « Gold » et qu'elle serait livrée le mardi 8 novembre. PCworld USA note que ses fonctionnalités la rendent intéressante pour une utilisation en entreprise. Il distingue six bonnes raisons de la tester.

1 - Un choix de bureaux
Le projet Fedora a renoncé à mettre en oeuvre l'interface Unity d'Ubuntu, controversée. En revanche, on trouve dans Fedora 16, à la fois Gnome 3.2 et KDE Plasma Workspace 4.7 -qui comprend les espaces de travail Desktop et Netbook, les applications et la plateforme KDE. Il est vrai que Gnome 3 a lui aussi été controversé, mais il ne s'agit là que d'une option. Ses utilisateurs y trouveront un nouvel outil qui leur permet de passer de façon transparente d'une organisation de clavier à l'autre.

2 - Plus rapide et plus puissant
Suite à la mise en place, dans Fedora 15, du programme de gestion de services Systemd, l'équipe projet a amélioré l'intégration de ce dernier via des services Systemd natifs dans de nombreux composants logiciels. Cela se traduit par des temps de démarrage plus rapide et par des capacités d'administration plus puissantes.

3 - Sécurité renforcée
Fedora est peut-être l'une des distributions Linux les plus sécurisées grâce à l'insertion de Security-Enhanced Linux (SELinux) qui met en oeuvre divers dispositifs parmi lesquels des contrôles d'accès obligatoires. Des fonctions renforcées dans la version 16, avec les améliorations apportées à SELinux.

4 - Capacités cloud supplémentaires
Fedora 16 intègre HekaFS, une version prête pour le cloud de GlusterFS, ainsi qu'OpenStack et Pacemaker-cloud. On y trouve aussi Condor Cloud, une mise en oeuvre IaaS utilisant Condor et l'API Deltacloud, ainsi qu'Aeolus Conductor, une interface web et des outils pour créer et gérer des instances de cloud dans ces environnements.

5 - Un meilleur support de la virtualisation
La mise à jour de Fedora inclut un support étendu des réseaux virtuels et une mise à jour de Spice, conçue pour gérer des machines virtuelles, ainsi que le support de Xen et une meilleure capacité à scruter les systèmes de fichiers invités.

6 - Outils de développement
Pour les développeurs, Fedora 16 comprend des outils pour les environnements Ada et Perl, de même qu'un nouveau plug-in Python pour GCC et des API supplémentaires ou améliorées.

Un ensemble de fonctionnalités qui vient se placer au-dessus de Linux, et peut se compléter de logiciels tels que LibreOffice, Firefox et GIMP. Toujours intéressant à tester.

Crédit illustration : D.R.

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(07/11/2011 16:32:36)

Les Anonymous bloquent des sites militaires israéliens

Dimanche dernier, plusieurs sites web militaires israéliens étaient indisponibles. Le gouvernement, qui a attribué la cause de la panne à un problème de serveurs,  a indiqué que  les sites affectés étaient de nouveau opérationnels depuis aujourd'hui. Les sites qui sont tombés - à savoir ceux de l'armée israélienne, du service de renseignements (Mossad) et du service de la sécurité intérieure (Shin Beth) - ont fait craindre une attaque du groupe de hackers Anonymous.  Vendredi dernier, le collectif avait bel et bien menacé d'attaquer Israël pour protester contre l'arraisonnement de deux bateaux tentant de briser le blocus de Gaza. Toutefois, Anonymous n'a  pas revendiqué les attaques.

Dysfonctionnement attribué à un composant de stockage

Le gouvernement israélien a quant à lui indiqué à plusieurs reprises que ses sites web n'avaient pas été piratés.
«Les portails du gouvernement israélien qui étaient en panne  hier, ont été remis en service aujourd'hui », a assuré Ofir Gendelman, porte-parole du Premier ministre Benjamin Netanyahu, dans un message posté sur Twitter. « Ce n'était pas une cyber-attaque, mais un dysfonctionnement de serveurs ». Il a précisé, dans un email, que la panne provenait des serveurs « Tehila » utilisés par le ministère des Finances.

Si Ofir Gendelman n'a pas fourni de détails sur la nature exacte du problème, certains journaux israéliens parlent d'un dysfonctionnement dans un composant de stockage. Le porte-parole a ajouté que les sites du bureau du Premier ministre et du ministère des Affaires étrangères n'avaient pas été crashés, preuve que ce n'était pas une cyber-attaque.

Crédit illustration : D.R. (...)

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