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(25/09/2007 18:30:04)

Bercy salue la performance des e-services publics français

À l'occasion de la 4e conférence ministérielle sur l'e-gouvernement , Éric Woerth, ministre du Budget, des comptes publics et de la Fonction publique, s'est félicité des performances de la France en matière d'administration électronique. Le 7e rapport annuel sur les services publics en ligne en Europe, publié aujourd'hui par la Commission européenne, fait en effet état de résultats très positifs pour l'Hexagone en la matière. Réalisée à partir de l'analyse de plus de 14 000 sites publics dans 31 pays européens, cette étude montre qu'au niveau national, le niveau de développement des services publics en ligne, de même que le degré d'interactivité avec l'usager, est l'un des meilleurs d'Europe : avec 87 % (+2 points par rapport à l'an dernier), il se situe 12 points au-dessus de la moyenne européenne. 70 % des services adminstratifs peuvent être effectués intégralement à distance, ce qui place la France 12 points au dessus de la moyenne des pays étudiés. Près d'un Français sur deux, et les trois quarts des internautes, ont utilisé les services publics en ligne en 2007. Près de 80 % des utilisateurs sont satisfaits de la qualité de l'information et de la facilité avec laquelle on peut effectuer les démarches. 78 % apprécient l'étendue des services disponibles et le bon fonctionnement des sites. La France semble également avoir gagné le pari de la fidélisation des usagers : 85 % d'entre eux prévoient de réutiliser Internet pour effectuer leurs démarches administratives. (...)

(25/09/2007 18:19:03)

Premiers pas avec Symphony : les testeurs restent sur leur faim

Lotus Symphony essuie les critiques de ses premiers utilisateurs. Certes, ceux-ci saluent l'interface, impeccable, de la suite bureautique d'IBM basée sur la solution en Open Source OpenOffice. En revanche, ils pointent du doigt des problèmes de performances et de mise en place fonctionnelle, selon l'enquête menée par nos confrères de Computerworld. Symphony se lancerait et fonctionnerait avec lenteur, en réclamant plus de place en mémoire et sur le disque dur qu'OpenOffice. Elle offrirait en outre moins de fonctionnalités que son modèle ou que sa soeur, StarOffice, vendue 70 $ par Sun. Le blogueur Udo Schroeter, par exemple, estime qu'à telle enseigne, une nouvelle interface ne suffit pas pour passer d'OpenOffice à Symphony. Un autre testeur ajoute ne pas y voir non plus un « Office killer ». Rien de surprenant selon John McCreesh, responsable marketing du projet OpenOffice.org. Pour lui, les imperfections de Symphony doivent être imputées à l'utilisation d'un code source OpenOffice obsolète. Et sur son blog, il s'interroge sur les raisons qui ont amené « une entreprise de la stature d'IBM à essayer de faire passer pour nouveau un produit à la date de péremption dépassée ». Basée sur OpenOffice 1.1.4 La dernière version d'OpenOffice (2.3) a été livrée la semaine dernière et OpenOffice.org prévoit de fournir la 3.0 au printemps ou à l'été prochains, selon les indications fournies par Louis Suarez-Potts, responsable de la communauté OpenOffice.org, à l'occasion de la conférence annuelle des développeurs qui s'est tenue la semaine dernière à Barcelone. StarOffice, de Sun, est basé sur le code de l'actuelle version 2.x, initialement livrée il y a deux ans. La suite Symphony, elle, s'appuie sur OpenOffice 1.1.4, livrée en décembre 2004. « Le code a été considérablement réécrit depuis lors », se défend Don Harbison, directeur de l'initiative ODF pour IBM. « Symphony est en version bêta. Le travail n'est pas achevé, » reconnaît-il en soulignant néanmoins les travers d'une comparaison point à point avec d'autres suites. « Symphony est puissante, simple et elle se focalise sur l'essentiel. Elle procure les outils dont toute entreprise a besoin sans semer de confusion avec des fonctions qui ne sont pas demandées. En d'autres termes, rien de plus, rien de moins que ce qui est nécessaire. » (...)

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