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(29/05/2007 17:39:07)
Le projet Blackbox de Sun prêt à prendre la route
Un an et demi après l'avoir annoncé, Sun Microsystems dévoile enfin officiellement son projet Blackbox. Son but : faire tenir l'ensemble d'une salle de serveurs - serveurs mais aussi baies de stockages et infrastructure réseau dans un conteneur de transport standard de 6 m x 2,5 m (soit 15 m2). L'ensemble étant totalement autonome et prêt à l'emploi dès la livraison, il suffit d'une prise électrique et d'une arrivée d'eau (pour la climatisation du conteneur) pour le faire fonctionner. A l'intérieur, Sun peut installer jusqu'à 8 racks de 19 pouces (7 réellement utilisables pour les serveurs, le huitième servant pour les connexions réseau et le contrôle de la Blackbox). A la convenance de ses utilisateurs, Sun peut livrer en quinze jours un conteneur équipé des serveurs de sa marque ou de produits en provenance de la concurrence à condition qu'ils soient d'une taille adéquate pour se loger dans la "boîte". Ce qui exclut, de fait, la plupart des mainframes. Déployable dix fois plus vite qu'une salle de serveurs classique, le projet Blackbox vise en premier lieu les clients ayant des besoins temporaires en stockage ou en puissance de calcul (pour couvrir un événement récurrent ou pour la réalisation d'un projet particulier), les clients devant travailler en environnements extrêmes (comme dans l'industrie pétrolière) ou encore plus simplement ceux qui veulent ajuster leurs capacités informatiques sans construire une nouvelle salle de serveur dans l'immédiat. A plein régime, la Blackbox peut contenir jusqu'à 500 processeurs effectuant 8000 tâches simultanées ou stocker jusqu'à 1,5 peta-octet de données. Cette mobilité a tout de même un prix puisque la boîte seule coûte environ 400 000 $ (les tarifs pour l'Europe n'ont pas encore fixé). Un configuration de base avec deux racks de serveurs pour un prestataire Web coûterait 1 M€, et pour un usage intensif, avec l'utilisation de bases de données transactionnelle, monterait jusqu'à 4 M€. Si la société a déjà commercialisé cinq prototypes aux Etats-Unis, le projet Blackbox ne sera disponible qu'à partir de l'été, en vente comme en location. Sun n'est pas le seul à vouloir rendre modulable les datacenters. Depuis janvier dernier, APC propose aux Etats-Unis et au Canada, un poids lourds contenant un datacenter d'appoint de 12 racks. L'Américain Nor-Tech vient, de son côté, de commercialiser pour les gros consommateurs de puissance de calcul, un cluster 15 U sur roues, qui peut s'ajouter ou s'enlever d'une salle de serveurs suivant les besoins et les contraintes énergétiques. (...)
(29/05/2007 17:25:39)Un accord de développement autour de la gravure à 32 nanomètres
Quel point commun y a-t-il entre IBM, Samsung, Freescale, Chartered technologies et Infineon ? Les cinq fondeurs viennent d'annoncer leur intention de développer en commun certains éléments de fabrication de leurs processeurs, notamment la gravure à 32 nanomètres. Cet accord sera valable au moins jusqu'en 2010 et pourra être renouvelé ultérieurement. Il portera sur la conception, le développement et la fabrication de telles puces pour des usages allant du téléphone mobile au mainframe. « Les développements pourraient conduire à des améliorations radicales dans l'imagerie médicale permettant des résultats plus rapides et plus précis des blessures et maladies cardiaques. Ou aider à concevoir un Internet en trois dimensions », explique Daniel Dias, directeur du laboratoire de recherche d'IBM en Inde. (...)
(29/05/2007 16:53:43)Téléchargement illégal : la ministre de la Culture pour une privatisation du règlement des conflits
Christine Albanel, la ministre de la Culture, verrait d'un bon oeil le retour de la réponse graduée sur le devant de la scène pour sanctionner les internautes coupables de télécharger des contenus soumis au droit d'auteur. C'est ce que la ministre a indiqué à nos confrères du Figaro à l'occasion de sa venue à Cannes. Rappelons que le projet de loi Dadvsi prévoyait la réponse graduée : un mécanisme consistant à condamner les internautes téléchargeurs à une amende plutôt que de leur faire encourir une peine de prison. Une disposition censurée par le Conseil Constitutionnel en juillet 2006, car non conforme au principe d'égalité devant la loi pénale. Cette censure du Juge suprême n'empêche cependant pas Christine Albanel de considérer que la « riposte graduée » - notons la disparition du terme « réponse » au profit de « riposte » - constitue une solution « de bon sens pour éviter le recours à des sanctions pénales disproportionnées ». De fait, pour que ce type de mesure soit applicable sans contrevenir à la position adoptée par le Conseil Constitutionnel, la ministre prône une collaboration intense entre les auteurs et les FAI : les premiers s'engageant à enrichir l'offre sur les plateformes légales, les seconds à endosser un rôle de gendarme en rappelant leurs clients à l'ordre en cas de dérapage, voire en initiant une procédure de règlement à l'amiable avec les sociétés de droits d'auteurs. C'est là le point essentiel de la position défendue par la ministre : la riposte graduée deviendrait contractuelle. En clair, l'amende pénale serait remplacée par une somme découlant d'une négociation entre l'internaute coupable et les représentants des auteurs. Le règlement du conflit s'en trouverait alors privatisé, et sortirait de la sphère judiciaire. La mise en place d'un tel mécanisme reposerait, en amont, sur la constatation du délit par la partie lésée. Si, jusqu'à présent, il convenait d'être autorisé par la Cnil pour scruter les réseaux P2P à la recherche des internautes s'adonnant aux téléchargements de contenus soumis au droit d'auteur, le Conseil d'Etat vient d'estimer que la commission de défense des données personnelles n'avait pas à prononcer d'interdiction dans ce domaine. Christine Albanel se félicite logiquement de cette décision - « elle ouvre une porte » - qui pose les fondations nécessaires à une privatisation de la constatation des infractions. Au final, la déjudiciarisation pourrait alors s'opérer sur deux fronts : d'un côté, les infractions seraient constatées par des personnes privées missionnées par les sociétés de droits d'auteur ; de l'autre, le règlement des conflits se passerait uniquement dans la sphère privée en mettant simplement en scène l'internaute, son FAI et les représentants des auteurs lésés. (...)
(29/05/2007 15:58:28)La Linux Foundation riposte aux attaques de Microsoft sur les brevets
La Linux Foundation a publié, par la voix de Zim Zemlin, son directeur, une tribune dans BusinessWeek ce 25 mai, pour rassurer la communauté Open Source sur la menace Microsoft. Pour rappel, le 16 mai dernier, Horacio Gutierez, vice-président en charge des affaires de propriété intellectuelle, et Brad Smith, conseiller juridique de Microsoft avait déclaré lors d'une interview au magazine Fortune que les auteurs de logiciels libres, Linux et OpenOffice en premier, violaient quelque 235 brevets de l'éditeur de Redmond. Déclenchant au passage une guerre de tranchée face à la sphère Open Source. "Ce que beaucoup de personnes ne réalisent pas, c'est qu'il ne s'agit pas d'une histoire de brevet, mais davantage de celle d'un acteur rationnel qui essaie de protéger sa position privilégiée", écrit Zim Zemlin dans les colonnes de BusinessWeek, tout en rappelant que la majorité des profits engrangés par Microsoft sont tirés de Windows et Office. "Ce n'est pas une coïncidence si ce sont ces deux produits qui se trouvent alors menacés par Linux et OpenOffice", conclut-il. Touchez un membre de la communauté Linux et c'est toute la communauté que vous touchez Tout en invitant à une réforme du système de brevets américains -qui favorise un climat de bataille néfaste au client selon lui-, Jim Zemlin durcit le ton. Et rappelle que Linux est lui aussi bâti sur un éco-systéme collaboratif, voire d'entre aide. "Toucher à une membre de la communauté Linux, et c'est l'ensemble de la communauté que vous touchez", schématise ainsi Zemlin. Et d'agiter d'emblée le portefeuille de brevets détenus par l'ensemble des acteurs de la communauté Open Source ainsi que le fonds de solidarité "pour décourager toute attaque prédatrice liées aux brevets". (...)
(29/05/2007 15:46:46)Retour en grâce annoncée de la technologie réseau Infiniband
La technologie réseau haut-débit Infiniband n'a pas dit son dernier mot. Alors que l'on pouvait croire cette architecture d'interconnexion sur la touche, IDC pressent les signes d'un net retour en grâce. Ses analystes prédisent que les ventes d'adaptateurs Infiniband passeront de 124 000 unités pour 62,3 M$ en 2006, à 935 000 pour 224,7 M$ en 2011 (+49%). Dans le même temps, le CA engendré par la vente des commutateurs passera de 94,9 M$ à 612,2 M$ (+545%). Il est vrai que nombre de domaines vont devoir faire appel à des techniques d'interconnexion à haut débit : bases de données réparties, réseaux de stockage de données critiques, entrepôts de données, environnements virtualisés et supercalculateurs en cluster pour n'en citer que quelques uns. (...)
(29/05/2007 15:42:07)Expectra crée une agence d'emploi virtuelle sur Second Life
Le recrutement semble avoir trouvé un terrain privilégié dans le domaine de la 3D. A l'instar d'Accenture, qui s'apprête à lancer une opération de recrutement sur Second Life, c'est au tour d'Expectra (Groupe Vedior France), de créer sa première agence d'emploi virtuelle. Depuis le début du mois de mai, le réseau de recrutement spécialisé dans la sélection et le placement en CDI et intérim de profils pointus, est présent sur Second Life, à travers une première agence (Limitless central) et trois points de présence (Paris-Ile-de-France, Paris-Deauville et Toulouse). Pour tester ce nouveau territoire, cinq recruteurs spécialisés dans la chasse virtuelle - et eux-mêmes sélectionnés par Expectra sur Second Life - devront débusquer des candidats potentiels qui naviguent sur Second Life. Ils assureront également une permanence en agence afin d'accueillir les candidats qui se présentent spontanément, et réceptionner leur CV. Les candidatures collectées seront ensuite transmises aux différentes agences d'Expectra, qui étudieront les dossiers. En moins de trois semaines, Expectra a déjà enregistré plus de 400 visiteurs francophones. Un vingtaine de CV ont déjà pu être validés et les premiers profils sélectionnés sur Second Life viennent d'intégrer les viviers du cabinet de recrutement. D'autres développements sont à l'étude, notamment lorsque les entreprises présentes sur Second Life auront elles-mêmes besoin de recruter des profils hautes compétences, pour l'animation, la gestion et la vie de leurs espaces dans cet espace virtuel. (...)
(29/05/2007 14:36:13)Neuf Cegetel rachète Ozone
Insatiable, Neuf Cegetel absorbe les sociétés les unes après les autres. Dernière en date, le fournisseur d'accès à Internet Ozone, qui opère un réseau WiFi exclusivement parisien. D'ailleurs, Ozone couvre près de 60% de la capitale et totalise 3000 abonnés ainsi que 5000 clients. Pour faire partie de la communauté Ozone, chaque utilisateur débourse 18 euros par mois. Le montant exact de l'opération n'a quant à lui pas été dévoilé. Il est estimé à une dizaine de millions d'euros par le quotidien Les Echos et qualifié de «non significatif» par notre confrère La Tribune. Avec ce rachat, Neuf Cegetel renforce sa volonté d'être un acteur majeur du marché de l'accès WiFi. Jusqu'alors partenaire de l'opérateur alternatif, Ozone a été créé en 2003 par Rafi Haladjian. La société a réalisé un chiffre d'affaires de 155 000 euros en 2005. En revanche, ses pertes atteignaient 474 000 euros. (...)
(29/05/2007 14:25:52)Les clients se disent victimes des systèmes de GRC
Conduite par Accenture, les résultats d'une enquête mondiale de satisfaction sur la qualité de l'automatisation de la gestion de la relation client (GRC, alias CRM en anglais) montrent la grande amertume des clients des entreprises de haute technologie. Le constat général de cette enquête auprès de 1200 clients est sans appel : la mise en place de logiciels de GRC est loin d'avoir amélioré la qualité des prestations, voire l'a dégradée. Sous prétexte de réduire leurs coûts d'exploitation, les fournisseurs se mettent à dos leur clientèle. Deux exemples pour illustrer cette affirmation : - 42% des clients doivent réclamer plusieurs fois avant d'obtenir la résolution d'un problème ; - du coup, 61% déclarent que l'automatisation des services clients n'a pas accéléré cette résolution. La mauvaise impression laissée par la qualité décevante des services à la clientèle conduit 78% des clients à dire qu'ils estiment la façon dont ils sont traités "équivalente ou moins bien" à que ce qu'ils trouveraient chez la concurrence. Une écrasante majorité des mécontents (81%) déclare d'ailleurs qu'elle compte changer de fournisseur. Il suffit d'ailleurs que la satisfaction vis-à-vis du GRC soit dans la moyenne pour que la probabilité de passer une nouvelle commande tombe de 51% à 27%. Sur un secteur où la technologie est de moins en moins un facteur de différenciation en soi, la mauvaise image des services associés risque d'avoir des conséquences désastreuses sur l'activité de l'entreprise. Ultime inquiétude : alors que 75% des fournisseurs estiment avoir mis en place des services automatisés qui apportent des prestations "au-dessus" de la moyenne à leurs clients, 58% des clients considèrent, justement, que les services qui leurs sont proposés se trouvent "dans la moyenne ou en dessous". Un dialogue de sourds. (...)
(29/05/2007 12:58:38)Avec Inxight, Business Objects veut analyser l'information non structurée
En annonçant son intention d'acquérir l'éditeur californien Inxight Software il y a quelques jours, Business Objects a manifesté sa volonté d'intégrer dans ses solutions d'analyse décisionnelle la prise en compte des informations non structurées, telles que les documents bureautiques, les courriels et les contenus Web. Ces données représentent une part importante des contenus gérés par les entreprises, alors que, le plus souvent, les logiciels décisionnels traitent essentiellement les informations structurées, c'est-à-dire stockées dans des bases de données. Ce sont les outils d'analyse de texte et de recherche assistée développés par Inxight qui ont intéressé Business Objects, ce dernier comptant les utiliser pour aider à prévoir des événements ou détecter des opportunités. Parmi les champs d'application possibles, le PDG de BO, John Schwarz, a cité la détection des fraudes, le respect de la réglementation, la connaissance des clients ou encore le renseignement et la lutte contre le terrorisme. Les conditions de rachat n'ont pas été précisées. Inxight a réalisé un chiffre d'affaires de 25 M$ en 2006 et emploie 120 personnes. Il est intéressant de signaler que l'éditeur acquis par BO a déjà signé des accords OEM avec IBM, Microsoft, Oracle, SAP et SAS. (...)
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