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(29/05/2007 12:57:42)
Google : la conservation des données personnelles inquiète l'Europe
Le pantagruélique moteur de recherche Google pourrait enfreindre certaines dispositions européennes sur la protection des données personnelles, selon un groupe de travail composé des représentants de la Cnil et de ses homologues issus des 26 autres Etats membres de l'UE. Le « groupe de l'article 29 » s'interroge particulièrement sur la pertinence de la conservation, par Google, des données liées aux recherches effectuées par les internautes. Alors que le moteur a limité, en mars, la durée de conservation de ces données à deux années, les membres du groupe de l'article 29 pressent Google de justifier cette durée jugée encore trop longue. Les données recueillies lors de chaque recherche sont associées à l'IP de l'internaute et permettent de bâtir un profil précis basé sur les mots clés. Si Google indique que ces informations lui sont utiles pour affiner la pertinence des résultats communiqués pour chaque requête, les Européens s'inquiètent de l'exploitation commerciale qui pourrait être faite des sommes de données enregistrées. La requête du groupe de travail, adressée à Google sous forme d'une lettre, n'a pas encore reçu de réponse. Néanmoins, Peter Fleisher, le juriste du moteur de recherche chargé des questions relatives à la vie privée, estime que son employeur est « décidé à engager un dialogue constructif avec les défenseurs des données personnelles, dont le groupe de l'article 29, sur la façon d'améliorer les pratiques [sur ce sujet] au bénéfice des utilisateurs ». (...)
(29/05/2007 12:56:51)Les systèmes embarqués et intelligents : des marchés et des débouchés en devenir
Deux colloques, le 31 mai à Lorient, les 6-8 juin à Sophia Antipolis, font écho à l'omniprésence des systèmes résultant de la convergence des technologies informatique-télécoms et de l'inventivité à la fois de l'offre et de la demande dans de nombreux domaines d'application. Ainsi, à l'IUP de Lorient (Université de Bretagne Sud), la journée du 31 mai sur les systèmes embarqués critiques fera le point sur les débouchés et les enjeux en termes d'emploi et de croissance dans les domaines de l'énergie, de l'automobile, du médical, de l'aéronautique et , bien sûr, dans le secteur des TIC. Avec, en clôture de cette journée d'échange, une table-ronde sur les systèmes embarqués « good enough », innovations adaptées fonctionnelles. Cette journée bretonne est organisée conjointement par la Meito, mission d'animation des secteurs électronique, informatique et télécoms du grand Ouest, et par Jessica France (association porteuse du programme CapTronic, composante française du programme européen d'aide à l'innovation des PME fondée sur l'électronique et les systèmes embarqués). Le colloque du 6-8 juin sur les systèmes de transports intelligents (ITST 2007) ayant, pour sa part, une portée plus scientifique, s'organise autour de la thématique d'ensemble des « Idées, visions, applications et ingénierie en relation avec les systèmes intelligents» (depuis les capteurs jusqu'aux systèmes de contrôle, en passant par les réseaux). Pour l'organisation de cette rencontre, septième du genre, l'institut Eurecom (3e cycle des écoles du GET) s'est appuyé sur une partie de ses partenaires industriels (dont Hitachi Europe, sponsor de l'opération), avec les contributions des écoles soeurs Télécom Paris et Télécom Bretagne, mais aussi de la technopole de Brest (Iroise), de l'Institut national de l'information et des télécommunication du Japon, des instituts de normalisation européen (ETSI) et japonais (ITS). Le programme de ces trois journées est néanmoins tout autant tourné vers les secteurs d'applications. Les thématiques abordées impliquent notamment trois des pôles de compétitivité de la Côte d'Azur directement concernés par ces systèmes intelligents: le pôle SCS, solutions communicantes sécurisées et les pôles Risques et Mer. (...)
(29/05/2007 12:54:44)Publication éclairante des détails de l'accord Microsoft / Novell
Près de sept mois après sa spectaculaire signature, l'accord liant Novell et Microsoft livre un peu plus ses secrets. L'éditeur - qui revendique de défendre le modèle Linux - a publié dans le cadre de son rapport annuel adressé à la SEC (le gendarme de la bourse américaine) les trois engagements signés avec la société dirigée par Bill Gates, elle-même en plein rififi avec la communauté Open Source. Surtout, Novell alerte sur les risques qu'il court si jamais l'accord devait être rendu inopérant. L'accord signé en novembre 2006 contient un volet technologique : l'interopérabilité des plateformes serveurs des deux éditeurs. Un volet juridique : les deux partenaires s'engagent à ne pas se poursuivre en matière de violation de brevets logiciels et protègent également leurs clients respectifs sur ce point. Et un volet commercial : Microsoft devient un distributeur Suse Linux Enterprise Server et s'engage à assurer maintenance, support technique et marketing pour plusieurs centaines de millions de dollars ; en échange, Novell accepte de reverser un pourcentage de ses revenus Open Source à Microsoft. La conformité à la GPL3 au centre des débats Reste cependant une épine dans le pied des deux compères : les avocats du monde Open Source se penchent sérieusement sur ce qui est en réalité cédé par Novell à Microsoft. Et souhaitent éventuellement prouver que l'accord viole la future version 3 de la licence GPL, à laquelle souscrivent les éditeurs Linux - dont Novell - pour profiter des développements de la communauté Open Source. Novell ne s'y est pas trompé et prend soin de préciser dans le document fourni à la SEC que, si l'accord contrevenait à la GPLv3, Microsoft ne pourrait plus distribuer de coupons Suse et le partenariat serait revu en des termes beaucoup moins favorables pour Novell. Un risque loin d'être neutre pour l'éditeur de Suse. Selon Justin Steinman, directeur marketing pour les solutions Open Source de Novell, Microsoft est d'ores et déjà le premier distributeur de SuSe et la croissance des ventes de l'OS serveur au 1er trimestre est montée à 60%. Une croissance qui profite également à Microsoft, lui permettant de constituer en quelque sorte sa propre concurrence à Windows. On comprend mieux dès lors la stratégie de l'éditeur de Redmond qui - à la veille de l'adoption de la GPLv3 - souffle le chaud et le froid sur la communauté Open Source, l'accusant de violer nombre de ses brevets. Espérant certainement, dans la foulée, obtenir un peu de mansuétude pour son partenaire stratégique. (...)
(29/05/2007 12:31:13)Microsoft annule le PDC 2007, son rendez-vous pour développeurs
Microsoft a décidé d'annuler le PDC 2007 (Professional Developer Conference), son grand raout annuel tourné vers les développeurs professionnels, qui aurait dû se tenir en octobre à Los Angeles. L'éditeur invoque des problèmes de décalage entre la sortie de certains de ses produits et le calendrier de la conférence. Traditionnellement, le PDC donne l'occasion aux développeurs de découvrir en avant-première les plateformes et les infrastructures futures de Microsoft. En 2005, l'éditeur de Redmond y avait notamment dévoilé la suite Expression, un mois avant sa sortie officielle. Ainsi, selon Microsoft, l'édition 2007 du PDC arriverait bien trop en retard, après l'annonce de l'essentiel de ses produits. "Comme le PDC est un événement résolument pour les développeurs [...], nous essayons de l'aligner avec les plateformes clés. D'ici cet automne, toutefois, les technologies à venir, Windows Server 2003, SQL Server "Katmai", Visual Studio "Orcas", et Silverlight seront déjà entre les mains des développeurs et proches de leur lancement [...]", s'est expliqué Microsoft, sur un blog MSDN. Dans le même post, Microsoft parle d'une reprogrammation de la manifestation. Tout en confirmant le calendrier d'autres événements orientés développeurs dans l'année, comme le TechEd à Barcelone (du 5 au 9 novembre 2007). (...)
(29/05/2007 11:38:39)Fujitsu Services lance une OPA hostile sur GFI Informatique
Le pôle européen de services du groupe Fujitsu Services avait fait connaître au début du mois son intention de mettre la main sur la SSII française GFI Informatique. Initialement, les dirigeants des deux sociétés étaient entrés en discussion afin de trouver un terrain d'entente allant dans ce sens. Les choses se sont concrétisées, mais aussi corsées, ce 25 mai avec l'annonce par Fujitsu Services du lancement d'une OPA hostile sur son homologue. La veille, le conseil d'administration de GFI avait publié un communiqué de presse dans lequel il indiquait que l'offre de Fujitsu Services reste une offre non sollicitée qui, de surcroît, ne reflète pas la valeur intrinsèque de l'entreprise. Fujitsu Services propose d'acquérir les actions de GFI en numéraire à un prix unitaire de 8,5 € et de 3,15 € par bon de souscription d'action remboursable. Ce qui valorise la SSII à 461 M€. Le déclenchement des hostilités par la filiale du groupe japonais est directement lié au retrait de l'offre d'Apax Partners arrivée à échéance le 31 mai. Fujitsu Services en faisait une condition indispensable pour lancer une OPA. Citant des sources proches du dossier, le site Easybourse.com indique que les premières discussions entre les deux entreprises auraient échouées à cause des exigences formulées par Jacques Tordjman, le PDG de GFI Informatique. Ce dernier était plus enclin à accepter l'offre d'Apax Partner à un prix unitaire de 7 € par action. Elle présentait l'avantage de conserver l'indépendance de la SSII dont Apax Partners ne souhaitait pas prendre le contrôle. (...)
(29/05/2007 11:33:47)Publicité en ligne : la FTC enquête sur la position dominante de Google / DoubleClick
La commission américaine chargée de réguler les affaires commerciales (FTC, Federal trade commission) enquête actuellement sur le rachat de la régie publicitaire DoubleClick par Google. Annoncée il y quelques semaines pour un montant de 3,1 Md$, cette dernière a déjà fait couler beaucoup d'encre. Outre le fait que le moteur de recherche s'est imposé au nez et à la barbe de Microsoft - en lice de longue date pour ce rachat -, un certain nombre d'associations de protection des données personnelles se sont montrées inquiètes. L'Electronic Privacy Information Center (EPIC) et le Center for Digital Democracy (CDD) ont déposé une plainte le 20 avril dernier auprès de la FTC demandant le blocage de la procédure de fusion jusqu'à ce que Google s'engage à mettre en oeuvre les outils permettant d'effacer toute trace de navigation des internautes sur ses différents sites. Reste qu'il y a de fortes chances que la FTC s'intéresse moins à ce problème qu'au risque anticoncurrentiel que fait courir la fusion entre Google et DoubleClick. Le premier - outre son activité de moteur de recherche - est surtout le numéro un mondial en matière de liens sponsorisés, tandis que le second est - de longue date - la principale régie publicitaire Internet de part le monde. Les autorités antitrust devront donc dire s'il reste suffisamment de place aux concurrents potentiels pour se développer, le principal critère d'arbitrage de la commission. Côté concurrents, on s'organise d'ores et déjà : en quelques semaines, Microsoft s'est offert aQuantive pour 6 Md$ et les rumeurs de discussions avec Yahoo - principal concurrent de Google sur les liens sponsorisés - vont bon train. De son côté, AOL a mis la main sur Adtech, prestataire technique de mise en ligne de campagne particulièrement présent en Europe, et Yahoo s'est offert RightMedia pour 680 M$. (...)
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