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(25/05/2007 17:08:02)

HP couple ses clusters et ses lames aux commutateurs Infiniband de Cisco

HP vient d'annoncer qu'il venait de signer avec Cisco un accord visant à coupler son offre de clusters et de serveurs lames avec les commutateurs Infiniband du spécialiste des réseaux, afin d'offrir des solutions haut débit, économiques et à faible latence au marché du calcul haute performance. Venus dans la corbeille du fabricant de San José lors du rachat de Topspin Communications en 2005, les SFS DDR 7000 (pour Server fabric switches double data rate) feront désormais partie de l'offre HP Unified Cluster. D'autre part, les serveurs lames BladeSystem c-Class du constructeur supporteront les pilotes Infiniband de Cisco grâce à des adaptateurs HP (4X DDR IB Mezzanine Host Channel). Ces serveurs disposeront ainsi de connexions de 20 Gbps par ligne pour dialoguer avec les switches SFS de Cisco, dont la gamme s'étend du châssis fixe 24 ports jusqu'au châssis modulaire 288 ports. De son côté, Cisco supporte désormais les pilotes Open Fabric, d'origine Linux, qui lui permettent de converser avec d'autres équipements du marché, notamment dans le domaine des serveurs virtuels. Profitant d'une baisse des prix considérable, les équipements HPC (High Performance Computing) - qui permettent de réaliser des millions d'opérations simultanées - sont de plus en plus demandés dans de nombreux domaines (analyses de marché, simulation, analyses financières, calcul scientifique, météorologie...). Le HPC est un enjeu stratégique pour de nombreux constructeurs. Il est donc normal que Cisco et HP s'y intéressent. Rappelons d'ailleurs que HP loue des ressources HPC « on demand » à ses clients. (...)

(25/05/2007 16:59:40)

Un bon cru 2006 pour l'emploi et les salaires des jeunes diplômés

La livraison 2007 de l'étude annuelle sur l'insertion des jeunes diplômés publiée par la conférence des grandes écoles (CGE) ne fait que confirmer le retour actif des chargés de recrutement sur les campus. Parmi les promos 2006 des écoles d'ingénieurs et de gestion, 85% des diplômés ont trouvé employeur dans un délai de quatre mois (contre 80% pour la précédente promo), dont 82% dans les deux mois (76% l'an dernier), c'est-à-dire juste après s'être accordé un mois de vacances avec le diplôme en poche. Pour 79% d'entre eux, il s'agit d'un contrat à durée indéterminé. Le CNE a encore moins de prise que l'an dernier: 1,3% contre 2% lors de l'enquête 2006. La moyenne des salaires d'embauche est également en progression de plus de trois points: 31 910 euros cette année, contre 30 900 euros l'an dernier. Des résultats plus détaillés de l'étude feront l'objet d'une présentation à la presse le 12 juin. Un rapide tour des plans d'embauche de sociétés du secteur informatique montre que cette priorité accordée à l'accueil de sang neuf n'est pas l'apanage des seules grandes SSII. Par centaines, Accenture, Astek, EDS, Sodifrance, Micropole-Univers, Net2S, SCC, Resadia, Solucom, Teamlog... regarnissent leurs rangs de jeunes recrues. Il y a aussi les petits contingents : Mega, Netfective, Advyso, Smile, Ooodrive, Soltim-Proval, Seriacom, JNC Diffusion qui visent quelques dizaines de recrues en renfort. Retour en régions Pour assurer cette relance (du business et de l'embauche), la tendance est au retour en régions. Avec des campagnes orchestrées au niveau national comme l'opération portes ouvertes de Teamlog qui s'est tenue cette semaine simultanément à Lannion, Lyon, Grenoble, Rennes, Nantes et à Paris. Ou carrément ciblée sur une localisation, comme JNC Diffusion qui promeut les solutions et services de sécurisation des données sur un axe Bordeaux-Toulouse-Montpellier-Marseille. Des campagnes ponctuées de rendez-vous marquants comme la « garden party » organisée ce vendredi 25 mai par Solucom en quête de 250 jeunes recrues, ou le marathon de blog emploi vidéo organisé par Adecco Ingénierie (le 11 mai) parallèlement au marathon Shell Eco (compétition entre véhicules qui consomment le moins possible), ou plus classique, l'inauguration d'agences promises à un fort développement dans l'année, comme l'ont fait récemment Smile à Lyon, SCC ou Niji à Lille, Umanis avec l'ouverture d'un centre de services à Tours (une neuvième localisation pour cette société qui compte 800 personnes). Des relations écoles-entreprises re-dynamisées Les salons et forums refont le plein, d'employeurs et de jeunes candidats, y compris pour les doctorants comme en témoigne l'opération Déclic (Doctorants-Entreprises, Combinons les initiatives de chacun) de ce jeudi 24 mai à Sophia Antipolis (organisé par l'ADSTIC et l'ADSFA, deux associations de thésards en informatique et en sciences fondamentales et appliquées). Et en amont, les relations écoles-entreprises retrouvent du peps. Certaines écoles en profitent pour conforter des dispositifs qui commencent à faire leurs preuves en matière de facilitation de l'insertion, comme le livret numérique de l'étudiant (IAE de Caen) au travers duquel le futur diplômé affine son itinéraire d'étudiant et son projet professionnel. Ainsi pour la deuxième rencontres R2E organisée du 30 mai au 1er juin à Maffliers (Val d'Oise), une cinquantaine d'écoles (15 écoles d'ingénieurs, 35 écoles de commerce) et six universités délèguent leurs chargés de relations entreprises et responsables de services carrières pour débattre avec leurs correspondants dans le monde professionnel. Au programme de ces journées concoctées par Keljob et Hobsons, les aménagements de l'offre de stages, un focus sur les partenariats exemplaires, l'aide apportée aux étudiants pour le choix de l'employeur, les actions menées à l'encontre de la discrimination à l'embauche, le financement de ces initiatives. (...)

(25/05/2007 16:49:13)

Communications électroniques : un marché français de 41 milliards d'euros

En 2006, le marché français des communications électroniques s'est élevé à 41 Md€ (Observatoire des marchés de l'Arcep, chiffres provisoires). La croissance des revenus (+0,7%), bien que positive, s'est ralentie. Par contre, le trafic voix (+6,2%) reste vivace et les abonnés sont de plus en plus nombreux (+7,4% pour le mobile, +15,4% pour l'Internet). Le fixe, l'Internet et le mobile bondissent de 1,9% à 32 Md€. Ils représentent 80% des revenus du marché. Le reste (9 Md€) est composé de services à valeur ajoutée, liaisons louées et transport de données. Comme on pouvait s'y attendre, le mobile (16,9 Md€) et l'Internet (3,7 Md€) sont moteurs, tandis que la téléphonie fixe (11,4 Md€) décroît de 5,4%. Pourtant, le nombre d'abonnements au fixe augmente (+1,7 million en 2006, pour atteindre 6,6 millions). Les utilisateurs basculent vers la ToIP. Le fixe est en effet dopé par les forfaits illimités dual/triple play. La chute du trafic s'est ainsi stabilisée. Cependant, bien évidemment, les recettes plongent pour les mêmes raisons. La France compte aujourd'hui 12,7 millions d'abonnés en haut débit, avec 95% de lignes ADSL. De plus, près de 2,6 millions de Français sont abonnés à la TV sur ADSL. Le mobile quant à lui poursuit sa croissance : +7,4% de clients en 2006. Le trafic de minutes mobiles bondit de 15,2% et les SMS/MMS enregistrent une croissance de 19,2%. La croissance des revenus cependant se ralentit (+12% en 2003, +4,1% en 2006). La facture mensuelle des abonnés mobiles décroît pour la première fois à 28,2 € HT. Elle est plus marquée chez les utilisateurs de forfaits (37,6 € HT en baisse de 2,2 € HT) que chez les clients en prépayé (-0,1 € HT à 11,3 € HT). Même les factures des abonnés fixes et Internet fléchissent. Cela n'empêche pas les opérateurs de poursuivre leurs investissements (7 Md€) mais, ils le font de manière moins soutenue (+15% en 2005, +10% en 2006). Les opérateurs mobiles ont massivement investis (+26%) dans les réseaux haut débit (Edge, 3G, 3G+) et les opérateurs fixes, dans le dégroupage. (...)

(25/05/2007 16:28:59)

Pour IDC, la mémoire est la clé du marché des serveurs

« A prix équivalents, dans la vente d'un serveur, il y a moins d'argent associé au processeur qu'il y en avait cinq ans plus tôt. Mais il y a beaucoup plus d'argent investi dans la mémoire qu'il n'y en avait cinq ans plus tôt. Et ce, parce que les gens consolident et virtualisent leurs infrastructures, » affirme l'analyste Matthew Eastwood, en conclusion du premier rapport trimestriel d'IDC sur les ventes de serveur. « Ils consomment de la mémoire à une vitesse que nous n'avions jamais rencontré auparavant. Il est donc possible de générer des revenus avec cette mémoire. » Cette demande pour plus de mémoire vient de la virtualisation et de l'accumulation actuelle des données à traiter par les entreprises. « Quand vous utilisez WMware sur une machine à deux ou quatre processeurs, que vous utilisez six, huit ou douze applications dessus et six, huit ou douze machines virtuelles différentes, vous consommez beaucoup plus de mémoire, et les serveurs actuels sont limités en mémoire, non en puissance de processeur, » explique-t-il. De plus, davantage de mémoire permettra de tirer un meilleur parti des processeurs existants, passant de 10% à 12% d'activité, à 30% voire 40%. Cette tendance, qui n'en est encore qu'à ses débuts selon Matthew Eastwood, se voit confirmée par le fait que pour le deuxième trimestre consécutif, les revenus des serveurs haut de gamme de type mainframe Unix ont cru plus vite que ceux des serveurs x86 d'entrée et de milieu de gamme. « Toutes ces tendances suggèrent que l'utilisateur final est très intéressé par une infrastructure consolidée, qui est plus efficace et avec plus de ressources. » (...)

(25/05/2007 16:10:59)

Vivendi préparerait un portail payant pour diffuser ses contenus

Selon Les Echos d'aujourd'hui, le groupe Vivendi a créé une société, Vivendi Mobile Entertainment, dont la mission est de préparer un portail pour diffuser le contenu du groupe (qui détient notamment Canal+ et Universal Music) et de différents partenaires sur tout type de plateforme (PC, mobile, etc.). L'ouverture de ce service serait prévue pour octobre. Et il n'aurait aucunement l'intention de concurrencer frontalement les YouTude, MySpace ou autre Wat, puisque Les Echos soulignent qu'il s'agit de proposer une offre payante. En 2000, Vivendi, alors dirigé par Jean-Marie Messier, avait lancé en grande pompe Vizzavi, portail de diffusion de contenu qui a fait long feu. En 2001, il avait généré 184 ME de chiffre d'affaires - soit 0,3 % de l'ensemble - pour une perte opérationnelle de plus de 300 ME (+26 %). (...)

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