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(10/05/2007 17:33:00)

Lulu.com, Solution d'autoédition online

Commentaire de Bertrand Lemaire, Journaliste Le Monde Informatique (...)

(09/05/2007 17:34:35)

JavaOne : JavaFX, le langage de script qui fait entrer Java dans l'ère des RIA

JavaFX Script est un nouveau langage de script s'appuyant sur l'environnement d'exécution Java (JRE). Il s'exécute sur toutes les plateformes supportant JavaSE, dont les mobiles (avec la plateforme JavaFX Mobile). Il est issu du projet F3 (Form Follows Function), initié par Chris Olivier au sein de Sun. C'est un langage de script déclaratif et statiquement typé qui utilise les bibliothèques Java2D Swing pour construire des interfaces riches et interactives. Il bénéficie des avantages du modèle de programmation Java : la structuration du code, fonctionnalités de réutilisation et d'encapsulation telles que les packages, les classes, l'héritage, les units de compilation séparée et de déploiement. Sun prévoit de placer le code de JavaFX Script en Open Source, sans toutefois définir encore la gouvernance, la licence et le modèle communautaire. Mais les outils ne sont pas encore prêts et aucune feuille de route n'est dévoilée. Pour l'heure, Le projet OpenJFX a été créé pour partager les versions préliminaires du langage et fédérer son développement. A l'évidence, cette nouvelle plate-forme RIA se pose en concurrence d'Apollo/Flex d'Adobe et de Silverlight de Microsoft. Sun préfère y voir une alternative à AJAX, basé sur JavaScript dont le nom n'a d'ailleurs rien à voir avec Java. Mais là où l'environnement d'exécution de Flash pèse 2 Mo, celui de Silverlight 4 Mo, et où AJAX n'a besoin de rien d'autre qu'un navigateur, JavaFX Script aura besoin du JRE qui pèse dans les 16 Mo. Sur le même sujet : - MIX 2007 : Ray Ozzie place Silverlight au centre de sa stratégie logiciel/service - Adobe libère Flex pour mieux contrer Microsoft (...)

(09/05/2007 17:24:22)

HP Mobility Summit : HP concrétise le rachat de Bitfone

« Ne pas se focaliser sur le produit, mais sur la connexion des gens à l'information. » C'est le message livré par Todd Bradley, vice-président de la division Personal systems group (PSG) de HP, lors de son discours d'inauguration du HP Mobility Summit à Shanghai. Devant un parterre de clients et journalistes de quarante nationalités différentes, le constructeur, en plus de revisiter ses gammes grand public et professionnelles de PC portables, inaugure une application de gestion de parcs mobiles, Entreprise Mobility Suite, qui s'intégrera à terme à son logiciel de supervision OpenView, ainsi qu'un terminal Windows Mobile dual mode (WiFI et GSM). Une initiative qui concrétise enfin le rachat de Bitfone et de ses technologies de gestion de configuration de mobiles à la volée de type OTA (over-the-air). Et positionne le constructeur sur les terres de RIM et de son Blackberry, par exemple. Entreprise Mobility Suite doit résoudre un certain nombre de problèmes rencontrés par les administrateurs dans l'intégration de parcs mobiles au système d'information. Un exercice compliqué, rappelle Dave Rotschild, vice-président de la division Solutions mobiles d'HP. Il nous confie : « Entreprise Mobility Suite est une application placée derrière le pare-feu qui aide les administrateurs à créer un portail d'auto configuration de mobiles pour les employés nomades ». L'application permet plus concrètement de paramétrer, de déployer, de diagnostiquer puis réparer, de mettre à jour et de sécuriser des portables Windows Mobile en envoyant les données de configuration notamment par SMS (over-the-air). Sans avoir ainsi à rappeler l'appareil, appuie Gene Wang, vice-président du marketing de la division solutions mobiles chez HP et ex-PDG de Bitfone - société rachetée par HP en décembre 2006 et source du socle technologique de Entreprise Mobility Suite. Enterprise Mobility Suite comprend deux modules : un côté serveur, un autre qu'on installe sur le terminal Windows Mobile (version 5 et 6 pour le moment). HP indique toutefois que la suite supporte les standards de l'OMA (Open mobile alliance), ouvrant la porte aux constructeurs tiers. Pour l'heure, aucun calendrier n'a été livré quant à une prochaine extension pour Openview, indique Dave Rotschild. Entreprise Mobility Suite sera d'abord commercialisée en version autonome. Un terminal iPaq pour compagnon HP a également étendu sa gamme iPaq en confirmant la sortie du Voice Messenger 514, premier téléphone voice-centric en dual-mode (WiFi et GSM) et non tactile du constructeur. Tournant sous Windows Mobile, il apparaît comme le terminal idéal, selon HP, pour la suite Mobility Entreprise. Une fois le couplage effectué, HP mise sur la convergence. L'idée, explique Gene Wang, est par exemple de « fournir un unique numéro quel que soit l'environnement dans lequel l'utilisateur se trouve, à l'intérieur de la société ou à l'extérieur. » Un service qui s'effectue par le biais de partenariats. L'iPaq Voice Messenger embarque également des fonctionnalités de commandes vocales poussées qui autorisent notamment de répondre aux emails par la voix. Pas de 3G au programme pour ce terminal, confirme Dave Rotschild. L'accent ayant été mis sur l'autonomie, plus que sur le débit, en raison d'une cible professionnelle privilégiant voix et message. « La 3G est gourmande en énergie », confirme-t-il. (...)

(09/05/2007 16:34:32)

La « vertitude »* des TIC met au défi les informaticiens

Dans trois semaines, le 1er juin exactement, la réglementation Reach (Registration, Evaluation, Authorization and Restriction of Chemicals), concernant la logistique des produits chimiques, entre en vigueur en France. Avec pour conséquence l'obligation d'organiser l'enregistrement, l'évaluation et l'autorisation des substances chimiques fabriquées ou entrant dans la production industrielle dans les pays de l'Union européenne. A la clé, l'enregistrement sur onze ans des données concernant quelques 30 000 substances existantes, et les divers impacts concernant la communication entre clients et fournisseurs tout au long de la chaîne de valeur liée à chaque substance. Autant dire, un traitement informatique minutieux, voire complexe, à l'égard duquel, depuis le 30 décembre 2006, date de publication de la directive Reach, les grands industriels des secteurs chimie et pharmacie (et les éditeurs de progiciels concernés, SAP en tête) ont, pour la plupart, déjà pris leurs dispositions. Pour autant, l'échéance du 1er juin 2007 étend cette mesure d'évaluation des risques - et les traitements de l'information afférents - à l'ensemble des entreprises utilisatrices. Un impératif synonyme d'ouverture de chantier autant pour le camp des organisateurs que pour celui des informaticiens. Concrètement, selon la procédure mise au point autour de l'Agence européenne de produits chimiques (AEPC) créée à cet effet et basée à Helsinki, les entreprises seront tenues de déclarer les substances en question en se connectant sur la base de données Reach-IT de cette agence. Le délai d'enregistrement courant jusqu'en 2018, afin de tenir compte de la plus ou moins grande complexité d'évaluation selon la substance. De plus, le règlement prévoit un dispositif de partage de données et des coûts pour l'établissement des données spécifiques à chaque substance, avec la mise en place de forum (FEIS, forums d'échanges d'informations sur les substances) appelés à se déployer à partir de juin. Le tout assisté, comme le prévoit la directive Reach, par les services de l'Etat, en l'occurrence un bureau dédié à l'évaluation des risques (BERPC) de la direction générale des entreprises (DGE) au ministère de l'Industrie. Vers un référentiel carbone partagé Autre volet d'implication des entreprises - et de leur système d'information - sur la voie du développement durable, la prise en compte de la « valeur économique de la tonne de CO2 ». L'échéance et l'enjeu sont cette fois à plus long terme. Sachant que les experts intergouvernementaux planchant sur ce sujet en sont encore au début de leur réflexion. Et que cette valorisation ne consiste pas seulement à considérer le dommage associé aux émissions, mais aussi le coût des efforts à consentir pour les réduire, ou encore les marchés d'échanges de quotas d'émissions de CO2 qui émergent ici et là (le puits de carbone de Monaco, par exemple, inauguré en janvier dernier). Les grandes manoeuvres lancées chez les fournisseurs d'équipement informatique (consommation et dégagement de chaleur), visant à sensibiliser les entreprises clientes, ont déjà commencé. Certaines collectivités (par leurs informaticiens, comme les animateurs de l'opération Tic21, organisateurs d'un forum européen des technologies de l'information et du développement durable) s'y mettent. A suivre. * Vertitude : un néologisme apparu en 2004 avec la montée des préoccupations de développement durable, particulièrement usité chez les Sup de Co, où les cursus « management de l'environnement et développement durable » font florès depuis quelques années (dont le 3e cycle de l'école supérieure de commerce de la Rochelle, initié en 1999) (...)

(09/05/2007 14:58:12)

Galileo : vers un financement totalement public

Le modèle de financement public-privé pour le projet européen Galileo - qui doit concurrencer le système de géolocalisation américain GPS - a vécu. Face à l'incapacité à s'entendre des huit entreprises composant le consortium* choisi pour mener le projet, la Commission européenne semble se diriger vers un financement directement réalisé par les Etats membres, qui assumeraient alors les coûts de mise en oeuvre, estimés à 2,4 Md€. Une position affirmée avant même que n'expire l'ultimatum adressé aux huit entreprises, le 10 mai, pour qu'elles créent une instance unique afin de mener le chantier et se choisissent un dirigeant. « J'ai très peu d'espoir qu'on parvienne à un accord [avec le consortium] », a ainsi confirmé Michele Cercone, porte-parole de Bruxelles. La Commission communiquera sa décision, quant à l'avenir de Galileo, le 16 mai. Dans l'hypothèse d'un recentrage sur les Etats membres, ce seront eux qui financeront la conception et le lancement des satellites, avant qu'un nouvel appel d'offres ne soit lancé pour choisir les entreprises qui se chargeront de l'exploitation. D'ici là, le projet européen continue de prendre du retard et voit les systèmes de positionnement sattellitaire russe et chinois progresser rapidement. Du côté américain, le GPS est en cours d'amélioration. Autant de raison, pour les Européens, de nourrir des craintes quant au succès commercial de Galileo. *Les huit entreprises composant le consortium sont EADS, Thales et Alcatel-Lucent (France), Inmarsat PLC (Grande-Bretagne), Finmeccanica (Italie), AENA et Hispasat (Espagne) et l'association des Allemands Deutsche Telekom et German Aerospace Centre. (...)

(09/05/2007 14:36:47)

JavaOne : Sun fait définitivement le choix de GPLv2

Sun a profité de la JavaOne Conference, qui se tient actuellement à San Francisco, pour annoncer que la quasi totalité de son code source était à présent disponible sous Open Source, à travers la licence GNU GPLv2. Selon Rich Sands, marketing manager OpenJDK community chez Sun, la société souhaite désormais s'appuyer sur la communauté Open Source pour endiguer l'anarchie actuelle. Il semble en effet que la désinvolture qui prévalait jusqu'à ce jour envers GPLv2 se soit soldée par ce que Rich Sands appelle un « encombrement » du code source. Sans vouloir pour autant détailler quelles étaient les quelque 6,5 millions de lignes de code « encombrées », ce dernier a précisé que la question se posait tout particulièrement pour Java 2-D, notamment pour tout ce qui touche à la fonte et au tramage graphiques. Des solutions alternatives sont bien disponibles sur Open Source, toutefois elles ne supportent pas actuellement les interfaces de programmation de Java 2-D. Dans un premier temps Sun va fournir un Java Development Kit à base de plug-ins pouvant être utilisés avec l'ensemble du code source disponible sur GPLv2. Pour le futur, le groupe envisage de travailler avec la communauté Open Source pour réécrire l'ensemble des codes surchargés avant de les mettre à disposition. En mai 2006, le PDG, Jonathan Schwartz, et Rich Green, alors tout nouveau vice-président en charge des logiciels, avaient fait part de leur volonté de mettre gratuitement à disposition l'ensemble des sources Java de Sun. Afin d'éviter toute perte de contrôle, le fournisseur décidait en novembre de mettre son kit de développement à l'abri sous sa propre licence de développement et de distribution (Common Development and Distribution License). Aujourd'hui, Sun fait clairement le choix de GPLv2. Il espère ainsi convaincre les développeurs Linux d'intégrer Java à leurs OS. (...)

(09/05/2007 12:18:59)

Le vote électronique sera valide pour les élections des représentants du personnel

Un débouché grand ouvert pour les machines à voter ? Ou pour les développeurs d'extension de SIRH (système d'information et de gestion des ressources humaines) ? Depuis le 25 avril, date du décret et d'un arrêté d'application parus au Journal Officiel du 27 avril, la voie est libre pour l'organisation du vote électronique des salariés - sur place ou à distance - pour l'élection des comités d'entreprise et des délégués du personnel. Une modalité qui passe, cependant, par un accord d'entreprise ou un accord de groupe concernant le cahier des charges du dispositif. Au premier rang duquel figure l'implication des informaticiens (service interne et prestataires) en amont des élections (sécurisation, contrôle de conformité, etc.) et tout au long du processus. Le décret prescrit notamment la mise en place d'une cellule d'assistance technique « chargée de veiller au bon fonctionnement et à la surveillance du vote électronique », la formation des représentants du personnel et des membres du bureau de vote sur le système de vote électronique retenu, et une information des salariés - par notice détaillée - sur le déroulement des opérations électorales. Sur le même sujet : -Présidentielle : les machines à voter victimes de l'affluence, d'après leurs promoteurs -Présidentielle : les machines à voter perturbent les électeurs -Les machines à voter n'ont pas de base légale selon les jurists (...)

(09/05/2007 12:12:55)

SAP se paye OutlookSoft pour compléter ses applications financières

SAP va procéder au rachat de la société américaine OutlookSoft pour un montant non communiqué. L'éditeur allemand signe là sa volonté de renforcer son catalogue d'applications destinées à satisfaire les besoins des services financiers, la cible de l'acquisition étant spécialisée dans la gestion des performances des entreprises (CPM). OutlookSoft compte environ 205 salariés et 700 clients. L'acquisition pourrait être finalisée dans les trente jours. Au cours des deux dernières années, SAP a procédé à un nombre conséquent d'opérations visant à enrichir son offre applicative s'adressant aux directeurs financiers, l'une des briques principales de son progiciel de gestion intégré mySAP ERP 2005. En 2006, l'éditeur mettait la main sur Virsa Systems et fondait une division consacrée à la gouvernance et la gestion des risque. En février dernier, c'était au tour de Pilot Software de tomber dans le giron de SAP. Du côté de la concurrence, le marché des applications destinées aux directions financières est également prisé. C'est dans cette optique qu'il faut regarder l'acquisition d'Hyperion par Oracle, en mars 2007, pour 3,3 Md$ ou de Cartesis par Business Objects pour 300 M$. (...)

(09/05/2007 11:58:16)

Les Chinois ont réussi à utiliser l'encryptage quantique sur un réseau

Une équipe de chercheurs chinois appartenant au département Information quantique de l'Université de Science et Technologie de Chine, à Pékin, a utilisé l'encryptage quantique pour l'envoi de données sur un réseau. Les routeurs quantiques à photons développés sous la direction du professeur Guo Guangcan ont ainsi permis de transférer des informations, notamment multimédia, entre quatre utilisateurs du réseau commercial de l'opérateur China Telecom. Les distances entre les ceux-ci s'échelonnaient de 32 à 42,6 km. Selon le professeur Guo, l'information quantique ainsi transférée ne peut pas être copiée - toute tentative se soldant par la corruption des données - et toute tentative d'interception est facilement détectable, ce qui constitue un avantage considérable par rapport à la cryptographie traditionnelle. Certains observateurs font de plus remarquer que la cryptographie quantique constitue un excellent barrage contre la censure. Malheureusement, la technologie quantique ne permet pas actuellement des transmissions supérieures à 50 Km. (...)

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