Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 20151 à 20160.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(25/04/2007 16:42:00)
L'informatique au service de l'innovation
Les défis d'une informatique au service de l'innovation. Table ronde ::> 2ème partie (...)
(25/04/2007 16:38:00)L'informatique au service de l'innovation
Les défis d'une informatique au service de l'innovation. Table ronde ::> 1ère partie (...)
(25/04/2007 14:26:00)Interview vidéo de Nicolas Mercouroff Reponsable du positionement stratégique des activités convergence d'Alcatel-Lucent (depuis 2006)
Propos recueillis par Eddye DIBAR, Journaliste, www.reseaux-telecoms.net (...)
(24/04/2007 18:07:58)Salesforce ouvre sa plateforme aux autres logiciels
Avec l'annonce de Salesforce Platform Edition, sa nouvelle plate-forme en ligne, Salesforce ouvre aux entreprises l'accès à son langage Apex, à sa technologie d'intégration, ainsi qu'à d'autres outils, sans leur demander pour autant de s'abonner à son application de gestion de la relation client (GRC). Ce faisant, il fournit aux éditeurs indépendants souhaitant développer des applications à exploiter en ligne (sous la forme d'un service - SaaS, software as a service) un cadre qui s'affranchit totalement de la GRC, sa sphère de prédilection. Dans la foulée, il s'apprête donc à concurrencer des éditeurs traditionnels qui n'évoluaient pas sur son marché jusque-là. Et Marc Benioff, président de Salesforce, d'affirmer avec satisfaction que « cette annonce hisse Salesforce au rang de fournisseur de plateforme de développement ». De nouvelles catégories d'utilisateurs En modifiant ainsi la stratégie qu'il avait adoptée depuis la création de la société, Salesforce élargit sensiblement la cible de ses clients. Cette fois, il veut s'adresser aux directions des ressources humaines, aux directions financières, ou encore, aux équipes de recherche et développement, autant de départements qui n'utilisent généralement pas de fonctions de GRC. La nouvelle offre donne également la possibilité d'utiliser les outils de programmation Apex pour personnaliser et intégrer des applications achetées sur AppExchange, la place de marché de Salesforce, toujours sans avoir acquis de licence d'utilisation des applications de GRC. « Jusqu'alors, les clients devaient souscrire un abonnement pour utiliser les logiciels développés par nos partenaires et accessibles sur notre plateforme », rappelle Ariel Kelman, directeur marketing de la plateforme Apex. Ce n'est plus le cas. Quant aux développeurs choisissant de concevoir des applications pour la solution Salesforce, ils bénéficieront de l'importante dynamique générée par l'éditeur. En contrepartie, le choix de la plateforme Salesforce les contraindra à s'adapter au cadre fourni. La version Enterprise de la Salesforce Platform Edition est d'ores et déjà accessible à partir de 50 $ (environ 37 €) par utilisateur et par mois. La version Unlimited revient à 100 $ (environ 74 €), par utilisateur et par mois. (...)
(24/04/2007 18:07:46)Présidentielle : les machines à voter perturbent les électeurs (mise à jour)
Cet article a été complété d'un reportage vidéo à Issy-Les-Moulineaux Des files d'attente interminables, des électeurs mécontents, des personnes âgées perdues : le bilan des machines à voter pour le premier tour de l'élection présidentielle est loin d'être positif. Certes, le taux de participation a largement dépassé les estimations, mais ce seul fait ne suffit pas à justifier les difficultés auxquelles ont été confrontés les électeurs. A Issy-les-Moulineaux, par exemple, chaque bureau de vote n'était équipé que d'une seule machine à voter. Un nombre vraisemblablement insuffisant qui a provoqué de longues files d'attentes jusque sur les trottoirs. D'autant que de nombreux administrés, au premier rang desquels les personnes âgées, ont éprouvé des difficultés à saisir le mode de fonctionnement des ordinateurs de vote. « Cette situation paraît tout à fait invraisemblable, explique un habitant d'Issy. Il paraît incroyable qu'on ait pu fabriquer des machines aussi peu performantes et que la procédure d'enregistrement soit faite en dépit du bon sens. Le problème n'est pas la confiance dans le vote mais dans le rendement extrêmement bas de cette machine ». Amiens et Saint-Malo reviennent aux urnes La question de la sécurité et de la sincérité des résultats ne semble pas avoir inquiété les électeurs qui, à l'image d'une administrée de la commune conduite pas André Santini, explique que « si ça existe, c'est que ça fonctionne », tout en reconnaissant n'avoir aucun moyen de vérifier que le vote enregistré correspond bien à son choix. Désireux d'avertir les électeurs sur les failles que peuvent présenter les machines, deux habitants d'Issy avaient entrepris une campagne d'affichage dans la ville ainsi qu'une distribution de tracts. Deux initiatives que n'a guère goûté le maire : celui-ci s'est tourné vers le tribunal de grande instance et a fait condamner ses deux administrés à cesser leurs actions. Face aux difficultés rencontrées à l'occasion de ce premier tour de scrutin et aux polémiques nées avant même que l'élection n'ait lieu, plusieurs communes ont jugé préférable de revenir aux traditionnelles urnes. C'est notamment le cas de Saint-Malo : « le maire a décidé de revenir au papier pour le second tour et pour les élections législatives », explique-t-on à l'hôtel de ville. Une démarche qu'avait déjà suivie Amiens, avant le premier tour. La cité picarde a indiqué avoir tenu compte de « la réticence exprimée par de nombreux administrés à l'égard de ce nouveau système de vote ». La semaine dernière, ES&S, le fabricant d'un des trois modèles de machines retenues pour équiper les bureaux de vote, avait remplacé tous les appareils distribués jusqu'alors après qu'il eut été attesté que ces machines ne correspondaient pas à l'agrément reçu en 2005. (...)
(24/04/2007 17:54:13)Gestion de contenu Web : SDL International absorbe Tridion
L'éditeur SDL International annonce le rachat de la société Tridion, spécialiste de la gestion de contenu Web, pour 69 M€. L'Anglais SDL International (presque 95 M£ de CA en 2006, soit 140 M€ environ) propose un ensemble de plateformes liées à l'internationalisation (i18n) et au multilinguisme des informations. Il dispose également dans son portefeuille applicatif du logiciel Trados, réputé dans le monde de la traduction professionnelle pour sa capacité de gestion des terminologies. Tridion, quant à lui, développe R5 - son produit phare -, une solution professionnelle de gestion de contenu Web, qui inclut notamment des fonctionnalités de marketing ciblé. La société hollandaise a réalisé un chiffre d'affaires de 21 M€ en 2006. Joint par lemondeinformatique.fr, Erik Aeyelts Averink, vice-président du marketing et du développement chez Tridion, explique que les deux sociétés, déjà partenaires technologiques, partageaient le même type de clients. "Nous vendons tous les deux aux grands comptes ayant des stratégies de contenu internationales. Nous savions également que nos clients respectifs utilisaient nos solutions séparément. R5 était notamment intégré avec les produits de SDL", argumente-t-il. La transaction, encore sujette à l'approbation des actionnaires, devrait être finalisée au deuxième trimestre 2007. A terme, Tridion deviendra une division indépendante de SDL. Et devrait, explique Erik Aeyelts Averink, profiter du vaste réseau à l'international de SDL, pour s'agrandir. (...)
(24/04/2007 17:54:33)Red Hat oriente l'offre JBoss vers les SOA avec Metamatrix
Red Hat a conclu un accord pour racheter les actifs de Metamatrix, éditeur d'une solution d'intégration et de gestion des données. L'offre Metamatrix sera immédiatement injectée dans la plateforme middleware de Red Hat, dont une version remaniée, JBoss Enterprise Application Platform, sera annoncée ce soir. Avant une évolution en profondeur, JBoss Enterprise SOA Platform, annoncée pour la fin de l'année. Metamatrix se classe régulièrement dans les tableaux des offres d'EII (Enterprise information integration) et de MDM (Master data management) réalisés par la presse ou les analystes. Le but des logiciels du premier segment est de fournir une vue unifiée des données en temps réel. Les logiciels du second segment servent de référentiel, en apportant une couche sémantique, afin que toutes les applications fassent bien référence aux mêmes données. Dans tous les cas, il s'agit de couches essentielles pour une offre SOA (architectures orientées services), qui doit intégrer processus, services et données. Metamatrix était partenaire de SAP qui complétait ainsi son middleware Netweaver, avant que l'éditeur allemand ne rachète Callixa fin 2005. (...)
(24/04/2007 17:34:38)Des manques inquiétants de relais économiques dans le maillage local de Saclay-Orsay
Le rapport Lagayette sur le devenir du territoire de Saclay-Orsay, remis au ministère de la recherche il y a quelques jours, est préoccupant. Le sud de l'agglomération parisienne dispose en effet d'atouts indispensables pour pouvoir devenir l'un des pôles d'excellence scientifique mondiaux, en accueillant de nombreux centres de recherche et d'enseignement supérieur mondialement reconnus, ainsi que d'importants équipements scientifiques. Ce territoire est partie prenante de trois pôles de compétitivité de dimension mondiale : Systematic, Medicen, et Moveo. Ses laboratoires participent à trois des treize RTRA (Réseaux thématiques de recherche avancée) : Triangle de la Physique, Digiteo Labs et Neurosciences. Enfin, le gouvernement a décidé le transfert de l'Ecole Nationale Supérieure des Techniques Avancées et de l'Ecole Nationale de la Statistique de l'Administration Économique sur le site de l'Ecole Polytechnique. C'est avec l'objectif de faire du pôle Saclay-Orsay un territoire mondialement reconnu que le Premier ministre avait confié à Philippe Lagayette (PDG de JP Morgan France et président de l'Institut des hautes études scientifiques) une mission de recensement et de programmation des équipements nécessaires. L'état des lieux est critique. Dès l'introduction en effet, l'analyse de Philippe Lagayette est sans ambiguïté : « Il est clair que des améliorations très sensibles ont été enregistrées depuis deux ans, en particulier par les progrès de la coopération entre les acteurs scientifiques. Mais l'urgence, liée à la compétition internationale, est elle aussi en croissance. L'organisation des multiples acteurs du territoire, toujours tributaire du contexte français traditionnel, est encore trop complexe. Il faut donc accélérer les efforts entrepris si l'on veut éviter que la dynamique retombe et que l'occasion de s'imposer parmi les principaux pôles d'excellences européens soit perdue. » Le problème ? Trouver les voies pour que les débouchés technologiques se concrétisent Certes, si l'aspect scientifique n'est pas remis en cause, le rapport indique de graves manques, notamment sur le plan des relais économique : « le problème n'est plus de concevoir mais de trouver les voies pratiques pour que les débouchés technologiques se concrétisent. » Et Lagayette d'enfoncer le clou : « Le territoire de Saclay n'a pas pour le moment l'image d'une zone d'activité économique intense. Le décalage avec le potentiel scientifique est net (...) Il ne s'agit donc pas de créer quelque chose de radicalement nouveau, mais de changer radicalement d'échelle. Rappelons d'abord que l'interface entre économie et recherche passe par de multiples canaux, formels ou informels. Bien sûr, ils doivent tous continuer à fonctionner et il faut les multiplier. Ce n'est donc que pour simplifier l'exposé que l'on distinguera deux grands aspects de l'action à entreprendre : attirer sur le territoire des laboratoires privés et des entreprises ; favoriser la création d'activités économiques nouvelles à partir d'idées nées dans les laboratoires. » Inventer des clusters à la française ? La critique d'un maillage territorial déficient est à peine voilée, le modèle du « cluster » anglo-saxon (regroupement sur un même site d'entreprises liées à des pôles de recherche) pris en exemple. Et que dire de l'interconnexion des établissements, que l'on pourrait croire acquise, mais qui, dans les faits, est loin d'être systématique ? « L'installation de réseaux de communication à haut débit interconnectés entre les établissements du territoire et en liaison avec le reste du monde est également une condition indispensable de la poursuite du développement scientifique. Les établissements qui ne seront pas connectés aux réseaux de communication à très haut débit se trouveront isolés. » En creux de la démonstration, il faut s'interroger sur les pôles de compétitivité, PRES et autres RTRA, si ces structures qui dévorent les sommes budgétaires allouées ne donnent aucun résultat concret. Philippe Lagayette préconise donc des investissements et une refonte économique. L'Etat semble avoir pris en compte ses demandes. Ainsi plus de 20 projets scientifiques ont été inscrits au CPER (Contrat de projet Etat-Région) représentant plus de 220 millions d'euros de financement. Mais ce n'est pas suffisant, et l'économique doit maintenant prendre le relais : « Sur tous ces éléments, des progrès décisifs devraient être faits au cours de cette année. Car le temps presse. Même si beaucoup de chemin a été parcouru en peu de temps, après une longue période d'hésitation, la compétition mondiale s'accélère aussi, et les retards pris seraient très difficiles à rattraper, » conclut Philippe Lagayette. Sur le même sujet : Digiteo: la recherche en informatique a désormais un nom Ingeniérie@Lyon: Sous label Carnot, un potentiel de recherche et d'innovation ouvert aux PME Les gazelles, partenaires de recherche publique vont très loin dans l'innovation (...)
(24/04/2007 17:34:14)CA World : CA intègre Wily en douceur dans son modèle unifié
Un peu plus d'un an après son achat de Wily Technologies, CA a présenté lors de sa conférence annuelle CA World les premiers fruits de cette acquisition. Il s'agit de trois séries d'outils d'administration. CA Application Performance Management, qui combine Wily Introscope et Wily Customer experience manager, gère la performance et la disponibilité des applications, portails et architectures de services (SOA). CA Incident and Problem Management automatise la détection et la résolution de problème liés à la disponibilité et à la performance des applications. Et CA Service Level Management adapte les services de l'entreprise à ses besoins et ses capacités financières. Ces trois produits, qui devraient être totalement intégrés et agrégés dès cet été au reste de la gamme, sont une nouvelle étape de CA dans son Unified Service Model. Celui-ci vise à intégrer sous 18 mois les logiciels en provenance d'éditeurs acquis par CA dans les produits maisons. Et, à terme, à fournir aux clients de CA une interface unique pour gérer leurs services IT. «L'Unified Service Model fournit plus que la connaissance des biens IT disponibles et leurs liens entre eux. Il indique qui a accès à quels services, à quel prix et l'identité des utilisateurs effectifs des services, » explique Ajei Gopal, directeur général Entreprise Systems Management chez CA. Une fois ce modèle totalement en place, CA devrait commercialiser des produits « d'automatisation intelligentes » dans les 12 mois qui suivent. Ces produits se servent de l'identité des différents composants du système d'information - matériels comme logiciels - pour en automatiser la maintenance et l'administration suivant les politiques de l'entreprise. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |