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(28/11/2005 17:35:35)
France Télécom lance Oleane Backup, sa solution de backup à distance pour les PME
France Télécom a lancé jeudi 24 novembre son offre de sauvegarde en ligne pour les PME, Oléane Backup. L'offre s'appuie sur des systèmes de stockage redondants répartis dans deux centres informatiques distants et elle permet aux entreprises d'assurer la sauvegarde des postes clients Windows à la fréquence choisie par les clients. En cas de perte d'un fichier, les utilisateurs peuvent restaurer leurs données en ligne simplement grâce au logiciel de sauvegarde, via n'importe quelle connexion Internet. France Télécom positionne Oléane Backup comme une solution idéale pour les utilisateurs nomades et les télétravailleurs. L'opérateur facture le service de façon dégressive selon le nombre d'utilisateurs et en fonction du volume de données sauvegardées. Un pass utilisateur coûte ainsi 9E par mois en deçà de 5 utilisateur mais 3E au delà de 100 utilisateurs. De même le Gigaoctet sauvegardé est facturé 6 E en deça de 5 Go, mais 1,5 E au delà de 100 Go... Le service est administrable au travers d'une interface web et l'administrateur peut commander des restaurations de données sur CD-Rom ou DVD-Rom (13 E 38 E selon le support et le mode d'envoi retenu), à des fins d'archivage ou pour disposer de clones de ses données sur site. Il est à noter que l'ensemble des données sauvegardées sont cryptées lors de l'enregistrement et décryptées à la volée en cas de restauration afin d'assurer leur confidentialité. (...)
(28/11/2005 17:34:10)Pillar Data Systems arrive en France
Pillar Data Systems, le constructeur de systèmes de stockage financé par la société de capital risque de Larry Elisson, a fait ses débuts en France à l'occasion du salon Storage Expo, qui se tenait en fin de semaine passée à Paris. Pillar qui revendique un rapport performance/prix très supérieur à celui de ses concurrents a fait la démonstration de ses systèmes Axiom aux visiteurs du salon. L'Axiom est en fait une baie Serial-ATA capable de fournir des services SAN et NAS. Ce système modulaire se compose de contrôleurs indépendants, les Slammers, de sous-systèmes disques, les Bricks , et d'une interface d'administration unifiée, le Pilot. Selon leurs besoins, les clients peuvent assembler un système sur-mesure composé de plusieurs briques et de contrôleurs SAN Fibre Channel et NAS Ethernet pour bénéficier de l'ensemble des services sous une interface unifiée. Chaque contrôleur (ou Slammer) embarque quatre processeurs redondants en configuration active/active. Un même système peut incorporer jusqu'à quatre contrôleurs. Au total, le système peut également accueillir jusqu'à 96 Go de cache contre 4 à 8 pour les systèmes modulaires d'EMC, HP ou IBM. Selon Pillar, son système NAS supporte aussi un principe de Global Namespace qui permet d'agréger plusieurs contrôleurs sous un système de fichiers unique. Vous avez dit virtualisation ? (...)
(28/11/2005 17:33:28)l'ADTITE veut fédérer les distributeurs et d'intégrateurs Télécoms et réseaux
Une vingtaine de distributeurs, intégrateurs et revendeurs spécialisés dans les réseaux et télécoms et dans les nouvelles technologies de l'information viennent de s'unir au sein de l'ADTITE (Association des Distributeurs des Technologies de l'Information et Télécoms aux Entreprises). Basée à Lyon, l'association se donne pour but de fédérer les sociétés de services, intégrateurs, installateurs privés, revendeurs, conseils, SSII, VARS, agents commerciaux, distributeurs, concessionnaires, agissant sur le secteur des réseaux et télécommunications et des technologies associées. Elle vise à créer un label de qualité pour garantir aux entreprises clientes le professionnalisme de ses membres, mais aussi à assurer la promotion et la défense des intérêts moraux et professionnels de ses adhérents vis-à-vis des fournisseurs et notamment des opérateurs télécoms. Un assez grand nombre d'intégrateurs et de revendeurs du secteur des réseaux et télécoms, spécialisés dans le service aux PME, ont été victimes de pratiques parfois contestables des opérateurs, lors de l'explosion de la bulle internet et de la concentration à marche forcée qui s'est opérée sur le marché français. Comme l'explique Philippe Fontfrède, le président de l'association, les distributeurs sont un maillon essentiel pour la fourniture de services aux entreprises, car les opérateurs n'ont pas la surface nécessaire pour couvrir les 2,5 millions de PME hexagonales. Ils jouent ainsi un rôle essentiel de conseil et de formation auprès des PME, et sont un maillon indispensable entre les fournisseurs et les entreprises clientes. L'ADTITE aura pour but de valoriser ce rôle mais aussi d'assurer de constituer un contrepoids de taille face à la concentration des opérateurs sur le marché français. (...)
(28/11/2005 17:31:52)Le marché français des solutions de sécurité croît de 17 % en 2005
La croissance du marché français des solutions de sécurité devrait atteindre 17,4 % en 2005, à 1113 ME, après s'être élevée à 15,5 % en 2004. C'est l'une des principales conclusions d'une étude réalisée par le cabinet IDC France. Si l'étude indique que la croissance du budget consacré à la sécurité augmente, elle révèle également que la part ces dépenses progressent plus rapidement que l'ensemble des budgets IT. Ainsi, en 2004, les dépenses informatiques globales ont crû de 3,2 % alors que celles liées à la sécurité gagnaient 15,5 %. Ces dernières représentaient 2,4 % de l'ensemble de la facture IT des entreprises et des administration en 2004, un taux qui devrait atteindre 2,7 % en 2005. Plus de la moitié des dépenses en sécurité sont liées aux services. Avec 530 ME en 2004, ils affichaient une progression de 15 % sur un an et constituaient 56 % du budget global. Si ce taux devrait reculer d'un point cette année, la facture des services affichera néanmoins une progression comparable à celle de 2004 pour s'aligner à 612 ME. Les appliances ont marqué le marché de la sécurité en 2004 avec une croissance de 28 %, à 70 ME, soit 7,4 % des dépenses totales. En 2005 cette hausse devrait s'accélérer : le budget consacré aux appliances atteindra ainsi 96 ME, soit 8,6 % des dépenses globales liées à la sécurité et progressera de 37 % sur un an. Enfin, la facture des logiciels - 348 ME en 2004, en hausse de 14 % - passera à 405 ME cette année, soit une croissance de 16,4%. Ce marché est porté par les solutions de gestion sécurisée du contenu qui représentent 46,1 % des dépenses liées aux solutions en 2005, contre 45 % en 2004. (...)
(28/11/2005 19:00:20)Les partisans du libre enragent contre une proposition d'amendement au projet de loi sur le droit d'auteur
Le projet de loi sur le droit d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information n'en finit pas de faire des remous. Après les critiques de plusieurs sociétés de droits d'auteurs comme l'ADAMI ou la SPEDIDAM, de nombreuses associations de consommateurs et de syndicats, le projet déclenche la colère des partisans de l'open source. Lors d'une réunion du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), qui se tenait vendredi 18 novembre 2005 au ministère de la Culture, des représentants de la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques) et du SNEP (Syndicat de l'édition phonographique), en l'occurrence Frédéric Goldschmidt et Marc Guez, auraient déclaré au représentant de la communauté du libre " Vous allez changer vos licences ". Thierry De Surmont, le représentant de la SACEM, aurait quant à lui déclaré « Vous allez arrêter de publier vos logiciels » avant de se déclarer prêt à « poursuivre les auteurs de logiciels libres continuant de divulguer leur code source ". L'objet du litige entre les principaux soutiens des majors du disque et du cinéma et les partisans du libre et le DRM (Digital Rights Management), la technologie qui permet de protéger un contenu numérique et d'en contrôler la "consommation" par son utilisateur. DRM et logiciels libres sont par nature antinomiques. Comme l'explique Loïc Dachary, pour la Free Software Foundation France, " l'industrie de la culture demande la généralisation des DRM et souhaite contrôler des utilisateurs. L'objectif du libre est de laisser les gens en contrôle de leurs logiciels". Selon Dachary, "Il ne peut y avoir que des solutions sociales au problème de la diffusion des contenus numériques. La technique ne peut pas remplacer la loi. (...)La seule chose que l'on nous propose avec le DRM est de mettre toutes les oeuvres numériques sous verrous et de confier les clés à quelques multinationales. Au pays du droit d'auteur, c'est difficilement acceptable". Dans la ligne de mire des partisans de l'open source figure notamment une proposition d'amendement poussée par la SACEM, Vivendi Universal, le BSA et la division contenus de France Télécom qui stipule : 1er. Le fait, en connaissance de cause, d'éditer ou de mettre à la disposition du public, sous quelque forme que ce soit, un logiciel manifestement destiné à la mise à disposition non autorisée au public d'oeuvres ou d'objets protégés par un droit littéraire et artistique qui ne comprend pas les mesures pour, en l'état de la technique, préserver ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé" soit pénalisé. 2° Le fait d'éditer ou de mettre à la disposition du public, sous quelque forme que ce soit, un logiciel autre que celui visé au 1° ci-dessus, dès lors que, ayant connaissance de ce que ledit logiciel est manifestement utilisé pour la mise à disposition non autorisée au public d'oeuvres ou d'objets protégés par un droit littéraire et artistique, l'éditeur n'a pas pris les mesures pour, en l'état de la technique, préserver ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. 3° Le fait, en connaissance de cause, de promouvoir directement la mise à disposition du public sous quelque forme que ce soit ou l'utilisation d'un logiciel visé au 1° et 2° ci-dessus. 4° Les dispositions ci-dessus s'appliquent sans préjudice de l'application des dispositions de l'article L121-7 du Code Pénal et de celles propres à la loi du 21 juin 2004. Il est à noter que selon Christophe Espern, le fondateur d'EUCD.Info, qui était présent à la réunion avec mandat des licences Creative Commons, le but des majors est de faire insérer l'amendement ci dessus dans le texte de loi par des parlementaires pendant la discussion en urgence de la loi DAVDSI, qui devrait arriver au parlement pendant les fêtes de Noël. Le texte enterrait largement le concept d'exception de copie privé tel qu'on le connaît aujourd'hui, entre la dinde et les marrons et menacerait dans sa rédaction actuelle l'avenir du logiciel libre. Face aux enjeux, Christophe Espern demande au premier ministre, au nom de la FSF France de lever l'urgence sur le projet de loi DADVSI pour donner une chance au débat démocratique et empêcher le passage du texte en l'état. (...)
(25/11/2005 17:22:38)Alliance NEC-Stratus dans les serveurs à tolérance de pannes.
le constructeur japonais NEC et l'Américain Stratus, un spécialiste des serveurs à tolérance de pannes, ont conclu un accord de coopération d'une durée de 10 ans. Dans le cadre de cet accord, Stratus et NEC vont co-développer de nouveaux serveurs à haute disponibilité et mettre en commun leur propriété intellectuelle. NEC, qui détient déjà une part du capital de Stratus, va aussi investir 9 M$ supplémentaires dans son partenaire et porter ainsi sa participation à environ 3% du capital de Stratus. L'accord, conclu ce vendredi 25 novembre à Tokyo renforce les accords de coopération déjà existants entre les deux sociétés et devrait donner naissance à une nouvelle famille de serveurs dont les premiers exemplaires sont attendus pour la fin 2006. Dans le cadre du partenariat, NEC devrait notamment développer un chipset qui sera le coeur des nouveaux systèmes à tolérance de panne conçus par les deux sociétés. Les serveurs seront fabriqués dans l'usine de NEC à l'Ouest de Tokyo et revendus par Stratus aux Etats-Unis et par NEC au Japon. Les deux sociétés espère vendre un total de 20 000 serveurs à tolérance de pannes dans le monde d'ici à 2008. (...)
(25/11/2005 17:20:32)Antitrust Microsoft : la FSF s'invite à la fête
La Free Software Foundation Europe (FSFE) demande à être autorisée à déposer contre Microsoft dans l'appel que ce dernier a interjeté à l'occasion du procès antitrust initié par la Commission européenne. Selon Carlo Piana, un des avocats de la FSFE, la fondation, dont certains membres oeuvrent sur le projet Samba, a soumis une requête à la Cour européenne de Justice afin d'être autorisée à intervenir lors du second appel de Microsoft contre les décisions de la Commission. L'éditeur de Redmond avait notamment été condamné à devoir publier les spécifications de certains de ses protocoles clés à d'autres sociétés. Microsoft estime que cela impliquerait la divulgation de secrets commerciaux et permettrait à des concurrents de développer des produits susceptibles de remplacer ses propres solutions. Pour la FSFE et Samba, en revanche, être privé du droit de développer des produits revient à se trouver dans l'incapacité d'entrer en concurrence avec les solutions de Microsoft. La FSFE est l'une des dernières organisations à s'opposer au géant du logiciel dans cette procédure antitrust. Un à un, les précédents plaignants ont en effet renoncé à leurs poursuites, à l'image de RealNetworks, Novel ou de la Computer and Communications Industry Association (...)
(25/11/2005 17:19:29)Données personnelles : les députés européens contre le stockage supérieur à un an
Le projet de directive discuté par le Parlement et les 25 gouvernements des Etats membres prévoit de doter police et services de renseignements de davantage de moyens dans leur lutte contre le terrorisme. Les 25 exécutifs membres de l'Union européenne ont soutenu le projet visant la conservation pendant deux ans des données relatives aux appels téléphoniques et pendant six mois pour celles liées à Internet. Des délais que les eurodéputés membres de la Commission des libertés civiles ont estimé trop longs. Ils ont alors amendé le projet pour ramener la période de conservation des données à douze mois. Ils ont également établi que le stockage de ces données doit intervenir uniquement dans les cas de crime sérieux et non pour n'importe quelle infraction comme l'auraient souhaité les gouvernements européens. Et comme l'auraient également désiré les sociétés d'édition musicale qui ont activement réclamé l'utilisation des logs Internet comme base de poursuite des auteurs de téléchargements illégaux. La Commission des libertés civiles a, d'autre part, souhaité que les gouvernements soient tenus de dédommager les FAI et les opérateurs des coûts engendrés par le stockage des données et leur mise à disposition aux agences de renseignement. Les parlementaires européens, enfin, entendent rendre optionnelle la conservation des données téléphoniques en cas d'appel infructueux. Selon un porte-parole du gouvernement britannique, qui occupe actuellement la présidence de l'Union, les Etats membres sont opposés à presque toutes les modifications suggérées par les parlementaires. Et plus particulièrement en ce qui concerne les délais de conservation et le remboursement des coûts. C'est maintenant au tour des ministres européens de la justice et de l'intérieur de se réunir, le 1er décembre, à Bruxelles, pour finaliser leur position et tenter d'infléchir les amendements des députés. (...)
(25/11/2005 17:27:53)Cobit, Itil et ISO 17799 sur un pied d'égalité
L'ITGI, en collaboration avec l'Office of Government Commerce britannique, vient de publier un document intitulé "Aligner Cobit, Itil et ISO 17799 dans l'intérêt des affaires". Autrement dit un document directeur indiquant comment associer normes, bonnes pratiques, recommandations et méthodes traitant de gouvernance des systèmes d'information, afin que les buts de ces textes parviennent à concorder et à se compléter. 62 pages denses de textes et surtout de tableaux établissant les correspondances entre Cobit et Itil, Itil et ISO à Cobit... bref, du « cross reference » aussi ardu que rigoriste. (...)
(25/11/2005 17:29:50)Au prochain hack, je plaque mon banquier !
La moitié des clients d'organismes financiers sont prêts à quitter leur banquier s'ils sont victimes d'un vol d'identité selon une étude commanditée par Sun et obtenue par nos confrères de TechNewWork. Plus surprenant encore, 83% des sondés pensent qu'ils sont potentiellement plus exposés durant les périodes d'achat des fêtes de fin d'année. 67 % des clients utilisant des services de vente en ligne pensent abandonner cette pratique s'ils apprennent qu'ils ont été victimes d'un vol d'identité. Précisons que ce sont là les résultats d'un sondage d'opinion. L'étude de Kenneth F. Belva, publiée en septembre dernier, tendait à prouver que, dans les faits, les clients étaient littéralement captifs des organismes financiers. Si l'impact à court terme pouvait éventuellement provoquer quelques légers soubresauts boursiers, les situations les plus dramatiques se concluent souvent par un happy end, sans perte de confiance boursière, sans hémorragie de client. Après un peu chaud et froid, continuons dans le show effroi en rappelant cette série d'articles relatant des études et sondages signés Forrester ou The Register, lesquels donnaient un éclairage assez catastrophiste de la situation en défaveur des banques. (...)
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