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(25/01/2011 14:22:10)
Le cloud au coeur de l'entreprise avec HP Hybrid Delivery
« Avec Hybrid Delivery, nous proposons une fondation permettant de s'appuyer sur l'existant pour aller vers le cloud, privé et public, tout en prenant soin de la gouvernance et des applications existantes », nous a expliqué Xavier Poisson Gouyou Beauchamps, directeur commercial cloud computing chez HP Europe lors d'une conférence de presse à l'Innovation Center de Genève. Il s'agit bien de combiner un système d'information traditionnel, reposant sur une infrastructure HP ou autre, et des services innovants exploitant une architecture cloud.
Après de deux années tendues, les entreprises, principalement les DAF (directeur administratif et financier), sont toujours à la recherche des leviers qui leur permettront de baisser les coûts de production et de mieux répondre aux demandes des utilisateurs. « A l'issue d'une période de crise, les entreprises veulent aller de l'avant, mais ne savent pas comment s'adapter rapidement aux évolutions du marché », souligne Ian Brooks, directeur marketing solutions et industries chez HP Europe. Les responsables chez HP ont bien compris que la révolution cloud n'est pas une remise en question radicale des ressources IT de l'entreprise, mais une évolution à long terme.
Adapter les usages au cloud
Pour accompagner progressivement la transformation des entreprises, HP mise sur sa solution Hybrid Delivery. Seul bémol, seules les solutions du constructeur de Palo Alto sont concernées. Pour opérer cette consolidation avec la création d'un cloud privé qui pilotera l'ensemble des ressources de l'entreprise, HP utilise ses stacks maison, à savoir Blade System Matrix, les logiciels Cloud Service Automation et Cloud Services, et enfin des API qui permettent de se connecter aux clouds public d'Amazon et d'Enterprise Service (sur le site de L'Isle-d'Abeau pour l'Europe) pour l'instant. Et pour gérer les environnements hétérogènes des clients, HP s'appuie sur des agents systèmes installés sur les machines et en cas de problèmes insolubles, des accords entre constructeurs permettent de régler les dysfonctionnements, nous a précisé Mark Wilkinson, responsable des pratiques cloud chez HP Software Services.
Avec sa solution Hybrid Delivery, le constructeur de Palo Alto ambitionne de créer de nouvelles sortes d'entreprise, mais le cloud n'est pas qu'une approche technologique. Il est également nécessaire de refondre les usages et les pratiques. « Les laboratoires de recherche de HP, le Cloud Computing Competence Center à Grenoble par exemple, peuvent accompagner les DSI dans la transformation de leur entreprise avec des ateliers et un support dédié », précise Ian Brooks. « Toutes les grandes entreprises étudient aujourd'hui les bénéfices qu'elles pourraient tirer d'un cloud. Une vision globale du cloud est nécessaire, car ce n'est pas un simple bloc de plus dans les ressources IT ». Avec son offre Hybrid Delivery, HP propose un cloud privé comme un service qui donne aux clients la possibilité de mixer des services internes, clouds privé et public.
Déployer un catalogue de services SAP
A titre d'exemple, HP a invité dans son centre de Genève Tobias Imhof, directeur des opérations et services SAP chez Resource AG, une filiale de Swisscom, qui a déployé la plate-forme Hybrid Delivery. Cette société qui a réalisé un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros en 2010 propose des solutions SAP à destination des PME. Avec la solution Hybrid Delivery, Tobias Imhof a développé de nouveaux services reposant sur un catalogue à la demande disponible pour tous les clients. [[page]]L'objectif était d'éliminer les silos et de réduire les prix des contrats proposés. « Les clients ne paient que pour les ressources dont ils ont réellement besoin et le délai de déploiement des projets est passé de 6 semaines à 2/7 jours. L'adaptation des employés ne demande plus qu'une semaine au lieu de 6 à 12 semaines. »
Resource AG propose tous les modules SAP à ses clients sur les environnements Windows, Solaris et Aix. En terme d'infrastructures, la compagnie a pour l'instant installé un Blade System Matrix, bientôt épaulé par un second pour assurer une redondance complète. Neuf clients (de 50 à 1000 utilisateurs) exploitent déjà les ressources reposant sur la solution de HP chez Resource AG. Si la solution concerne avant tout les opérateurs et les 3 000 plus grandes entreprises dans le monde, elle répond par ricochet aux besoins d'un grand nombre de PME et d'éditeurs qui devront passer par un prestataire de type SSII.
Aujourd'hui, HP ne rencontre que peu de concurrents sur ce segment du marché, IBM et Cisco principalement, mais le passage au cloud est toujours freiné par les questions de sécurité, de disponibilité et de migration. Pour la sécurité, Xavier Poisson met en avant l'étanchéité des solutions proposées, tant au niveau applicatif que stockage avec la technologie 3Par. Pour la disponibilité, HP peut s'engager, après audit, sur des SLA très contraignants. Enfin la question de la migration ne se pose pas encore, mais il est vrai que tant que les machines virtuelles ne seront pas standardisées, il sera toujours difficile de passer de KVM à HyperV ou ESX.
Illustration principale : HP Blade System Matrix
Le CHU de Nancy mise sur EMC/Documentum pour stocker son imagerie
En 2010, le CHU Nancy a réalisé 280 000 examens radiologiques représentant 20 téraoctets(*). L'explosion du nombre et des volumes des images médicales numériques est devenue de fait une préoccupation au sein de l'établissement. Il s'agit en effet de garantir le stockage (et l'archivage), la disponibilité, le partage et la gestion du cycle de vie de chaque image en lien avec les examens et les patients concernés.
Le CHU avait de ce fait des exigences élevées en termes de performance globale du système mais aussi en termes de simplicité et d'évolutivité. Il a choisi une solution utilisant des outils non-spécifiques au secteur médical, garantissant la capacité d'évolution mais aussi de bascule aisée à un autre produit pour suivre les besoins métier.
Il a retenu la solution Health EMC Open Systems Archive d'EMC basée sur Documentum et intégrée par Bull. Au contraire des PACS (Picture Archive Communication Systems) propriétaires, les données peuvent en effet être aisément partagées ou récupérées. Chaque PACS est lié à un système d'imagerie envoie ses données Dicom (images, type JPEG par exemple, avec les métadonnées normalisées) / HL7 dans Documentum. Cet outil a été doté d'une connectivité IHE et d'un visionneur de radiologie (permettant la lecture des images Dicom).
Un centre unique de partage de données
Les images ne sont pas stockées dans la base de données, au contraire des pointeurs, index et métadonnées. L'usage d'un produit généraliste comme Documentum dote le système d'imagerie de fonctions avancées de GED et de gestion du cycle de vie des données (avec migration vers les supports les plus adéquats selon la fréquence d'utilisation). Surtout, chaque brique du système peut évoluer ou être remplacée sans remettre en cause l'architecture.
L'ouverture de la plate-forme permet d'y adjoindre autant de systèmes d'imagerie que nécessaire via des connecteurs, que les documents soient nativement numériques ou numérisés. Elle devient de fait le centre unique partagé entre tous les acteurs, pour l'instant internes à l'hôpital mais à terme sur l'ensemble du territoire couvert par le CHU. Le centre de lutte contre le cancer Alexis Vautrin fait d'ores et déjà partie du projet.
Le montant du projet n'a pas été dévoilé. Il sera totalement opérationnel courant 2011, le contrat ayant été conclu fin 2010.
(*) En France, l'an dernier, il a été réalisé 61 millions de radiographies, représentant 5 Po de données, soit 5120 To ou 5,24 millions de Go.
NetBeans 7.0 est attendu pour avril
La version 7.0 de l'environnement de développement intégré NetBeans doit sortir en avril. Cet IDE est tombé dans l'escarcelle d'Oracle avec le rachat de Sun. Son repreneur soutenait l'IDE de la Fondation Eclipse, principal concurrent, de même que son propre environnement Java, JDeveloper. Oracle a néanmoins continué à suivre NetBeans.
Disponible en version bêta depuis mi-novembre, il est prévu que cette version 7.0 supporte le JDK (kit de développement Java) 7, ce qui inclut Java SE 7 et, notamment, le projet Coin visant à produire un code plus concis.
Disposant d'une intégration améliorée avec les serveurs d'applications WebLogic et GlassFish 3.1, NetBeans 7.0 supporte la base de données d'Oracle, le moteur de production Maven 3 et HTML5. Un nouveau GridBagLayout (gestionnaire de placement des composants) permet d'améliorer le développement d'interfaces Swing. Améliorations également du côté de l'exécution et du débuggage des applications Java EE.
Une v.7.1 en septembre
Du côté d'Enterprise Java, NetBeans 7.0 inclut le support pour les services REST, la persistance Java, CDI (contexts & dependency injection) et pour des bibliothèques de validation Bean et JSF. Sont également incluses des capacités pour PHP et C/C++.
Une version 7.1 de l'environnement de développement est annoncée pour septembre. NetBeans fonctionne sous Windows, MacOS, Linux et Solaris. Cet IDE s'accompagne d'une plateforme permettant aux développeurs de bâtir des applications web, mobile, desktop ou serveur utilisant Java, JavaFX, PHP, JavaScript et Ruby, ainsi que d'autres langages. (...)
Annuels Esker : SaaS et internationalisation vecteurs de croissance
L'entreprise réalise 68% de son chiffre d'affaires à l'international. Il confirme sa présence aux Etats-Unis avec une croissance de ses filiales américaines de 10%, ainsi qu'en Europe (18% de croissance). Esker accentue sa présence internationale en Asie-Pacifique avec l'ouverture d'une nouvelle filiale en Malaisie. Avec l'adoption du SaaS, les filiales étrangères Esker ont enregistré une croissance de 56% de leur activité à la demande.
Esker annoncera ses bénéfices au mois de mars.
La Datar sélectionne 84 lauréats pour le 2ème appel à projet "Grappes d'entreprises"
C'est Bruno Lemaire, ministre de l'agriculture et de la pêche, mais qui a obtenu aussi l'aménagement du territoire lors du dernier remaniement ministériel, qu'est revenu le privilège d'annoncer les lauréats du 2ème appel à projets « grappes d'entreprises ». Rappelons que les « grappes » sont complémentaires des pôles de compétitivité, en étant situées sur des sites en zone rurale avec des TPE/PME comme acteurs.
Ce processus a été lancé à l'automne 2009 afin de soutenir une centaine de grappes d'entreprises. Le 1er appel, annoncé le 4 mai dernier, portait sur 42 grappes qui ont reçu 9 millions d'euros (ME). Les résultats du 2ème appel ont été annoncés vendredi dernier. 15 ME ont été attribués à 84 lauréats. Le lien ci-dessous permet de connaître la liste des lauréats et leurs coordonnées :
Liste des grappes d'entreprises pour le 2ème appel à projet
Le Ministère de Bruno Lemaire aura donc consacré 24 ME à ces deux appels à projet, la Caisse des dépôts et Oséo devraient compléter cette enveloppe. Le Ministère de l'Outre-Mer apportant 1,5 ME aux projets le concernant directement.
DCforData inaugure son datacenter mutualisé
La société DCforData a été créée à l'initiative de Nicolas Pitance. Un ancien directeur régional centre-est de l'opérateur Completel pendant dix ans, puis directeur d'une business unit au sein du Groupe Tyco dans la sécurité électronique. Il s'entoure d'une équipe également expérimentée en télécoms et sécurité sur la région Rhône-Alpes.
L'originalité du datacenter est d'être « carrier neutral », le seul dans ce cas sur le Grand Lyon, explique la société. Le client n'est pas obligé d'acheter des liens opérateurs par l'intermédiaire de DCforData. Il vient, il installe ses serveurs, mais garde le choix du ou des opérateurs qui lui conviennent et en change selon ses propres conceptions. DCforData entre en concurrence directe avec les opérateurs en place, surtout en région, qui proposent leurs capacités d'hébergement, mais à condition de prendre « aussi » leurs connexions. DCforData veut éviter à ses clients de se lier à un opérateur. Des clients entreprises, collectivités locales, mais aussi venus de l'IT : SSII, intégrateurs, SSLL, FAH, FAI....Le datacenter est étudié pour être relié aux plus grands réseaux. Sur la métropole lyonnaise, il est connecté à RMT, le réseau métropolitain de télécommunications, installé par le Grand Lyon (la Communauté de communes). De l'autre côté, il est relié aux réseaux nationaux et internationaux, par les réseaux télécoms de la société d'autoroutes APRR. Dans son projet de développement, la société prévoit d'ailleurs d'implanter ses futurs datacenter près des sorties d'autoroutes. (...)(25/01/2011 10:16:41)
Le e-commerce français progresse en 2010
Croissance à deux chiffres pour le secteur français du e-commerce. En 2010, et dans un contexte économique plus favorable, la population de cyberacheteurs a grimpé de 12% à 27,3 millions d'internautes (soit 3 millions d'acheteurs supplémentaires). La Fevad fait remarquer que le nombre de cyberacheteurs progresse plus vite que le nombre d'internautes (+9%). Conséquence, les achats en ligne ont représenté 31 milliards d'euros l'an dernier (+24%), contre un chiffre d'affaires global de 25 milliards en 2009, et 20 milliards en 2008. En tout, pas moins de 340 millions de transactions en ligne ont été enregistrées en 2010, soit 60 millions de plus que l'année précédente.
Le montant moyen d'une transaction s'est élevé à 91 euros en 2010, soit son niveau d'avant crise. En moyenne, un cyberacheteur réalise 12 transactions par an, pour un montant total estimé à 1 100 euros. Ces bons résultats s'expliquent par un « très bon premier semestre 2010 (+27%) et des ventes de Noël record avec plus de 6 milliards d'euros dépensés sur les sites de e-commerce français » indique la Fevad dans un communiqué.
100 000 sites marchands cette année
Le secteur a également profité d'une confiance en hausse des Français pour les commandes en ligne. En 2010, 65% des internautes ont été confiants dans le paiement sur Internet (+17%). Autres facteurs d'explication, l' « afflux massif d'internautes âgés de 65 ans et plus », qui sont 73% de plus à avoir déjà acheté en ligne par rapport à 2009. En 2010, la Fevad recensait 81 900 sites marchands actifs, soit une augmentation de 28% par rapport à 2009. En douze mois, pas moins de 17 800 nouveaux sites de e-commerce ont fleuri sur la Toile. Le cap des 100 000 sites devrait être franchi en cours d'année. A noter enfin, la catégorie tourisme signe la meilleure performance du e-commerce en 2010, avec une hausse des ventes de 20% sur un an.
Le bilan e-commerce 2010 a été réalisé à partir du panel iCE 40 composé de 40 sites marchands majeurs (3 Suisses, Alapage, Fnac, Nouvelles Frontières, Pixmania, Rue du Commerce, Surcouf, Voyages-sncf.com, etc.) et du panel des plateformes de paiement totalisant près de 80.000 sites (Atos Worldline, SP-Plus, Crédit Mutuel-CIC, Monext, Ogone, PayBox et PayPal).
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