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(26/01/2011 10:30:47)

Tibco lance une plateforme sociale taillée pour l'entreprise

Tibco se risque à son tour sur le terrain des solutions de réseaux sociaux d'entreprise, du type de celle que propose Salesforce.com avec Chatter. Sa plateforme, baptisée Tibbr, annoncée fin 2009, vient d'être lancée par l'éditeur à San Francisco. On y retrouve le concept, désormais familier, des flux d'informations. A ceci près qu'au lieu de suivre l'actualité de contacts, les utilisateurs vont suivre des sujets (données, domaines -Fig1 ci-dessous- ou événements -Fig2) qui auront été générés par les applications exploitées dans l'entreprise. Cette solution est disponible à la fois en mode SaaS, comme un service en ligne, et sous la forme classique d'une application à installer en interne.

Pour Ram Menon, vice-président exécutif du marketing de Tibco, cette approche est plus intéressante que de simplement s'attacher à des personnes ayant les mêmes centres d'intérêt. « Billy qui s'occupe des livraisons à San Diego ne connaît pas Joe qui fait la même chose à Hong Kong. Mais Samsung est leur plus gros client, donne-t-il en exemple. Par conséquent, un sujet intitulé « Livraisons Samsung » pourrait être créé qui afficherait des données provenant du système logistique que ces deux utilisateurs pourraient suivre à travers Tibbr ».
Tibbr de Tibco - suivre des sujets
Fig 1 - Cliquer ici pour agrandir l'image

Tibco a également cherché à améliorer le filtrage des informations. « Les priorités diffèrent : si mon patron publie une information, je veux en être informé en temps réel, explique Ram Menon. En revanche, s'il s'agit d'une actualité sur une campagne marketing, je souhaiterai en être informé le matin, et puis qu'on me l'envoie ensuite sur mon poste. »

La plateforme autorise aussi l'intégration des flux provenant de réseaux sociaux extérieurs à l'entreprise, tels que Facebook. En revanche, la récupération des données ne se fera que dans un sens, afin d'être certain de ne pas laisser sortir des données au-delà du pare-feu.
Tibbr de Tibco - événements remontés des applications
Fig 2 - Evénements remontant des applications

Support des annuaires d'entreprise


Tibbr se complète d'un framework de flux d'événements qui permettra aux responsables métiers de créer des sujets sans passer par le département informatique. Par exemple, un responsable des ventes peut vouloir créer un fil d'actualité mis à jour à partir des champs de l'application de CRM (gestion de la relation client). La plateforme inclut aussi le support de terminaux mobiles et des capacités d'intégration avec les annuaires d'entreprise LDAP et Active Directory de Microsoft, pour l'authentification des utilisateurs.

Cet ensemble de fonctionnalités est le fruit d'un développement qui s'est révélé finalement plus long que prévu, a confié Ram Menon lors de la présentation de la plateforme. Tibco a livré une première version bêta plusieurs mois après l'annonce initiale. Mais l'éditeur s'est vite rendu compte que plaquer des fonctionnalités popularisées dans le grand public ne fonctionnait pas forcément pour l'entreprise, reconnaît le vice-président marketing monde. « Dans les secteurs industriels très régulés, les clients étaient très réticents à voir leurs conversations très privées flotter dans l'atmosphère. Tibco a donc estimé qu'il fallait en proposer une version à installer en interne. » Mais dès que vous parlez de « on premise », vous retombez tout de suite dans des projets qui s'étalent sur six mois. « Nous avons donc travaillé là-dessus ». En utilisant son expertise middleware, Tibco a développé des méthodes qui permettent à Tibbr de fonctionner sur des systèmes « on premise » en quelques heures, de façon assez comparable avec ce que proposerait une version SaaS, assure Ram Menon.[[page]]L'éditeur s'est également rendu compte que l'offre devrait disposer d'un solide support mobile au moment de son lancement. Tibbr s'accompagne d'applications natives pour les plateformes d'Apple, BlackBerry et sous Android. D'autres doivent suivre. De fait, Tibco pense que si un produit comme Tibbr ne peut pas être mis en oeuvre de façon universelle sur des terminaux mobiles, son adoption ne peut qu'être freinée.

La plateforme a déjà reçu une appréciation positive de l'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, spécialisé depuis de nombreuses années sur les logiciels professionnels. Il trouve que cet outil de collaboration a beaucoup d'allure, surtout venant d'une société dont on n'aurait pas attendu ce style de produits. « C'est l'une des choses qui peut apporter de la pertinence à Tibco en 2011 », estime-t-il. L'aptitude de Tibco à filtrer l'information pour descendre jusqu'à l'information qui sera véritablement utile, c'est le composant crucial de l'offre, selon lui. « Nous sommes submergés par toute cette information », ce qui fait que même un modeste flux d'actualités sur un compte Facebook se transforme rapidement en vraie pagaille, fait justement remarquer Ray Wang.

La SSII Ciber passe de Yammer à Tibbr

L'un des premiers clients de Tibbr est le prestataire de services IT Ciber (8 000 personnes, plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires). La plateforme va être déployée auprès de tous ses salariés, a indiqué Tony Hadzi, président de Ciber pour l'Amérique du Nord. La société va migrer de la plateforme de collaboration Yammer pour passer sur Tibbr, a-t-il expliqué. Yammer a été remarquablement accepté par les salariés, une adoption qui a en outre nécessité peu d'efforts de la part de l'encadrement de Ciber. Comme la société utilisait la version gratuite du logiciel, cette expérience a constitué une façon peu coûteuse de tester l'intérêt du réseau social interne, relate Tony Hadzi.

Le groupe Ciber connaît une période de transformation et poursuit l'objectif de rassembler une organisation jusque-là plutôt fragmentée, explique celui qui est aussi le vice-président exécutif de la société. « Nous avons lancé le concept de réseau social et mon intention d'adopter une approche agnostique. Il s'agissait davantage, pour moi, de restructurer la société et d'utiliser ce moyen comme l'un des outils principaux pour changer l'état d'esprit des équipes sur le terrain et de mes cadres dirigeants ».

Mais, avec le temps, la société a trouvé insuffisantes les fonctionnalités de Yammer. « L'expérience de Tibco dans les solutions d'intégration a constitué un argument de vente pour Tibbr », pointe Tony Hadzi. Yammer constituait davantage une solution ponctuelle, tandis que Tibco proposait un produit pouvant être déployé à l'échelle de l'entreprise. (...)

(25/01/2011 17:04:42)

Annuels VMware : +39% sur les ventes de licences au 4e trimestre

VMware, la très prospère filiale d'EMC spécialisée dans les technologies de virtualisation, poursuit sur sa lancée. Son quatrième trimestre s'est clos, fin 2010, sur un chiffre d'affaires de 835,6 millions de dollars, supérieur aux prévisions des analystes. Entre octobre et décembre, celui-ci a progressé de 37% par rapport au quatrième trimestre 2009. Quant au bénéfice net dégagé sur la période, il a plus que doublé, passant de 56 M$ l'an dernier à 120 M$, et produisant un bénéfice par action de 0,28 dollar (contre 0,14 un an plus tôt).

Tant les ventes de licences que de services ont enregistré une forte hausse sur ce dernier trimestre : respectivement 39%, à 422,3 M$, et 36%, à 413,3 M$. A noter que l'éditeur américain inclut dans son activité services, les revenus de la maintenance logicielle. Le PDG de la société, Paul Maritz (en photo), constate que VMware a bénéficié, en fin d'année, d'une augmentation sur les investissements et de l'intérêt qui entoure la virtualisation, perçue pour une technologie centrale pour moderniser les infrastructures.

Une progression globale de 41% sur l'année

Sur l'année entière, le chiffre d'affaires de la société atteint 2,9 milliards, soit une progression de 41% par rapport à 2009. Les ventes de licences s'établissent à 1,4 Md$ (+36%) et les revenus générés par les services (prestations professionnelles et de maintenance) sont passés à 1,456 Md$ contre 994,5 Md$ en 2009, soit une augmentation de 46,4%. En 2010, le bénéfice net s'élève à 357 M$, contre 197 M$ l'an dernier, avec un bénéfice par action de 0,84 dollar contre 0,49 dollar un an plus tôt.
Il s'agit de chiffres non audités où il ressort que, sur le quatrième trimestre 2009, la marge opérationnelle représente 15,6% du chiffre d'affaires de la société (11,7% l'an dernier). Sur l'année, elle s'établit à 15% (10,8% en 2009).

Estimations 2011 : des ventes de licences entre +14 et +19%

Pour le trimestre en cours, qui s'achèvera fin mars, le directeur financier de l'éditeur, Mark Peek, prévoit que les ventes se situeront entre 800 et 820 M$, soit une augmentation de 26 à 29% par rapport à la même période l'an dernier. Il s'agit, cette fois encore, d'une estimation supérieure à celle des analystes (786 M$). Sur l'exercice 2011, l'éditeur table sur un chiffre d'affaires situé entre 3,45 et 3,55 milliards de dollars, soit une augmentation de 21 à 24% par rapport à 2010. VMware pense que ses ventes de licences progresseront de 14 à 19% sur l'année.

Illustration : Paul Maritz, PDG de VMware (crédit VMware)

(...)

(25/01/2011 16:16:12)

Paris, finaliste pour accueillir le Mobile World Congress

La France pourrait donc à nouveau accueillir la grand-messe de la téléphonie mobile. Jusqu'en 2006, le World Mobile Congress se tenait à Cannes, avant de déménager un an plus tard à Barcelone. En 2013, et jusqu'en 2017, le salon se déroulera dans une autre ville européenne. Outre Paris, les autres villes candidates sont Milan, Munich et Barcelone, la cité catalane étant candidate à sa propre succession. Les candidatures de Cologne et Amsterdam, toujours en lice en août dernier, n'ont finalement pas été retenues.

La GSMA, association qui fédère près de 800 opérateurs mobiles, fabricants et équipementiers à travers le monde, devrait annoncer la ville officiellement retenue vers la mi-2011.

De multiples évènements


La ville désignée Mobile World Capital de 2013 à 2017 devra donc accueillir le Mobile World Congress durant cette période, mais également un « festival mondial du mobile », des programmes culturels (musique, cinéma, etc.), ainsi que la création d'un centre dédié à la téléphonie mobile. Ce « Mobile World Centre », situé au coeur de la ville, inclura des expositions technologiques, une zone de revente, des bureaux, ainsi qu'un café mobile.

« Paris est très fière d'être considérée comme hôte éventuel pour la nouvelle capitale mondiale du mobile par la GSMA », a commenté Bertrand Delanoë, maire de Paris et d'ajouter « avec l'aide de notre communauté mobile et de nos entreprises innovantes, nous nous engageons à élargir l'attractivité de notre ville liée à l'avenir fantastique du monde mobile. »

Le Mobile World Congress est l'un des événements les plus attendus au monde par l'industrie des télécoms, les fabricants électroniques et les éditeurs de contenus. Les grandes marques du secteur, comme Sony Ericsson, Samsung, Orange, Vodafone ou encore Microsoft profite de cette occasion pour annoncer leurs stratégies et dévoiler leurs nouvelles gammes de portables et smartphones. Plus de 50.000 visiteurs (professionnels et journalistes essentiellement) sont attendus lors de la prochaine édition, qui se tiendra du 14 au 17 février 2011 à Barcelone.

 

Illustration : Entrée de la Fira à Barcelone lors du Mobile World Congress

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(25/01/2011 15:16:30)

Oracle orienterait Java principalement vers un usage entreprise

« Sun avait un objectif beaucoup plus ouvert pour Java, qui comprenait les applications middleware pour l'entreprise, mais aussi celles pour le PC, les appareils mobiles, et les systèmes embarqués. Or, Oracle est d'abord et avant tout en train d'axer le développement sur le middleware d'entreprise, parce que c'est là où la rentabilité se trouve, » peut-on lire en conclusion du rapport publié par les deux analystes. Ceux-ci mettent en garde sur le fait que, s'il devient un langage spécialisé serveur pour les clients d'Oracle et d'IBM, Java pourrait perdre une partie de son importance auprès de la communauté du développement à travers le monde.

Depuis l'annonce du rachat de Sun Microsystems, dont l'acquisition est effective depuis un an, le PDG d'Oracle Larry Ellison a souvent vanté les mérites du langage de programmation Java hérité de Sun, le qualifiant même d'un des apports les plus précieux de la transaction. Mais cette haute opinion de Java ne signifiait pas que les atouts du langage de programmation de Sun pourraient profiter à tous. A de nombreux points de vue, depuis le rachat, le positionnement d'Oracle vise à un usage plus restreint du langage de programmation. « Alors que l'essentiel de la spécification Java est Open Source, Oracle contrôle de manière stricte les variantes libres grâce à son droit intellectuel sur la marque déposée Java, » soutiennent les analystes.

Des risques de migration vers d'autres langages


Oracle jouit également d'une forte position auprès de la JCP (Java Community Process), l'organe indépendant chargé de superviser le développement du langage Java. Mais, au mois de décembre dernier, l'Apache Software Foundation (ASF) a décidé de ne plus participer au JCP pour protester contre certaines décisions d'octroi de licence prises par Oracle à propos de Java. Oracle a bien demandé à l'ASF de reconsidérer ce départ, mais en vain. « La perte du soutien de l'Apache Software Foundation mine la crédibilité d'Oracle en tant que partenaire auprès des geeks alpha Java auxquels on doit tant d'innovations indépendantes en faveur du langage » écrivent les deux analystes sur un blog. Ils ajoutent « au lieu de soutenir l'ASF, Oracle semble courtiser IBM, mettant tout son poids dans la version libre du langage de programmation Java OpenJDK soutenue par Big Blue. » Dans un autre rapport récent, John Rymer constate que WebSphere 7 d'IBM est le plus robuste serveur d'application Java, tout en soulignant qu'Oracle évite ainsi de s'atteler à l'une des faiblesses actuelles du langage de programmation, à savoir sa complexité. « Cette dernière pourrait conduire les développeurs à envisager plus facilement d'autres solutions comme Microsoft. NET ou Ruby on Rails pour un usage interne ou pour le cloud. Elle pourrait également stimuler le développement de frameworks externes, comme Spring, et détournerait les développeurs en les éloignant du travail essentiel à mener sur Java. »

Pour réaliser ce rapport, les analystes de Forrester ont interrogé 12 entreprises et organisations directement concernées par le développement du langage Java, dont Oracle, IBM, Red Hat, Microsoft et l'ASF. Ils ont aussi réalisé des sondages auprès d'utilisateurs Java soit via le blog du site de Forrester, soit lors d'événements comme JavaOne. Jusque-là, Oracle a refusé de réagir à ce rapport.

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(25/01/2011 14:42:59)

Un pirate commercialise ses « exploits » sur Internet

Imperva, une société spécialisée dans la sécurisation des données, a découvert un pirate qui prétend vendre des accès à des sites militaires, gouvernementaux et éducatifs à travers le monde. Les prix varient de 499 dollars pour les sites militaires américains à 55 dollars pour un accès au compte administrateur sur le site web de l'Etat du Michigan. La société précise également que le pirate vend des renseignements personnels issus de sites web piratés à 20 $ pour 1000 données. Pour prouver ses dires, le hacker fournit des captures d'écran d'accès aux renseignements personnels et à l'interface d'administration d'une grande université. Il peut aussi «pirater un site web normal » pour 10 $ et propose 3 Mo de données aléatoires issues de comptes piratés pour 65 $.

Pas de méthodes innovantes, mais un opportunisme commercial

Imperva pense que cette personne a réussi à s'introduire sur les sites grâce à une technique d'injection de code. « La mise en vulnérabilité du site des victimes est due probablement à une injection SQL, exploitée de manière automatique, comme le pirate l'a indiqué dans un post sur certains forum de hackers», écrit Rob Rachwald dans un message sur le blog Imperva Securities Data.
Ancien reporter du Washington Post, Brian Krebs pense que les méthodes utilisées restent standards. « J'ai vu quelques-unes des preuves proposées par le pirate, mais je ne crois pas qu'il ait inventé quelque chose », explique-t-il sur son blog KrebsonSecurity. Il note d'ailleurs que les cartes bancaires ne sont pas acceptées par le hacker qui préfère de la monnaie virtuelle via un compte sur Liberty Reserve.

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(25/01/2011 14:25:08)

Leo Apotheker révélera la stratégie de HP le 14 mars prochain

HP n'a pas fourni davantage de détails sur ce « March summit meeting » qui se tiendra à San Francisco, mais l'événement sera la première apparition importante, en dehors des résultats financiers du quatrième trimestre 2010, de l'ancien patron de SAP, venu remplacer Mark Hurd à la tête de HP. Ce dernier avait dû démissionner en août dernier, suite à un scandale l'impliquant.

Selon James Staten, analyste pour Forrester Research, « Mark Hurd a beaucoup contribué à réduire les coûts et à améliorer la situation financière de HP, mais il n'a pas imposé une stratégie capable de distinguer la société de ses grands rivaux comme IBM. Et c'est ce que l'entreprise attend maintenant de Leo Apotheker » explique-t-il. Compte tenu de l'expérience de l'ancien PDG de SAP, James Staten et d'autres analystes s'attendent à ce que celui-ci annonce une implication plus importante et des investissements dans les logiciels d'entreprise, via peut-être de grandes acquisitions. Il avait déjà évoqué ce point lors de la conférence sur les résultats. « Les solutions de management - Mercury et Opsware ainsi que le patrimoine logiciel de HP - doivent devenir une partie beaucoup plus intégrée et significative de l'activité » estime James Staten. Les analystes pensent aussi que la business intelligence (BI) pourrait devenir un domaine cible. Comme l'a déclaré récemment James Kobielus, analyste chez Forrester, à l'heure actuelle l'offre d'HP s'apparente à un « sandwich de BI sans rien à l'intérieur » et d'ajouter « ils ont le matériel, les services, mais sans avoir la brique logicielle. » Leo Apotheker pourrait aussi accroître l'investissement de HP dans le stockage et les réseaux, deux autres secteurs rentables et « de plus en plus stratégiques dans les datacenters d'entreprises, » selon un récent article paru dans le Wall Street Journal, citant des sources anonymes.

Des changements d'attribution en perspective


Selon le même quotidien financier, les orientations du PDG impliqueraient de nouvelles attributions pour les cadres dirigeants de HP, comme Ann Livermore, vice-présidente exécutive chargée de l'Enterprise Business et les vice-présidents David Donatelli et Tom Hogan. La société n'a pas voulu confirmer ces informations. Depuis le départ de Mark Hurd, l'entreprise a eu à faire face à de nombreuses turbulences. Et, dès sa nomination, Leo Apotheker a dû éviter une comparution devant le tribunal, suite à une plainte d'Oracle en rapport avec une affaire de propriété intellectuelle impliquant son ancien employeur, SAP. Aucune accusation n'a été retenue contre lui, mais les événements l'ont semblent-ils forcer à garder un profil bas tant que cette affaire était en cours. A l'époque, HP disait qu'il était occupé à parcourir le monde pour faire connaissance avec les clients et les employés de HP. « Heureusement, Larry Ellison a cessé de le poursuivre et de vouloir le faire citer à comparaître et HP peut tourner la page sur le passé de son nouveau patron, » a déclaré Dan Olds, analyste pour Gabriel Consulting.

Dans l'intervalle, HP prépare pour le 9 février un autre grand événement, également à San Francisco, où il sera question de la stratégie de l'entreprise pour son logiciel webOS acheté à Palm et qui sera intégré dans les smartphones, les imprimantes et d'autres produits.

 

Crédit Photo: D.R

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