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(26/01/2011 16:36:54)
Intel travaille sur une technologie bloquant les attaques zero days
Justin Rattner, CTO d'Intel, a expliqué à nos confrères de Computerworld, que des chercheurs internes travaillent sur une technologie de sécurité qui permet d'arrêter toutes les attaques zero-day. Sans donner beaucoup de détails à ce sujet, il espère que les travaux seront publiés cette année. « Je pense que nous avons quelques idées pour changer la donne vis-à-vis des logiciels malveillants », a déclaré le CTO d'Intel. « Nous allons voir un saut extrêmement imprtant dans la capacité des futurs terminaux, ordinateurs, smartphones, tablettes ou les télévisions connectées, à se défendre contre les attaques. »
Il a précisé que la technologie proposée ne sera pas basée sur les signatures, comme le font les spécialistes de la sécurité actuellement. La détection de logiciels malveillants basés sur la signature repose sur la recherche de modèles connus au sein du code malveillant. Cependant, les attaques «zero day» ou de malwares plus complexes n'ont pas de code connu et il est donc difficile de s'en prémunir. « Nous avons découvert une nouvelle approche qui empêche les attaques les plus virulentes. Elle devrait arrêter celles de type zero-day». La technologie comprendra un aspect matériel, sans savoir pour l'instant si une brique logicielle est envisagée.
Fiabilité et avantage concurrentiel
Dan Olds, analyste chez Gabriel Consulting, indique que si cette technologie fonctionne comme Justin Rattner l'explique, il pourrait s'agir d'une avancée majeure pour la sécurité informatique. « Si Intel dispose d'une technologie matérielle qui peut sûrement arrêter les attaques zero-day, ce serait une grande victoire dans la guerre contre les logiciels malveillants », confirme le consultant. « La clé, c'est que ce système doit être fiable. Il doit avoir la capacité de discerner le logiciel légitime du programme malveillant. En résolvant ce problème, cela donnera un avantage concurrentiel à Intel par rapport à AMD. » Il ajoute que la technologie qui repose sur du matériel peut être très intéressante. « La meilleure protection est une combinaison de matériel et de logiciels. La sécurité du matériel peut être plus forte et plus rapide dans certaines situations, mais elle n'est pas aussi souple que les mécanismes purement logiciels. Le grand changement ici, c'est qu'Intel devrait tirer parti des fonctions de sécurité dans le circuit ou le processeur » conclut Dan Olds.
Justin Rattner a déclaré que les chercheurs d'Intel ont travaillé sur cette technologie de sécurité avant que la compagnie ne propose d'acquérir McAfee, spécialiste de logiciel de sécurité, pour 7,68 milliards de dollars. Toutefois, cela ne signifie pas que McAfee serait écarté des travaux menés.
Illustration : Justin Rattner, CTO d'Intel
Crédit Photo: D.R
(...)
L'Itanium Poulson attendu en 2012
Du 20 au 24 février 2011 à San Francisco, les principaux concepteurs de processeurs partageront leurs travaux à l'occasion de la conférence International Solid State Circuits. Intel et IBM en profiteront pour lever le voile sur leurs prochaines générations de puces pour grands systèmes. Ces dernières années, les fabricants de processeurs avaient multiplié les coeurs, augmenté les cadences et étoffé la mémoire cache pour améliorer les performances. Et pour permettre aux serveurs de renforcer leur disponibilité et leur fiabilité, les fondeurs avaient également bardé leurs plates-formes de fonctions d'auto-diagnostique.
Dans un mois environ, Intel dévoilera sa prochaine génération de puces Itanium encore connue sous le nom de code Poulson. Attendu en 2012, ce processeur fort de huit coeurs serait doté de 50 Mo de cache, selon les premières informations livrées par le fondeur. Ces puces équiperont les serveurs haute disponibilité sur base IA64 que l'on retrouve principalement chez HP (Integrity NonStop). Les processeurs Pulson seront l'occasion pour Intel de tester certaines technologies qui pourront ensuite arriver sur les puces x86 pour serveurs et PC, explique Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. Ces processeurs mettront à la fois l'accent sur les performances et la maitrise de la consommation d'énergie.
Une mise en production prévue pour 2012
La puce Poulson huit coeurs succédera à l'Itanium Tukwila quatre coeurs, qu'Intel a commencé à livrer en février 2010, après de nombreux mois de retard. Comme Poulson, Tukwila a servi de banc d'essai pour la plupart des fonctionnalités avancées qu'Intel intègre désormais dans ses processeurs Xeon haut de gamme (Nehalem-EX) livrés en mars dernier. Le fondeur a par exemple intégré la correction d'erreur et des facilités de maintenance (RAS). Gravé en 32 nm (contre 65 nm pour Tukwila), le processeur Poulson embarquerait jusqu'à 3,1 milliards de transistors (contre 2 milliards pour Tukwila). L'amélioration significative du procédé de fabrication permettra à Intel d'améliorer la performance du circuit et de réduire la consommation d'énergie.
Si la majeure partie de l'activité d'Intel provient des puces x86, la conception et la fabrication des Itanium IA64 (30 à 40 000 unités par trimestre) répondent à des obligations contractuelles vis-à-vis de HP. Après le rachat de Compaq, Hewlett-Packard avait transféré une grande partie des ingénieurs travaillant sur le processeur Alpha chez Intel pour améliorer les performances décevantes de l'IA64 Merced qui devait remplacer la puce PA-Risc des HP 3000 et 9000 (Superdome). Aujourd'hui, le constructeur de Palo Alto utilise également les puces Itanium dans ses serveurs Integrity Non Stop, hérités de Compaq. « [Itanium] fait appel à un ensemble très restreint de consommateurs » souligne Dean McCarron. «Ces puces reposent sur un design qui commence à dater. Le cycle de rafraîchissement pour cette catégorie de composants est toutefois assez lent ».
Puces pour mainframe et supercalculateur
De son côté, IBM fera une présentation de son zEnterprise 196 avec des puces quatre coeurs qui fonctionnent à une cadence de 5,2 GHz. Présenté en juillet dernier, ce mainframe est commercialisé depuis septembre dernier. Ce CPU est aujourd'hui présenté dans le programme de l'ISSCC comme le microprocesseur avec la fréquence la plus élevée. Doté de 3 Mo de mémoire cache, il renferme 1,4 milliard de transistors.
Un troisième acteur surprenant est attendu sur cette conférence. L'ICT (Institute of Computing Technology), qui dépend de l'Académie des Sciences de Chine Populaire, présentera son processeur huit coeurs Godson-3B qui vient succéder au Godson-3. Basée sur une architecture Mips, cette nouvelle puce offrirait une puissance de calcul de 128 gigaflops/s tout en consommant moins de 40 watts. La puce a déjà été dévoilée lors de la conférence Hot Chips à l'Université de Stanford, en août dernier.
(...)(26/01/2011 15:28:41)Google règne sur la recherche et progresse sur la navigation web en France
Selon ce baromètre, réalisé sur un périmètre de 20 736 sites web audités en 2010, Google s'est octroyé 90,8% des requêtes effectuées en ligne l'an dernier. Le premier moteur de recherche au monde est même parvenu à capter des parts au détriment de ses concurrents (il comptait 89,9% de parts en 2009), notamment Bing, le moteur de Microsoft.
Google a également profité de l'ouverture de la concurrence sur le marché des navigateurs web. Son logiciel Chrome est passé de 2,1% d'utilisateurs en 2009 à 7,8% en 2010. Dans le même temps, Internet Explorer a dégringolé. Principale victime de la politique d'ouverture imposée par la Commission européenne à Microsoft, « IE » a perdu 10 points de marché en France en 2010.
Avec 52,8% de parts de visites web, Internet Explorer reste cependant le navigateur le plus utilisé par les internautes français, devant Firefox de Mozilla (30,9%, contre 29,4% en 2009), Google Chrome, et Safari. Le navigateur d'Apple a tiré profit du succès de l'iPhone et des Mac pour s'établir à 8,3% de parts de visites. La firme de Redmond reste encore largement dominant dans le classement des systèmes d'exploitation, avec près de 90% de parts de marché.
Comment Facebook a résisté aux intrusions du régime tunisien
Les détails de cette incroyable opération, qui consistait à intercepter les communications à l'insu du réseau social et de ses utilisateurs, menée par le régime tunisien contre sa propre population ne sont pas clairs. Mais il semble que le gouvernement ait tenté d'exploiter les FAI tunisiens pour diriger les utilisateurs vers de fausses pages Facebook et éventuellement d'autres sites de médias sociaux. Depuis ces pages, les autorités auraient essayé d'infecter les ordinateurs des personnes connectées avec un code Javascript malveillant chargé d'enregistrer les frappes effectuées au clavier au moment de la connexion. Ces précisions sur les modalités de l'attaque ont été fournies par Facebook lui-même. Réalisant ce qui se passait, le réseau social a riposté en forçant les connexions effectuées depuis la Tunisie à utiliser le protocole sécurisé https, afin de protéger les sessions. Mais ce n'est pas tout : en cas de blocage des adresses https par les FAI, Facebook demandait aux utilisateurs de s'authentifier aussi au moment de quitter leur session, étape où ils pouvaient être vulnérables, en identifiant des amis pour contrecarrer l'opération d'espionnage.
La défense de Facebook semble avoir fonctionné, même si un nombre inconnu d'utilisateurs tunisiens se sont fait voler leurs identifiants de connexion les jours qui ont précédé la mise en oeuvre de cette contre-attaque. « Quand vous prenez du recul et vous réfléchissez à la manière dont le trafic Internet est acheminé à travers le monde, vous vous rendez compte qu'une quantité surprenante de données est susceptible d'être mise sous contrôle d'un gouvernement, » peut-on lire dans l'article qui cite les propos de Joe Sullivan, le chef de la sécurité de Facebook.
Un outil de liberté qui inquiète
La remarque est importante. La Tunisie n'est pas une exception et de nombreux régimes de pays arabes et d'Afrique du Nord restreignent autant qu'ils le peuvent la dissidence sur Internet, même si ce n'est pas toujours avec le niveau de sophistication dont a fait preuve le régime tunisien. Aujourd'hui, l'Egypte a purement et simplement bloqué l'accès à Facebook et Twitter.
De manière générale, le rôle des médias sociaux dans la dissidence politique est sous-estimé. On leur reconnaît surtout d'avoir joué un rôle important dans l'échec du soulèvement contre le régime extrémiste en Iran et qu'ils sont étroitement contrôlés en Chine. Cette semaine, l'Iran a annoncé la mise en place d'une force spéciale dont l'action est destinée à combattre l'utilisation des médias sociaux pour organiser des manifestations anti-gouvernementales. Quant à Facebook, les évènements vont lui offrir un peu de répit : l'année passée, la communauté Internet lui a souvent fait le reproche de ne pas suffisamment protéger la vie privée de ses utilisateurs.
Crédit Photo : D.R
(...)(26/01/2011 14:44:19)L'e-marketing décerne ses awards
Le grand gagnant des E-marketing Awards 2011 est la société Buzzman pour avoir réalisé la campagne Tipp-Ex (le fameux outil qui corrige les fautes d'écriture sur papier). Cette dernière invite l'internaute à décider de la chute de l'histoire (un chasseur en pleine forêt découvre un ours) en personnalisant le titre de vidéo effacée au préalable avec Tipp-Ex. Cette réalisation a recensé dès les premiers jours, 1 million de visiteurs uniques sur YouTube, 100 000 partagée sur Facebook, 7500 twitts.
Parmi les autres lauréats, on notera que la création et la gestion de deux applications iPhone ont été primées. La première dans la catégorie application mobile a été développée par Pure Agency pour Disneyland Paris. Il s'agit de la première application iPhone d'un parc Disney dans le monde. La même agence s'est aussi distinguée dans la catégorie stratégie d'acquisition sur l'application développée pour les hôtels Accor.
Au total, 9 récompenses ont été attribuées par le jury, présidé cette année par Marie-Laure Sauty de Chalon, PDG d'AuFéminin.com
(...)(26/01/2011 14:15:53)Smartphones et PC portables ont animé les ventes technologiques en 2010
Après deux baisses annuelles consécutives, en raison de la crise, le marché français de la high-tech est reparti à la hausse. En 2010, les ventes de produits technologiques vendus dans les circuits de distribution grand public ont représenté quelque 17,7 milliards d'euros (+0,9%). Un niveau semblable à celui enregistré en 2008, mais qui reste tout de même inférieur au record de 2007 (18,7 milliards). « En quantités vendues, les Français ont acheté plus de 100 millions de produits technologiques en 2010, soit une croissance de +6% par rapport à 2009. C'est un nouveau record ! », a commenté Olivier Malandra, Directeur de l'électronique grand public chez GfK Retail & Technology France.
Cette croissance provient essentiellement des produits mobiles (téléphones et PC portables, tablettes tactiles). A noter, la plupart des familles de produits ont vu leurs prix baisser en 2010, souligne le cabinet. Au rayon informatique, les Français ont acheté en 2010 pas moins de 5,1 millions d'ordinateurs portables, dont 1,3 million de netbooks. Un chiffre auquel viennent s'ajouter 435 000 tablettes vendues l'an dernier. Ces ardoises tactiles, véritablement lancées en 2010, se sont surtout vendus en fin d'année (160 000 unités écoulées en décembre). Pour 2011, GfK table sur 6,5 millions d'ordinateurs mobiles vendus en France, dont 1,4 million de netbooks et 1 million de tablettes. Quant aux PC de bureau classique, les ventes sont restées stables, grâce notamment au succès des ordinateurs "All in one" (unité centrale intégrée au dos de l'écran tactile).
Le boom des smartphones
Côté télécoms, les ventes de téléphones portables ont culminé à 24,7 millions d'unités en 2010, soit 1,1 million de plus qu'en 2009 (+4,7%). Dans le détail, les Français ont acheté nettement moins de mobiles classiques (17 millions en 2010 contre 20 millions en 2009), mais deux fois plus de smartphones (7,7 millions contre 3,6 millions). En 2011, GfK prévoit 25,1 millions d'unités, dont quasiment le même nombre de smartphones (11,8 millions) que de mobiles (13,3 millions). Dans les autres segments, les ventes ont également progressé pour les appareils photo grâce à la baisse des prix et au boom des compacts hybrides, les caméscopes avec le succès des modèles de poche, les chaînes hi-fi, emmenées par la mode des docking station pour baladeurs MP3, les systèmes Home Cinéma, les disques durs externes, et les imprimantes.
Selon GfK, le marché français des biens technologiques devraient continuer de croître en 2011, pour se situer entre 17,5 et 18 milliards d'euros. Les TV, notamment les modèles connectés au Web, les smartphones et les ordinateurs mobiles (tablettes incluses) devraient une fois de plus constituer le trio gagnant de l'année.
Crédit Photo: D.R
(...)(26/01/2011 12:44:01)Google acquiert SayNow, plateforme sociale et vocale
Basée à Palo Alto, en Californie, SayNow propose des applications utilisées par des célébrités et des personnalités sportives pour communiquer avec des groupes. Par exemple, le rappeur Souljaboy utilise un numéro de téléphone SayNow pour laisser à ses fans des messages vocaux, éventuellement leur parler et d'interagir les uns avec les autres.
La jeune société a annoncé son acquisition par l'éditeur de Moutain View dans une note sur son site web. Elle explique que l'objectif est de combiner son savoir-faire avec les équipes de Google Voice. « Nous n'avons pas de stratégie produit à annoncer tout de suite, mais nous aurons des choses à dire sur notre feuille de route dès que nous aurons terminé notre intégration, alors restez à l'écoute», souligne la note.
Dans un communiqué, Google a déclaré qu'il était « très heureux » de cette opération. « Nous sommes impressionnés par les services qu'ils ont déjà construit, et nous sommes impatients de travailler ensemble pour développer nos technologies basées sur la voix afin de mieux connecter les personnes » précise l'éditeur. Récemment, Google a annoncé la portabilité des numéros mobiles sur son service Google Voice. Les utilisateurs pourront ainsi garder leur numéro et non celui attribué d'office par Google.
Les deux entreprises n'ont pas publié le montant de cette opération.
On notera que SayNow proposait aussi une application orientée vers les utilisateurs professionnels, mais elle n'est apparemment plus disponible. Ce service, appelé Big Call était une application de conférence téléphonique pour les utilisateurs d'iPhone et Android permettant au modérateur de choisir les participants depuis sa liste de contacts (sans que ces derniers aient besoin d'appeler un numéro spécifique) . (...)
1 terminal mobile sur 5 vendu sur Internet
Plus de 7% des téléphones mobiles achetés en Europe en 2010 ont été commandés directement sur Internet, selon un rapport du cabinet d'études marketing GfK. Les achats en ligne de portables auraient ainsi progressé de plus de 10% par rapport à 2009. Sur le créneau des smartphones, près d'un terminal vendu sur cinq l'a été sur Internet.
"L'importance grandissante des offres de pré-réservations et l'évolution des habitudes de consommation ont attisé la demande" explique Aaron Rattue, directeur de la division télécom/marketing de GfK. "Depuis plusieurs années Internet a été un canal important pour les biens techniques de valeur, et il va continuer à avoir une influence sur les ventes des téléphones moyen et haut de gamme".
(...)(26/01/2011 10:45:52)Fidelity Programs tombe dans l'escarcelle d'Amabis
Amabis, éditeur de logiciels pour la qualité des données marketing, rachète son partenaire Fidelity Programs, fournisseur de solutions CRM. Le rachat de la SSII Fidelity Programs par Amabis s'inscrit dans une logique industrielle pour ce dernier. La société était partenaire de Fidelity Programs depuis plus de 25 ans et leurs activités étaient complémentaires : Fidelity Programs fournissait et installait les logiciels créés par Amabis. Le dirigeant de la SSII, Jean-Paul Devai, a confié sa société à Valéry Frontère, dirigeant d'Amabis, pour « garantir à nos clients et nos équipes des évolutions positives »
En 2010, Amabis réalisait un chiffre d'affaires de 1,8 M€ et Fidelity Programs de 700 000 €. Avec ce rachat, le chiffre d'affaires s'élève à 2,5 M€ pour un effectif de 22 personnes. Il s'agit d'une cession à 100% et de ce fait, aucune suppression d'emploi n'a eu lieu et Amabis possède désormais la base de données clients et la technologie de Fidelity Programs.
Annuels EMC : Bénéfices et chiffre d'affaires en nette hausse
Sur l'année 2010, le chiffre d'affaires d'EMC a été consolidé à 17 milliards de dollars, soit une hausse de 21% par rapport à 2009. Le bénéfice net GAAP a augmenté de 75% à 1,9 milliards de dollars. Le bénéfice net non-GAAP2 était de 2,7 milliards de dollars, en hausse de 46%, et le bénéfice non-GAAP2 « étendu et partagé » de 1,26 milliards de dollars, en augmentation de 40%. La société a réalisé une trésorerie disponible record de 4,5 milliards de dollars, soit une hausse de 36%, et une trésorerie opérationnelle de 3,4 milliards de dollars, en hausse de 31%.
Joe Tucci, président et directeur général d'EMC souligne : « La performance d'EMC en 2010 a été la meilleure de son histoire, marquée par une croissance rapide, des gains de parts de marché, une puissance financière et des investissements importants dans l'innovation technologique. Equipés d'un portefeuille de produits, de services et de partenaires stratégiques puissant et distinctif, nous n'avons jamais été plus confiant dans la position d'EMC pour mener à bien cette transformation de l'IT comme un service ».
David Goulden, directeur financier, note : « En 2010 nous avons exécuté notre triple play de manière impressionnante - en acquérant simultanément des parts de marché, en réinvestissant de façon significative dans notre entreprise et en fournissant une meilleure rentabilité. D'énormes progrès sur tous ces objectifs ont été réalisés tout au long de l'année ce qui positionne EMC sur la meilleure position financière et opérationnelle que l'entreprise n'a jamais eue. Nous sommes en excellente position pour continuer à faire évoluer nos résultats triple play en 2011. »
EMC a également continué à utiliser sa puissance financière pour effectuer des acquisitions stratégiques ciblées vers des zones à forte croissance, comme Isilon Systems, fournisseur de solution de stockage en cluster, et Greenplum, spécialiste en analyse d'entreprise, ou avec l'éditeur de logiciels de risques et de conformité Archer Technologies.
Crédit photo : D.R.
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