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(12/01/2011 10:08:11)

Des ventes de fins d'années contrastées pour les PC en Europe

Selon le cabinet Context, qui analyse les résultats des ventes de différents grossistes européens, la croissance des revenus du secteur est avant tout liée à la fin de la progression des ventes de PC à bas prix. Les bonnes performances des segments des stations de travail (+24,8% en valeur) et des serveurs (+7,8% en valeur) ont, dans une moindre mesure, également contribué à tirer le marché vers le haut.

Tout porterait donc à se féliciter pour l'industrie du PC si le quatrième trimestre 2010 avait reflété les résultats de l'ensemble de l'année. Or, les trois derniers mois de l'an passé se sont soldés par une hausse de seulement 3,2% des ventes en volume. Le mois de décembre fut le plus mauvais de tous avec un recul de 6,7% des unités livrées et de 3,8% du chiffre d'affaires. Il le doit notamment au segment des PC grand public touché par une baisse de 16,2%. « Le commerce a beaucoup souffert des mauvaises conditions météo avant Noël, explique Jeremy Davies, le directeur général de Context. Cependant, les difficultés financières des consommateurs sont l'explication principale des mauvais résultats des ventes. »

Les PC pro ont bien résisté à la morosité de fin d'année

Toutefois, toutes les familles de produits du marché des PC n'ont pas connu la même fin d'année 2010. Les ventes de tablettes, par exemple, ont explosé. Au détriment, peut-être, des netbook dont les ventes ont cessé de progresser lors du quatrième trimestre alors qu'elles avaient suivi un rythme de progression de 20% en volume jusqu'au mois de septembre. Les ventes de PC professionnels ont également bien tiré leur épingle du jeux avec une croissance de 9,9% en volume et de 12,8% en valeur en fin d'année.

A l'image des différentes gammes de produits, les pays européens ont également enregistré des résultats contrasté en 2010. La Suède, avec 22,2% de croissance pour ses ventes de PC, et les autres pays scandinaves ont connu des progressions à deux chiffres. De leur côté, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Italie n'ont respectivement enregistré que 5,9, 5,5 et 3,2% de progression. Quant au marché français, il est passé dans le rouge avec des ventes de PC en baisse de 2,2% en volume (...)

(11/01/2011 16:50:28)

GSI Conseil lance TouLeBiz.com une place de marché IT low cost

La SSII GSI Conseil lance la version bêta de TouLeBiz.com, une place de marché dédiée aux métiers de l'informatique. Celle-ci  vise à faciliter les échanges entre les différents acteurs de la high-tech. La plate-forme centralise, sur un seul et même site, plusieurs services gratuits et payants qui répondent aux besoins et attentes des candidats - particuliers, freelances -  et des recruteurs du secteur informatique. L'accès au site est entièrement gratuit. Les particuliers peuvent y déposer leur Cv, faire des demandes de stages, suivre les candidatures et sollicitations et publier des petites annonces à l'attention de professionnels. Les candidats ont également la possibilité d'enregistrer gratuitement leurs lettres types sur le portail. TouLeBiz.com permet parallèlement aux indépendants et aux entreprises d'accéder en libre service à la Cvthèque, de créer et de publier des offres de stage, de poster des offres d'emploi, de mission et également de formation. La création de catalogues de formation, de même que la publication de fiches freelances ou de fiches sociétés avec intégration aux annuaires figure également au menu.

Crédit-temps et services à la carte

Le portail propose à ses membres différents services gratuits ou payants à moindre coût. Cette politique commerciale vise à favoriser la pertinence du contenu via une notion de crédit-temps ou de services à la carte (type jeton d'accès unique aux coordonnées d'une mission) et l'accessibilité à une population actuellement pénalisées par les tarifs pratiqués (TPE, PME, Freelances). Exemple de la notion de crédit temps : une entreprise pourra  gérer elle-même la durée de publication de ses offres. Par exemple, pour 100 jours de crédit-temps achetés, elle publiera une offre pendant 100 jours, ou 5 offres pendant 20 jours ou 100 offres un jour, etc... Pour une offre publiée pendant 30 jours mais pourvue au bout de 15 jours, l'entreprise peut stopper la publication et préserver ainsi un crédit temps de 15 jours pour les mettre à profit lors de nouvelles publications. Pour les recruteurs et les freelances qui souhaitent publier des offres d'emploi et de mission, les tarifs sont de 40 euros pour 30 jours, de 60 euros pour 60 jours et de 85 euros pour 90 jours (valable six mois). La diffusion des offres et des annuaires de formation est payante, mais dès l'inscription, un crédit temps de six mois sera offert aux nouveaux membres. Le portail regroupe actuellement 250 membres et compte quelque14 000 pages vues depuis son lancement dont 30% d'entreprises.


(...)

(11/01/2011 16:05:00)

L'éviction de B.Muglia révèle le retard de Microsoft dans le cloud

Steve Ballmer (en photo) a décidé de remplacer Bob Muglia à la tête de sa division Serveurs et Outils. Dans ce domaine, la stratégie de Microsoft a évolué rapidement ces dernières années avec le lancement de Windows Server 2008, les solutions de virtualisation Hyper-V et les services de la plateforme Azure qui permettent aux développeurs de bâtir des applications dans le cloud de Microsoft.

Si le système d'exploitation Windows Server 2008 est généralement bien perçu par les clients, en revanche, Microsoft doit encore faire ses preuves sur les marchés de la virtualisation et du cloud. Ce dernier est au premier rang des priorités de Steve Ballmer dans le mémo où il annonce le départ de Bob Muglia.

La plateforme cloud Windows Azure a été lancée il y a presque un an. Or, même si les développeurs présents à la conférence PDC 2010 en octobre ont manifesté leur intérêt pour cet environnement PaaS (platform-as-a-service), Microsoft lutte toujours pour progresser sur un marché conduit par l'offre IaaS (infrastructure-as-a-service) d'Amazon. Et sur le terrain de la virtualisation, l'éditeur d'Hyper-V ne parvient pas à inquiéter VMware, le leader du secteur, rappelle l'analyste Charles King, du cabinet Punt-IT, interrogé par nos confrères de Network World. « A l'avenir, les activités informatiques s'appuieront de plus en plus sur le cloud et la virtualisation. Je ne vois aucune preuve des progrès que Microsoft espérait ou disait réaliser sur VMware lorsqu'il a sorti Hyper-V il y a deux ans. »

Le symptôme d'un problème plus large

L'annonce du remplacement de Bob Muglia fait suite à d'autres départs : celui de Ray Ozzie, architecte logiciel en chef, Robbie Bach, le président du groupe Loisirs et Terminaux, et Stephen Elop, le responsable de la division logiciels professionnels. Steve Ballmer lui-même a fait l'objet de quelques spéculations en octobre dernier. Pourrait-il être remercié après avoir occupé pendant dix ans le poste de PDG ?

Si Microsoft a bien besoin de doper ses activités virtualisation et cloud computing, à l'inverse, les livraisons de Windows Server sont solides. Selon IDC, les serveurs sous Windows représentent 47,7% du chiffre d'affaires trimestriel sortie d'usine (17,5% pour les serveurs sous Linux, 21,5% sous Unix et 8,6% pour les mainframes IBM).

Ce qui arrive à Bob Muglia est symptomatique d'un problème plus large. Microsoft est à la croisée des chemins, doublé par Apple sur la capitalisation boursière et fortement défié par Google, ainsi que le souligne Laura Didio, analyste chez Information Technology Intelligence Corp (ITIC). « Ballmer n'est pas le genre de PDG à rester sans bouger », rappelle-t-elle. Je pense donc qu'il va réorganiser. Et, si ça ne plaît pas, eh bien, au revoir ».

D'autres départs en vue ?

Bob Muglia a réalisé un travail tout à fait honorable à la tête de la division Serveurs, estime Laura Didio, interrogée par Network World. Mais « Steve Ballmer veut conduire cette activité au niveau suivant où Microsoft sera vu comme un véritable acteur dans le cloud. Il se passe beaucoup de choses en ce moment chez eux. Je ne serai pas surprise de voir d'autres personnes s'en aller ».

Dans le mémo qu'il a diffusé sur le remplacement de Bob Muglia, Steve Ballmer n'a pas précisé s'il avait donné au président de la division Serveurs la possibilité d'occuper une autre fonction au sein de Microsoft. Il y était depuis 23 ans. Une fois prise la décision du PDG de lui trouver un remplaçant, Bob Muglia n'a sans doute pas vu l'intérêt de rester dans le coin, estiment pour leur part les analystes interrogés. « Il n'y avait peut-être tout simplement aucune autre place pour lui », avance Charles King. Pour ce dernier, quand on dirige la division d'un groupe comme Microsoft, l'étape suivante, logiquement, c'est d'entrer dans la sphère de direction située juste au-dessus, c'est-à-dire le groupe restreint des dirigeants portant le titre de Cxx (Chief x Officer) : CEO, COO, CTO, CFO...

Illustration : Steve Ballmer, PDG de Microsoft (source : CIO US) (...)

(11/01/2011 15:12:44)

Intel signe un chèque de 1,5 milliard de dollars à Nvidia

Intel et Nvidia ont signé un accord croisé sur des brevets pour mettre fin à un différend juridique de longue date entre les deux sociétés,  a annoncé Intel. Suite à cet arrangement, Intel va verser 1,5 milliard de dollars à Nvidia. « Cet accord préserve la paix [...] des brevets et offre des protections qui vont apporter de la liberté pour la conception de produits » a ainsi indiqué dans un communiqué de presse, Doug Melamed, vice-président et conseiller juridique d'Intel. « Il permettra également aux entreprises de concentrer leurs efforts sur l'innovation et le développement de nouveaux produits innovants. « 

En vertu de l'accord, les deux sociétés obtiennent un accès aux brevets de l'autre. Nvidia, qui conçoit des jeux de composants pour cartes mères pour assurer le lien entre les processeurs et les contrôleurs réseau et stockage, avait accusé Intel de pratiques commerciales déloyales et s'était engagé dans une longue bataille juridique. Les deux entreprises s'étaient mutuellement accusées d'avoir violé un accord de licence sur les puces signé en 2004.

Un litige portant sur les processeurs avec contrôleur mémoire intégré

En février 2009, Intel avait déposé une plainte contre Nvidia auprès de la cour de justice du Delaware et demandé au juge de statuer que Nvidia n'est pas autorisé à produire des chipsets compatibles avec les processeurs Intel avec contrôleur mémoire intégré comme sur les processeurs Nehalem. L'accord de licence à long terme signé le lundi 10 janvier met fin à ce litige précise dans son communiqué Intel. Après le recours d'Intel de février 2009, Nvidia avait également déposé un recours reconventionnel, en expliquant que les accords passés avec Intel couvraient également ce type de processeurs. 

Pour solder cette affaire, Intel va commencer à verser tous les mois à Nvidia la somme de  300 000 $ et, ce, jusqu'en janvier 2016. Rappelons pour mémoire qu'en aout 2010, suite à une décision de la FTC, Intel avait été obligé de verser à AMD de 1,25 milliard de dollars suite à des accusations de pratiques anticoncurrentielles.

Illustration principale : Jeu de composants Nvidia, crédit D.R.




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