Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 5411 à 5420.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(10/01/2011 10:55:41)

Baromètre HiTech Pros/CIO : Compétences IT en retrait en décembre

Le mois de décembre 2010 confirme la tendance de la fin d'année avec une baisse des demandes clients de 9% sur le marché des compétences informatiques par rapport à décembre dernier selon le Baromètre HiTechPros/CIO.

Sur cette période, les catégories techniques les plus demandées sont toujours les mêmes. Cependant, les compétences liées à la catégorie « Systèmes, réseaux, sécurité » (29%) prennent la place des catégories les plus recherchées, ex-æquo avec les « Nouvelles technologies » et plus loin derrière « Consulting Expertise » avec 15 % des demandes.

Ce mois-ci, la catégorie technique « Systèmes, réseaux, sécurité » augmente donc de +37,9 % par rapport à décembre 2009.

Les catégories techniques affectées par la plus forte baisse de la demande ce mois-ci sont consulting Expertise (- 3,6 %), CRM (- 19 %) et surtout Nouvelles technologies (- 20, 8 %).

(...)

(10/01/2011 10:41:22)

La Poste utilise Twitter pour sa relation client

L'usage des « outils sociaux » en ligne comme Facebook et Twitter est à la mode. Pourtant, les grandes entreprises qui disposent d'une véritable politique et d'une activité réelle sur ces outils sont encore rares. Le groupe La Poste utilise trois comptes Twitter pour soigner ses relations avec le public selon trois axes distincts. « Après une phase d'écoute et d'analyse d'un an menée avec une agence, nous avons commencé à utiliser les médias sociaux en 2009 » se souvient Patrice Hillaire, community manager du groupe La Poste. Deux outils sont utilisés : Facebook, au travers d'une « fanpage » classique, et Twitter, au travers de trois comptes.

LisaLaPoste est un compte twitter dédié à la relation client et comptant environ 1500 suiveurs. Ce compte est dédié à des réactions manuelles à des mentions de mots clés comme « La Poste », « colis », etc. Le but est de soigner la relation avec les clients. « Tout est manuel précisément pour cela » souligne Patrice Hillaire qui, le cas échéant, prend les renseignements utiles en interne avant d'effectuer une réponse. Un incident énervant un contributeur sur Twitter fera ainsi l'objet d'une réponse pour essayer de comprendre et de résoudre le problème.

Présentation et personnalisation

Un deuxième compte, GroupeLaPoste, est, lui, plus classiquement dédié à de la communication mono-directionnelle du groupe pour présenter ses nouveaux produits et projets innovants. Plus « corporate », ce compte ne possède qu'un millier de suiveurs. Enfin, depuis juin 2010, un compte Twitter, Suivi_Avec_Lisa, est dédié à des suivis personnalisés en mode automatique. Il a aujourd'hui plus de 3000 suiveurs. Il suffit d'envoyer un DM (message direct) à ce compte pour obtenir en retour, automatiquement et toujours par DM, chaque évolution de l'état d'un colis (prise en charge, livraison prévue, mise à disposition dans un bureau de poste...).

Notons enfin que La Poste a préféré confier le community management à un trentenaire spécialiste de la communication ayant une expérience interne en tant qu'ancien responsable de la communication d'une entité locale. Le groupe n'a donc pas choisi un jeune geek.

(...)

(10/01/2011 10:19:46)

Le Green IT vu par les PME du Rhône

Premier constat, seules 13% d'entre elles ont entendu parler de Green IT. Toutefois, précise l'étude, « ce chiffre recouvre une réalité très différente d'une entreprise à l'autre ». Leur taille est, en effet, l'un des principaux critères qui créent des comportements différents.

On le vérifie notamment par l'attention qu'elles portent à la consommation énergétique d'un produit avant de procéder à son achat. Globalement, seulement 18% des 400 entreprises de moins de 200 salariés interrogées déclarent étudier ces critères. Dans le cas des sociétés de 0 à 4 salariés, ce taux atteint 16%. Il est de 15% pour les organisations de 10 à 49 collaborateurs. Il s'élève en revanche à 41% pour les entreprises de 50 à 200 personnes. Ce qui semble logique puisque « l'économie [énergétique] réalisée sur un volume important de matériel est nettement plus significatif que dans une petite structure », indique l'étude.  On retrouve en revanche plus d'homogénéité entre toutes les tailles d'entreprises lorsqu'il s'agit de réduire la consommation d'énergie par l'extinction des PC le soir. Les salariés les éteignent en effet dans 81% d'entre elles ou les mettent en veille dans 16% des sociétés. La moitié des entreprises où les ordinateurs ne sont pas arrêtés jugent qu'elles évitent ainsi de perdre du temps à les arrêter et les redémarrer.

40% des PME du Rhône ignorent ce qu'est la virtualisation


Comptant aussi parmi les sources d'économie et de protection de l'environnement liées aux systèmes informatiques, la virtualisation n'a été adoptée que par 30% des PME du Rhône ayant répondu à l'étude de l'ENE. La même proportion a déclaré ne pas faire usage de cette technologie. 40% déclarent même n'avoir jamais entendu parler de la virtualisation. L'ensemble des entreprises ayant été  interrogées sur ce thème (20% de l'échantillon) disposait d'au moins deux serveurs, la virtualisation n'ayant pas d'intérêt pour celles n'exploitant qu'une machine.

Le recyclage des matériels informatiques et des consommables est également l'un des thèmes forts liés au Green-IT. L'étude de l'ENE montre que dans le cas des premiers, les entreprises du Rhône privilégient une mise à la déchetterie ou une reprise par une entreprise de recyclage. 31% d'entre elles en font don et 27% d'entre elles les font reprendre par le revendeur d'un nouveau matériel. Dans le cas des consommables, 69% des PME du département recyclent les toners et autres cartouches d'encre. 22% d'entre elles continuent toutefois de les jeter avec les autres déchets malgré les risques environnementaux.

(...)

(10/01/2011 10:59:48)

Dassault Systèmes pointe à la 22e place des acteurs mondiaux du logiciel

L'industrie du logiciel représente un marché mondial de 250 milliards de dollars, dans lequel le continent américain représente 44%, l'Europe 36% et l'Asie, 20%. Sur l'échiquier des acteurs qui l'alimentent, la prépondérance des Etats-Unis est toujours écrasante. C'est ce que montre le Global Software Leaders, établi par PricewaterhouseCoopers, avec PAC et le soutien d'associations d'éditeurs comme l'Afdel et l'ESA. Outre un classement global, PwC liste les cent premiers éditeurs mondiaux aux Etats-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni et en France, mais aussi en Chine et en Inde, soulignant ainsi l'ascension des fournisseurs asiatiques sur ce secteur.

Il apparaît vite que les cent premiers éditeurs originaires des Etats-Unis pèsent près de 60% des éditeurs mondiaux, bien loin devant tous les autres. Pour calculer ces estimations, PAC a pris en compte les revenus 2009 issus des ventes de licences logicielles et de contrats de maintenance et de support associés (exprimés en euros). Derrière les Américains, seul le Top100 allemand parvient à réunir 6% du total grâce au poids de SAP et de Software AG. Le Top100 anglais atteint 3%, avec Sage en tête,  et le Top100 français arrache 2%, tiré par Dassault Systèmes. Quant aux Top100 chinois et indien, ils représentent chacun 1%.

Un logiciel chinois local, contrairement à l'Inde

Sur le podium des éditeurs chinois figurent les sociétés Neusoft Corporation, Ufida Software et Shanghai Baosight, avec des chiffres d'affaires sur le logiciel allant de 222 millions d'euros à 102 millions d'euros (M€), mais pour des ventes essentiellement locales. En Inde, à l'inverse, l'activité internationale des acteurs est importante. Sans surprise, on retrouve des noms déjà bien connus au niveau global : Tata Consultancy Services, Infosys et 3i Infotech, avec des revenus logiciels respectifs autour de 140, 137 et 117 millions d'euros. Les revenus logiciels des autres pays rassemblés représentent 28% du tout, parmi lesquels figurent des acteurs japonais comme les géants Fujitsu, Nec et Hitachi (12e, 17e et 18e du classement mondial des fournisseurs de logiciels).

Classement Global Software Leaders de PwC et PAC
agrandir l'image

Au classement général, les Etats-Unis, champions toutes catégories, réunissent dix sociétés parmi les onze premiers générateurs de chiffre d'affaires sur le marché du logiciel. En 2009, Microsoft, IBM et Oracle ont réuni à eux seuls 61 milliards d'euros (Md€) sur leurs revenus de licences, de maintenance et de support, à comparer aux 89 milliards d'euros réalisés par le Top11 mondial. Selon les critères retenus par PAC, les revenus logiciels de Microsoft se sont élevés à 32,7 Md€, soit 77% de son chiffre d'affaires (CA), ceux d'IBM à 14,4 Md€ (21% de son CA) et ceux d'Oracle à 13,8 Md€ (83% de son CA).

Le revenu logiciel d'Apple le hisse à la 11e place

Après l'éditeur allemand de solutions de gestion SAP, à la quatrième place, EMC est le cinquième générateur de revenus logiciels au niveau mondial, avec 4,24 Md€ en 2009, soit 42% de son chiffre d'affaires total, selon les estimations de PAC. N'oublions pas que le spécialiste du stockage a successivement absorbé les éditeurs Documentum (solutions de gestion de contenus et de documents), VMware (virtualisation), Data Domain (déduplication de données) et RSA (sécurité). Il a récidivé cette année avec Greenplum (datawarehouse). L'éditeur d'antivirus Symantec arrive juste derrière lui, avec près de 4 Md€ de revenus logiciels (94% de son CA total). On trouve ensuite le numéro 1 mondial de l'informatique, le constructeur et fournisseur de services HP. Situé en septième position, il ne génère que 4% de son chiffre d'affaires avec le logiciel, soit 3 Md€, mais il compte bien augmenter cette proportion, ainsi que l'a annoncé son nouveau PDG, Léo Apotheker, l'ancien dirigeant de SAP.

Dassault Systèmes : 90% du revenu à l'international
[[page]]

En huitième position figure Computer Associates (2,8 Md€, 92% de son revenu total), puis Intuit (logiciels de gestion pour TPE et particuliers) et Adobe (logiciels multimédias et de création numérique). A la 11e place, on trouve encore un constructeur, Apple. Le fabricant du Mac, de l'iPhone et de l'iPad n'a pourtant généré que 6% de son chiffre d'affaires en logiciels, mais cette part atteint 1,5 Md€. Le Japonais Fujitsu est 12e. Son revenu logiciel ne représente, là aussi, que 4% des 35,6 Md€ qu'il a engrangé en 2009.

Viennent ensuite le Britannique Sage (logiciels de gestion, 13e), puis les Américains SAS (décisionnel), BMC Software (administration de systèmes) et Cisco Systems (réseaux et visioconférence). Suivent deux autres Japonais, les constructeurs NEC et Hitachi, tandis que la 19e et la 20e place sont occupées par Autodesk et McAfee. Ce dernier fait actuellement l'objet d'une procédure de rachat de la part du fabricant de processeurs Intel, ce qui prouve, s'il en était encore besoin, l'importance prise par le logiciel dans l'industrie IT. 

Dassault Systèmes : 90% du revenu à l'international

Dans ce classement mondial, le premier éditeur français, Dassault Systèmes, arrive à la 22e place, derrière l'éditeur d'ERP Infor Global Solutions présidé depuis novembre par Charles Phillips, ex-président d'Oracle. Dassault Systèmes, spécialisé sur les solutions de conception et de gestion du cycle de vie des produits (CAO, PLM, usine numérique) présente une particularité, saluée de longue date : il réalise près de 90% de son chiffre d'affaires logiciel 1,1 Md€ (sur 1,25 Md€) à l'international. Ses ventes de logiciels en France ont avoisiné les 110 M€ en 2009. La semaine dernière, à Paris, Bernard Charlès, PDG du groupe français et membre de l'Afdel, réaffirmait avec force, lors d'une conférence de l'association française des éditeurs de logiciels, que « le logiciel est un élément majeur de transformation de l'économie et des processus d'innovation ».

Entre la 23e et la 25e place, signalons encore des éditeurs comme Citrix (virtualisation), Salesforce.com (plateforme cloud de CRM), mais aussi Synopsys qui développe des logiciels pour l'industrie des semiconducteurs et qui génère 780 M€ de revenus logiciels (78% de son CA). Sur la base des chiffres 2009, Sun Microsystems (acquis depuis par Oracle) figure encore à la 26e position dans le classement. Les places suivantes sont occupées par des acteurs des solutions de sécurité : TrendMicro (dont le siège social est installé au Japon depuis 1992), SunGuard et Check Point Software (31e). NetApp est 32e et le quatrième éditeur européen de ce classement mondial n'arrive qu'à la 33e place. Il s'agit de l'Allemand Software AG qui a racheté l'Américain webMethods en 2007.

PwC souligne trois tendances sur ce marché, qui vont amener les éditeurs à repenser leur modèle économique et à collaborer plus étroitement encore qu'ils ne le faisaient, entre eux et avec les fournisseurs de matériel, de services et de télécommunications. Ces trois tendances sont déjà bien identifiées puisqu'il s'agit du cloud computing, des terminaux mobiles et de la généralisation des technologies IT dans le grand public. Les utilisateurs réclament une synergie entre les outils qu'ils exploitent chez eux et ceux dont ils disposent au bureau. Cette évolution contraint les éditeurs à en tenir compte dans leurs produits, rappelle PwC en soulignant combien la R&D, l'innovation, le développement durable et la protection de la propriété intellectuelle vont devenir plus que jamais des domaines cruciaux.

Un classement séparé pour les acteurs des jeux

Dans son classement, PricewaterhouseCoopers réserve une place à part aux jeux vidéos, une industrie qui repose aussi sur le logiciel. « En fait, si le Global Software 100 incluait les fournisseurs de jeux, trois d'entre eux figureraient dans le Top10 mondial et 21 entreraient dans le Top100 », fait remarquer PwC. Ainsi le Japonais Nintendo a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 4,35 Md€, le Français Activision Blizzard a engrangé 3,06 Md€ et l'Américain Electronics Arts, 3,02 Md€. A noter qu'un deuxième français, Ubisoft, se trouve parmi les dix premiers acteurs du jeu dans le monde.

(...)

(10/01/2011 10:58:41)

Cognitis recrute 250 informaticiens

Cognitis France et sa filiale Vanilla (700 collaborateurs) poursuivent le rythme de leurs embauches. Après avoir intégré 150 consultants et ingénieurs IT en 2010, le groupe spécialisé sur l'ensemble des marchés du tertiaire financier table sur 250 recrutements supplémentaires d'ici la fin de l'année. L'entreprise recherche des spécialistes fonctionnels et/ou technologiques pour ses activités de cash management, de risques, de tenue de compte, d'épargne, de prévoyance et de santé.

Posséder entre 2 à 10 ans d'expertise

70% des postes à pourvoir concernent des profils de niveau expérimenté :   il s'agit de consultants en BI, MOA et QSI (qualité des systèmes d'information), d'ingénieurs d'études Java/C++/.NET, d'homologateurs/testeurs, de coordinateurs de projets et de consultants PMO (product managers office - gestion de projets de haut niveau). La SSII recrute également  des concepteurs fonctionnels et techniques, des architectes et des urbanistes, et également des chefs de projets IT et scrum.  Les candidats devront posséder entre 2 à 10 ans d'expérience et être issus d'écoles d'ingénieurs ou d'universités. Les offres sont principalement basées en Ile-de-France.  

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >