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(10/01/2011 16:18:32)

Craquer les mots de passe WiFi avec le cloud d'Amazon

Il y a quelques mois, certains experts en sécurité prédisaient l'utilisation des ressources du cloud pour craquer certains mots de passe. C'est chose faite. Thomas Roth, chercheur en sécurité à l'université de Cologne, a indiqué dans un entretien à nos confrères de Reuters, qu'il a élaboré un logiciel pour casser les protections par mot de passe des réseaux WiFi. L'originalité de la méthode est de se reposer sur les fonctionnalités du cloud d'Amazon qui fournit de la puissance de calcul en location. Grâce à cette prestation sur le mode « force brute », le logiciel est capable d'analyser jusqu'à 400 000 mots de passe par seconde. Le scientifique alerte les utilisateurs donc contre le choix de mots de passe trop simples pour protéger les réseaux sans fils. Pour Amazon, un porte-parole a estimé que cette utilisation des services AWS ou EC2 était contraire au règlement d'usage. Il a cependant indiqué que beaucoup de personnes utilisent le cloud d'Amazon dans un environnement de test, y compris pour des questions sécuritaires. Mais accéder à un réseau tiers avec l'appui du cloud d'Amazon demeure interdit.

Démonstration à la conférence Black Hat

Le logiciel proposé par Thomas Roth doit être présenté à la conférence Black Hat qui se déroule du 16 au 19 janvier prochain à Washington. Celui-ci indique qu'il a réussi à améliorer son programme et 6 minutes sont maintenant nécessaires pour casser le protocole de sécurité WiFI WPA-PSK au lieu de 20 minutes habituellement. En utilisant les ressources d'Amazon, cet exploit ne lui coûte que 4,32 euros. Derrière les effets d'annonce, le chercheur souhaite que les responsables informatiques notamment en entreprise prennent conscience des faiblesses des réseaux sans fils et milite pour une meilleure protection.

 

Crédit Photo: DR

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(10/01/2011 16:03:28)

Oracle sort un logiciel de BI pour les clients de SAP

Sur le terrain des solutions décisionnelles, Oracle empiète sur les plates-bandes de son principal concurrent avec la dernière née d'une série d'applications analytiques, conçue cette fois pour explorer les données financières gérées dans l'ERP de SAP. La solution Financial Analytics for SAP inclut un adaptateur compatible avec le langage Abap, plus de 200 rapports, et la possibilité de fournir des informations ciblées en fonction du profil de l'utilisateur.

Pour extraire les données financières de l'ERP, le produit peut recourir à l'outil d'ETL Data Integrator d'Oracle. Bien entendu, SAP propose déjà ce type d'applications analytiques au sein d'un catalogue décisionnel principalement issu du rachat de Business Objects. Cela ne freine pas la société de Larry Ellison qui vise des incursions parmi les plus grands clients de l'éditeur allemand qui recourent déjà à des produits vendus par Oracle : logiciels de Business Intelligence (BI) ou de gestion de la performance (EPM) comme Hyperion, ainsi que le souligne Paul Rodwick, vice-président, responsable produit. Ce dernier reconnaît néanmoins que les entreprises les plus intéressées seront celles qui ne disposent pas déjà d'une solution de BI entièrement intégrée au-dessus de SAP. Ou encore, les clients qui utilisent la partie gestion financière de l'ERP mais se sont tournés vers des éditeurs différents pour les autres modules.

En fait, il semble qu'Oracle cible surtout sa propre base installée BI avec cette application analytique, puisque des outils comme Data Integrator, ou encore BI Foundation Suite sont pré-requis.

Les entreprises qui n'exploitent pas de bases Oracle ne pourront pas retenir cette application dans l'immédiat, seul le support d'Oracle étant fourni avec la première édition. Généralement, les applications BI de l'éditeur californien disposent du support pour les bases Oracle, Teradata, SQL Server et DB/2, rappelle par ailleurs Paul Rodwick.

Illustration : Paul Rodwick, vice-président, responsable produit Business Intelligence d'Oracle lors d'une conférence de presse (crédit photo : Oracle)

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(10/01/2011 15:27:28)

CES 2011 : L'USB 3.0 de plus en plus présent sur les équipements

D'une certaine façon, au cours de l'année passée, l'attente pour profiter de l'USB 3.0 et de son bus plus rapide a pu sembler interminable. Les disques durs intégrant cette norme sont arrivés lentement sur le marché, et les systèmes chargés de les accueillir ont été un peu à la traîne, aussi bien du côté des OS que des machines. Mais, à en juger par ce qui a été dit et montré au cours du CES 2011 de Las Vegas, qui a clôturé ses portes le 9 janvier dernier, l'adoption de l'USB 3.0 progresse en réalité plus vite que son prédécesseur l'USB 2.0, si l'on compare l'état de ces deux technologies une année après leur lancement.

USB 3.0 : rapidité et économie d'énergie

Le grand avantage de l'USB 3.0, c'est bien sûr sa vitesse et les perspectives qu'il ouvre en matière de gestion de la vidéo haute-définition, de la musique, et des applications d'imagerie numérique. Mais une autre amélioration de l'USB 3.0 concerne l'énergie. En effet, l'USB 3.0 ne transmet des données que lorsque c'est nécessaire. Si bien que les périphériques peuvent rester en mode faible puissance lorsqu'ils ne sont pas utilisés, à la manière d'un scanner à plat en veille. Du fait de cette spécificité, l'USB 3.0 ne consomme qu'un tiers de l'énergie nécessaire à un appareil USB 2.0. Le gain de vitesse apporté par l'USB 3.0 est aussi impressionnant, puisqu'en théorie il multiplie par 10 les taux de transfert de l'USB 2.0 existant. L'USB 3.0 peut atteindre jusqu'à 4,8 Gbit/s (600 Mo/s), alors que l'USB 2.0 parvient à des vitesses théoriques maximum de 480 Mbit/s. Certes les performances en matière de stockage de données sont toujours conditionnées par le type de disque choisi. De sorte que, par exemple, on obtiendra de meilleurs taux avec des disques durs en RAID ou des SSD, qu'avec un disque externe unique connecté à un ordinateur en USB 3.0 (voir test du Iomega eGo 2 To).

Toujours plus de produits certifiés et bientôt une parité de prix avec l'USB 2.0

Surtout, selon Jeff Ravencraft, le patron de l'USB Implementers Forum, « ce qui est remarquable, c'est que, il y a à peine plus d'un an, il n'y avait qu'un seul produit certifié - un contrôleur USB créé par NEC/Renesys - et cette dernière année, nous avons certifié plus de 165 produits, dont des notebooks, des cartes mères, des cartes d'extension compatibles, et des disques durs. Sans compter les nombreux produits non certifiés présents sur le marché. » Lors du CES 2010, 17 produits USB avaient été ajoutés. Aujourd'hui, avec l'introduction d'un autre contrôleur hôte certifiée USB 3.0 - de Fresco Logic cette fois -, le choix des fournisseurs est devenu plus important. Il y a aussi plus de concurrence sur les prix. Selon Jeff Ravencraft, NEC avait prévu de fournir 20 millions de contrôleurs en 2010, et Gigabyte a livré 5 millions de cartes mères compatibles USB 3.0 pour équiper des ordinateurs de bureau ou des portables avant la fin de l'année 2010. «Le rythme d'adoption par le marché a été phénoménal. C'est même le plus rapide du genre, toutes technologies confondues. Bien plus rapide que celui de l'USB 2.0, » a dit le patron de l'USB Implementers Forum.

Celui-ci prédit par ailleurs qu'en 2011, le prix des produits USB 3.0, actuellement plus chers que ceux en USB 2.0, va s'éroder jusqu'à se placer à niveau égal, en partie à cause de la chute du prix des composants nécessaires à la fabrication de l'USB 3.0. Initialement, l'intégration de cette interface revenait à 7 dollars aux fabricants, contre moins de 2 dollars actuellement, à un niveau de prix qui devance de trois ans les projections faites par In-Stat. Pour Charles Klinker, directeur du marketing chez Verbatim, « c'est le moment de surveiller les rayons des revendeurs, qui renouvellent généralement une grosse partie de leurs produits au cours du premier trimestre de l'année, et qui risquent de remplacer l'USB 2.0 par du 3.0. »

L'imagerie numérique, prochaine étape de l'USB 3.0

Le CES 2011 a permis de constater aussi que le nombre d'ordinateurs de bureau et de portable supportant l'USB 3.0 était en nette augmentation. De nombreux fabricants proposant des appareils intégrant la puce Intel Sandy Bridge, ont ajouté aussi l'USB 3.0 à leurs machines. Et si, en 2010, il était difficile de trouver un ordinateur portable proposant de l'USB 3.0, ce ne sera plus le cas en 2011. « Soyez patients, » conseille même Jeff Ravencraft, « d'autres appareils comme les  appareils photo, les caméscopes, les téléviseurs, vont bientôt intégrer de l'USB 3.0. » Selon lui, il va y en avoir beaucoup et bientôt. « Il est évident que les premiers appareils concernés sont les unités de stockage et les ordinateurs, » dit-il. « Certains produits, qui ne nécessitent pas des débits élevés, comme les claviers, les souris, les imprimantes, prendront un peu plus de temps. Mais, à mon avis, dès le début du second semestre, nous verrons apparaître des téléviseurs HD, des caméras, des caméscopes proposant ce format. Ces produits concernés par des contenus riches, ont besoin d'évoluer vers une technologie permettant des transferts de données hauts débits. Et l'USB 3.0 est tout à fait approprié. »

Illustration principale : Contrôleur USB 3.0 NEC/Renesys, crédit D.R. (...)

(10/01/2011 14:34:52)

Selon Forrester, l'écart se resserre entre serveurs x86 et RISC

Selon le rapport « x86 Servers Hit The Hight Notes » publié par le cabinet anglo-saxon Forrester, il y a eu un abandon progressif des serveurs Unix RISC au profit des systèmes x86 qui ont considérablement mûri ces dernières années. L'auteur de l'étude, Richard Fichera, explique notamment qu'auparavant les entreprises n'avaient pas d'autre choix que d'utiliser des serveurs Unix RISC haut de gamme pour certains traitements même si l'option était fort couteuse. Toutefois, le jeu a changé l'an dernier quand Intel a introduit ses puces Xeon 7500 et 6500. « Avec cette famille de processeurs, Intel a fondamentalement modifié la dynamique de ce segment du marché des serveurs. Ces processeurs permettent désormais aux fabricants de systèmes de construire des serveurs x86 qui sont des alternatives réalistes sur le marché des systèmes moyenne gamme RISC/Unix », écrit-il.

Mais il y a aussi d'autres facteurs à prendre en compte. Richard Fichera souligne que les fournisseurs de systèmes ont considérablement amélioré la qualité de leurs serveurs, notamment pour l'accès et la quantité de mémoire grâce à l'utilisateur de jeux de composants propriétaires. Il a également expliqué que les systèmes d'exploitation pour systèmes x86 se sont bonifiés au niveau des performances, de la stabilité et de la montée en charge. 

Des systèmes RISC encore plus performants

Toutefois, le rapport continue de montrer que, malgré ces améliorations, il existe encore un écart considérable entre les solutions RISC et x86.  L'analyste  fait par exemple valoir que le benchmark applicatif Two-Tiers de SAP démontre que les systèmes x86 ont encore trois ou quatre ans de retard sur les meilleures offres RISC. «Les plates-formes x86 ont connu de nombreuses améliorations ces 10 dernières années et elles ont été proportionnellement plus élevées que celles des systèmes RISC. Il semble que, avec une petite marge  d'erreur, le résultat x86 le plus haut est environ égal à la meilleure performance RISC des trois à quatre précédentes années ». L'analyste indique également que les solutions RISC ne sont pas équivalentes, certains constructeurs ne sont que 50% supérieurs aux serveurs X86. Plusieurs processeurs et OS sont aujourd'hui disponibles sur le marché : Sparc/Solaris, Power7/Aix, Itanium/HP-Ux...

Ce qu'il va être intéressant de suivre dans les prochains mois, c'est si l'arrivée des prochaines puces X86 d'Intel va changer la donne. Richard Fichera note sur un blog hébergé par notre confrère ComputerWorld que  l'amélioration des performances des serveurs repose en grande partie sur le travail réalisé sur les processeurs et que l'arrivée des Xeon Sandy Bridge EP reposant sur le coeur du  Core i7-2600K 32 nm devrait permettre d'accroitre les performances de 50 à 100%


Illustration : HP Proliant sur base Xeon 7500

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(10/01/2011 16:24:16)

L'iPad 2 attendu en février selon Kevin Rose, fondateur de Digg

Ce pionnier dans le domaine de la navigation sociale (ou social bookmarking), qui dit tenir son information « d'une source sûre», indique que la deuxième édition de la tablette d'Apple devrait sortir dans les 3 ou 4 semaines et probablement le 1er février prochain. Elle sera dotée de deux caméras, une frontale et une à l'arrière, et bénéficiera aussi d'un meilleur affichage. Dans un post précédent, celui-ci avait fait état d'un écran Retina pour l'iPad 2, pour finalement se raviser : se référant à une autre source, il déclare que l'écran aurait simplement une plus grande résolution, mais ne serait pas techniquement de type Retina. Quoiqu'il en soit, cette prévision lui fait dire à « ceux qui envisageaient d'acheter un iPad, de patienter un peu. »

Alors que beaucoup attendent deux caméras dans l'iPad 2 afin de profiter du chat video avec Facetime d'Apple, Joe White, qui suit les produits d'Apple sur le site AppAdvice, pense qu'il va être difficile à la firme d'augmenter la résolution déjà excellente de l'iPad sans accroître la taille de son écran, actuellement un 9,7 pouces. Yoni Heisler, blogueur sur Network World, a été quant à lui très attentif aux rumeurs circulant autour de l'iPad 2 et de ses fonctionnalités, relevant les moindres spéculations à propos de la future tablette, notant par exemple que l'iPad 2 intégrerait un processeur dual-core. Le CES 2011, qui s'est tenu la semaine dernière à Las Vegas, a également entretenu ce buzz autour du lancement imminent d'une nouvelle tablette par Apple, puisque certains ont rapporté avoir vu ce qu'ils ont identifié comme la coque d'un iPad 2, remarquant même la présence d'un orifice, sans doute l'emplacement de l'objectif de la caméra arrière.

Après Macworld Expo

Si l'estimation faite par Kevin Rose s'avère exacte, à savoir une sortie de l'iPad 2 au 1er février, ce lancement interviendrait exactement la semaine suivant le Macworld Expo de San Francisco, manifestation à laquelle Apple ne participe plus depuis deux ans.

La première version de l'iPad avait été lancée en avril 2010. En un mois, la tablette avait été vendue à plus d'un million d'unités. Pour les observateurs, la domination de la firme de Cupertino sur ce marché ne risque pas de s'atténuer de sitôt, y compris dans le secteur professionnel. Ted Schadler, analyste chez Forrester, fait remarquer qu'Apple s'est introduit dans l'entreprise grâce aux utilisateurs enthousiastes qui ont emporté leurs appareils au travail et ont fait passer le message. Selon certaines estimations, Apple devrait vendre jusqu'à 28 millions d'iPad d'ici la fin de cette année.

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