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(16/12/2010 18:11:09)

Logiciels financiers : SAP renforce son offre XBRL

Le groupe allemand SAP a signé avec son compatriote Cundus un accord de transfert de propriété intellectuelle pour trois logiciels financiers. Parmi ceux-ci, le produit Financial Statement Factory permet de réaliser du reporting au format XBRL (eXtensible Business Reporting Language), le langage de description des données financières. Dérivé de XML (extensible markup language), celui-ci utilise des balises pour décrire les différents éléments au sein des documents financiers (par exemple, « bénéfice net »), pour les retrouver et les analyser. Un nombre croissant d'organismes de contrôle, parmi lesquels la SEC (l'autorité américaine de régulation boursière), demande aux entreprises de fournir leurs documents financiers au format XBRL.

Le deuxième produit, InformationCollector, est utilisé pour rassembler, agréger et analyser des données structurées et non structurées de l'entreprise conformément à ses règles de gouvernance. La troisième solution, IFRS-Notes, est intégrée avec SAP NetWeaver.

Logiciels Cundus
Offre IFRS-Notes

Déjà une offre embarquant UBMatrix

L'éditeur de Walldorf a déjà annoncé une application produisant des documents au format XBRL dans la ligne de produits EPM de Business Objects. Celle-ci embarque la technologie d'UBMatrix. Les logiciels rachetés à Cundus seront vendus de façon indépendante « dans une offre financière complète ». Ils seront également livrés avec l'offre BO EPM, a indiqué SAP, sans préciser encore s'ils allaient de ce fait supplanter l'offre exploitant les fonctions UBMatrix.

Créé en 2000 et installée à Duisburg, la société Cundus est spécialisée sur les outils de gestion de la performance (EPM, Enterprise performance management). Ses offres fonctionnent avec les solutions décisionnelles de SAP BusinessObjects, de Microsoft et d'IBM Cognos, trois éditeurs avec lesquels il a noué des partenariats.

D'autres éditeurs ont également renforcé leur offre XBRL ces derniers temps. Ainsi, en octobre, IBM a racheté Clarity Systems. Parmi les acteurs du domaine encore indépendants figure EDGAR Online, qui a fusionné avec UBMatrix au cours de l'année. (...)

(16/12/2010 17:44:19)

Orange intègre le paiement sans contact sur la carte SIM

L'opérateur prend ses engagements en faveur du paiement sans contact. Il lancera à partir du second semestre 2011 une nouvelle génération de cartes SIM et de terminaux mobiles intégrant la technologie NFC (Near Field Communication), permettant à ceux qui les utilisent de réaliser des transactions avec leur téléphone portable. Cette technologie, très développée en Asie, notamment au Japon, peut par exemple servir à valider son titre de transport, payer des billets de spectacle ou régler ses achats chez un commerçant, en passant son combiné devant un lecteur dédié. En France, plusieurs expérimentations sont menées depuis quelques années, et Nice a récemment lancé une offre concrète auprès des commerces et services de la ville (offre Cityzi avec Orange et le terminal Samsung Player One).

Un objectif de 500 000 clients fin 2011


Ces cartes SIM et mobiles labellisés NFC seront proposés par Orange dans le cadre d'offres par abonnement, dans la majorité des pays européens où l'opérateur est présent. En France, il se donne pour objectif d'équiper au moins 500 000 clients avec des mobiles compatibles d'ici fin 2011. A Nice, l'offre Cityzi a déjà converti 3 000 clients au paiement mobile sans contact depuis mai 2010. Le mobile Samsung "Player One Cityzi" sera commercialisé dans toute la France à compter de janvier 2011, indique Orange. Une gamme plus étoffée de terminaux NFC sera proposée dès le printemps.

« Pour que ces services deviennent accessibles à nos clients, Orange travaille avec d'autres opérateurs, des sociétés de transport, des banques, des commerçants et des prestataires de services afin de créer un écosystème qui stimulera le développement de services adaptés aux besoins de chacun » a déclaré Stéphane Richard, PDG de France Télécom/Orange

(...)

(16/12/2010 17:25:08)

Amazon et VMware déplacent les VM vers le cloud

VM Import est adaptée à un certain nombre de scénarios de migration et de récupération en cas de désastre, selon un post du blog d'AWS. Cette fonctionnalité s'appuie sur VMware VMDK (Virtual Machine Disk Format) capable de gérer notamment les images de Windows Server 2008 SP2.

Pour importer des images, les services informatiques utiliseront des API d'Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud) pour pointer vers une image de machine virtuelle dans leur environnement existant. Ensuite, ils préciseront le montant de la capacité de travail dont ils ont besoin et où ils veulent exécuter l'image sur la plateforme de cloud d'Amazon. VM Import transfèrera automatiquement le fichier image et créera une instance dans le cloud, souligne l'éditeur.

Pour déplacer la production, la machine virtuelle devra être arrêtée avant de générer l'image VMDK, selon une FAQ sur le site d'AWS. Par contre, la VM ne peut pas être mis simplement en pause. De plus, les disques et fichiers image chiffrés ne sont pas pris en charge. La durée pour importer une machine virtuelle dépend de la taille de l'image disque et du débit de la connexion réseau. Par exemple, l'importation d'une image de 10 Go prend environ deux heures à l'importation sur une connexion haut débit à 10Mbit/s. Le processus de conversion est gratuite. Mais les utilisateurs doivent payer pour la bande passante nécessaire pour le téléchargement ainsi que pour la capacité de stockage et de calcul, qui sont facturés au tarif habituel d'Amazon.

Des évolutions déjà anticipées

Amazon prévoit de rendre  Import VM compatible avec d'autres systèmes d'exploitation (différentes versions de Windows ou Linux) et d'autres plates-formes de virtualisation (comme Hyper V ou Xen). L'éditeur prévoit aussi d'intégrer, dans les prochains mois, son service via un plugin au sein de la console de gestion de VMware vSphere. Les gens qui souhaitent tester cette solution en bêta privée doivent envoyer un mail à toec2-vm-import-plugin-preview@amazon.com. Les entreprises qui souhaitent importer des instances Windows sur Amazon EC2 vers leur environnement virtualisé VMware pourront le faire via vCenter Converter.

(...)

(16/12/2010 17:11:43)

La reconnaissance des visages arrive sur Facebook

Déjà évoqué en juillet dernier, le dispositif de reconnaissance des visages utilise une technologie similaire à celle que proposent certains appareils photo numériques. Cette technologie de reconnaissance automatique des visages permettrait de rendre l'étiquetage des photos (ou "tagging") plus rapide et plus simple. A chaque nouvelle photo ajoutée, le système ajoutera le nom de la personne présente sur le cliché, en fonction des photos déjà étiquetées sur le réseau.

"Si vous, ou un ami, téléchargez de nouvelles photos, notre logiciel de reconnaissance faciale permet de comparer ces photos aux autres images dans lesquelles vous êtes marqué. Nous rassemblons les photos similaires et, dans la mesure du possible, suggérons le nom de la personne dans les photos" explique l'ingénieur Justin Mitchell dans un billet publié sur le blog officiel de Facebook.

Les utilisateurs qui ne souhaitent pas que leurs noms soient automatiquement suggérés pourront désactiver cette option. Cet outil sera déployé dans les semaines à venir aux Etats-Unis, puis probablement par la suite dans les autres pays. Selon Facebook, 100 millions de photos sont publiées chaque jour sur son site. 99% des membres actifs de Facebook y ont déposé au moins une photo.

(...)

(16/12/2010 16:35:29)

Microsoft tient compte des avis Facebook dans les résultats de Bing

Lors d'une conférence de presse qui s'est tenue à San Francisco, Microsoft a montré comment les « amis » Facebook allaient pouvoir influencer les résultats de recherche des utilisateurs de Bing. L'importante mise à jour du moteur, qui sera disponible dans les semaines qui viennent, inclut également des améliorations dans la recherche locale, la recherche d'images et les cartes. « L'approche sociale va changer fondamentalement la manière dont les gens effectuent leurs requêtes, la façon dont les résultats leur sont proposés et peut-être même les réponses à leurs questions », a déclaré Satya Nadella, vice-président senior R&D de la division Online Services de Microsoft. « Le plus important déjà, c'est de comprendre comment les utilisateurs vont découvrir des résultats à partir d'une statistique sociale ». 
Les résultats de recherche annotés avec la fonction « J'aime » de Facebook par des personnes d'un réseau social utilisateur seront mis en place progressivement et complètement disponibles à la fin de l'année », a déclaré Paul Yiu, responsable de programme chez Bing. Celui-ci a fait la démonstration des nouvelles fonctionnalités, en effectuant une recherche sur un équipement de sport et s'apercevant que l'un de ses amis a aimé un article portant sur les mérites respectifs de chaque type de matériels.

Bing dans le Top 10 des applications iPhone


« Au cours des 19 derniers mois, la part de marché de Bing a augmenté [pour atteindre 11,8 % en novembre selon Comscore], et la fréquentation du moteur de recherche n'a cessé de croître », a indiqué Satya Nadella, en précisant que cela représentait 90 millions d'utilisateurs « dont plus de 72% sont de gros utilisateurs ». Simultanément, l'application Bing pour iPhone a été téléchargée plus de 5,5 millions de fois, a t-il ajouté. « Nous sommes dans le top 10 des applications iPhone sur 2010 ». Une place où le moteur côtoie un jeu aussi populaire qu'Angry Birds.

En Octobre, Microsoft a modifié l'approche de son infrastructure d'apprentissage, passant des réseaux neuronaux aux arbres de décision. « Cela devrait aider à affiner les algorithmes pour les recherches spécialisées », a expliqué Satya Nadella. Microsoft a également consacré une bonne partie de ses investissements de recherche dans le placement visuel. « La technologie qui gère le placement des données représente un facteur de différenciation important », a rappelé le responsable de programme de Bing.

Parmi les fonctionnalités mises en service mercredi 15 décembre figure une nouvelle interface pour la recherche d'images dont les résultats sont disposés en carreaux », a souligné Derrick Connell, directeur général du groupe chargé de la gestion de Bing. « Le volume des recherches visuelles a doublé ou triplé au cours des six derniers mois », a t-il expliqué. La nouvelle interface propose également des onglets intelligents : par exemple, une recherche sur « Casablanca » peut renvoyer des résultats de robes de mariage ou de fleurs de lys Casablanca, regroupés par onglet en fonction du thème. Derrick Connell a aussi révélé un certain nombre de petites améliorations dans certains domaine, par exemple la recherche de destinations et le divertissement.

Recherche dans Bing
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Ainsi, des utilisateurs qui cherchent des informations sur un match de basket-ball pourront désormais acheter leurs billets en ligne depuis Bing, choisir leur place sur un plan du stade, et visualiser le point de vue depuis cette place (cf illustration ci-dessus).

Google retransmet en temps réel les mises à jour de Facebook


Depuis le lancement de Bing il y a 18 mois, Microsoft a effectivement gagné du terrain (+0,3% entre octobre et novembre 2010), mais Google reste encore loin devant avec 66,3 % de requêtes en octobre pour le site américain, selon ComScore. Et le gain de Bing s'est fait aussi au détriment de Yahoo, son partenaire. Depuis le mois d'août, Microsoft et Yahoo ont associé leurs efforts, ce dernier utilisant Bing pour les requêtes réalisées sur son site.

Pour les géants de la recherche, il ne se passe pas une semaine ou presque sans qu'ils n'ajoutent de nouvelles fonctionnalités pour garder la main sur leurs utilisateurs. La semaine dernière, Google a lancé un service qui retransmet en temps réel les mises à jour de résultats sur Facebook, Twitter et autres sources. Mais les entreprises se battent aussi sur le terrain juridique. Cette semaine, Microsoft s'est associé à un groupe qui veut empêcher le rachat d'ITA Software par Google. Cette entreprise de Boston, spécialisée dans les bases de données d'informations sur les vols des compagnies aériennes (horaires, disponibilités, prix), fournit une technologie utilisée par Microsoft et d'autres concurrents de Google. Le groupe fait valoir que cette transaction de 700 millions de dollars donnerait à Google trop de contrôle sur ce marché. (...)

(16/12/2010 16:13:50)

L'UE condamnée à 12,1 millions d'euros sur l'affaire Systran

Dans un environnement qui a évolué de 12 à 15 pays en comptant aujourd'hui 27 Etats membres, les problématiques de linguistiques sont importantes au sein de l'Union européenne. Les institutions ont très tôt utilisées des logiciels de traduction automatique. Or depuis une dizaine d'années, l'éditeur de logiciel de traduction, Systran estimait que ces droits d'auteurs et son savoir-faire avaient été violés par la Commission européenne. Saisi le Tribunal de l'Union européenne vient de rendre sa décision. Elle condamne l'institution Bruxelloise à verser une somme forfaitaire de 12,1 millions d'euros à Systran. La juridiction estime « qu'il appartient à la Commission de tirer toutes les conclusions qui s'imposent afin de s'assurer que les droits de Systran sur la version Unix du traducteur soient pris en compte. » En cas de retard dans les modifications ou la mise en conformité, l'éditeur serait alors en droit de demander de nouvelles réparations.

(...)

(16/12/2010 13:13:52)

Avec Cloud Office, Oracle s'attaque à Google et Microsoft

Oracle vient d'annoncer l'arrivée de Cloud Office 1.0, une suite de productivité sur le Web vouée à faire concurrence aux applications bureautique en ligne de Microsoft et de Google. Cloud Office est intégrée avec la version sur site de la suite Open Office d'Oracle, dont la mise à jour 3.3 a également été annoncée hier.

Comme Open Office, la suite Cloud Office est basée sur le format ouvert ODF (Open Document Format). Composée d'un ensemble d'applications parmi lesquelles un tableur, un traitement de texte et un logiciel de présentation, elle est compatible avec Microsoft Office. Surtout, les utilisateurs peuvent l'utiliser pour travailler en mode collaboratif sur des documents via le Web et même y accéder avec leurs appareils mobiles (Oracle n'a encore pas fourni d'informations sur les terminaux avec lesquels il sera possible de le faire).

Oracle Cloud Office
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40 dollars contre 50 dollars pour Google Apps

Reposant sur une architecture adaptée au mode SaaS (software as a service), selon les termes d'Oracle, Cloud Office est commercialisée auprès des entreprises, sous le nom de Cloud Office Professional Edition. Elle est également proposée aux opérateurs de télécommunications et fournisseurs de services Internet, cette fois sous le nom de Cloud Office for Service Providers. Ces derniers pourront l'offrir en trois éditions, d'après ce qu'indique un document de présentation communiqué par Oracle : Home (pas encore disponible pour le moment), Standard et Professional Edition, à la fois pour tout un chacun et pour les utilisateurs professionnels.

Oracle Cloud Office
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Outre-Atlantique, le prix de la licence permanente pour Cloud Office Professional Edition a été fixé à 90 dollars, plus 22 % de frais pour la maintenance annuelle. La version Cloud Office Standard Edition coûtera pour sa part 40 dollars par utilisateur si elle est vendue par un opérateur de téléphonie ou un FAI, le support technique étant assuré par ces fournisseurs. Cloud Office est également disponible par abonnement : 40 dollars par utilisateur et par an pour l'édition professionnelle, 20 dollars/an/utilisateur pour l'édition standard. Le prix de Cloud Office pourrait conditionner favorablement le succès de la suite face à l'offre Google Apps pour les entreprises, qui coûte 50 dollars par utilisateur et par an.

Open Office 3.3, à partir de 50 dollars par utilisateur


Entre autres améliorations, la mise à jour d'Open Office en version  3.3 comprend des plug-in pour l'offre BI (Business Intelligence) d'Oracle et pour son progiciel de gestion intégrée, E-Business Suite, ainsi que pour l'offre de portail collaborative SharePoint de Microsoft.

Oracle a certes un long chemin à parcourir pour rattraper les suites bureautiques concurrentes, mais espère combler son écart en positionnant ses produits comme des alternatives plus souples et plus ouvertes. Destinée aux entreprises de un à 99 salariés, Open Office 3.3 Standard Edition coûte 49,95 dollars par utilisateur. La version Enterprise Edition, préconisée pour un minimum de 100 utilisateurs, comprend de nombreux outils et connecteurs supplémentaires. Elle est aussi compatible avec un plus grand nombre de plates-formes, l'ensemble pour un prix de 90 dollars par utilisateur.

Malgré certains surcoûts, Oracle pointe les économies

Rappelons que l'interopérabilité d'Open Office avec Microsoft Office comporte désormais un coût supplémentaire. Cette année, Oracle a en effet imposé une taxe de 90 dollars par utilisateur pour disposer d'un plug-in ODF qui permet le partage de fichiers entre Open Office et Microsoft Office. Jusque-là, le plug-in, alors propriété de Sun, était fourni gratuitement. Pourtant, Oracle maintient que, avec Open Office, les coûts de licence pour les outils de productivité bureautique pourront être divisés par cinq.

Cette année, Oracle a du affronter les critiques des supporters d'OpenOffice.org, la version open-source de Open Office. Certains craignent en effet qu'Oracle cesse de soutenir son développement. Plusieurs développeurs d'OpenOffice.org ont même mis sur pied un projet concurrent, LibreOffice, poussant Oracle à réaffirmer publiquement son engagement pour OpenOffice.org. Mais pour l'instant, Oracle n'a pas indiqué si Cloud Office serait également diffusé en version open source. (...)

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