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(29/03/2010 16:13:44)

Google améliore les API de son protocole de données

«Prises ensembles, la réponse partielle et la mise à jour partielle peuvent réduire considérablement les besoins en réseau, en mémoire et en ressources processeur nécessaires pour travailler avec les API de Google, » ont indiqué Kyle Marvin et Zach Maier, deux membres de l'équipe de Google Data Protocol, dans un blog. Pour expliquer comment fonctionnait la réponse partielle, ils citent l'exemple d'un développeur écrivant un widget pour l'agenda d'Android qui afficherait l'heure et le titre d'événements récemment modifiés sur Google Agenda. «Avec l'ancienne API de l'agenda, on sollicitait l'ensemble du flux des événements, ce qui générait en retour une grande quantité d'informations, comme la liste des participants et la description de l'événement, » explique les deux bloggeurs. «Avec la réponse partielle, il est maintenant possible de ne demander que les informations pertinentes en utilisant que les titres des événements et les heures. » De la même manière, en retour « si un développeur veut permettre au widget de changer l'heure des événements de l'agenda, la mise à jour partielle rend cette opération facile par l'édition des données reçues en réponse partielle et par l'utilisation d'un patch http en retour qui envoie les données modifiées sur le serveur, » ont ajouté les membres de l'équipe. « Le serveur interprète ensuite le patch, ne changeant que les champs définis par le développeur » ont-ils détaillé.

En début de semaine, les nouveaux protocoles de réponse et de mise à jour partielle étaient déjà applicables - à des degrés divers - aux API de YouTube , de l'agenda, des albums Picasa, et de Sidewiki. Et le moteur de recherche prévoit d'ajouter rapidement ce support à la plupart des API travaillant avec le Google Data Protocol.

(...)

(29/03/2010 15:16:49)

Opteron 6100 : Un gros 12 coeurs AMD pour contrer les 6 coeurs d'Intel (MAJ)

Face à un concurrent toujours plus redoutable qui vient de dévoiler ses plates-formes bi et quadri sockets pour serveur (Intel Xeon Westmere 32 nm et Nehalem-EX 45 nm), AMD double le nombre de coeurs disponibles dans sa ligne de processeurs pour serveurs bi et quadri sockets avec la génération Magny-Cours. Le gain de performance attendu avec ces Opteron est environ le double des précédentes puces six coeurs selon AMD. Il faut bien évidemment comparer ces benchmarks avec ceux des Xeon Westmere 5600 et des Nehalem-EX 7500/6500, notamment sur les points des performances brutes et de la consommation électrique. Seul bémol sur ce dernier point, AMD communique ses chiffres en se basant sur la consommation moyenne (ACP) alors qu'Intel livre des données de type TDP (consommation maximale). Difficile de vraiment comparer l'enveloppe thermique des deux plates-formes dans ces conditions.

Dans son premier communiqué de presse sur la question, AMD ne compare toutefois les benchmarks de l'Opteron 6174 deux sockets que face au Xeon 2 voies X5680 (voir infographie ci-dessous). Le premier constat est qu'AMD a besoin de 12 coeurs pour faire le travail d'un six coeurs chez Intel mais avec une enveloppe thermique difficile à comparer (105 Watts en ACP contre 130 chez Intel en TDP). Un point pourtant particulièrement important quand on densifie ses salles informatiques pour réduire le nombre de serveurs. Les X6500 d'Intel (bi socket Nehalem-EX ) n'ayant pas encore été officiellement dévoilés, il est encore nécessaire d'attendre quelques heures pour confronter ces nouveaux bi sockets face à face...

 

Le fondeur entend bien tirer à profit les gains offerts par cette plate-forme pour convaincre les entreprises de remplacer leurs serveurs bi sockets par sa solution. Un des principaux avantages mis en avant par AMD est la réduction des coûts de licences logicielles. En 2004, avec l'arrivée des processeurs double coeur, Microsoft avait annoncé qu'il continuerait à licencier ses logiciels en prenant comme base les processeurs, et non pas le nombre de coeurs par puce. De nombreux fournisseurs ont une approche similaire mais cette pratique commerciale n'est pas universelle.

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Pour Matt Lavallée, directeur technique de la société MLS Property Information Network (Shrewsbury, Massachusetts) qui fournit des données immobilières à des sites marchands, le passage 4 à 12 coeurs sur ses serveurs Opteron lui permettra de réduire le nombre de ses serveurs et de diminuer les coûts de ses licences logicielles. Matt Lavallée qui a déjà effectué des tests avec des préversions de Magny-Cours estime que l'utilisation de puces douze coeurs de base, qui coûtent un peu plus chers que les huit, est un bon moyen de réduire les coûts de ses serveurs SQL.

SIA exploite 60 serveurs, et son directeur technique pourrait théoriquement réduire de moitié son nombre de machines avec une évolution vers Magny-Cours. Prudemment, il envisage de diminuer d'un tiers seulement ses serveurs avec une mise à jour au niveau des puces. Matt Lavallée explique avoir commencé à utiliser des puces Opteron il y a environ deux ans et demi, et estime que le principale avantage de ces puces résident dans leur débit très important (jusqu'à 5,2 Gb/s, voir encadré).



Gordon Haff, analyste chez Illuminata, précise que c'est la performance, et non le nombre de coeurs, qui compte sur ces puces. Il s'attend à ce qu'Intel et AMD offrent au final des performances similaires mais en utilisant des approches différentes. AMD dispose de 10 options de tarification en fonction du nombre de coeurs, des cadences d'horloge et de la consommation électrique : compter environ 455 $ pour une puce huit coeurs à 1,8 GHz (65 Watts) et 1 386 $ pour un 12 coeurs à 2, 3 GHz (105 Watts).

 

 

 

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(29/03/2010 15:15:01)

Un site d'emploi pour les métiers de la qualité et du test logiciel

Lancé le 30 mars, à l'occasion de la Journée française des tests logiciels,  www.software-testing-europe.com est un site de recrutement spécialisé sur les métiers de la qualité et du test de logiciel. Ce portail s'adresse aux SSII, cabinets de recrutement, responsables RH, DSI mais également aux centres de formations ayant une offre dans le domaine du test. Il cible les personnes en recherche de poste (CDD, CDI), les consultants/freelances en quête de missions et enfin les SSII ayant des ressources spécialisées en disponibilité (intercontrats).

Pour les entreprises, outre les mots clés, les recherches s'effectuent via deux critères principaux : les familles de testeurs (test fonctionnel, test technique, test d'intégration, test de performance ou de stress, chef de projet, responsable qualité et méthode...) et le secteur d'activité (banque, assurance, télécom, imagerie, industrie, monétique...).

Les candidats ont la possibilité d'importer leurs profils depuis le réseau social LinkedIn et, s'ils possèdent un compte Skype, ils pourront être contactés par ce biais. Concernant les collaborateurs en freelance, les entreprises (avec l'accord  du freelance) peuvent mettre en ligne une évaluation d'un profil après une mission. A cela s'ajoute une gamme de services complémentaires : formations dédiées aux tests, dossiers thématiques complets sur un sujet spécifique...

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(29/03/2010 13:17:24)

RIM achète Viigo, un développeur de logiciels pour mobiles

Viigo, un éditeur de logiciels qui conçoit du contenu dédié pour téléphones mobiles a fait savoir par une brève information parue sur son site internet, qu'il avait été racheté par Research In Motion. Le logiciel client de Viigo permet aux utilisateurs d'avoir accès, à partir de leur téléphone portable, à une série de services tels que la météo, la bourse, des informations sportives, des podcasts ou les grands titres de la presse en choisissant et en configurant eux-mêmes leurs sources, selon leurs préférences, puisque le logiciel est personnalisable.

Viigo commercialise également un produit professionnel qui permet aux salariés d'accéder à des informations diffusées par leur entreprise via un logiciel serveur développé par l'éditeur. Mis en place derrière le firewall par l'administrateur réseau, le logiciel permet d'envoyer des flux, comme par exemple un agenda de rendez-vous professionnels, une liste de produits avec leur descriptif et leurs tarifs, aux travailleurs nomades. En un seul clic, l'utilisateur peut ajouter à distance un événement dans son calendrier personnel ou se connecter pour compléter les fiches de ses projets ou de ses prospects en cours. Outre les utilisateurs individuels et les entreprises, le logiciel de Viigo pourrait intéresser le secteur des médias, les opérateurs mobiles ainsi que les développeurs d'applications pour Smartphone pour distribuer du contenu aux utilisateurs finaux.

Alors que le site Web de Viigo montre - entre autre - la photo d'un téléphone de marque HTC, le développeur favorise fortement l'utilisation de son logiciel sur les appareils BlackBerry. D'ailleurs, dans une note succincte présente sur le site Web de Viigo, Mark Ruddock, son PDG, informe que son équipe continuera à développer pour le BlackBerry, sans dire si le logiciel continuera à fonctionner sur d'autres plateformes. RIM n'a encore publié aucun communiqué de presse concernant l'acquisition et n'a pour l'instant fait aucun commentaire suite à l'annonce faite par Viigo sur son site web. Les deux entreprises n'ont pas non plus divulgué les modalités de la transaction.

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(29/03/2010 12:41:09)

Dépenses SOA : +24% entre 2008 et 2013, selon IDC

« Certains sur le marché prétendent que c'en est fini de la SOA. Rien n'est plus faux », a rectifié Ruediger Spies, vice-président d'IDC Central Europe pour les applications d'entreprise, lors de la conférence « SOA and Beyond » (SOA et au-delà) organisée la semaine dernière à Londres par le cabinet d'études. Pour le consultant, l'intérêt qui se manifeste en ce moment autour du cloud computing constitue notamment un catalyseur pour investir dans les architectures orientées services. Selon lui, entre 2008 et 2013, les dépenses SOA auront augmenté de 24% dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), de 23,2% en Asie/Pacifique et de 24,7% sur le continent américain. C'est cette troisième région qui tirera la croissance, a précisé le consultant d'IDC, en expliquant que l'augmentation serait moindre en Europe où les entreprises disposent d'une meilleure architecture informatique qu'aux Etats-Unis, mieux intégrée.

Les projets SOA exigent de bien comprendre les besoins métiers

Ruediger Spies a rappelé que le succès des architectures orientées services impliquait pour l'entreprise de construire une vision à long terme. « Ce sont des projets dont la durée de vie dépasse celle des ERP, qui courent sur douze ou treize ans », rappelle l'analyste. Il recommande aussi que les architectes SOA définissent une valeur métier qui permette aux opérationnels de comprendre en quoi elles contribuent à améliorer les performances de l'entreprise. « Il s'agit avant tout d'intégration [entre applications]. Le responsable du projet doit comprendre les besoins des métiers. Il ne faut pas choisir un jeune diplômé qui vient juste de sortir de l'école, mais s'appuyer sur quelqu'un qui sera reconnu à la fois par les utilisateurs métiers et par les équipes informatiques », insiste Ruediger Spies.

L'analyste explique aussi qu'un projet SOA correctement défini fournira les bases pour les stratégies de BPM (gestion des processus métiers) qui, selon lui, sont très proches du cloud computing. Ce dernier, estime-t-il, ne constitue qu'une option supplémentaire lorsqu'une entreprise doit choisir une solution informatique ou remplacer ses systèmes en place. Et Ruediger Spies d'insister : si vous avez mis en place convenablement votre architecture orientée services, vous aurez votre feuille de route pour élaborer vos architectures de processus et d'information et la façon dont elles doivent se combiner. »

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(29/03/2010 11:48:38)

La carte réseau, nouvelle entrée pour les pirates

Un chercheur indépendant sur la sécurité, Arrogo Triulzi, a dévoilé ce genre d'attaque à la conférence CanSecWest Security. Il dénomme cette technique le Jedi Packet Trick. Pour l'essentiel, ce code malveillant permet d'installer un réseau privé virtuel clandestin à l'intérieur du firewall pour attaquer le firmware de la carte réseau de la victime en utilisant également la mémoire du circuit graphique.

S'appuyant sur le mécanisme de diagnostic à distance peu connu présent dans certaines cartes de Broadcom, Triuzli a développé un moyen d'installer le firmware malveillant qui donne instruction aux paquets de transiter sur une autre carte, sans blocage du système d'exploitation. « Vous dupez l'OS en lui montrant que les paquets circulent entre deux cartes qui n'existent pas ».  Le chercheur s'est refusé à dire avec quelle carte, il a réussi cette attaque, mais il a essayé sur deux cartes similaires, depuis  4 ans.

Cumuler Ethernet et mémoire graphique

Concrètement, il envoie des paquets spécifiques au firewall du réseau, lesquels ouvrent la carte réseau cible. Après la réception des paquets de retour, il installe le firmware malveillant sur le circuit mémoire graphique de l'ordinateur, en créant ainsi un tunnel d'accès protégé  à l'intérieur du réseau. En ne pouvant pas utiliser la mémoire limitée de la carte réseau, le chercheur se repose sur la puce graphique qui dispose, elle, de beaucoup plus de mémoire. Deux autres chercheurs français provenant l'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), Yves-Alexis Perez et Loic Duflot, ont développé une attaque qui exploite une erreur dans la gestion à distance des cartes Broadcom NetXterme.  Ce dernier a travaillé avec les deux ingénieurs pour résoudre le problème.

Ces annonces montrent que des formes d'attaques originales apparaissent et qu'elles peuvent se jouer des traditionnelles méthodes de détection, explique Colin Ames, ingénieur au laboratoire de recherche Attack à Santa Fe. « Cette chose est un truc effrayant, car elle fonctionne sur les petits éléments de l'ordinateur ». Le français Loic Duflot stigmatise les fabricants de matériels sur les questions de sécurité, spécialement ceux qui développent des firmwares comme l'Intel Active Management Techonology et Intelligent Plateforme Management Interface. « Aujourd'hui, le matériel supporte beaucoup trop de logiciel embarqué, avec les risques que cela comporte ». Pour étoffer ce propos, un post du blog Orange Business Services, montre que les constructeurs de cartes réseaux ont intégré un moyen de mettre à jour leur produit via le port Ethernet, sans avoir besoin des autorisations requis habituellement.

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(29/03/2010 11:48:17)

Les informaticiens de la SNCF en grève

Non, il ne s'agit pas d'un poisson d'avril, mais bien d'un mouvement social :  le jeudi 1er avril, les informaticiens de la SNCF sont appelés à cesser le travail durant vingt-quatre heures. Lancé à l'initiative des fédérations syndicales des cheminots CGT, Unsa, Sud-Rail, et CFDT, le préavis couvre l'ensemble du personnel informatique de la SNCF, y compris les prestataires. L'objet de la mobilisation : le choix fait par la direction d'une co-entreprise avec IBM, imposé comme contrepartie du contrat SNCF-Geodis. Baptisé Ulysse, le projet consiste à livrer la gestion de la sous-traitance des prestations informatiques de la SNCF à IBM. Pour les syndicats, cette réorganisation  pourrait entraîner la délocalisation de centaines d'emplois d'informaticiens vers des pays comme l'Inde ou l'Europe de l'Est. Pire, Sud Rail prévoit même que sur les bassins d'emploi de Lyon, Nantes, Lille et Paris où la SNCF a implanté ses directions informatiques, ce projet provoquera la disparition de plus de 1 000 emplois. Et que les salariés des entreprises de services informatiques sous-traitantes (SSII) seront les premiers touchés. (...)

(29/03/2010 10:26:00)

Pour structurer sa croissance, Webhelp unifie son reporting avec Cornerstone

Spécialiste de l'externalisation de la gestion des relations clients? Webhelp possède vingt sites de production dans trois pays (France, Maroc, Roumanie). Il s'agit essentiellement de centres de contacts réalisant 55% d'appels entrant, 20% d'appels sortant et 25% de communication asynchrone (e-mail, courrier...). Avec 6300 collaborateurs (dont 1700 en France), il réalise aujourd'hui environ 150 millions d'euros de chiffre d'affaires par an contre seulement 6 millions en 2003. Cette croissance très soutenue lui a donné un véritable besoin de structuration. L'unification de son reporting fait partie des outils mis en oeuvre à cette fin, à côté de démarches plus de management (certification ISO 9001, labels de responsabilité sociale, démarche de fidélisation des employés, etc.).

Mettre de l'ordre dans le reporting

« On peut toujours continuer à produire des rapports d'activité chacun dans son coin mais, en 2008, nous avons voulu plus de réactivité et mettre en oeuvre un langage commun à l'ensemble de la société : en réunion, nous perdions trop de temps à confronter des chiffres en devant discuter sur leurs sources et leurs significations » indique François Taithe, directeur administratif et financier de Webhelp. La structuration de la croissance supposait donc de mettre de l'ordre dans le reporting. Il fallait notamment que tous les managers puissent disposer de chiffres identiques pour prendre des décisions appropriées à la bonne marche de l'entreprise.
Les données utilisées sont des données de production. Grâce à des données financières adjointes, elles sont valorisées en euros. En interne, cela concerne l'activité réelle des centres de contact, le taux de marge, les écarts sur objectifs et des éléments pour comprendre les raisons de ces écarts afin, le cas échéant, de les réduire. Vis-à-vis des clients, les extraits des données permettent de négocier et d'ajuster les ressources affectées à chaque contrat avec une grande réactivité, les chiffres étant disponibles d'un jour sur l'autre.

François Taithe explique encore : « notre modèle économique repose sur du paiement au contact effectif (comme un appel téléphonique). En fonction des prévisions du client, nous planifions les moyens adéquats avec une couverture de 120%. Mais si les prévisions se révèlent fausses, soit nous avons affecté des équipes trop importantes qui sont donc insuffisamment productives ; soit au contraire les équipes sont insuffisantes et nous ratons des opportunités sans oublier l'impact négatif sur la perception de la relation entre notre client et son propre client. »

Illustration Webhelp D.R.



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Après un appel d'offres très classique, Webhelp a choisi la solution de décisionnel proposée par Cornerstone associé à Orange Business Service. La solution proposée vient en effet du monde des centres de contacts et a été donc été conçue spécifiquement pour ce métier par des spécialistes.
En l'occurrence, il s'agit de iReady, une verticalisation basée sur Business Object. Iready récupère ses données dans une base SQL qui, elle-même, est alimentée par les différents outils du SI de l'entreprise : la téléphonie, la GRC d'Avaya, la GRH de PeopleSoft (rachetée par Oracle), la planification d'InVision, etc. « Nous avons notamment apprécié une très bonne ergonomie et les systèmes d'alertes renvoyant sur nos Blackberrys » indique François Taithe.
Au delà de la connaissance a posteriori de l'activité, l'outil mis en place permet de gagner du temps dans la facturation (issue d'un coût unitaire multiplié par le nombre de contacts) et surtout de réaliser des anticipations de chiffres d'affaires et de marges en extrapolant à partir d'une période de référence de quelques jours. François Taithe se réjouit : « le pilotage de notre activité ne se fait donc pas seulement d'un jour sur l'autre mais également dans la durée ».

Un projet qui a été bien au delà de la prévision initiale

Le projet a été piloté par la DAF et non pas par la DSI parce que, initialement, il ne s'agissait que d'un projet très financier qui a, au fil du temps, dérivé très au delà, bénéficiant aussi désormais directement aux divisions opérationnelles. D'un petit projet interne à la DAF, le décisionnel est devenu un projet intégré et stratégique associant tous les niveaux de l'entreprise, de la direction générale aux niveaux opérationnels.
Si la DAF a réalisé le pilotage, il y a eu évidemment une forte collaboration de toutes les entités concernées, à commencer par la DSI et les unités opérationnelles. « Un tel projet ne peut aboutir qu'avec une adhésion forte de toute l'entreprise et nous avons apprécier que Cornerstone délègue quelqu'un pour nous accompagner à cette fin » juge François Taithe.
Le coût global du projet a été estimé en dessous de 200 000 euros et son retour sur investissement, basé sur des gains de productivité, à moins de six mois.

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(29/03/2010 10:16:47)

Techno 5 tombe dans le giron d'ACTI

Pour le groupe de services et de conseil qui cible les grands comptes, l'opération remplit deux objectifs : étendre sa couverture géographique et acquérir de nouvelles compétences. De fait, Techno 5 dispose de bureau à Paris, à Miami et à Montréal. Des points de présence depuis lesquels ses consultants rayonne sur les Etats-Unis, le Canada et les principaux pays d'Europe. Techno 5 apporte également à ACTI son expertise pointue du marché pharmaceutique et son savoir-faire dans l'informatique financière, le décisionnel, les infrastructures systèmes et réseaux et le développement d'application web.

Pour 2010, Techno 5 table sur un chiffre d'affaires prévisionnel de 9,5 M€ et un résultat d'exploitation de 850 K€. Son effectif devrait atteindre 100 collaborateurs. (...)

(29/03/2010 09:52:07)

Trois services packagés autour d'Arcole et Chronos chez Ares

La division Intégration de solutions applicatives (ISA) d'Ares s'occupe de deux progiciels : Arcole RH pour la gestion des ressources humaines et Chronos pour la gestion des temps. Avant la crise qui a affecté Ares et sa restructuration, ces deux progiciels étaient édités par Ares. Vis-à-vis des clients installés ou à venir, Ares doit donc proposer une offre de services autour de ces deux progiciels et se défendre des assauts de la concurrence.

La société a donc mis au point des offres de services packagés. Elles préparent aussi l'arrivée de nouveaux progiciels au catalogue de la société. Ares envisage d'ailleurs de recruter de nouveaux collaborateurs sur ces activités. « Les clients expriment un niveau d'exigences plus élevé en terme de services, souligne Christophe Richer, directeur de le division ISA, ils ont maintenant l'habitude de contracter en matière de services et ont une approche forfaitaire. Pour notre part, nous souhaitons assurer de plus en plus de services récurrents ».

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Trois niveaux de supports sont créés, qui vont de manière croissante : PSC, TMA, MCO. PSC (Point service client) c'est le contrat de base. Le client défini un nombre de journées de services en début d'année. Il bénéficie d'un tarif préférentiel. Ensuite, Ares propose TMA-téléservice, pour les activités de support de niveau 2. Ares  dispose pour cela d'une équipe de consultants sédentaires  et de soixante clients déjà actifs.

Troisième niveau, Ares propose MCO pour Maintien en conditions opérationnelles. « C'est la combinaison des deux offres précédentes avec, soit du téléservice, soit du consulting sur place » note Christophe Richer.  « Dans tous les cas, nos clients savent   où ils vont en terme de prestation et de budgets, et pour notre part, nous  améliorons la lisibilité de nos offres de services ». (...)

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